Oeuvre d'art et intervention dans l'hypermonde

notamment l'Original.

Dans l'hypermonde, tout est art, puisqu'il n'y a plus que l'image

art engagé ?

mais aussi tout est action, ingénierie

télescopage même des transcendantaux

ergonomie, l'art par le plisir

l'oeuvre d'art, valeur économique essentielle

avant, la beauté de la nature avant tout, paysage/nu

puis la fabrique

puis la beauté même de la construcion, de l'acte de construire

non seulement la nautre, le terme , ne compte plus

la re-présentation

mais l'oeuvre même

seul compte le processus

celui de l'artiste, et celui du consommateur, interactif

L'originalité

- D'un certain point de vue, l'hypermonde sonne le glas de l'"oeuvre d'art" avec son original unique, éventuellement de haute valeur marchande, pouvant bénéficier de protections publiques importantes en tant que patrimoine, attirant le désir et parfois la violence (la Joconde au Louvre)

En effet,

- la copie s'effectue sans perte et la notion d'original n'a pas de sens. Cependant, si faible soit-elle la probabilité de perte de quelques bits n'est jamais nulle, laissant tout de même un sens marginal à "original". Valeur particulière des bandes originales, négatives ou positives, du cinéma sur film

- la communication même est le support de l'art, au moins pour un Fred Forest

- plus une oeuvre est diffusée, plus elle prend de valeur, devient un standard (l'action de Warhol)

- l'oeuvre de série n'est pas une invention moderne

moulages en série de l'antiquité

imprimerie (reste notion d'édition originale, et reprend l'idée de manuscrit)

la série introduit de fait une valorisatsion/dévalorisation

- valorisatio par la rareté? ex. pièces rares du collectionneur de timbres, du bibliophile, de l'entomologue, qui valorise les espècdes rares, les pièces à la limite uniques, et même les défauts

- valorisation par la haute fréquence, le standard: systèmes d'exploitation, il faut avoir vu

en quelque sorte, la reproduction va introduire une complémentarité: l'oeuvre unique va être aussi la plus représentée (Joconde)

-

Mais, arguments contraires

- pour les originaux des arts plastiques classiques (peinture, sculpture), certes moins importants aujourd'hui, l'original garde tout son sens, et aucune copie ne peut en épuiser le contenu (richesse des pigments, du geste), pas plus que celle du "continu" en général

- pour les arts de "performance", musique, danse, etc. l'hypermonde transforme ce qui hier était purement éphémère en un "original", qui ne sera plus jamais changé par la suite, scellé, en quelque sorte et même techniquement scellé

Donc

- distinguer selon les arts

- conduit en partie à distinction selon les sens, qui ne sont pas du tout impactés de la même manière par la dématérialisation extrêmes: musique/architecture etc/

- insertion de l'oeuvre dans la temporalité

-consomamtion solitaire ou en groupe

- la portée d'universel

.... universel et totalement recoppiable.

même au delà de l'industriel, besoin de reconstituer un orginale: bibliophilie, exemplaires numérotés, dédicacés

coins datés en philtélie


Notes diverses, saisies en juillet 1997

Autour du cycle génération/évaluation

art et L

nouveau

bien voir que le processus générateur peut être très complexe (Plessis)

pex. intégrer des parties " analogiques " intuivites, des comportements plus ou mions déterminés dans leur intention

mais aléatoires dans le résultat

analogique/digital: deux matnièrs différentes de gérer l'aléatoire

analogique: modélisé (réel)/modélisant (parabole)

digital: oK avec réel/pas OK

on pourrait faire une typologie des processus aléatoires

- selon l'endroit où se situent les couples génération/évaluation

- selon les types d'évaluation: automatique, " la nature ", comité/autre personn (directeut de concscience)

- selon l'ampleur de l'aléa : absolue (bits) ou relative (bits/complexité globale)

transgression, radicalement nouveau

le générateur est un transgresseur, l'évaluateur est un réducteur (pas si sûr, ou à creuser)

l'évolution de la'art se fait alo fois mar méthodes, règles, réduction d'écart

et par transgression, élargir le cercle, le nouveau

il y a au départ risque, incertitude.

l'espace d'aléa peut être très grand

a) application à des prysages (objets) différents d'une même technique picturale, d'une même " feuille de style " (Vlaminck)

b) petites modifications de technique picturale sur un même paysage

c) paradigm shift

dans la procréation aussi, il y a le hasard au milieu

et dans le commercial, avec le marché. Bref, ce mécanisme est très général

la certitude n'apporte aps de nouveau

donc je fais éclater le processus productif/constructif

un cycle déterminste conduit à un résultat certain

- il faut, quelque part dans le processus, laisser parsser un paramètre aléatoire (l'aléa peut être " externe " ou interne au programme. encore que, même dans ce cas, il faut faire semblant d'avoir quelque chose d'estérieur)

- accepter des règles d'évaluation plus souples, ou alors de type maximisation (sub)

échelle d'élimination/sélction/comparaison (relation d'ordre, plus ou moins total)

Si tout est éliminé, échecK

Si le meilleur est plutôt moins bien qu'avec le système déterministe, échec

si le meilleur est meilleur, au moins plus intéressant que le déterminisme,on a gagné

Comment un tel processeur est-il possible?

Intuition a priori qu'il y a quelque chose à trouver, à créer

réduction. Sciences, satisfaisant parce que rentable

l'illumination de Poincaré est une très forte réduction constructiviste, un saut quantique

d'autant plus que la phase préparatoire a consisté précisément à empiler (7pierres 3 et 4)

mais aussi nouveau à sa manière: new pattern, concept

élégance, économie

Tout cela est effectivemnet calculable: débits, ordre de grandeur, Aho

redondance/

haecceité: nombre de sujets, reconstituer un original. édition originale,

Si comme multiplicatuer de sujets, élargissement de l'espace

il faut norme pour que forme effectivement un space, qu'on communique

mais le déviant est intéessant, relation avec l'hérétique dangereux

l'exclus/ailleurs,non utile

sauf si on parvient à nouveau à communiquer

dans l'espace ainsi libéré, fonctionnel conduit à l'ennui au laid. Pourquoi ? intention puremnet utilitaire de l'autre. S'oppose au besoin de gratuité. Parce que émotion irréductible à l'intérêt.

Mais la douleur est obstacle à toute raison

méthodes pour guider la dialectique génération/évaluation

a) une optique rituelle règle totale, non-risk, rituel/séquence

fais cela et tu seras sauvé

dis cela et le résultat sera obtenu

b) opposition règle humilité/admettre

c) optique de réductiond des risques

d) otpqie de prise de risques (qui ne risque rien n'a rien)

Je peux prendre d'autant plus de risques que

a) j'ai de bons évaluateurs

b) je pense pouvoir faire un bon gain

Si on lance la requête, c'est bien qu'on espère qu'ilva revenir autre chose que du bruit blanc

mobilité irrégulière, vraie altérité

seulement, la mort: Dieu/sociéeté(Comte), descendants (famille)

art/émotion/oeuvre

préciser. faire passer de l'aubier au coeur, et réciproquement:

- l'émotion spécifique du carbone, un devoir de l'immortaliser dans l'oeuvre, cad dans le silicium

- mais l'oeuvre n'a de sens que par l'émotion qu'elle suscite de nouveau

le coeur n'a de sens que parce qu'il permet à l'aubier de vivre

privé d'aubier, le coeur, déjà mort, ne résiste plus aux intempéries et se détruit

l'oeuvre ne suffit pas

il faut, pour satisfaire l'artiste, qu'elle déclenche l'émotion à nouveau

peut-on associer la dialectique aubier/coeur à génération/évaluation

la génération est une externalisation: l'artiste s'exprime sur le papier, la toile, le marbre... (donc de C vers Si), l'évaluation va en sens inverse. Vrai en tous cas pour l'oeuvre d'art classique

mais je peux mettre dans la machine aussi bien le générateur que l'évaluateur

dans ce cas tout marche dans Si

mais la dialectiquea aubier/coeur marche à un niveau supérieur

je génère en fait une méta-oeuvre, et j'apprécie le processus génératif plutôt que l'oeuvre de la machine à proprement parler

art et hasard

tout reconstruire avec mon système génération/évaluatio: tir au hasard/résultat

le chunk, moment hasardeux

la démocratie: lancer dans " le peuple "

la main invisible, la Providence, la Bonne Nature

puisque le monde continue d'exister, et n'a pas que du mauvais

statistiquement, s'en remettre " honnètement " au hasard n'est pas un mauvais calcul

et il est même plus légitime que le pari pascalien

nécessité de cette phase aléatoire

par rapport à conception déterministe dès le départ

hasard/nécessité de Monod

si le but est bien déterminé, le génératuer ne comporte pas d'aléa et l'évaluateur se limite à un contrôle

précisément pour s'assurer que il n'y a pas eu d'écart... aléatoire

génération/évaluation

cycle avec attente, etc.

le générateur peut être une prise de vue dans la nature (caméra), puis, en fonction des évaluateurs, cadrage, équilibrages, sélections etc.

la nature n'est pas tout à fait aléatoire, il y a des lois dessous, que l'évaluateur doit en partie percevoir (les lois formelles du tableau correspondent à la structure de l'oeil d'une part, à la nécessité de compréhension de l'autre)

structure temporelle de ce processus

je peux calculer L jusqu'à une certaine limite

quand je peux plus calculer, je lance

il faut déboucher

le moment où le calcul devient insignifiant

aléatoire aussi dans le jeu. La parole qu'on lance " pour lancer la conversation "

structure financière du processus

une pellicule sur 5

Stany au mariage de Sandrine: 145 prises de vue, 80 par terre tout de suite

puis 20 encore élminiées

reste 45, dont un noyau de 15, intangible

prix d'un film.

public/marché

structure formelle

sous-boucles du processus de génération/évaluation

les essais de la nature, les tests des humains

réduire les coûts des essais (scratch). l'art comme économie (Léger vu par Garaudy)

Art et loi de Moore

bits par oeuvre

diffusiond des oeuvres (multiplication, copie,imprimeries, broadcast)

modes d'accès

les automates

..

vers le réalisme (Ingres puis l'hyper-réalisme),

puis les ruptures cubisme, Mondrin, pointillistes

Par réaction: l'esprit, la subjectivité

puis, quand le Si devient " intelligent ", la chair

Convergence des arts et de la technologie, télescopage

Pour aider le créateur/développeur

un dictionnaire pictorial

pour chaque mot, collection d'iamges associées

et en sens inverse, des images vers les mots. et le son


Art et émotion : voir Etasup


Bill Gates aurait une villa près de Chatellerault

on pensait que rafleait marché de l'art

400 écrans plats, cristaux liquides des HR

DON, change reproduction des oruves d'art