Mots associés: mot, idée, objet
Mesure: nombre de concepts, rendement (extension), richesse (compréension)
-- IN TEXTU
- dans combien de langues il est traduit
- nombre de lettre du mot (dans différents langages, en particulier formels)
- nombre de synonymes (et le cas échant d'espèces répertories du concept ex. neige pour les eskimos)
- famille : nombre de dérivés
- longueur de teste dans les principaux dicos et encyclopédies
- nombre de références dans Altavista et autres moteurs
- durée dans le temps, l'espace (localité, temporalité): mots éternel, à la mode
--IN PROGRAM
potentiel de génération de sous-instructions
peut être infini si itérations (while T)
-- IN RE
- nombre d'individus (quantité d'extension)
- valeurs économiques associées, marchés, prix
- correspondance ou non avec un objet matériel
- mot lié à un objet éphémère
- nombre de personnes connaissant le concept
- quantité de sens évoquée
- complexité, nombre de parties
compréhension/extension
épaisseur ?
-
Lois: Zipf
un objet comme d'autres
quantitatif: nombre de concepts dans un langage
différents noms, systèmes à préfixes (codes
postaux, noms abrégés en univers de spécialistes, allongés quand il faut parler plus généralement (ex. sigles à développer)
épaisseur d'un concept.
positif: dit beaucoup
négatif: difficulté d'accès
Les nombres associés à un concept
Derrière un concept quelconque, combien de bits, combien de schizes. In abstracto mais aussi concrètement le marché, la langue (voir par exemple les comptages de Catach). Force évocatrice et ergie de Lussato (plutôt l'aspect non binaire des choses, encore que l'énergie aussi puisse se quantifier..). par exemple, instant. combien de temps, une schize temporelle
Formation des concepts: icono 254.
Appellations d'origine commerciale.
Le problème est dans la trop grande abondance de lois possibles, sans compter la modélisation et la programmation. il faudra trouver les éléments essentiels
lois abstraites/lois historiques
extension (nombre de représentants)/compréhension des concepts (nombre de bits de la description)
selon niveaux:
7. entia, humains
5/6. Mots, longueurs de discours, nombre de décisions, flux d'information primaire.
4. bits
2/3. syntagmes, pixels, flux de bits
1. rien, sinon par passage à la limites et lois du continu.
Par rapport à un modèle conceptuel général.
rendement=
compréhension plus liste d'extension
------------------------------------
compréhension multipliée par extension
en gros une relation longueur sur surface
cela sera plus ou moins flou, stochastique. les objets appartiennet à dez zones inconnues, il y a des zones de plus ou moins grande utilité.
Par rapport à une activité pratique, le rendement ne doit prendre en compte que les objets effectivement décrits, les paramètres vraiment intéressants.
Mais, même ma définition "générale" n'est pas purement abstraite, puisque l'extension est concrète.
Fondamentalement: on voudrait que le concret tout entier découle du modèle abstrait. Hegel, Lustiger.
Mais aussi, rendement d'un mot, au sensde Catach pour une graphie. Nombre de fois qu'un mot est utilisé. Pendan une période donnée, au couurs de toute son existence si le mot a disparu, ou fait partie d'une langue morte. Se déduit raisonnablement de la population, d'une estimation du tempq qu'elle passe à parler, lire ou écrire, et de la fréquence relative d'emploi, que l'on dérivera des analyses de textes, enregistrements oraux, etc.
Le penseur, ou l'homme de marketing, apparaissenet comme des inventeurs de mots, et leur productivité ou efficacité pourra s'analyser en fonction de ces rendements.
Cependant ce concept de rendement pourra être dépassé pour une analyse d'"importance". Merde et ses dérivés on un taux d'emploi considéralb,e mais font-ils beaucoup avancer l'histoire, sinon à Waterloo, et encore.
Concepts qu'il serait intéressant d'analyser de manière quantitative
concept, processus, produit, méthodologie, méthode, théorie, automate, structure, organisation, conjoncturel/structurel, idéologie/doctrine/dogme.
Question: comment construire méthodiquement un ensemble de concepts pour maximiser leur efficacité?
=Concept
un objet comme d'autres
quantitatif: nombre de concepts dans un langage
longueur du nom qui le représente
différents noms, systèmes à préfixes (codes postaux, noms abrégés en univers de spécialistes, allongés quand il faut parler plus généralement (ex. sigbles à développer)
loi de Zipf
compréhension/extension
épaisseur d'un concept.
positif: dit beaucoup
négatif: difficulté d'accès
rendement ou gain d'un concept
(efficacité d'un langage dans ma théorie)
Un acteur est une entité active, jouant un rôle. Un acteur peut être purement virtuel. On parle souvent alors de machine virtuelle, d'automate, voire de processus. Un acteur exerce une activité, une production.
*un acteur est un organe défini par une fonction. mais le nom évoque une certaine dose d'initiative. de la sensibilité, de la vulnérabilité aussi
*attention, l'organe est lui-même virtuel. une sorte d'objet (répond assez bien à la définition)
L'entité et sa réduction au bitmap
Une entité peut être
- matérielle (un pataïde dans R4 réel), ce qui n'exclut pas la mobilité
- indifférent à la position géographique absolue dans un espace d'adressage absolu
- adresse quelcoqnue dans un des espaces logiques
Sa structure: se déploie à partir de l'adresse.
bitmap/pixmap/voxmap, tex
On suppose que tout objet ou entité se ramène à un bitmap, normalement inactif, mais mis en action par un processeur qui se déplacxe dessus. Une machine de Türing à roulettes,en quelque sorte.
un processeur de transmission se déplace de l'adresse origine à l'adresse d'arriver pour recopier.
quantitativement, la densité max du bitmap est définie par la technologie d'une époque déterminée, de même que les limite d'un bitmap totalemnet intégré (Moore)
à toute distance physique, ou temporelle (relation par c entre autres) s'associe un certain taux d'erreur, qui vient s'ajouter, se combiner, avec la distance
Dans l'espace symbolique, il y a une métrique minimale aussi, définie en supposant le bitmap disposé au mieux
le processeur minimal a une certaine dimension, donc un diamètre de boufle, donc un cycle mini, un epuissance maxi en
Mips. pour faire une opération, il faut au moins une adresse, un code d'opération, un opérande
formellement, on peut admettre que le code op se ramène à un bit (lecture ou écriture pex), mais il faut bien avoir au moins l'adresse en log2 du nombre de bits
il faut au moins un code op et un code adresse
d'où on peut calculer quand il faut faire plusieurs processeurs, parallélisme ou répartition de puissance
pour des raisons d'efficacité, le bitmap se structure: classiquemnet, byte et page
Coment peut-on aller à une adrese?
- reconnaître (mémoire associative)
- successeur ou loi géométrique simple
.............
High temperature concept forming
thesis ... idea... material gathering
with a central point off tenration
in some cases (maths), the gain is potentially infinite
the von Neumann Model
number of processors, number of cycles/sec
the temperature/pressure grows when the actuel extension grows
a concept may have a high potential, but if it does no realize, the pressure wont grow
will of saying much in few words
level where one can demonstrate (a sort of automatism), programmate, automate
(seminal power)
social pressrue
De Bono programming (personal vocation)
high budgets worrks better for medium-high than high-high
le poids d'un bit: masse du S au quel il appartient x degré de connexino
the soul-breaking bit
the scratch bit
the acro-limbic bit
mood. capacity of the researcher, profile
capacity of abstration
no (or not too muchp) time pressure
then, high but specitif pressures
will of independancd Vs the mielieu.
Il faut une masse importante pour faire une haute température. Mais la masse peut être " extérieure "
pourquoi méditer ? laisser redescendre, remonter l'essentiel, le concept chaud
Je ne suis pas un génie parce que je suis trop critique pour
on high pressure concepts
- accept to work many times on the same subject
- read more/accept redundancies
- have a powerful team on it
- se donner du mal