Droite-gauche

La distinction, qui n'est pas nouvelle, est souvent remise en cause aujourd'hui.

Personnellement, je perçois cinq critères typiques qui différenceient la droite de la gauche. L'opposition est un peu manichéenne, certesLes personnes sont plus ou moins marquées de ce point de vue, et il faut aussi distinguer le centre des extrêmes (qui souvent se ressemblent

L'opposiytion est plus dans les discours et les postures. Dans la pratique, pour sa vie personnelle ou dans l'exercice de reponsabilités (notamment politiques), on fait plutôt comme on peut que comme on dit.

 

0. Pourquoi se poser la question ? Peut-on^faire de la politique autrement

Les verts. Plutôt à gauche pcq globaux. Plutôt à droite pcq conservateus
Organiser les partis autrement
De nouveaux groupements grâce aux réseaux sociaus
La sitaution actuelle en France, une chance ?
Le FN peut-il jouer cette carte.
Reste en général très typé quand même
Quid de l'Europe.

Les grands hommes dominent l'opposition. De GAule, Napoléon

Analysder pays par pays. Par relitions; Par âge

1.Futur:/passé futur/passé (lendemains qui chantent/bon vieux temps), donc plutôt "optimistes" contre "pessimistes" et plus laics contre religieu

- A droite, on rêve du bon vieux temps, à gauche, des lendemains qui chantent.
Droite/gauche
Ils t'appellent et tu les suis.
Tradition, généaologique
Convient à des gen qui ont un passé, un patrimoine.
Il ya quand même des tradictions de gauche. Jaurès
Contradiction : la Renaissance

Peut-être que les lendemains ne chantent pas de la même manière pour tous.

- aus personnes âgées Elles ont peu d'avenir devant elle. En général plus à perdre qu'à gagner duchangement.

- Adroite, maintenir et consevrer (conservateurs). Mais les transhumanistes.
- A gauche, progresser. (progressises)

 

2. Global/local

Ouverture des frontières/fermeture.
Métissage.
Souverainté nationale/ Europe, ONU. Elle a été faite par Wilson et F.D. Roosevelt, typiquement "à gauche".
La droite souhaite exporter, mais pas importer.

Elle auratit donc tendance à être épicurienne. Ne te préoccupe pas de ce à quoi tu ne peux rien,etc.

3. Nature/volonté Donc, technique.
Ambigu. On peut être très trechique à droite, et surtout à l'extrême droeite

le naturel, frontières, volonté de Dieu. La nature humaine. Deviens ce que tu es.
La gauche:
Papa/maman

4. Public/privé. Donc égalité/liberté

- A droite, on met en avant le marché, les acteurs privés. A gauche, on met en avant l’Etat, le secteur public.

- A droite, on pense surtout “liberté”, à gauche “égalité”. Quant à la fraternité,  on la voit plutôt locale à droite (Caritas prior ad proximos, selon les mots de Thomas d’Aquin), plutôt globale à gauche.
Libertariens.

Assez normal pour les entrepreneurs, que gènent les règles. Mais qui en appellent facilemment à l'Etat quand ça les arrange (notamment la police)

Justicee distributive (A chacun selon ses besoins) /justice rétributive. (A chacun selon ses mértites)

5. Morale du sexe, morale économiqeu

la droite s’attache aux valeurs du mérite et de la responsabilité inpiduelle, la gauche à celles de la solidarité et du partage. La notion d’aide de retrouve très bien dans les deux cas

- A droite, on est indulgent sur le plan économique, à gauche sur le plan sexuel. (sur ce plan là, je ne sais pas si les parties s’opposent…)

- La gauche française actuelle est nettement pour une libéralisation sexuelle.  C’est un des reproches principaux que tu lui fais.

- A droite, on parle surtout de répression. A gauche, on cherche les causes sociales. On est plus "syatémique".
- A droite, on parle beaucoup de sécurité. A gauche ?

Le business est plutôt de droite, logiquement (il faut affaiblir l’Etat pour augmenter le pouvoir des patrons),  donc même à droite, on fait du business avec le sexe.
Mais le sexe est aussi un business

Assez logiquement, la droite plaît mieux:

- au patronat, "Comment voulez-vous qu'ils soient de bons gestionnaires pour la France : ce n'est pas leur argent. "


public/privé

inégalités soci

6. La droite ne veut pas s'avouer de droite.

Pourquoi la doite ne peut pas êter fière de l'être ?
Tendance naturelle à opposer une bonne gauche à une mauvaise droite. Réaction "La gauche n'a pas le monopole de la générosité"
Parce que les médias sont à gauche (Cf. l'observatoire)
Bien que l'argent vienne du pouvoir.
Pourquoi la droite ne peut pas convaincre les journalistes d'être de droite ?
Parce que ce sont des salariés. Donc en situation d'opposition avec le patron. En tous cas chez nous, où le dialogue social fonctionne mal

Et, peut-être le critère le plus discriminant de tous :

- A gauche, on revendique d’être de gauche. A droite, on refuse l’adjectif, et on dit souvent qu’il n’y a pas de différence entre les deux.

Hypocrisie. Ceux que je vois revendiquer le plus d’être à gauche, c’est plutôt ceux qui prêchent à gauche mais qui vivent à droite. Nos hommes dits politiques notamment, d’une outrageante hypocrisie. Je travaille beaucoup avec les gens de l’insertion : je n’en ai vu aucun revendiquer d’être de gauche.

Un sens de l'humour. L'insulte maniée plus facilement à droite.

 

Les extrêmes et le centre

A droite comme à gauche, les extrêmes (ou les intégrismes) se caractérisent par un primat de l’autorité de son parti (de son Eglise) sur l’autorité de l’Etat.  On recourt plus volontiers à la désobéissance civique ou aux actions violentes. Le langage est moins prudent, plus agressif, plus ironique parfois... ce qui le rend d’ailleurs plus attrayant.  Les bons mots de J.M. Le Pen sont typiques.

Bien d’accord. Comme ceux de Mélanchon, la violence de José Bové ou  la désobéissance civile de Mamère …Je me demande si les volontés de pouvoir ne priment pas les idées qui ne sont utilisées que pour asservir les foules.

De ce point de vue, l’évolution du FN est clairement de l’extrême vers la droite. Le simple fait qu’il joue le jeu démocratique l’écarte des extrêmes. Il y a visiblement tension au sein du parti entre les deux tendances. Je me demande d’ailleurs si Jean-Marie et Marine ne sont pas de mèche dans des histoires comme la récente “prochaine fournée” : d’un côté Papa stimule les vielles troupes, Fifile rassure les démocrates.

Le FN est nationaliste, c’est certainement un combat d’arrière garde, que tu situes à droite. Encore que la manière dont mondialisons peut laisser perplexe les gens qui se disent de gauche.

Mais il prône le respect des règles démocratiquement établies, ce que je déplore qu’on traite d’extrêmisme. Notre « il est interdit d’interdire » de 68 a fait du dégât (opinion personnelle).

 A l’opposé des extrêmes, il y a “le centre”, toujours un peu mou, un “marais” électoral, une tendance à l’hésitation. On trouve assez rarement de grands hommes/femmes politiques capables de transcender les oppositions et de proposer un discours convaincant voire enthousiasmant. De Gaulle est l’exemple typique. Giscard n’en était pas loin. Mitterrand a assez bien réussi l’exercice. Chirac, pas si mal. Sarkozy et Hollande.... sans commentaires.

Le centriste se défend d’appartenir a un parti et revendique la liberté de décider sans être aféodé. C’est la sagesse. Effectivement, parfaitement inefficace en politique.

Mais tout ça est bien compliqué pour moi. Je me replie de plus en plus sur la théorie du colibri : faire bien selon sa conscience là où ou l’on est plutôt que de refaire le monde, ramasser un papier sale plutôt que se plaindre des services de nettoyage, s’occuper de ses voisins plutôt que des peuplades lointaines.

De ce point de vue, l’évolution du FN est clairement de l’extrême vers la droite. Le simple fait qu’il joue le jeu démocratique l’écarte des extrêmes. Il y a visiblement tension au sein du parti entre les deux tendances. Je me demande d’ailleurs si Jean-Marie et Marine ne sont pas de mèche dans des histoires comme la récente “prochaine fournée” : d’un côté Papa stimule les vielles troupes, Fifile rassure les démocrates.

 A l’opposé des extrêmes, il y a “le centre”, toujours un peu mou, un “marais” électoral, une tendance à l’hésitation. On trouve assez rarement de grands hommes/femmes politiques capables de transcender les oppositions et de proposer un discours convaincant voire enthousiasmant. De Gaulle est l’exemple typique. Giscard n’en était pas loin. Mitterrand a assez bien réussi l’exercice. Chirac, pas si mal. Sarkozy et Hollande.... sans commentaires.



- Faternité plutôt locales : Oui à la France, non à l'Europe. Régionalisme. Elitisme.

 

Les extrêmes
- aux jeunes
- aux perdants du système. petits commerçants, chômeurs

La gauche
- aux classes moyennes en général

Ensuite, une fois au gouvernement, c'est différent. Il faut faire marcher comme on peut. Et "pour tous les français".
Discours différent pour les militants et les électeurs en général.

Extrêmes: contre la démocratie, dictature du prolétariat, monarchie, bonapartisme, oligarchie

Tout cela mérite des nuances, tu as raison. j’ai tendanc ici à généraliser ce que j’entends  autour de moi.