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Les partis actuels


Et par certains côtés la situation politique française, avec la déroute des deux grands partis “de gouvernement” (UMP, PS) pourrait ouvrir de nouvelles opportunités, favorise de nouveaux découpages.

C’est par certains côté la carte peut jouer le FN. Difficile quand même pour lui de ne pa se dire de droite (selon mes critères), bien qu’il recrute dans toutes les classes de la société.

Les écolos, sur le principe, ne sont pas forcement de gauche ou de droite.

Souvenir. Je crois qu’après mai 68, aux premières présidentielles, il y a eu une lisste “Technique et démocratie, qui m’attirait pas mal. Mais ça n’a pas marché.

On peut dire aussi que certains grands hommes d’état, je pense à De Gaulle bien sûr, mais aussi à Mitterrand (je sais bien que tu ne l’aimes pas dut tout), Clémenceau peut-être. Peut-être aussi Ted Roosevelt (mais Franklin, lui, était nettement de droite).

Les problèmes à résoudre

Une bonne partie des problèmes de l’heure peuvent-il se poser sans référence à la droite ou à la gauche. Essayons.

L'emploi

Je crois qu’il est impossible de le faire baisser. Sauf à rétalir l’esclavage, par exemple. Et encore, un robot-tondeuse est bien plus facile à gérer, moins cher et moins dérangeant qu’un esclave jardinier.
Est-ce que Keynes peut-encor marcher? Je n’y crois pas trop.
Est-que les patrons embaucheront si on continue à leur faire de royals cadeaux? Je n’y crois pas plus. Ils achèteront des robots pour leurs usines et se paieront de plus beaux yachts pour épateur leurs copains.

Sécurité, violence



La sécurité. et la violence Ni Sarkozy ni Hollande ne parviennent à la faire baisser. Valles à l’intérieur a suivi a peu de choses près la politique de son prédécesseur.

Elle est extrême dans un pays “de droite” comme les Etats-Unis (nombre très élevé de crimes de sang, nombre de prisonniers cinq fois (ou plus, si ma mémoir est bonne) élevé qu’en Europe.

Je suis fortemnet pour la “contrainte pénale”, qui en soi n’est ni de gauche ni de droite, et qui à mon avis n’est pas un signe de laxisme. Elle peut-être beaucoup plus puniive qu’un enfermement. Mais c’est un autre débat.

Education


L’éducation. Là, c’est très marqué politiquement. Disons que tous les état forts, et toutes les religions fortes, tendent à marquer leur autorité sur ce point. Directement à l’école et/ou dans les activités péri-scolaires (scoutisme, JOC/JEC, jeunesses hitlériennes.

Actuellement, et cela n’a pas beaucoup changé avec les alternances au cours des décennies, l’école reproduit largement les inégalités sociales, tout particulièrement dans le secondaire à Paris (si j’en crois Le Monde)
La droite semble assez orientée vers la “liberté de l’enseignement”. Ce qui peut vouloir dire bien des choses.
- avec modération : autoriser les créations d’écoles privées et les subventiônner, avec un minimum de contrôle,
- à l’extrême, en privatisant l’enseignement, sans subventions...

Sexe, proréation, famille

Notion d'adulte consentant.
Droits des adultes, des parents, des enfants;

Organisation de la démocratie, les séparations

Les séparation des pouvoirs

Des départements, des régions, des nations, des continents.. Décentralisation.

Exécutif, législatif, judiciaire
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Ici encore, les Etats-Unis pourraient être un modèle. Ils savent bien (pas tellement en ce moment, hélas), porter des projets “bipartisans”.


Conlcusion (pour les minutes qui viennet)

Cela me paraît quand même très difficile de fonctionner autrement qu’avec des partis, des associations, des médias, qui affichent assez clairemement leur orientation politique, soit en se revendiquant de gauche, soit avec des mots à peu près synonymes de droite, mais qui évitent cet épouvantail (néo-libéralisme, traditionnel, libertarien...).