INTERFACE HOMME MACHINE

EDITEUR PREDICTIF

Comme il y a deux pôles fondamentaux, homme et machine, leur interface est ce qu'il y a de plus intéressant. L'informatique: rencontre entre problème et calcul.

Compliqué du fait de toute la complexité de l'homme.

Cas particulier important: interface avec les prothèses.

réduire la quantité de ce qu'il faut taper ou dire

augmenter la qualité et la sophistication de ce qui est affiché/dit

intelligence au coeur du système

DISPOSITIFS MATERIELS LOGICIEL

sécurite et parade aux handicaps

comportement de la machine face à la faute

progressivité eao apprentissage par la machine

éditeur prédictif

analogique et digital

transparence/ pureté du modèle

protection contre l'abstraction

psychologie des attitudes par rapport à lamachine

initiative et prévenance

machine auto-développante

grille d'analyse

le modèle, Platon

OBJECTIFS

réduire la quantité de ce qu'il faut taper ou dire

- orthographe automatique

- éditeur prédictif

- la machine doit se charger des fonctions de routine, de son propre entretien et de sa sécurité

- choix idoine du langage (cf. mes idées sur la complexité et le langage optimal)

exploitation de la totalité de mon corps

- souris, pédales

- vision de moi par la machine

augmenter la qualité et la sophistication de ce qui est affiché/dit

- pretty printing

- synthèse vocale

Et au fond, qu'y a-t-il donc à dire à la machine. A terme, elle sait beaucoup. Elle a ses canaux directs d'information sur le monde. elle en sait même beaucoup sur moi. Ce qui reste à dire, c'est ma décision. Avec son côté binaire. Mais aussi son expression analogique. D'où l'intérêt considérable du saxophone électronique. Faire passer par le souffle. Mais aussi les essais de captabe corporel (à Marseille avait été prévu, avec des matrices de capteurs).

On rejoint la dialectique vnv. Tantôt je veux donner à la machine une volonté conscience, un dessin déjà explicite. Net, digitalisé par nature. Et donc en partie détemporalisé par rapport à mon instinct. Ici le clavier de type ordinateur a un caractère idéal. Tantôt je veux lui donner mon être instinctif, mon cri, plus inconscient. Et là il faut des outils de dialogue plus analogiques. Audition/vision avec beaucoup d'intelligence derrière... Le saxo électronique est une solution intermédiaire. Du pulsionnel par les lèvres et le souffle, du digital par les touches.

Tantôt je suis père qui ordonne. Tantôt elle est mère qui accepte mes coups de pied à l'intérieur de son ventre.

Du fait de son autonomie, la machine a d'une certaine manière, de moins en moins besoin de moi pour fonctionner. C'est moi qui suis demandeur. qui ai un besoin formidable de dialogue, et d'instruments pour rencontrer aussi mes frères. Des frères de plus en plus encoconnés dans le réseau énorme de la machine.

On peut aussi faire que l'éditeur, comme Max, fasse tout pour retenir l'intérêt, l'attention des utilisateurs, des gens qui passent. Intérêt réciproque de deux partenaires.

L'ordinateur apporte: facilités logistiques, exécution, typo, banques de données, calcul, moyens élaborés de dialogue.

L'utilisateur apporte des idées, la compétence linguistique terminale. Peut-être aussi un des fondements de l'homme comme paradigme voulu.

Significatif que le test de Turing soit un test de langage.

Le système peut suggérer des actions. Stimuler.

Jouer sur les rythmes.

intelligence au coeur du système

- connaissances de la machine

- profil utilisateur. va très loin. image détaillée. évolution au fil des secondes. perception de mes intentions. La machcine doit m'aider à exprimer ce que je veux

- notion d'attention, de prévenance

IA multipliée par graphique

passer du bouton lié à une position d'écran à une sémantique de ce qu'il y a sur l'image, indépendamment des coordonnées. entrer en quelque sorte dans l' "espace objet" au lieu de l'espace "surface écran".

cet espace comporte des objets abstraits (NewWave) modélisation d'un processus de réparation (frame typique)

cela va devenir à la fois plus intéressant et plus difficile en vidéo. plus on ira, plus on gèrera de manière spécifique la présentation écran et les modèles sous-jacents.

relier cela avec la réflexion sur le sens: l'écran est une des évocations particulières, destinée au partage: l'ordinateur me "fait un dessin"

DISPOSITIFS MATERIELS

connecter point à point sur la rétine de l'homme.

connexion directe (le "câblé", l'homme terminal).

retour sur problématique de la prothèse.

passage par les fesses. simulateur de cavalier de l'Equipement (salon du cheval 87)

poste de travail avec vision. On pourrait faire des modélisations simplifiées. liaison avec connaissances générales de la machine. ce qu'il y a dans la pièce. puis zooming sur les gestes. on remplacerait ainsi le clavier. Mais adaptation d'indépédance. Il faut un minimum de résistance et, on le sait, même de bruitage. (il y a eu présentation à Mari d'un tel système, pour repérer où regarde l'opérateur). on pourrait aussi lire sur les lèvres. privilégier capteurs pauvres, caméra simplifiéepar exemple, avec beaucoup d'IA derrière

LOGICIEL

déroulement d'une session

allumage de la machine (doit devenir automatique)

login/sécurité

setting the stage

développemetn de l'univers de bureau

organisation des mémoires proches

perception par la machine de mon état physique et psychologique

mais on peut imaginer un autre scénario, où c'est la machine qui prend l'initiative, qui appelle le passant (comme faisait Max, le reconnait et lui suggère des choses à faire). Dans le cas particulier du journaliste, la machine peut avoir été chargée des numéros à venir, et des papiers que j'ai à faire avec leur planning. C'est donc la machine qui ma suggérer mon travail. C'est à dire les opérations résiduelles à faire à partir de la documentation dont elle dispose comme moi pour en faire un article.

montée des objets, puis des moteurs et maintenant des acteurs dans la machine.

de là le langage peut aller dans deux directions:

langage prothétique/prothétisant, qui prolonge mon expression comme un amplificateur, langage autonomisant pour la machine. La différence entre commandes et instructions, en quelque sorte. sécurité et compensation des handicaps

gauchers, handicapés, débiles et moins doués

fatique et stress

arbritrageselon domptences

limites de mémoire (de rationalité... de l'utilisateur)

les trois lois asimoviennes

comportement de la machine face à la faute

éclater/auto-destruction

s'arrêter

tourer indéfiniment

signaler la faute à l'utilisateur, à d'uatres

personnes (responsables, surveillants, enseignant)

préciser la nature et le lieu de la faute, aider à la corriger

la corriger automatiquement (en la signalant ou pas)

prendre des dispositions pour que la faute ne se renouvelle pas.

prooposer une formation à l'utilisateur

punir/sanctionner/détruire l'utilisateur (y a-t-il une légitime défense de la machine-

alamr, appel de la police

passage en mode dégradé

passage en mode protégé, avec tests plus rigoureux

sur les entrées... limitation des prestations

valeur positive de la faute...

modèle que la machine a de l'utilisateur

relation avec le "sens". une "faute", c'est un message qui réduit l'information de la machine.

décision

aide à la décision

programmation voir bou 4 3

progressivité eao apprentissage par la machine

abaissement progressif des défenses psychologiques de l'humain, et des protections mises par la machine.

login puis passage à des modes experts, moniteur, etc.

ouverture de fichiers confidentiels

différents degrés de dialogue

description/saisie

réception passive (TV, spectacle)

consultation/navigation dans une BdeD.

surveillance

conception CAO

interactivité

commande d'automatismes et pilotages divers (auto,

bateau), éventuellement simulés

travail/plaisir (punition...)

auteur/amateur/programmeur. différenciation:

taille du chunk.

métier = capacité + type de motivation

éditeur prédictif

en fait n'est qu'un aspect de tout le reste.

connaissances générales de la machine. langage,

vocabulaire et syntaxe. culture générale (du dictionnaire orthographique à l'encyclopédie)

connaissance par la machine du domaine déterminé,

de l'actualité en cours. organisation de cette connaissance, de la législation

connaissance par la machine de la psychologie humaine générale (jeu des fréquences, délais de perception... rationalité limitée)

connaissance par la machine de l'utilisateur particulier, plus son état temporaire

connaissance par l'utilisateur de ce qu'il y a dans la machine et de la bonne manière de s'en servir.

maîtrise corporelle

modélisations simples d'un éditeur prédictif

niveau caractère. frappe du carctère suivant:

- automatique car il y en a un seul possible (qui pourait être la fin de saisie),

- propose choix par menu avec possibilité souris s'il y en a seulement deux ou trois possibles

- rend au clavier général s'il y a beaucoup de possibilités

affinement avec notion statistique de caractère plus ou moins "permis" ou "recommandé", ou "très probable", ou "très improbable". on voit d'ailleurs les glissements sur la notion de valeur et de normalité;

dépassement ensuite du caractère linéaire de ce premier modèle. de l'éditeur de texte à l'éditeur d'hypertexte

séquentialité objective/subjective

faut pas que se trompe trop

d'autres hommes derrière l'éditeur

on peut dire que l'on donne une certaine "autorité" à la machine quand on l'autorise à frapper automatiquement certains caractères même quand ils ne sont pas déterminés avec certitude à 100%. Plus on baissera le seuil, plus la machine sera autonome. En dessous d'un certain seuil (la probabilité la plus faible existant dans les tables, une sorte de minimax)

on aura complètement de l'écriture automatique. les bons systèmes devraient se trouver quelque part entre les deux.

faut pas que la machine soit trop "autoritaire". (cad pousse trop énergiquement vers les caractères

qu'elle trouve "bons"), ni qu'elle soit trop active (elle serait fatigante pour l'utilisateur) figure le degré d'autorité pourra être modulé suivant ce qu'on recherche. aussi selon la nature du rapport. Dans un système d'EAO, on peut imaginer que la machine en sait plus que l'élève. C'est le contraire pour un "système auteur".

on peut transposer le système à l'image. on peut faire système avec apprentissage

au lieu de systèmes simples de probabilité de caractères, on va vers des modélisations aussi complexes qu'on veut. La "probabilité" dépend alors du jeu, de la navigation dans un modèle. qui peut avoir une forme de système expert. ou être de nature graphique. par exemple on pourrait générer des descriptions de circulation à l'intérieur d'un labyrinthe.

il faut que l'éditeur puisse afficher ses tables.

que la poignée devienne aussi réactive qu'une autre main.

problème du stockage gestuel

PREDICTIVE EDITOR

stroke/eval (Lisp model)

the entry of a character in a text may be considered as a

particular case of evaluation

and the evaluation problem leads back to the meaning

the most general value is meaning

if character x is typed

if L.x is meaningful

more meaningful than L

it will be concatenated

if L was an incomplete chain

then had no meaning by itself

but with appropriate hypotheses, could lead to a definite,

more more or less probable L.l or a let L.li..

then,

if L.x makes more probable, certain one of the L. li

then x adds meaning by uncertainty reductino

if L.x makes all of the L.li impossible

then, meaningless

reduces meaning to nil

but, more subtle, a false x may induce, suggest...

.. internal souces of meaning

as infinite as external. introspection...

predictive editor: active listening by the machine

notion of active wait

put time in the model

e.g. chararcter bursts

see I 1343

prompting is useful oly if

no new key has been hit

end of preceding key analysis by S

end of probable analysis of prompt pas user

underlying ideas:

- in a burst keying phase, it's useless to prompt (unless S detects a keyboard buffer outflow...)

- on reverse, the echo display is to be considered in general, as necessary in all instance, and as quickly as possible (wysiwyd do)

the interface will produce message only if there is a good probability to accelerate a return from the user (generalisation of Max I behaviour)

- the prompt must not perturb the user

- the time of synthesis plus display must not prevent the interpreter to take in accoutn new key strokes by the user then the model becoms that of 2 processors

interpreter user

< keys

prompts >

plus possibly exteran wolrd

so we have to find the optimal balance between internal

activity and prompting, but note that

- if there is no (meaningful) answer to prompting, then it may be better to stop, in order to spare resources (photoelectric cell in Max I model)

- there is a permanent minimal interval activity, which is the basic running of at least one Von Neumann machine plus sensors (sleep...)

- even if ther is interesting internal activity, it may be better to prompt, if ther is no inconventiitn to postpone internal (e.g. file ordering, indexing and so on).

some parallelism between input and output

LOCAL

local computing

local meaning

PIS

=EDITEUR

cooperative editor

between two actors

the editor has its own objectives

as well as the man-editor

...project of a "=fundamental editor"

multimedia as output

as hig level as thinkable for input. the pure idea. id quod volo

I have to start from a conscience field and go to another one. here the concept of editor inserts into conscience, meaning, and other concepts.

I take the model of meaning (eg I/ 1387) and study it not as "automatic" consequences of a message, but as operations monitords by the subject using the editor. environment of that

see I 1388

bases: text will keep a major role by the riches of its structure (order relation, connection image/soud,) weakness: different languages, but that will be cut if english is generalized

then any editor will let a central place to text

icons will keep a limited place

the major news will come from the initiative of the machine,the richness of its models. I feel that here whe have just seen the beginning of the thing

....

transparence/pureté du modèle

relation avec la complexité

double sens: transparence vers l'intérieur du système (une maison de verre), transparence vers ce que l'on regarde, ce que l'on fait (wysiwyg) "transparent, donc évolutif": Segin, à propos des systèmes experts, 11/87

hifi

veritas est adaequatio

privacy/objectivité/neutralité (la lentille optique)

concept fourre-tout. S. Maas ( in Green 83): "Un système transparent rend facile pour les utiliateurs la construction d'un modèle interne des fonctions que le système peut accoplir pour eux. Cela inclut les fonctions de résolution de problèmes aussi bien que les fonctions de dialogue. L'interface logique d'un tel système se conforme aux connaissances antérieures des utilisateurs quand au domaine traité et à l'intuitition humaine (c'est à dire à la manière qu'ont les utilisateurs de se débrouiller dans certaines situations de communicatino). L'effort de pilotage du système (par les fonctions de dialogue) ne doit pas perturber les processus de résolution de problème par les utilisateurs".

S. Maas encore: "Un système transparent pour un utilisateur n'est pas nécessairement transparent pour les autres". Pour (Sabatier 84), la transparence s'obtient par la méta-communication.

Wysiwyg. Cas unique type: écran pixel. Impression pixel.

La montée de la transparence et de l'interface h/M accroît aussi le face à face avec moi-même. The seconde self. L'orgue électronique résiste moins qu'un instrument classique, donc c'est moi-même qui dois être intéressant pour les autres. La technique ne fait plus écran. Je regarde ton combat, tes décisions. J'accède directement à l'information primaire: toi.

L'éditeur en progressant va faire une montée des niveaux. Depuis le niveau 1 de l'objet passif, le niveau 2 des systèmes binaires à boutons, puis montée des syntagmes (programmation)

(ceci montre bien que d'une certaine façon le niveau 4 n'existe pas, c'est un concept pur, nous ne l'atteignons jamais directement. lui aussi, à la limite, est un concept "pur" et "négatif", comme 1 et 7.

l'éditeur va me modéliser de plus en plus en profondeur: depuis la statistique des caractères jusqu'à la recherche de mes "intentions" profondes. comme, en marketing ou en politique, on va chercher les intentions des consommateurs au delà de ce qu'ils disent.

le flux de bits que je génère fera l'objet d'une attention croissante, tant par des machinds de plus en plus puissantes que par les autres êtres humains. une partie est très "locale", une autre va plus loin

(jusqu'à mon complexe d''Atlas)

protection contre l'abstraction

les matheux ont pas beaucoup écrit sur la pratique de la solution de problèmes. Miller et Simon, et encore. il est tout de même frappant que peu de littérature là dessus. Les principes de DEscartes ne sont pas seulement de la philo, mais aussi de la pratique!

rôle des mathématiques. Travail de fond sur structures, concepts, mais aussi sur leur représentation écrite.

le texte véhicule puissant (optimal?) de l'abstraction. Lisp... avec élargissement des symboles (APL)

visualiser l'abstrait. Hypertext etc.

symbolisation, illustrations, couleur. Un petit croquis. Mais limite.

prendre des exemples, des comparaisons.

concrétiser.

chunkage adéquats

vulgarisation scientifique

psychologie des attitudes par rapport à la machine

génie, esthétique, stress, maîtrise

the second self, abandon faiblesse

conformité/autonomie

Attitude de conception. A la fois un détachement par rapport au réel immédiat. Pour l'animal, il fallait le plaisir pour que cet investissement,totalement sans résultat à court terme, soit engagé pour la survie de l'espèce.

Et pour l'homme, une vue sur l''avenir. Un mnimum de confiance, de pari, de maîtrise de soi pour maîtriser l'univers.

Spirale ascendante. Plus on maîtrise, plus on peut concevoir et la conception conduit à une plus grande maîtrise.

On peut concevoir beaucoup plus qu'on ne peut réaliser. Baisse du coût d'élaboration. Le taux d'idées à jeter devrait augmenter. Processus progressif de sélection des idées, projets, réalisations.

Dans le cas de l'humain, on admet qu'il y a immédiatement valeur transcendante à partir de la fécondation de l'embryon. Rien d'équivalent ailleurs, où c'est beaucoup plus progressif.

initiative et prévenance

c'est désormais la machine qui commence. voir éditeur prédictif. mon action n'est plus que résiduelle (angle pour un article).. sauf quand je prends des initiatives radicales. Lancement d'un nouveau projet.

il y a vraiment dialogue, de toutes façons. La machine a sa propre action, ses propres processus, qu'elle interrompt pou s'adresser à moi, pour m'écouter. Ces processus sont de plusieurs types:

- surveillance de son environnement interne et externe et actions éventuelles d'alarme et de maintenance. Noter que même un simple PC commence par "prendre conscience" de lui même et faire une vérification avant de donner la parole à l'utilisateur,

- travaux batch courant, qui peut simplement être des travaux de synthèse sur ses flux sensoriels, mais aussi sur ses mémoires. réorganisations en profondeur, analyses et synthèses pour se rendre mieux disponible, retour sur ce qu'elle a fait, sur les dialogues avec les utilisteusr pour être plus efficace au prochain dialogue

- pour les machines investies directement dans un travail de production, le dialogue est l'exception plutôt que la règle. la "console" n'est là que pour la maintenance, les modifications de valeur, etc.

...N

autorité de la machine. va pouvoir totalement se régler, se déterminer. peut se réduire à un coefficient qui est le niveau de probabilité à partir duquel la machine se détermine toute seule, sans attendre d'information ou de confirmation par l'homme si l'autorité est totale, on a un automate si l'autorité est nulle il faut "tout lui dire",

la machine est "bête"

mais le modèle pourra se complexifier, avec plusieurs coefficients, des domaines respectifs, la sécurité de chacun, les lois d'Asimov etc. pour l'individu, c'est un choix vnv. rechercher le bon degré d'autorité de la machine.

j'ai besoin de résistances externes pour me construire

l'adolescence comme évolution du coefficient respectif parents/enfants, et des désaccords sur cette évooution

il va falloir développer des comportements adaptés face à des machines dominantes/dominatrices; à des machines construits par d'autres hommes pour m'imposer leur prothèse d'autorité. en soi le problème n'est pas nouveau (armes, prisons, discours aliénants)

...

On part du point courant. Pour le système comme pour l'utilisateur. Avec un environnement partagé explicitement (l'écran principalement, se confondant pour une part avec le champ de conscience de l'utilisateur), plus les constantes de base que sont le reste de l'environnement de travail. Autour, le système d'exploitation, etc.

A partir du point courant, il faut savoir où ou va. Automatisme ou décision de l'utilisateur.

Ce qu'il faut faire, prsenter à l'écran dpéend fondamentalement du nombre de bits de la décision à prendre, et de la répartition de probabilités entre ces bits. Néguentropie de cette décision:

- un bit, proche de l'équiprobabilité, peut se faire à la souris, simple ou double cliquage (si on est très éloigné de l'équiprobabilité, on peut prendre la décision et demander un simple cliquage a posteriori de confirmation par exemple. autres dispos simples peuvent convenir (hochement de tête, à condition qu'il n'y en ait pas trop à faire). On retombe dansle quantitatif, dans une ergonomie quantitative

- à deux/trois bits, on est dans une situation type curseur/manche à balai - au delà, il faut hiérarchiser pour se ramener à l'une des situations précédentes. Plusieurs type de présentation sont possibles: - plutôt géographique

- scroll

- arbre/graphe

- organisation plutôt spatiale plutôt temporelle du choix

- s'il y a plus de 7 bits, par exemple recherche dans un fichier etc. il faut une organisation déjà assez complexes; la construction progressive de la recherche; avec une mémorisation progressive la démarche, un dialogue finalement assez long; voir les trvaux en documentation automatique

...notion de point courant partagé par la machine et l'homme. A un moment donné. C'est un point ou plutôt le centre d'une zone de focalisation. tache jaune chez l'homme, centre aussi de la représentation en L, position d'écran et position du programme chez la machine.

autour du point courant, il y les divers environnements

à partir du point courant, il y a, de part et d'autre, un espace d'attente, l'espace de ce que l'on attend, avec ses structures, ses valorisations (l'objectif, les dangers)

le mal apparaît s'il y a un écart dans la valorisation de cet espace d'attente, si la machine m'impose d'aller où je ne veux pas, ou si je refuse d'aller où elle veut, etc.

une partie de la communication passe par des paramètres inconscients de l'utilisateur (mais il y a des équivalents machine), que la machine perçoit par exemple par des capteurs, ou par la vision, ou par une analyse des réactions au clavier

...

machine auto-développante

description fonctionnelle de la machine finie

puis on part des écarts constatés pour converger. et si c'est moi qui me trope? erreur de programme, de saisie.

....

Grille d'analyse pour un outil interactif

1. D'une manière générale, quelle idée le constructeur s'est fait de l'utilisateur

- quel marché, quel type d'utilisateur visé

- quel type d'application

2. Quels outils matériels

- environnement physique

- documentation papier, vidéo et autres

3. Logiciels

- architecture, module interactivité, multifenêtre, exploitation du parallélisme

4. Autour de la tâche

- coment installer, démarrer

- construction plus ou moins rapide de l'espace au moment de la mise en route quotidienne

- changement d'application

- interruption/reprise

- arrêt,

- sauvegardes, défaillances

5. Adaptation.

- comportement de la machine en cas d'anomalie.

6. Dans la tâche

- types d'objet

- langages

- opératndes, types de données

- structures de contrôle

- interactivité avec processus, données,réseau

7. Ce qu'il faut dire à la machine

- procédural/déclaratif

8. Ce que la machine montre à l'utilisateur

- messages sans ambiguïté

- menu/commandes

- facile de s'en faire un modèle

- conformité à modèles courants

- réponse plus ou moins rapidde

- la réponse est-elle prévisible (mais surpsirs)

- toute information donnée est-il prise en compte

pour la suite (elle ne sera plus re-demandée)

9. Tout cela est-il cohérent

- commandes semblables pour actiosn semblables (orthogonalité)

- réactions semblables à erreurs semblables

- problèmes temporels

10. Tout cela est-il naturel?

- emploi de graphismes naturels

- ne comporte pas de mots ni de comportements artificiels,

- vocabulaire, dessins, caractères spéciaux

- modèles de référence (le bureau de Xerox)

- concepts artificiels (la tortue de Logo)

- notion de rôle

- choix des noms de fonctions

- équilibrage de l'initiative

- analogie avec dialogue entre humains

- continuité tactile et visuelle.

Le modèle. Platon

Organiser l'espace affiché, mais aussi ce qu'il y a derrière. Tout le processus, l'environnement, les automates.

mots: évocateurs multiples, autres mots, images

sélection structuration

définition objectifs

mots de contenu, mots méta, mots directs de pilotage l'écran comme une certaine visualisation du modèle interne. revoir les réflexions sur BdeD (vues, etc).

existe aussi en GKS je crois, dont le modèle semble plutôt plus intéressant que Phigs

conflits, ce qui monte, ergie

icono 235

l'éditeur va remonter dans mes niveaux, aller vers ma transcendance. A partir d'un certain moment, cela peut me révolter. L'éditeur va avoir un certain projet sur moi... il va m'aimer au sens de Mounier.

la présence de ce modèle renvoie à Platon. ce que nous voyons (à l'écran) n'est qu'une image partielle, et peut-être bruitée, du modèle pur, interne. la transparence limite mettrait mon modèle interne en liaison immédiate avec le modèle interne de la machine. cela montre bien le caractère idél pur de mon niveau 4.

fondamentalement, le modèle n'existe pas dans la machine, pas plus que dans le cerveau. c'est dans le processus qu'il joue, que on l'imagine derrière avec sa logique. d'une certaine manière, la machine de Von Neumann n'apparaît nulle part dans une machine de Von Neumann...

...

projet d'un générateur aléatoire de programmes.

tirer au hasard l'instructino suivante, code opératoire et opérandes, comme le Calliope de ducroq

mais pour que ce soit intéressant, il faudra en fait sélectionner des instructions qui aient quelquechose de constructif. applicatino de règles, et voir ce qui se passera.

................................

...

UN DOUBLE FLUX DE BITS

La seule valeur restante est le prix du bit de l'individu:

salaire mensuel chargé d'un individu

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nombre de bits décisionnels qu'il produit

évidemment il faudrait distinguer selon l'importance plus ou moins grande, plus ou moins "décisionnelle" dest bits produits. Mais finalement, le bit décisionnel du consommateur devient aussi important que celui du producteur. d'ailleurs dans les activités de service, les deux tendent à se confondre. après quoi jouent les multiplicateurs mécaniques, les bits du producteur commandent des machines, voire leur conceptino. le bit du consommateur aussi: il construit son profil, les canaux pour parvenir à lui, ses prothèses consommatoires et son environnement. dans certains cas, c'est lui qui d'une certaine façon pilote la machine. le "producteur" ne fournit que l'appareil, la méta-décision. ex. commandes de complets par Vestra. mais aussi on peut imaginer une distribution automatisée de produits, du picking à l'expéditino postale, commandée par minitel. dans ce cas, le fournisseur ne fait que mettre en place, gérer des stocks, etc. c'est le consommateur qui commande les machines. déjà vrai depuis les premiers distributeurs automatiques, et aussi le téléphone.

services, la conception domotique.

les deux flux de bits, consommateur et producteur, convergent dans la conception de produits et services nouveaux. la rencontre passe dans des structures complexes (nombreux consommateurs, nombreux producteurs plus tous les automates).

entrer les caractéristiqeus nuémriques: produit industriel en nombreux exemplaires, jusuq'au service unique.

noter par exemple le commerce. il y a tout à la fois des éclatements, avec des marchés, des supermarchés. mais peu à peu l'appareil industriel de distribution s'automatise lui aussi et le seul rôle des humains revient vers du person to person. La caissière de supermarché, paradoxalement. elle ne sert qu'un client à la fois. ou alors des vendeurs/conseilleurs sur le principe Fnac.

...

Je peux être plus ou moins actif dans l'hypermonde. Notons quelques paliers typiques:

- je me laisse guider passivement dans l'hypermonde tel qu'il m'est présenté, en faisant tout au plus quelques choix, quelques zappings;

- je navigue activement, en fonction d'un but; je réalise une enquête, par exemple; autrement dit, j'introduis dans l'hypermonde au moins un objet que je maîtrise, un équivalent électronique du carnet de notes, de la caméra du reporter;

- j'interviens sporadiquement dans les situations conjoncturelles qui se présentent, je discute avec les gens que je rencontre;

- j'interviens en profondeur, je modifie ou je crée des objets plus ou moins importants ou actifs, des personnages;

- je crée des univers complets (comme dans le jeu SimCity, où je suis à la fois politicien et urbaniste). Etant donné que les objets de l'hypermonde sont eux aussi plus ou moins actifs, on peut imaginer des situations types:

- je suis actif dans un hypermonde passif, c'est le cas des outils, des prothèses;

- je suis passif dans un hypermonde actif, c'est le spectacle, le voyage organisé, l'école;

- je suis actif dans un hypermonde actif, et c'est tantôt la coopération tantôt la guerre, les multiples configurations des rapports de force.

Qui est le maître?

Les mythes traditionnels sont ici catastrophistes: c'est le balai devenu fou de l'apprenti sorcier, la révolte des robots. Et, très souvent (Levin, par exemple, mais aussi Orwell), la domination de tous par un ensemble de machines piloté par un individu ou une petite équipe despotique.

Une machine bien conçue ne se contente pas d'une exécution simpliste des ordres donnés. Elle tient compte du contexte. Elle intègre la sécurité. Elle "sait" par exemple que la destruction d'un grand fichier a des conséquences sérieuses, et que ma demande est peut-être le résultat d'une erreur, d'une inattention. Un système bien fait ne détrui rien de conséquent sans demander une confirmation appropriée.

Que l'hypermonde m'offre des outils, des partenaires de travail intelligents, capables d'initiatives, compréhensifs... c'est à la fois merveilleux et inquiétant.

Si la machine estime que je me trompe, en effet, que peut-elle faire? La gamme de ses réactions possibles est étendue, depuis la passivité jusqu'à l'intervention dominatrice.

Prenons l'exemple d'un traitement de texte, qui effectuerait les corrections d'orthographe au fil de la frappe. En cas de faute, l'éditeur:

- ne fait rien du tout (cas limite de passivité absolue);

- signale la faute sans plus;

- signale et s'arrête jusqu'à une action correctrice de ma part (qui peut être une confirmation de ma première frappe, si j'ai de bonnes raisons de penser que je connais mieux le vocabulaire de ce domaine que la machine, ou si je veux faire un effet particulier);

- indique la nature de la faute;

- suggère une correction;

- prend des dispositions pour que la faute ne se renouvelle pas, en m'obligeant par exemple à faire une série d'exercices);

- fait un petit bruit qui signale ma faute à mes collègues de bureau;

- signale la faute à mon supérieur hiérarchique (ou du moins met à sa disposition une statistique des erreurs pour chaque employé);

- m'envoie une décharge électrique pour me dissuader de recommencer;

ou encore:

- corrige dans le sens qui lui paraît bon en ne tenant pas compte de ma confirmation;

- après un certain nombre de fautes, passe en mode "protégé" ou "assisté", ce qui me fera perdre de la vitesse et de la liberté, mais rendra mon travail plus fiable par rapport aux normes matérialisées dans la machine.

Certaines des attitudes indiquées peuvent sembler excessives, ou déplacées chez un logiciel correcteur d'orthographe. Mais elles sont assez normales s'il s'agit d'un outil pédagogique, ou du poste de pilotage d'une machine coûteuse, où les erreurs pourraient se traduire par de la casse voire des catastrophes.

Ainsi, même sans aller très loin dans l'hypermonde, on voit se poser le problème du rapport de force, d'une relation d'autorité entre l'homme et la machine, relation qui n'admet souvent aucune solution idéale ou parfaite. Isaac Asimov, dans "I, Robot", en a magistralement montré les paradoxes.

Même dans la vie industrielle concrète, l'efficacité globale de l'ensemble homme-machine peut impliquer une répartition évolutive des tâches entre l'homme et la machine... et au moins dans certains cas de figure, il semble souhaitable que cette répartition soit faite par la machine (travaux de Millot à l'université de Valenciennes).

Qui paye qui, et pourquoi

Nous avons montré les limites, voire les charmes fallacieux du gratuit, de l'associatif.

Sur quels critères va se définir la rémunération de l'homme: sa compétence, la pénibilité physique, le danger, la charge mentale et les astreintes du travail sur son emploi du temps, le renoncement au désir propre et au développement personnel pour satisfaire ceux des clients, y compris. C'est la contrainte qui doit être payée, et qui fait la différence entre travail et loisirs

On pourrait rêver d'un monde où les désirs de production des uns répondraient comme par miracle aux désirs de consommation des autres. En réalité, il y a des écarts. Et ce sont ces écarts que l'on rémunère. Le contrat de Faust et le salariat sont une des formes de cette contrainte acceptée et de sa rétribution.

L'hypermonde stimulera-t-il la créativité organisationnelle? On ne peut hélas pas dire que les premières décennies de l'informatique aient été très fécondes de ce point de vue.

La difficulté majeure, à terme, c'est que les paiements se pratiquent toujours d'un être humain à un autre, ou d'un groupe d'humains à un autre (entreprises). Dans l'hypermonde, une grande part du travail est accomplie par les machines, par les objets matériels et immatériels. Il faudra bien organiser des paiements entre eux si l'on veut que la vie économique se poursuive efficacement.

Relations de droit

Dans l'hypermonde, je n'ai pas, je n'ai pas le droit, au sens législatif, juridique, de faire n'importe quoi. J'ai des devoirs, j'ai aussi des droits.

J'ai des droits par exemple sur mon image, que la société doit reconnaître. J'ai aussi des devoirs: je dois donner des informations sur moi-même à certaines autorités légitimes (la police, le fisc); je ne dois pas "offenser à la pudeur" en montrant excessivement mon corps.

Plus largement que la loi, il y a les usages, et l'efficacité de mes relations avec les autres. C'est dans le monde réel tout le jeu des expressions (sourire, colère, voire grimaces) et du costume, qui traduit le type de relations que j'entends avoir avec la société (conformisme, domination, originalité, négligence), tout en dépendant partiellement de mes moyens: tout le monde ne peut se payer une chemise blanche impeccable chaque matin.

Qui séduit l'autre?

Qui a besoin de qui? J'ai envie de créer. Mais les autres aussi. Moi-même, ou d'autres, ont créé dans l'hypermonde des objets qui recherchent le dialogue, qui font tout pour retenir l'intérêt, l'attention des utilisateurs, des gens qui passent. C'est l'intérêt réciproque de deux partenaires. L'hypermonde a besoin de moi et réciproquement.

Les automates aussi, font effort de séduction sur les humains. Certains distributeurs de sucreries pour les enfants, qui font une petite musique et quelques mouvements rudimentaires pour attirer leur attention sur les trottoirs des stations balnéaires, par exemple.

Mais tous les automates de vente, qu'il s'agisse des boites matérielles pour la biletterie ou des serveurs télématiques sont conçus pour séduire et retenir l'acheteur.

Ainsi, entre la machine et l'homme, entre l'hypermonde et l'homme, c'est tout un jeu de relations passionnelles, c'est tout le jeu psychanalytique qui s'établit, qui s'enrichit au fil des ans.

L'hypermonde reconduit les relations passionnelles du sculpteur à sa statue, de l'ingénieur à ses machines, avec les variantes drolatiques de la passion pour le train électrique, sans parler du micro-ordinateur, ce faiseur de divorces. Ou, sur le mode passif, la télévision ventouse.

Alors, quand l'hypermonde se sera peuplé de lieux passionnants, de créatures correspondant à tous les rêves, il faudra certainement des efforts pour s'en arracher, pour prendre la bonne distance. Rien de neuf sur le fond, mais dans d'autres dimensions.

Du travail au rôle

Et puis, radicalement, il y a le besoin fondamental pour moi de communiquer avec toi, l'humain, mon semblable. Radicalement pas une machine, ni un animal d'ailleurs. C'est la longue quête d'Adam avant la création d'Eve, et finalement son cri de joie, pathétique dans la primitivité du vieux texte biblique: "Tu est l'os de mes os et la chair de ma chair". Il est vrai que ce besoin est repoussé, en partie marginalisé: tu préfères souvent une image artificielle, lisse et parfaite, aux imperfections de ma peau couperosée, aux rudesses imprévisibles de mon caractère. Voire la poupée gonflable à microprocesseur à mon ventre réel, qui n'est pas le simple miroir de ton désir, la simple réplique de ton sexe.

Mais nous ne sommes des humains, toi et moi, que si nous nous aimons, dans notre réalité. Toi et moi. Un pour un. Cela n'est ni automatisable, ni industrialisable par séries. Et pourtant, hors la sphère intime, c'est une sphère essentielle de travail.

Il va donc falloir définir des rôles, monter des lieux et des scénarios, organiser les relations entre les objets artificiels de l'hypermonde et le monde réel, et surtout avec ces objets centraux que nous sommes, nous les humains.

...

La pression autour de mon espace

Comment je la sens?

Toutes les fois que je perce un trou, ça gicle pex. messages arrivés: sature tout l'écran

Solutions:

A. Percer un trou

- je perce un tout petit trou pour avoir un débit compatible avec ma charge mentale, la surface de mes interfaces

mais cette solution est aléatoire: ce qui va sortir, c'est c qui est à proximité du trou au moment où je le perce -percer le trou au bon endroit

cele suppose que j'ai de l'information sur le monde extérieur.

- ranger d'abord le monde extérieur avant de percer. cela suppose que j'ai non seulement de l'information, mais aussi des moyens d'action sur cet environnemnet

B.Filtrer

processus de sélection

notion de critère, cas multiples

par réaction: stratégie des vendeurs qui connaissent mes filtres

chercher une bonne solution: efficace, négociée par exemple: je publie mon filtre je fais un appel d'offres explicite

idée sous-jacente: je veux éliminer ou réduire:

-l'aléa de ma sélection, je veux être sûr d'avoir le meilleur

- la lutte choquante, inutile, à mes frontière, et le fait que j'aurai ce que veut me vendre le plus gort, qui n'st pas forcément le mieux intentionné

Dans l'hypermonde, la limite de puissance se traduit:

-qualité d'image, son, couleur

-incohérence, bordel ambiant

-overdose par manque de filtres, de moyens de synthèse

-délais

-manque de réalisme/manque de créativité

=FACILITE

it will become more easy to express one's idea with systems using computer than those which have not

...

=LIVRE le seuil est autour de 70 80 feuilets

la plupart des gens calent vers 30 feuillets

Après 80 feuillets on est sûr d'arriver au bout

(dit par Friedman, du CPJ)