La quantité de matière nécessaire au stockage d'une quantité donnée d'informtion se réduit régulièrement. et actuellement la vitesse de cette
réduction est donnée par la loi dite de Moore: division par 2 tous les deux ans.
Cela se traduit sur les masses, les volumes, mais aussi sur les énergies consommées.
A un moment donné de l'histoire, la technologie définit cette quantité/
Le temps nécessaire pour générer une information ou y accéder se réduit constamment. En revanche la vitesse de transmission a une limite basse, la vitesse
de la lumière.
De cette loi et du minimum spatial défini par la
technologie, on peut déduire des temps minimaux à
partir du simple nombre d'informations mises en jeu et
de l'espace nécessiare à les stocker.
Le prix de l'information, à quantité et qualité équivalente, baisse dans les mêmes proportions.
C'est vrai notamment pour la duplication et la transmission de l'information, de sa conservation.
Elle devient donc particulièrement sûre "éternelle", puisuq'on peut générer autant de
redondance qu'on veut pour éviter sa destruction.
En même temps, elle est souvent très fugitive, car on en génère beaucoup pour des énévements peu importants. Tout ce qui se passe dans un calculateur chqaue fois quon appuie sur une touche du clavier!
L'information se détache de la valeur économique.
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mais aussi des valeurs économiques et morales: plus on a d'information, plus elle est "neutre"
L'information se digitalise, de manière de plus en plus universelle et de plus en plus profonde.
se formalise
plus apparent pour l'utilisateur, car on a assez de bits pour être en dessous des seuils de résolution.
on retrouve donc les charmes de l'analogique
La quantité d'information se mesure en bits.
Globalement, la croissance de la quantité
d'information totale existante dans le monde obéit à
une loi au moins exponentielle, poussée par différents
facteurs.
La montée de l'information se traduit en montée
des automatismes. La liaison est profonde.
RELATIONS DE L'INFORMATION PARFAITE AVEC LE
CONCRET
31. Si une information parfaite est déterminée par
un objet ou un processus quelconque (qui peut être une
autre information parfaite), sans modifier ni perturber
aucunement cet objet ou ce processus, elle est dite
information SUR cet objet ou ce processus, ou encore
représentation de cet objet ou de ce processus.
Il n'existe pas d'information parfaite, et toute
représentation perturbe toujours peu ou prou ce qu'elle
représente. On peut proposer ici une définition
générale de l'information comme représentation :
32. Une information est un objet ou un processus
qui est déterminé par un autre objet ou processus sans
le perturber ni le modifier de manière sensible.
Cette définition n'est sans doute pas totalement
satisfaisante, mais convient dans certains domaines
déterminés. Le "sensiblement" correspond au seuil de
tolérance admis dans la définition de l'objet ou le
fonctionnement normal. Cela reste, au départ, quelque
peu subjectif. Fonctionnement normal pour qui ? Mais
une modélisation quantitative de cette définition
devrait être possible.
Ces définitinos introduisent une dissymétrie entre
le déterminant et le déterminé, reprenant l'opposition
classique entre signifiant et signifié, entre
représentation et représenté, carte et territoire, etc.
33. L'information prend une valeur par la
possibilité qu'elle a d'influer sur le monde réel. Il y
a donc influence réciproque entre l'information et le
monde réel. D'une part l'information est (par
définition) déterminée par ce qu'elle représente,
d'autre part, si elle a une valeur, c'est qu'elle peut
influer sur le monde réel, c'est à dire matériel,
énergétique,etc.
41.16 Extension infinie. Normalisation, composants électroniques en millions d'exemplaires,
industrialisation, millions sinon milliards d'une même image diffusion dans le monde entier.
Valeur du bit par sa position. Exemple : dans une base de données, la signification d'un bit sur une pile de disques n'est donnée que par sa position, sur tel
secteur de tel piste, et dans la structure
fonctionnelle de la base.
41.26 Fusion des concepts d'opérateurs et
d'opérande. Dans les processus à forte charge de
matière et d'énergie, on note une forte disproportion
entre les opérateurs et les opérandes : rien de commun
entre une vanne et le liquide qu'elle contrôle, entre
le composant et le signal. La différence est encore
sensible, quoique moins brutale, dans un relai de
puissance : l'écart est sensible enter le courant de
commande et le courant contrôlé, mais il s'agit de
courant dans les deux cas. Mais, si le relai est
utilisé à des fins logiques, les deux courants seront
de même niveau. Ainsi,les processus informationnels,
surtout quand ils sont digitalisés, on fait faire un
saut fondamental. C'est avec Von Neumann que l'on en a
pris conscience : programmes (opérateurs) et données
(opérances) sont fournis à la machine par les mêmes
canaux, sur les mêmes types de supports. Et, avec
l'intelligence artificielle, la différence entre
données et programmes s'estompe : dans la base de
connaissances, on peut certes distinguer des règles et
des faits, mais ce n'est souvent qu'une commodité plus
pédagogique qu'autre chose.
Liens entre les lois
Les lois 21 à 25 font intervenir d'autres concepts
(digitalisation, signification). On devrait pouvoir
montre qu'elles sont fondamentalement liées aux
précédentes. Notons en tous cas que:
- la miniaturisation et ses conséquences passent
par la digitalisation;
- pour être décomposable jusqu'au bit, et
composable sans pertes ni gains, l'information parfaite
ne doit pas être encombrée de la matière, avec son
grain, sa loi des défauts de masse, son bruit, ses
contraintes d'assemblage mécanique, etc.;
- que la signification ne peut se ramener à cette
transparence et à cette additivité si l'on reste dans
un univers de valorisation plus ou moins subjective;
- que la position d'un bit doit être ramenée à une
structure purement abstraite, sinon on se perd dans le
jeu de contextes plus ou moins flous.
42.6 Les relations opérateurs/opérandes
(propositions 26 et 27) et leur confusion au plan de
l'information parfaite sont liées à leur
digitalisation, mais aussi assez directement à
l'annulation des inerties matérielles, des délais. Pour
être quivalemment processeur ou donnée, une information
doit être légère, et un opérateur doit devenir "soft"
pour passer en machine par les mêmes canaux que les
données.
7. RIEN DE PLUS FORT QUE LA PERFECTION
51. Plus l'information est parfaite (autrement
dit, moins elle est chargée de matière/énergie, plus
elle correspond aux lois énumérées ici...) et plus son
couplage avec le monde concret est générateur d'effets
énergétiques importants.
ou, dynamiquement:
52. Tout pas significatif vers une information
plus parfaite s'accompagne d'effets énergétiques
importants, aussi bien sur le plan "technique" (Nasa)
et économique que sur le plan moral.
56. L'information parfaite n'est pas l'esprit.
...
=AUTONOMY
Autonomous objects of Moravec.
A better track than physical robots:
microstrategies
viruses
Max on telematics
calling on people in Dial
ant trying to keep them in dialog
a sort or practical Turing test
=AUTRE
Chez l'autre, je postule ou non du transcendantal
si non: je considére que c'est une machine,
je rentre dans une logique d'effets
si oui: j'admets une certaine perte au profit d'un infini.
problème, toujours: à partir de quel moment le hasard, preuve de l'indépendance, commence à "faire sens", à témoigner d'une rélaité autre cohérente.
ce point est central. chaos.
-invariant dans le temps
-répétition dans l'espace (ou simple capacité de réduction
par une relation d'équivalence autre que "ca m'est égal"
=Confiance
- pas nécessairement symétrique
- j'accepte une réduction de la distance
- familiarité, la sphère intime
- réduire la distance, c'est accepter une prise de
risque
=Bit
Volume occupé.
Temps transmission sur canal
Bit pur à la Oswald/bits nets
le bit début d'une adresse
=Canal
Débit
Affaiblissemnet/bruit/disponibilité
Longueur kilométrique
Longueur en distance binaire entre
émetteur/récepteur
Si canal matériel: capacité, temps de parcours
(péniche, camion, jet)
=Emetteur
Débit d'émission
Bande passante
Fréquence(s) d'émission
Fiabilité/bruit/disponibilité
Ou aussi: couche émettrice, couche réceptrice
(voir notes sur le facteur de forme), ou points
d'émission réception
Le fonctionnel émerge par le téléologique. Relation avec le
sens. De même qu'avec l'écart. La conscience monte avec le mal.
Ils reconnurent qu'ils étaient nus. Apparition progerssive (mais
avec des seuils, des "conversions") du téléologique,d
el'affinement.
Rechercher connexion entre différents types d'atomes. Les
particules matérielles (dont certaines sont aussi fortement
informationnelles, notamment le photon), et les "sèmes",
psychèmes et autres. Mais tant qu'on ne quantifie pas, on
n'arrive à rien. Lussato aurait du aller plus loin.
Caractère "anecdotique d'un bit, d'un code, d'un Azerty.
Retour au concept d'esprit ?
pas satisfaisant de se retrouver "matérialiste"
l'esprit comme point de concentration de rayonnements
ces points peuvent coincider avec la matière, avec des points forts de la matière. en ce cas, ils en sont l'âme. Ces lieux où souffle l'esprit
le concept thomiste de forme alors très mauvais, crée
confusion complète. Eccles meilleur.
mais aussi points d'esprit qui ne coincident avec aucune
matière. ange. pur esprit. l'âme en attendant la résurrection
idée qu'on trouve l'esprit en renonçant à la matière.
cepdnat, la "dématérialisation des titres" n'a rien à voir avec
une spiritualisation.
Ecart. Peut-être tout viendrait du fait que le bit diffère
de e. N'est donc pas l'optimum informationnel.
Avoir plusiseurs écarts: écart fort (Log 2 par rapport à e),
écart faible (les milliards de neurones).
Ecart. Une certaine probabilité d'erreur, d'écart. Quand on
augmente le nombre d'éléments de l'ensemble, la probabilité
atteint la taille d'un élément. Miller suggère 1/7 plus ou moins
2, qui irait assez bien avec l'octet.
Un écart suffisant conduirait à la mort (ou aussi bien, à la
naissance). Aux bons attracteurs?
Ecart. Le miracle symétrique du péché. D'un côté apparaît un
écart, entre le modèle et le réel, une certaine probabilité,
principe d'incertitude, qui peu à peu m'écarte. Le presque
certain, le petit manque véniel, le gap qui s'élargit en péché
mortel. A l'autre extrême, le très improbable, le miracle.
Quantifier, mesurer l'écart. Combien faut-il de bits pour
que l'on puisse parler d'erreur? Se référer aux codes
correcteurs? Distance. Le delta cybernetique
Les lois basiques de la rationalité limitée: vitesse de la
lumière non infinie, incertitudes de Heisenberg, 7 de Miller,
Gödel. Théories de la fiabilité.
Esprit. Je cherche son émergence de la matière par le
quantitatif. L'écart, c'est la chance de l'esprit. C'est dans le
péché que je peux me retrouver sauvé. Quantifier l'écart! Après
tout, dans la Genèse, le péché n'apparaît qu'avec l'homme, tout
au terme de l'énorme montée quantitative des premiers jours. Dans
le repos de Dieu.
Il y a l'esprit éventuelle puissance extérieure au big bang,
et l'esprit qui naît au sein même du big bang, de ses lois mêmes;
On pourrait presque dire esprit créé et incréé.
Le sens naît d'une certaine manière, de l'écart, de la
faute, de l'erreur. Notamment de la reconnaissance qu el'on n'est
pas l'autre, que l'on n'est pas Dieu.
Le sens apparaît par une convergence de l'écart et du
miracle.
-Par l'écart apparaît le téléonomique, le but, qui abîtme
lentité mais aussi lui donne immédiatement le sens de "restaurer
sa plénitude". On encore, rejoingant une approche en L, Hegel:
"Le déterminé n'a, comme tel, pas d'autre essence que cette
inquiétude absolue de ne pas être ce qu'il est". (Logique et
métaphysique).
-Par le miracle, qui fait intervenir le causal. Dieu
intervient dans le monde.
La convergence typique est celle du salut: Dieu sauve
l'homme pêcheur et donne ainsi un sens à sa vie: la maximisation
de L, c'est de dire oui à Dieu. Mais comme Dieu n'est pas
normalement accessible directement, on dit oui, on renonce à tout
pour dire oui à ce qui le représente: Loi, Evangile, Eglise,
Secte, Leitmotiv, Idéologie, Petit père des peuples.
Question clé: à quel moment les deux se rencontrent. Comment
modéliser ?
Dans les systèmes élementaires, l'écart relève de la
fiabilité mesurée par la non correspondance aux besoins d'un
utilisateur externe qui a spécifié des fonctions. Et la solution
est aussi externe: on répare.
Avec la cybernétique, les systèmesa auto-adaptatifs, le
système peut utiliser l'écart pour corriger son action.
Quand le système monte, il y a internalisation progressive
de la mesure de l'écart et des moyens de le réduire.
Le sens ne va apparaître que quand il y a une représentation
"consciente" (?) aussi bien de l'écart que des olutions
possibles. Une modélisation globale de l'ensemble.
Aller plus loin que la cybernétique.
Le véritable désordre, c'est qu'il y a des cas où la
perception de l'écart est douloureuse alors même qu'on n'y peut
rien.
La téléologie apparaît comme un écart entre l'objectif et le
réel. Un décollement entre la montée des bits et la réalité.
Un écart sur la capacité de survie. Entre L et la
néguentropie en nombre de bits, par exemple.
Mais la survie ne dépend pas seulement de lois internes,
mais aussi de l'environnemnet.
Phénomène quantitatif: l'objet devient assez complexe pour
qu'on puisse mesurer une espérance de vie, par rappor à quoi la
mort à quelque chose de choquant, une forme déchec.
Combien faut-il de bits pour qu'on puisse détecter,
déteriner une anomalie, un mal. Et combien pour la conscience?
Téléologie externe: un animal organise son enfironnement, le
nettoie de ses ennemis.
L peut aisément fournir une téléologie externe. C'eest plus
compliqué avec le sens (ou en faire une déduction de L)
Passage au virtuel
Pendant longtemps, le seul virtuel est celui du cerveau
humain (avec annonces chez l'animal).
Avec topologies induites:
- maison villa ville
- biens matériels
puis topologies au sein du virtuel.
Humanité
Se caractérise par refus de l'exlusion, refus des lois du
biologique. Déjà premeirs éléments chez les mammifères supérieurs
(baleines, éléphants)
Promotion de contre-pouvoirs
Rôle de l'humanité avec le core: image du centre Teilhard de
BW. le core est le tronc, les hommes osnt dans la fleur. le reste
de la nature est propre
Autre image: les hommes comme les neurones, principalemnet
dans le téléncéphale. le milieu du cerveau, c'est le réseau
Tous ces petits vaillages français sont moches. casser le
tout et refaire du bon béton soigné. faire réapparaître la
pelourese? ne regrettons cette paysannerie qui a mité la planète.
Vive Gengis Khan
...
Hasard et nécessité: oui comme mode de description. Non si
on lui demande un fondemnt général
...
peinture et musique n'ont pas de modèle derrière
cependant: musique de exéuction à partion
peinture :type, allégorie
et pour tous les arts, reproduction donc original et modèle.
modèle, type, original, collection
relation d'équivalence