Genocide is the crime of killing many people who are all part of one ethnic or religious group, or some sort of similar group, and trying to destroy that group.
Un génocide est l'extermination physique, intentionnelle, systématique et programmée d'une population ou d'une partie d'une population en raison de ses origines ethniques, religieuses ou sociales1.
Genocide will generally use a word to define the group to be exterminated.
At a given moment, somebody can choose
- to streenghten the bonds inside a "people", by legal dispositions, education, meetings, research on origins, literature and mythology, national anthem.. religion, genetic control.
- to augment its differenciation with borders, linguistic regulation
Or the contrary, yon can lower the barriers, increase the feeling of wider, or worldwide citizenship.
Perception of ethnic difference and appreciation can be srongly influenced by the environment. I spent my military service in Congo, and could feel that in depth. For example, by the end of my stay in Africa,I was beginning to consider white faces as less normal and pleasant than African ones.
Je pense que le terme “peuple” est un des plus pervers qui soit.
Je laisse de côté les connotations “populaires”.
Pour moi, il n’y a qu’un seul peuple qui compte, c’est l’humanité entière. Qui, très probablement, provient d’une seule souche (encore que, les Néanderthaliens et les Cro-Magnon…).
Toutes les autres subdivisions de l’espèce humaine sont dues
- soit à des situations d’isolement géogrraphique qui ont renforcé par consanguinité le patrimoine généatique des origines
- soit à des décisions artificielles correspondant à des intérêts politiques, pas forcément malsains d’ailleurs.
C’est particulièrement évident pour le peuple américain et le peuple juif, ce qui explique je pense en partie le soutien constant des USA à Israël
C’est clair aussi pour les Bretons, le “peuple de l’Hexagone” (je t’emprunte l’expression), le peuple allemand ou les Bacongo, le peuple russe (ou le peuple slave ?) les arabes, etc.
Dans tous les cas, les “peuples” se constituent par l’endogamie, la constitution de langues particulières, de religions ou sous-religions, de régimes politiques.
Dans tous les peuples se manifestent des tensions entre sous-populations
- les douze tribus d’Israël, les sépharades et ashkenazes (je ne suis pas sûr de l’orthographe), sans parler des sabras ou des falachas
- Wasp, latinos, noirs, asiatiques, aux USA
- dans l’antiquité, les cités grecques
etc.
Depuis toujours jusqu’à 1648 (traité de Westphalie), quand les peuples sont dynamiques, ils tendent à l’expansion géographique, avec des formes variées d’impérialisme, depuis les régimes pluralistes d’Alexandre ou des Turcs, combinés avec l’esclavage de certains peuples inférieurs (nègres, barbares, ilotes…), impérialisme amércain avec la Manfeste Destiny, etc.
A partir de 1648, on fonde une sorte de renoncement à l’unité. Cujus regio, ejus religio, fondant un principe de “non ingérence”.
On essaye de transposer le modèle aui Moyen-0rient (accprds Spike-Pico, ou qiequie chose comme ça) et en Afrique avec les grands partages de 1885, et en Europe après 1914.
Mais ça ne marche pas tellement bien, comme on le voit en 14 et en 40… et en ce moment, du Kosovo à l’Ukraine et à l’Etat Islamique
Tant qu’on en restera là, on débouchera nécessairement sur des guerres. Mais ce n’est pas désespéré. Malgré ses limites, carences et blocages, l’ONU est toujours là, et un certain nombre de structures de concertation (G8, G20, ONG) se sont mises en place. Certaines religions (le pape François en ce moment) essayent de recoller les morceaux. Et les réseaux sociaux forment d'autres sortes de “peuples” (comme la LMPT ou la LBGT).
Donc, ne désespérons pas. Peut-être même peut on faire encore quelque chose avec le mot “peuple”. Mais ce ne sera pas facile. De même qu’il sera très difficile à l’Islam de faire une relecture et une réinterprétation critique et humaniste du Coran.
Ne désespérons pas.