Toshiba

Mes folles amours avec un portatif

(vers 1990)

Etait-ce bien raisonnable? Sur un budget familial, un investissement de l'ordre de 15000 F donne toujours à réfléchir. J'aurais pu choisir une plus belle voiture, ou des vacances au soleil. Mais voilà: depuis au moins deux ans j'attendais que le micro portatif franchisse les seuils qui le rendraient efficace pour mes activités. Le Toshiba 1000 LE était le premier à présenter la combinaison performances/prix requise.

D'abord un poids raisonnable: trois kilos. Encore un peu beaucoup si l'on veut l'avoir en permanence avec soi, autrement dit pendu à l'épaule au cours de tout déplacement pied. Pour le salut de mes vertèbres, un sac à dos serait préférable, mais pas très compatible avec le look d'un col blanc de 53 ans.

Ensuite un véritable écran. 30 lignes de 80 caractères, à cristaux liquides éclairés par le côté, voilà qui suffit à une utilisation prolongée sur des applications bureautiques traditionnelles: traitement de texte principalement. Je le trouve tout de même un peu fatigant pour les yeux, un peu trop lumineux en ambiance sombre (et on ne peut pas descendre beaucoup la luminosité).

Un vrai clavier, bien sûr. Pas question d'écrire des articles ou de préparer des conférences sur une calculette. Le 1000 LE, comme tout portatif, n'a pas la diversité des claviers et des touches annexes d'un PC classique, avec son bloc curseur et son bloc numérique. A l'expérience, et pour des applications surtout textuelles, on s'en passe. Une seule contrainte s'avère agaçante, même après plusieurs semaines d'usage intensif, l'emploi de la touche Fn et des touches P et M pour obtenir le "plus gris" et le "moins gris" des PC de table. Car il faut y mettre les deux mains, ce qui n'est pas naturel dès qu'on est sorti des fonctions de frappe textuelle.

Enfin, la capacité des différentes mémoires atteint le minimum requis pour élaborer un véritable système d'information personnel. 20 millions d'octets sur disque, cela me laissait une marge asez confortable par rapport aux quelque cinq millions d'octets que j'avais engrangé jusqu'ici sur différentes machines.

Ce n'est pas le Pérou. Assez vite, le regroupement des données et l'adjoncdtion de quelques logiciels a fait monter la capaicté occupée à plus de dix millions d'octets. Les logiciels sont vite gourmands. Et encore, je n'ai pas l'intentiion de charger de jeux complexes.

De son côté (c'est le cas de le dire car on y accède par le flanc droit), la disquette 3,5 pouces apporte un bon média de liaison avec les autres PC. (Pour l'instant, je n'ai pas l'intention d'installer un modem).

Ces minima étant atteints, j'étais donc prêt à faire le saut. Je prends l'avis de deux experts: Pierre Iticsohn, responsable inforamique de mon entreprise (IDG Communication) et de François-Yves Legal, chef de la rubrique micro. Ils m'ont confirmé que le 1000LE était, au moment de ma décision (décembre 1990), le meilleur choix. Avis d'autant plus convaincants qu'ils e sont pas toujours d'accord. MI du 1/4/91. L'immonde page II

(*92:a fini par ne plus se tordre. pas de panne après 18 mois. Parfois disquette sun peu plus difficile sà relire. J'écris ceci de Houlgate)

(*97: en 1996, j'ai vendu le Tosh pour rien en brocante. la disquette ne marchait plus, toutle reste allait bien, j'avais racheté une nouvelle pile. Mais je ne pouvais plus faire de Windows, devenu indispensable).

compatible PC

...

Portatif. inversion d'activités.

Le temps du déplacemnet devient celui de la fermeture, pendant que le temps sédentaire est celui de la communication en voyage- je corrige l'orgthogrque, je prefectionne mes texte

- je range mes segments de notes

- je suis privé de lignes de cpù

- je pri

- j'évite d'emporter du papier et même des livres

- je suis engoncé dans un siège d'avion ou de TGV

- je dois me concentrer sur la conduite de le voiture

- le paysage n'a aucun intérêt: ciel dans l'qvion,

parcours monotone et pue qnima du TGV ou de l'autoroute, des gares, aéroports et voies express de banlieue

ay gureau: je lis ma messagerie, je réponds et j'envoie

,e lis mon courrier

je participe aux réunions et discute avec les copaints

- salles de téléréunion

- j'ai une bonne télé avec un bon écran mon câble, etc.

pb. de convenance social du micro en réunio

pb de lattitude d'ET

Je pourrais faire pour LMI un article racontant aventure et mésaventures

contrainte sociale

la panne

piratage des logiciels (aventure avec Word)

agréable surprise du resume (compter le secondes)

mon rêve avant

la réunion de mes deux SI

pb de connexion

dans SVM, un artccle sur "un journatliste utilsie le TDT"

réaction des autre

ils me voient surtout "toujours avec mon micro" lineterprétation psy de Rosé dans l'Hupermon

Portatifs

tout change

Avant, la recherche d'une information est liée à un moubment spatial du bras sur le breau, dans les aromoires, et le cas échénat à un déplacment dans le bureau, vers un autre bureau

avec le portatif, au contraire, qui est petit, la recherche se traduit vers une concentration, vers un recentreemnt vers ce petit espace clavier/écran et

données à l'intérieur

pronfonde moficiation sensori-motrice, réflexes

pas chercher autour, chercher dedans

chercher le path

limites: un peu attention les yeux, en partie du fait que l'écran et le clavier sont solidaire, et qu'il

y a donc en pratique une distance constante de l'oeil à l'écran plat. Ce sera plus souple dans un HM 3D.

position trop fixe du fait de la liaison

écran/clavier

fascination: dans cette satanée machine, il y a toujours à faire, des choses à ranger. des choses à apprendre

et encore, je n'ai pas mi de jeux

ni de télécoms avec des messages à répondre

le vieux PC avec son énorme armoire, ses grosses diquettes (et même les idquetes tout court,= ) apparaissent comme monstrueuses

intégration. intégrer les données au sein du S.

phases alternatives de capture/saisie et d'intégation

mais quand j'apprends, aussi, j'intègre, je m'ingère à la machine, je l'intègre à moi

Autre inversion: quand je veux vraiment "travailler", je ne reste surtout pas à mon bureau! Par exemple pour écrire un article. quote le type d'Hypercard.

que construire: un sysème d'infomtion. va au delà a cause des jeux. (plus problémaique de l'hypermonde nouménal)

attitude des autres, papier de Rosé dans l'immonde

-il est vrai que petit, on le porte, small is beautiful (je ne l'ai tout de même pas surnommé, sinon "mon Tosh".

-Turckle

-objet actif qui se développe, compagnon

- amour, volonté de promotion, volonté de communion

-parfois image en partie voulue "je lui offre un scrabble"

pourra aller beaucoup plus loin dans l'avenir quand effectivement le micro aura une certaine autonomie de développement, par exemple en étant conecté nmode auonome sur les réseaux, chargera progressicemnt ddes fichiers à partir de filtres appropriés, y compris des fichiers de pointsures sur d'auters serveurs ou d'auter micro analogues, autrement dit enrichira son réseau de relatino

plus le jeu pour l'auto-calibrage (The future makers à propos des robots de Carnegie Mellon))

plus justemnet des caméras pour fair lui-même de la vision

Banatre: assimiler concepts d'objets et de processus. autonomie

avenir:

-légèreté

-com

-plus grande capacité

-puis image, scanner. tel quel, hypertrophie du texte aux dépens de l'image

-Penpoint

pcq plus naturel, etc.

difficultés: première panne

embêtements avec disquettes de 2 formats pb d'imprimante il se tord