Essai d'une première synthèse. Sans doute vers 1963

    

Le réseau général d'informatique

    
Il est probable que le coût très élevé en temps comme en main d'œuvre de l'alimentation en information des ordinateurs comme de l'exploitation des résultats obtenus conduira à une organisation fonctionnelle des circuits de transmission. Le moyen essentiel, l'interconnexion des machines. D'abord limitée en raison de la faible "densité" des calculateurs (de leur nombre par rapport à celui des individus ou des entreprises), elle se développera rapidement quand le prix de revient aura suffisamment baissé. Les frais d'exploitation diminueront d'autant, une réaction en chaîne (note: point critique, niveau critique) la mise en place d'un réseau général d'information entièrement connecté. Toutes les machines, tous les robots construits à partir de ce moment seront rattachés à ce réseau. La miniaturisation, les faibles prix de revient leur donnant des applications extrêmement variées, la densité croîtra, atteindra une de ses limites quand tous les circuits d'information lui auront été reliés.
    
Au cours de ce mouvement, se sera posé un problème de base: la structure du réseau. Le coût des mémoires et es câbles métalliques ou hertziens de transmission à longue distance, l'encombrement des banques de fréquence conduire, la recherche opérationnelle aidant, à la constitution d'un filet organique, qui rappellera sans doute le système nerveux.
    
A l'image de celui-ci, les informations partiront des divers capteurs ou organes d'introduction, seront regroupées à divers niveau (note postérieure: si le réseau est centralisée, ce qui est peut-être un anthropomorphisme, mais il pourrait y avoir "des" centres) et, finalement, centralisées dans ce qui sera le "cerveau" de notre univers.
     
Mais ici apparaît la limite de l'analogie. Dans le corps humain, il y a un seul cerveau parce qu'il y a et tout le reste peut lui être omis parce qu'il y aune seule personne.  L'univers est composé de milliards de personnes, qui ne doivent  pas, meêm si cela est tenant, être réduites à des cellules ne vivant qu'en fonction de l'ensemble.
    
Chacune de ces personnes a droit à être informée. Non pas de toute, certes. Notre cerveau lui-même est fini, mais de tout ce qui peut avoir un intérêt pour elle, dans certaines limites.
    
Il faudra donc prévoir à divers niveaux des "sorties" adéquates.
    
La logique semble pousser à les placer aux niveaux même des relais d'entrée, ces relais correspondant aux divers centres actuels de centralisation de l'information: à la base l'individu, son domicile, l'entreprise, les organes administratifs ou techniques régionaux, nationaux, internationaux.
    
Ces divers centres comprendront donc, outre leur liaison organique avec les relais inférieurs et supérieurs, des organes d'accès dont les modalités d'emploi seront à fixer suivant des normes relevant de la technique comme de la morale.
    
(Phrase rayée sur le manuscrit: Ces voies d'accès, bien entendu, ne serviront pas seulement à l'entré et à la sortie, à la circulation des données, mais aussi à la programmation du réseau, en effet, chaque relais comprendra en outre ses mémoires).
    
Le réseau ne pourra pas être un simple enregistreur passif d'informations, un simple ensemble de mémoires connectées.
    
D'abord, cela serait très coûteux, puisqu'il faudrait envoyer toutes les informations à la mémoire centrale et les y rechercher ensuite. Gaspillage. Il faut donc à chaque niveau effectuer un certain filtrage, permettant de ne communiquer aux échelons supérieurs que l'essentiel, à charge de ceux-ci de demander des compléments si besoin est.
    
Cette simple question de filtrage est suffisamment complexe en elle-même, si elle porte sur des informations de types variés, pour que les relais, dès un certain niveau, comportent des fonctions logiques puissantes. Il y aura par conséquent intérêt à utiliser ces fonctions logiques au maximum, en exécutant à un niveau donné tous les traitements dont il est capable ou qui l'intéressent seul.
    
Tout ceci suppose une programmation d'ensemble, et des programmeurs particuliers. Qui doit établir ces programmes? Chaque relais étant constitué au niveau des divers groupes humains actuels, c'est aux autorités de chaque groupe de programmer le relais qui lui est attaché, en respectant des impératifs ana loque aux diverses lois et réglementations actuellement en vigueur. Il faut en particulier définir quelle information doit être fournie, par qui et pour qui.
    
On éviterait les dangers d'un totalitarisme de type Big Brother en respectant le principe de subsidiarité dans le cadre d'une organisation souple et universelle.

Le travail

    
Il est bien évident que les robots "actifs" sont tous reliés au réseau général. Chacun d'eux constitue un niveau de relais essentiel, chaque entreprise ensuite. Parallèlement, mais bien entendu avec son autonomie propre, l'homme ne peut travailler sans être en relation avec lui.
    
Au réseau d'information vient donc se joindre un réseau de "commande" donannt des ordres au sens strict aux robots, des directives plus ou moins sstrictes aux hommes au travail (Ces directives émanant non pas nécessairemnet de la machine, mais des supérieurs, utilisatn plus ou moins largemnt le réseau comme moyen de communiquer leurs ordres).
    
Le contrôle des programmes d'action par l'homme est capital, cela va dans dire, et au fur et à mesure du rattachement des effecteurs les plus puissants au réseau général, il faudra s'entourer de précautions multiples, quelque soit le prix pour rendre la perte de contrôle pratiquemnt impossible. (L'impossibilité absolue n'existera jamais, et n'a d'ailleurs jamais existé: depuis le jour où l'homme utilise un marteau, il lui arrive de se taper sur les doigts, et ce n'est pour cela que l'on n'utiliser plus de marteaux. Quant à l'automobile...).
         
L'état de la technique rend jusqu'ici impossible la construction d'un automate ressemblant réellemnet à un homme. La complexité des seuls mécanismes de la station verticale et lamarche nous condamne à ces lourds simulacres que la fantaisie fait apparaître de temps à autre.

Et pourtant l'ordinateur ne peut conquérir son autonomie que se débarassant de son impotence. Qu'il ait belle allure est secondaire. Mais il faut qu'il puisse aller voir le monde.
(note 10/92: ce point de l'autonomie physique perd de son importance avec l'hypermonde).

       
    
...pour une certaine recherche ou qu'elle "s'intéresse" à telle branche scientifique.

Cette notion d'intérêt appraît superficielle, et surtout déplacée quand on parle de machines. Cependant, il est possible de la simuler. Les intérêt réels de la machine existant déjà actuellemnet sont sa propre conservation et son efficacité. Ce sont jusqu'à présent essentiellemnet les opérateurs (note 1992:
le personne d'exploitation des salles machine) qui se chargent tant de la conservation de la machine que de son efficacité.
    
Il pourrait en être autrement dans l'avenir. L'ordinateur peut être doté de moyens efficaces de contrôle de son état de santé (thermomètres décelant des échauffements, voltmètres pour les surtensions, etc.). Sa seule réaction possible est en général l'arrêt. Des appareils plus élaborés fournissent aux opérateurs quelques précisions sur l'origine de la panne. On disposent de
plusieurs circuits parallèles votant à la majorité. On ira sans doute beaucoup plus loin. Les machines puissantes que nous apportera l'avenir pourront mettre hors circuit des fonctions défaillantes et faire exécuter leur travail par d'autres, modifiant leur programme en conséquence. Bref, l'instinct de conservation sera développé simultanément aux réflexes de protection.
    
Quant à l'efficacité, les machines pourront par exemple comparer divers programmds pour choisir le plus rapide, ou répartir judicieusement leur temps et leurs fonctions entre plusieurs travaux demandés en même temps. Si les travaux demandés en à exécuter en temprs réel et dépendent de nombreux capteurs, il y aura lieu de décider si telle information doit être traitée
immédiatement ou mise en attente.
    
(Note rayée: on voit évidemment que cette liberté reste pasablemnt restreinte).
    
On peut facilemnet concevoir des appareils dotés d'un degré d'autonomie supéreiure, et l'on en constuira sans doute dan sl'avenir bien que, évidemment, l'homme cherch eplutôt à s'assurer de bons et fidèles serviteurs que des engins dont le contraôle lui échapperait.
    
Il paraît donc assez clair que les ordinateurs que l'on construira...     

La conquête de l'autonomie

    

1/. L'autonomie logique

    

Grandir, c'est conquérir son autonomie. Et c'est que ce que l'on refuser très généralement à la machine. Il ne sort de toi que ce que l'on y a mis, voilà ce qu'on ne cesse de lui répéter.
    
Pourtant, par le seul fait qu'elle fait subir à l'information un certain teraitemnt, son produit est quand même différent de sa matière première.
    
De plus, la machine se trompe, et les résultats diffèrent de ce qu'on attend. Manière primaire de dire non, mais manifestation d'indépendance tout de même.
    
Allons plus loin: comment pourrais-je faire quelque chose de nouveau, dit l'ordinateur, si mon rôle se réduit à traiter des  poblèmes tout mâches, et avec des moyens d'inforamtion ntièrement définis. si je pouvais un peu me renseigner sur oi-même! ET c'est bien ce que l'on peut faire en le dotant de
capteurs relativement indépendants de l'opérateur. Le cas se roduit pour les calculateurs industriesl, mais la programmation st ici trop rigoureuse pour laisser quelque possibilité 'innovation.
    
(deux paragraphes supvants ont été rayées sur le manuscrit)
Les efforts entrepris pour simuler la reconnaissance des ormes, la formation des concepts, l'analyse factorielle, ouvrent es horizons plus larges.

Imaginons un ordinateur disposant d'une caméra de télévison raquée sur un sergment de toure, enregistrant et étudiant cequ'il voit pour étudier le trafi. Il va tout d'abord déceler une cnstante: la route, immobile, qu'il peut stocker à part, pour référence éventuelle. Il rste des taches mouvantes. Après avoir regroupé les diverses vues de chaque voiture pendant son pasage, la machine va les classer jusqu'à objtenir un invetnaire des types de voiture (type, marque). elle peut aussi definir le sens de circulation, la vitese. Dès lors, elle a réalisa la première fonction de l'intelligence: la formation de concepts.

L'analyse factorielle lui permet ensuite de déterminer des relation sentre ces notions: heure de pointe, longues heures d'attent pendant la nuit, rythme plus fort à l'aller le matin, au retour le soir. C'est la deuxième fonctdion, la recherche de lois.
 
 Il s'agit du problème simple, maiq u'il sera déjà difficile à programmer actueollemnt. Très jeunes, no enfants avent dire;: c'est une 404, une ID, un camion. Cela représente une bonne masse d'informlation, de "Papa, c'est quoi celle là?)". L'ordinatuer aurra bien du mal avnat de pouvoir en dire autant.
    
Il s'agit d'un problème simple et qui ne peut nous emmener bien loin. si la machine analyse ce qu'elle voit au hasard, il n'en sortira rien. Il faudra qu'elle ait été programmée. Et donc on pouvait parftaiement prévoir ce qu'elle trouverait. Pourtant, ce travail simple ouvre des perspectivs. Faute d'avoir en mémoire un catalogue des marque sde voiture, notre observateur les
classera selon des codes, des numéros, qui'l ne pourra que choisir lui même. Il faudra ensuite, si l'on veut s'en servir, traduiure ce code. Autrement dit, la machine devra expliquer le résultat de ces recherches. Il est difficile de prétendre que l'opératuer l'y avait mis.  Il y a une différnce énorme entre prédire le préusltat d'un travail et dire que l'on a fait le travail soi-même. (en marpge: à vrai dire, on n'a pas posé de problème précis, mais seulemnet demandé l'analyuse. problme posable: amélioration de la circulation, implique un certain nombre de solutions, deux méthodes fondamentales: appliquer n cas sqhcéma, trouver élément à changern, études analogies)
    
On ira beaucoup plus loin quand l'ordinateur dispoera d'une certaine "structure mentale", c'est à dire d'une méthode de travil représentée par des programmes très ténéraux, appuuyée sur une "expérience" constituée par une masse d'informations importnte, comportant un cadre général (une certaine conception du monde) et un ensmble vaste de connaissances structurées
conformément à la méthode de travail.
    
Un ordinateur sera par exemple utilisé habituellemnet àl'étude de trafics routiers. Ayant fait ce travil à de nombreuses reprises, dans des cadres différents, il connaîtra les principales larqyesn leurs vitesses habituelles, les types de route. Il sera donc plus compétent qu'un autre pous les études de circulation. Il aura une certaine personnalité. Auant travaillé longtemps pour l'homme, il aura l'habitude de ses desiderata et y satisfera plus vie et mieux. On pourra dire aussi qu'il "s'intéresse" à tel type de recherche.
    
Parler d'intérêt à propos de machines peut para^tir déplace. C'est leur donner, à la limite, une âme.
    
L'ordinateur, sans parler prématurément d'indépendance, a fortiori de liberté créatrice, on peut dire que, de plus en plus, il sort de l'ordinteur bien autre chose que ce que l'on y met. Le dynamiseme même du progrès technique en ce domaine dote la machine d'une autonomie logique de plus en plus large.

2.L'autonomie matérielle

Je suis librfe quand je vais où je veux, quand e fais ce que je veux. Socrate en prison boit la ciguê librement, sans doute, et notre liberté transcende notre condition physique. Pourtant, les voyages forment la jeuness. Les compagnons d'autrefois faisaietn leur tour de France. L'homme moyen dépérit en prison et en profite rarement pour méditer.
    
... Imaginons maintenant ce que peut être un robot jouissant à la fois des facultés logiques puissantes d'un ordianteur, y compris les développements qu enosu avons envisagés (éventuellemnt relié par radio à un centre plus puissant encore) de notre mobilité et de nos moyens de contact passif ou actif avec le monde extérieur. On n'ira pas prétendre qu'il puisse s'agir d'un outil bête et inoffensif. Et nous le verrons d'ici vingt ans.
    
    
    
L'importance considérable prise par le robot exigera une organisation adéquate qui nous permette de l'utiliser et de le contrôler.
    
Faire. Les robots
    
Ecartons nous maintenant des calculateurs acituels, en temps réel ou en temps différé, pour en revenir à ces vieux robots, actuellemnet réservés à la littérature de vulgarisation et qui, pourtant, représentent le véritable avenir.
    
Un robot, c'est un appareil autonome, mobile, s'occupant à des tapches non pas arbitraires sans doute, mais définies à un niveau suffisammnet élevé pour que son autonomie soit réelle.

Seront des robots, par exemple, un automobile, un bateau, un bulldozer, une grue, un tour ou une presse hydraulique, une chaîne de laminage. Ce robot est sensiblemnet différnt des machines actuelles,même automatiques. Antonome, il n'a pas à transporter d epilote,ou à laisser des accès à un opérateur. les capteurs quipermettront à une automobile de se guider, à une presse de
s'alimenter, sont en effet moins encombrants que l'opératuer humain, qui doit pour diriger la machine, pouvoir tout considérerd'un coup d'oeil et avoir toutes les commandes sous la main.
    
En un un mot, il n'a plus de tableau de bord. Les capteurs variés nécessaires, dont il a besoin, peuvent être disposés à l'emplacemnet le plus fonctionnel, leur encombrement réduit, leur résistance aux chocs, aux températures basses ou élevées lepermettant. Ils fournisent leurs informations à un cerveaucentral. Le cerveau, placé en un point bien brité, établit ettire les conlusions et transmet ses décisions par les mêmesmoyens aux divers effecteurs qui définissent sont fonctionnement.
    
Bien entendu, le robot dépend 'une "autorité", l'homme en derier ressort, mais éventuellemnet relayé par des robots "chefs", chargés de tâches d'organisation, de planning, etc.
    
Par exepl,e une fois définis par l'homme le "cahier deschargsre" d'un oubrage d'art déterminé,des robots ingénieurs pourront se rendre sur place pour élaborer un certain nombre de projets, définir le moins coûteux et procéder à sa réalisation.
    
Le robot de l'avenir diffèr de plus des machines actuelles par la place réduite qu'y prennent les métaux ferreux. Ceux-ci sont remplacés, dans une large mesure, par des matériaux de synthèse, insensibles à la rouille, d'utilisation plus souple, assurant l'isolemnt des circuits électriques qu'ils peuvent loger dans leur structure même. Ce fait influence sensiblemnet leur forme. Construits automatique, non pas desitnés à être conduits ni regardés par un homme, n'étant pas forcément vendus à un marpché psychologiquement influençable, ile n'est pas ousmis aux  critères actuels de l'esthétique industrielle (sauf les robots directmnet utilisés par l'homme, évidement, par exemple poru les transportes ou les robots domestiqus). S'ils obéissent à une
certine esthéitque, celle-ci sera l'expression de ses lois "organiques" propres.
    
Paragraphe rayé:
Et voilà bien le mot lâché. Les machines travaillentcomplètemnet en dehors de l'homme, deviennent pour lui beaucoup plus étrangères. Ce n'est plus lui qui les a construites, ni lui qui les répare, elles obéissent à edes impulstions de manière infiniemnt plus indirecte. Elles suivront donc beaucoup plus leurs impératfs propres que ceux de l'homme au cours de leur existence pratique. 
    

L'oeil et la main

    
Pour que la machine puisse avoir un contact réellemnet souple et efficace, permetant réellemnt l'adaptation nécessaire à un monde varié, où l'autonomie même de la machine la prive de cette alimentation standard qui est celle de nos chaînes, il faut la munir de notre outil de base, la main, couplée avec l'oeil.
    
La main, cet instrument le plus éloigné des appareils automatiques actuels (les recherchds faites sur la manipulation intermédiaire, domaine nucléaire surout, sont importants mais peut ^tre encore fondamentalemnt litmités)

Certes la main est un organe très imparfait: elle permet mal des pesres précis, de longueur, de température (expérience classique des trois pots d'au), elle ne sait ps se positionnne avec une précision énorme. Bref, elle est très infidèle
    
Cependant, elle a une qualité essentielle, et ceici sous un volume relativemnet réduit. Si elle n'est pas un capteur ni un effecteur fidèle, ele est très sensible, surtout elle est extrêmement adaptable, non pas à elle seule, mais couplée à l'oeil par l'intermédiarie du cerveau.
    
C'est elle qui nous permet de manipuler des pièces de taille variée et de les travaillef de façon trèus variée aussi par l'intérmédiarie de l'outil. elle est un serviteur du cerveau.
    
Etant à la fois effecteur et capteur, elle permet unesensibilité immédiate ux réaction sd l'objet travaillé, coupéle aux vues plus larges et à certain spoints de vu eplus précis que l'oeil.
    
Peu importe que l'homme n'ait ps eu à sa dispositoin de pattes puissantes, l'essentile est qu'il ait ces effecteurs merveileux, qui encore une fois n'ont de sens qu ecouplés qu cerveau.
    
Un des problèmes capitaux de l'automation future est de savoir si l'on pourra réaliser un instrument de travail aussi souple qu el amain. les capteurs les plus précis comme les effecteurs le splus puissantes ne charngeront ps les fondemntes du problème, sul un appareil complet comme la main le pourra.
    
Il semble pque les recherches faites sur l'imitation de la main, suivant un principe connu de l'automation qui veut que l'on ne cherche pas à reproduire les méthodes de l'homme, mais que l'on traite le problème en lui-mêmei en fonction des moyens réels dont l'on dispose,  égare ici sur un point: on a conservé l'oeil humain d'une part, mais la main n'est pas munie de capteurs.
donc: asservissement difficile, pour précision, nécessité de lourdeurs;

On obtient une mobilité locale précise, aux dépens de toute autre mobilité. la légèreté de la main lui permet d'être portée par le bras, puis par le corps, donc de tourner autour de son travail, ou de le transporter, de disposer son travail et ses aides.
    
Les recherches sur les grosses molécules et les plastiqus de synthse doivent peremttre de trouver les supports légers et osuples dont le robot a beoin. la fabrication de micro-capteurs permetrar de doner à cette main la sensibilité nécesaire. que petu-on touver comme équivalnet moteru... il est possible que de micro-vérins répondent le mieux au problème.
    
Cette main aura des possibilités réduites si elle n'est au service de structures logiqeus rapides et puissantes, utilisant  des capteurs extérieurs à elle, c'est à dire un équivalent de l'oeil, non pas d elarétine seule, mais aussi des circuits d'analyse et de synthèse qu'il alimente.
    
(rayé) Si lon peut réaliser un équivalent sérieux de ce couple, et pourquoi pas, alors le robot deviendra réellemnt universel et autohnome.
    
(rayé) Bien entendu, chqaue robot dépendra d'une autorité. Ce pourra être l'homme lui-même, commandatn la machine un peu comme une bête de somme, ce pourra aussi être un robot supérieur, chargé d'une ta^che d'organstion. Une fois déini un cahier de charges, les machines organiseront elles-mêmes un travil après aoir défini le plus rentable avec toutes les ressources de la rechreche oprationnelle.
    
Cette structure matérielle influera beaucoup sur la mentalité même du robot. Imaginons ce que serait l'homme, privé de jambes, d mains, d'y'ux, bref condamné à faire fonctionner son enchéphane sur des donnée strictemnet fonctionnelles!
    
    
    

La réalisation des projets


    
Initiatives de l'homme
    
Dans cet univers, quand l'homme entreprend une tâche, il trouve un auxiliaire merveilleusement puissant à son côté. Il est évident que cette tâche aura un caractère normalement créateur, neuf, le travail de série étant réservé aux robots.
    
 D'autre part, les moyens de production (et de destruction éventuellement) ne peuvent être fournis sans discrimination. Le capitalisme et le socialisme ont apporté des solution sà cette questino, il fuadra sans doute les adapter sinon inventer d'autres doctirnes pour l'avenir.
    
Ceci dit, il faut rechercher le moyen de communication le plus commode entre l'homme et la machine. Comme c'est nous qui faisons les machines, mais que nous ne pouvons sensiblement modifier notre corps (ni les circuits logiques de notre cerveau), c'est évidemment la machine qui devra être construite en fonction de nous-mêmes.
    
Il n'ya a pas de problème de forme matérielle. Ici, quelle que soit la tâche, les travaux de force son normalement le fait de la machine, quitte à nous de prendre les choses en mains (au sens propre) si nous voulons "sentir" ce que nous faisons.
    
Le poste de travail
    
Ce qui compte, c'est l'échange d'informations avec la machine. Au cours d'un travail quelconque, à moins de demander à la machine une aide réduite, l'échange d'information est considérable.
    
Quand nous enfonçons un clou avec un marteau, cet échange est déjà très imporant. Non seulemnet nous dirigeons le marteau, mais nous le sentons dans la main. Par réflexe, bien sûr, et cette réaction est essentielle. Bien que se résumant à des sensations simples, la quantité d'informatino est en fait très importante: notre échange des indications de déplacement, de
pression, de température, constamment renouvelées au cours du
déplacement.
    
Contraitment à ce qu el'on pourrait penser, l'échange est beaucoup plujs faible avec une machine complexe comme un tour, où les informations sont beaucoup moins vriées. Il est beaucoup plus diffile d'automatiser le balayeur que le fraiser, bien que les compétences techniques du second soient supérieures.
    
Mais dans l'exécution de tâches créatrices, l'échange d'information avec la machine devrait être extrêment important et rapide. Le fameux "presse bouton" dont nous rabat les oreilles, couplé avec les fameux "dacrans" son appelés très sûremnet à disparaître, car ils constituent un langage extrêment pauvre: un bit pour le bouton, une quinzaine au plus pour le cadran. Et leur
inertie est substantielle.
    
Le langage parlé ou écrit se prête bien àdes données de types complexe et varié, et son dbit est très riche. ce qui le rend adéquant aux échanges de type intellectuel. Par contre, son intertie est notalbe et il est peu propre aux travaux du genre manuel.
    
Pour certains travaux, rein ne remplacera, tant pour commander que pour "sentir", la commande tenue à la main, qu'il s'agisse de la barre du voilier, du manche à balai ou du pinceau.

    
Bien etendu, la main exige des informations complémentaires par l'oeil, capteur extrêmement riche, mais à sens unique (si nous avons une bouche qui est bien l'émetteur correspondant au réceptuer oreille, nous n'aovns aucun émetteur qui atteigne larichesse de l'oeil à la réception, sinon peut-être le jeu des traits du visage, des attitudes).
    
On voit par ces quelques exemples le type de postes de travail qu'il y aura lieu d'établir. Pour les divers types de travaux, suivant l'importance des échanges homme-machine, machine-matière, homme-matière.
    
    
De même qu ela rétine n'est rien sans les centres nerveux qui font la synthèse des inforamtions qu'elle recueille, de même le poste de travail devra comprendre "intelligemment" les ordres reçus. les programmes à réaliser à ce niveau seront sans nul doute fort complexes, et il serait long et tastidieux de les rétablir pour chaque poste de travail. Il faut donc tourver un
programme général de coopération, susceptibles de s'adapter
facilement.
 
Deux idées de base se présentent: ou considérer que la machine est prolongement de l'opérateur (travaux à prédominance matérielle) ou la doter d'une autonomie, d'une richesse de préonse plus grande, elle agit comme un interlocuteur, come un coopérateur (travaux à prédominance intellectuelle).
    
Machine "outil"
    
Sans exclure totalemnet toute réaction de sa part, ni surtout toute cohérence dans ses rponses, cette solution ne pose  pas d eproblème psychologiques difficiles. Ce n'est qu'un perfectionnemnet des outils actuels (pas du tout des
machines-outils au sens habituel). On conduirait la machine comme on conduit une voiture, par exemple. Par contre, le faible degré d'autonomie oblige pour chaque tâche à une mise au point précise des programmes.
    
Machine "interlocuteur"
    
Beaucoup plus souple, plus puissante, propre à des tâches complexes, demandant un minimum de programmation préalable (orale, je pens), la machine prise comme interlocuteur a un défaut: sa puissance même. Connectée au réseau général, avec ses ressources considérables d'inforamtion, sa rapidité déconcertante de réponse logique, elle risque de complexer l'opératuer. Difficulté soluble en définissant adéquatemnet son "temps de réflexe" et la strucgure de la réponse.
    
Outil, interlocuteur, ces deux aspects ne s'excluent nullmnet, et joueront simultanément mais des "proportions" variables suivant les tâches.
    
Le complexoscope.
    
Complexity amplifier. C'est une des définitions pratiques de l'ordinateur. Notre époque, après avoir inventé microscope, télescope, sent le besoin, en face d'un monde de plus en plus compliqué, d'un outil qui lui permette d'y faire face, qui ramène l'enchevêtrement des données multiples à des idées présentées simplement et clairemnet. si la complexité est une trandeur qui
peut se mesure, ler complexoscope sera l'appareil qui la réduira à la portée de notre cerveau.
    
On peut se demander si cela est possible. Un ordinateur permet d'exécuter de soprations nombreues très rpaidemnt. Il ne simplifie pas ces opérations, qui faut lui programmeur.
    
Jusqu'à présent, les instruments que nous avons utlisas dans ce but sont d'un ature genre: ce sont les mots, ou dans certains cas les algorithmes. Et, précisémnet, la progrmmation a été notablemnet simplifiée quand, à l'aide des langages de programmation, l'ordinateur a pu "comprendre" les algorithmes. Mais cette simplification était encore toute pratique.
    
On disposera réellemnet d'un complexoscope quand l'ordinateur, pratiquant systématiquemnet l'analyse factorielle, pourra rechercher et définir lui-même des algorithmes adaptés à une tâches déterminée.
    
Initiatives de la machine
    
Mais pour jouer ce rôle efficacemnet, la machine devra disposer d'une large marge, non seulement d'autonomie mais di'nitiatit'e. Si elle crée un algorithme, c'est elle qui devra nous l'epxliquer quand elle l'aura "mis au point". De plus, disposant par ses mémoires de plus d'information que n'imorte qui, on sera poussé à lui laisse assez généralemnte des tâches comme "informations" au sens de la radiodiffusion. Dans le domaine de l'aciton, il sera pas rentable d'entraver trop souvent sa tâche psr des contrôles humains sensiblement plus longs que les sines.
     
En bref, poussés à laisser souvant la bride sur le cou à un partenaire terribelemnt puissant, il deviendra aussi diffile de capital(?)à que d'en garder le contrôle.
    
La structure décentralisée du réseau général facilitera le contrôle, mais il faudra élaborer des méthodes, des procéures, sont la nature paraît encore difficile à préciser.
    

Vers une nouvelle civilisation

    
Ce qui précède montre pourquoi des clichés comme la "civilisation des loisirs", "press bouton", peuvent paraître sinon tou à fait faux, du moins très largemnet insuffisants. L'automatisation de l'univers nous obligera à construire un monde intégralemnet neuf, sauf une constante fondamentale: nous-mêmes.
    
Et c'est cette constante que lon risque d'oublier, si l'on n'y prend garde. Le développemen de la machine yh pousse: être automatique, c'est n'avoir pas beoin de l'homme pour opérer, et l'on a vu où son tles limties de l'automatique! Et le technicien est complice. Notre époque a mis en avant l'acte gratuit, et le technicitino, crateur comme son Créateur, veut faire la machine à son image. Il veut être père d'un enfant adulte Il y a là une noblesse proçnfonde. mais avons nous le dorit de nous oublier de cette façon?
    
Notre créateur nous a faits pour l'aimer, et les machines que nous fabriquons doivent être à notre service, avant d'avoir un équivalent de l'amour. Nous n'avons pas le droit d'organiser un univers qui ne laisserait pas de place à l'homme, car il n'en laisserait pas à Dieu.
    
   
    

Une nouvelle économie


    
Ce qui est à peu près certain, c'est que nos besoins matériels élémentaires, alimentation, logement, vêtement, soinsmédicaux, seront satisfaits quasi-automatiquement. Il ne s'agit ici que d'un développement de notre régime actuel où la subsistance n'est plus réellement un problème. On peut penser que les pays sous-dévellppés, après d'assez longues années difficiles, finiront par trouver, dans le cadre d'une solidarité mondiale, un régime sensiblemnte équivalent, bien que leur développement présent ne soit guère encourageant.
    
Cette sécurité et ce confort matériel généralisés ne sera acquis qu'au prix d'une vie de plus en plus artificielle. la croissance démographique rendra nécessaire la consommation d'aliments éloignés des produits naturels, l'habgitat en groupes improtants, ec. On trouvera,il le faut, des moyens de
ocmpendation à cette dangereuse séprtion du milieu naturel où nous somes nés.
    
Enfin, et c'est le point le pluw fréquemment expiré, la structure de l'emploi sera profondément modifiée Les compétences techniques, paradoxalement, deviendront sensiblement moins importntes, la machine elle-mêmee se prêtant par son "intelligence" à être utilisée par des non-spécialistes.
    
Mais sans doute se développeront toutes les activités à caractère social et humain. Jusqu'à présent, toutes les révolutions techniques, après une période d'adaptation, ont créé plus d'emploi qu'elles n'en ont fait dispara^tire. On peut
espérer, mais c'est peut-être un pur acte d'espérance, qu'il en sera de même avec l'automation, malgré son caractère radical et universel.
    

Une nouvelle sociologie


    
L'évolution des structdures de travail modifiera profondaménet la sociologie de l'univers. Au départ, ce sera sans doute les classes moyennes, du cadre moyen à l'ouvrer qualifié sui seront les plus visées, surtout dans les grosses entrepriees. Il est aisé d'automatiser le travial d'un bon comptable ou d'un
tourneur. De plus, le caractdère sensiblement répétitif d eleur travail le rend vulnérable à l'autoamtion. Par contre, les prçofessions libérales ou artisanales se défendront beaucoup plus longtempts;
    
Le type d'homme essenriel sera, je pense, l'entreprenue,n, ou le promoteru. Entouré d'équipes peu nombreuses, ces chefs entreprendornt les réalisations nouvelles. La nécessité d'entrepries énormes sera réuite par la disparition de l'usine classiqeu, c'st la qualité humaine et sociale du promoteur ainsi
que les moyens mis à disposition (en veru de principes à définir) qui détermineront la taille de son entreprise, pouvant aller du fabricant de planètes artificielles à un équivalent du classique artisant de village.
    
Il continuera sand dout d'exister un patronat et un salariat, distintion qui paraît inscrite dans notre nature même.
    
Bien entendu, il faudra déinir des modes de rétibution adéquate, et l'exploitation de l'homme par l'homme restera toujors un danger. la machine, si elle est injustemnet utilisée, donnera aux puissants des moyens exorbitants de pression psychologieque et matérielle sur les petits.
    
La structure poltique sera modifiée par les possibilités de cnetralisation, de psyuchpmogie des mases, d'organisation, ofertts apr des machines fournisant quasi- instantanément des informations judicieusemnet traitées pour permettre ensuite de porter immédiatemnet les décisions prises à la connaissance de tous et d'en contrôler l'exécution. Le spectre de Big Brother reste un avertissemnet tragique que l'on ne peut se permettre d'oublier, mais qui n'a pas été sanctionné par les faitse, malgré la réussite temporaire du nazime et les fomes prises au départ par le communiseme.
    

Une nouvelle morale


    
Si la morale n'a pas à chaner dans se sprincipes fondamentaux, si le progrès technique lui est indifférent à ce titrte, il faut bien pourat qu'ele suive le mouvemnet du cadre où nous vivons. Si l'homme ne change pas, il continuera de pouvoir faire le mal, c'est à dire de se détruire soi-même ou de faire tort à ses semblables. Certaines valeurs apparaîtraont pendant que d'autres resteront en sommeil.
    
La primauté transcendante de la personne devra tçujorus être réaffirme, malgré l'importance de la sociét. L'effort créatuer étant mis en avant, avec des moyesn puissants d emise en route, il faudra définir les conditions juriqiues de osn exercidfe et les finalitéq su'il devra recherche.
    
En bref, il nosu fudra, au milieu d'un tourbillon qui a toutes les chances  de s'accélérer, et dont on ne voit pas la limite, former des sges qui gardent la tête bien faite et qui témoignent san scesse, en termes neufs sans doute, des valeurs spirituelles les plus profondes, que nous devons rechercher, où nous pouvons trouver notre véritable épanouissemnt, notre véritable bonheur.
    
    
Tout cela pourquoi ?
(l'ensemble de ce qui suit, jusqu'ux jnotes du 17/2, avait été rayé et le verso utilisé pour les pages précécendes dans ce texte ci).
    
Introduction: limitation volontaire au plan philosophique,
voir ailleurs étude théologique.
    
- nécessité du progrès:
     physique: poussée démographique
     morale: beoin pour l'homme de se dépasser et de se soumettre
la terre. La soumission à l'humanité de suffit pas
    
- danger de s'y arrêter, matérialisme
    
- un chant d'optimisme: unité des hommes, de grands développements
- mesuré
- conclusion
    
Et pourquoi faut-il que nous allions vers un tel but? Pourquoi courir après de telles chimères?
     Parce que nous ne pouvons pas faire autrement.
     Il y a à l'heure actuyelle une large moitié si non les deux tiers de l'humanité qui ne mange pas à sa faim. Il y a encore une foule d'hommes qui meurent faut des soins médicaux. Et otus les jours la population de notre planète augmente.
    
Peut-on améliorer le sort des hommes par une plus juste répartition des richesses et couper court à la surpopulation par la limitation des naissances?
    
Limiter les naissances, à un plan global, c'est, pour l'humanité, accepter de se refermer sur elle-même. Faut-il souhaiter un monde de vieux garçons, de vieilles filles et de ménages sans enfants?
     
Mieux répartir les richesses, c'est retirer aux riches pour le donner aux pauvres. Cela ne résoudra pas les questions les plus matérielles, même si une autorité mondiale puissante le pouvait imposer, il est probable que les résultats finaux seraient pires que ce que nous connaissons à présent.
    
Je prendrai une image: les niveaux de vie se répartissent et continueront sans doute toujours plus ou moins (en donnant un sens large au niveau de vie) suivant une pyramide. Elever la base de la pyramide en en coupant la pointe est inefficace, car l apointe est plus fine, et qu'il faut perdre beaucoup en hauteur en haut pour en rajouter bien peu en bas.
    
Vous devriez partager vos richesses, demandait-on au baron de Rotschild. Fort bien, répondit-il, divisez ma fortyne par le nombre nécesssaire. Il reste vingt sous. Les voici, Monsieur.
    
De plus, aplatir l'épchelle peut couper court à des exagérations manifestes, et être souhaitable occasionnellement. Mais aller trop loin en ce domaine, c'est sûremnet couper court aussi au progrès que l'on voudrait promouvoir.
    
Il fuat agir de deux manières: rendre la répartition non pas égalitaire mais juste, et réellemnet équilibrée. Et élever l'ensemble, donc inévitablement le sommet comme la base.
    
Il y aura des puissants et des riches. Il y aura des nations en pointe et des nations en arrière. Tant pis. Ce n'est pas en s'appauvrissant que les pays industrialisés aideront les régions de voie de développement. Mais, et sans délaisser d'ailleurs une aide immédiate et les deux doivent aller de pair, en se développant.
    
Parler d'améliorer, c'est nécessairement se référer à une échelle de valeurs, et poser la question: qu'est-ce qui est bon pour l'homme? Si nous voulons construire un univers fonctionnel, sa structure de détail sera définie par les ofnctions de détail qu'on lui demandera de remplir. Mais, au sommet, il faut bien se demander pourquoi nous vivons. L'homme a des besoins, certes, y
compris le besoin de travailer. Mais il a plus: il a un but, celui d'être heureux, et qu'est-ce que le bonheur?
    
Et, au simple plan huymain, je ne trouve pas de réponse. tout le confort du monde, le plus perfectionné soit-il, ne suffit pas à nous combler.
    
Pour être heureus,il faut aimer, oui. Il y a bien de l'amour à donner.
    
Les richesse matérielles, l'art, les relations humaines suffiront sans doute à comboer, en apparence du moins, une large part de l'humanité. Mais il y aura toujorus des esprits qui refuseront de se laiser endormir, et qui continueront à rechercher une beauté, un bien plus absolu.
    
Si l'amélioration de l'humanité, de ses membres les plus déshérités, qu'il s'agisse des malades, des prolétaies ou des handicaptés, des malges ede tout grenre, a suffi jusqu'à présent à occuper les soins d'une large partie de ces âmes, quand l'univers sera plujs riche, and la pyramide aura monté, il restera toujours des pauvres, mais ce ne seront plus les ^mêmes. On peut penser, bien que ce ne soit pas certain, que plus personne ne sera sous-alimenté, que ls maladies dseront soignées dans une large mesure, que chacun pourra s'instruire, bref le niveau de vie minimum sera fort élevé. Les beoins les plus pressants ne seront plujs matériels, mais moraux.
    
On a dit de certains pays très développés que ls gens n'y vivaient pas heureux parce qu'ils avaient avaitn bien des moyens de vivire, mais plus de raisons.
    
Eh oui, si l'on n'a plus à se préoccuper du pain quotidien, il faudra bien vivre pour quelque chose. Quant on en est à n'avoir besoin que d'un deuxième frigidaire, l amotivatgion est insuffisante.
    
Je crois le problème insoluble humainement, et  l'on n'a pas manqué de dire que l'homme n'est qu'une passion inutile, ce qui suffit à rendre l emonde absurde.
    
La religion, je ne parle pas des actes religieux, mais de l'appel de Dieu sans lidimite, dans la profondeur pde son appel, est... (suite perdue)
    
    
    
17/2/66
Après tout, est-il tellement immoral qu'une machine soit à la tête de l'univers, sous réserve q'uelle satisfasse les beoins élémentaires de tous, et laisse à chacun une marge d eliberté suffisante...
 
D'autre part, seule la machine apparaître dans un certain temps comme le seul président valable, du moins le seul premier ministre valable pour un univers aussi baste. Il y aura peut-être un nour un référendum constituant la machine comme maître général de l'univers. Avec un certain nombre d'inverventions de l'homme continautn,t par la suite, par un référendum permanent, basé à la fois sur des réponses à des questions explicites (réfrendum au sens propre) et implicites (choix de productino par le chois de
cla carrière, choix de consommation dans l'utilisation du potentiel économique individuel). Il faudrait aussiqu'il puisse y avoir un certain nombre de choix de programmation de la machine même, ce qui dans un sens nous met au rouet.