Sommaire : Trois questions à Michel Lesourd (Ordre des experts comptables)| L'actualité de la semaine | Théories et concepts | Enseignement | Entreprises |Manifestations | Détente
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Asti-Hebdo : Vous préparez une nouvelle édition de vos "Critères de conception et de choix des progiciels de comptabilité". Ces travaux s'appuient-ils sur des travaux menés dans les institutions de recherche ?
Michel Lesourd : Hélas, non! Les universitaires sont loin de nos problèmes. Et quand ils parlent de thèmes qui pourraient nous concerner, ils emploient un vocabulaire tout à fait étranger à celui de nos professions.
Certains travaux, parfois originaux, sont menés par nos "mémorialistes", c'est à dire ceux qui rédigent un mémoire en phase finale de préparation à l'Expertise comptable. Nous entretenons pourtant de bons rapports avec Paris-Dauphine. Mais cette coopération est sans commune mesure avec la pratique et le réalisme des Canadiens, par exemple. Si nous pouvions en faire autant en France, que de progrès seraient possibles !
Il est vrai que les objectifs de ces recommandations sont essentiellement pratiques. En France, un grand nombre de SSII se font un devoir de créer leur propre programme de comptabilité, alors qu'il en existe plus de 1000 sur le marché, sans compter le nombre des versions, dont on peut trouver dans les entreprises certaines qui datent de plus de dix ans. Sous l'impulsion de Victor Bérard, un passionné d'informatique, notre premier objectif, en 1984, a donc été d'aider les experts-comptables à faire leur choix dans une offre aussi large ou d'être exigeants sur les produits qu'on leur présente.
Cela nous a conduit à formuler des critères qui peuvent être utilisés aussi bien par les développeurs des SSII que par leurs clients car, bien entendu, ce qui est un critère de conception du côté de la société de services devient un critère de choix du côté de l'utilisateur. Nous avions envisagé d'aller jusqu'à une évaluation des produits disponibles, mais cela débordait le cadre des missions de l'Ordre, et on trouve de telles analyses dans la presse professionnelle ou auprès d'organismes spécialisés comme le CXP.
A.H. : Effectivement, on voit mal en quoi des chercheurs pourraient trouver là des thèmes stimulants...
M.L. : Et pourtant le domaine évolue rapidement, et les organismes français et internationaux de comptabilité prennent toute leur part dans la mise en oeuvre, pour ne pas dire le développement, de technologies nouvelles. La nouvelle édition de nos "critères" en témoigne : nous sommes passés de 13 à 27 chapitres. Nous avions commencé par traiter les thèmes classiques : plan de comptes, ouverture d'un dossier, clôture d'un dossier, saisies d'informations, sécurité de saisie... Plusieurs des chapitres nouveaux posent des problèmes de fond.
La pérennité, par exemple. Nous le traitons comme un complément du chapitre "sécurité". Ce problème est essentiel pour nous, et les solutions ne sont pas triviales. mais son importance est en général peu comprise par les informaticiens et les utilisateurs, qui tendent d'ailleurs à confondre sauvegarde et archivage. Le fisc impose trois ans, répétables une fois... s'il y a des exercices déficitaires, cela peut aller au delà de dix ans; et quarante ans pour la gestion du personnel (reconstitution de carrières pour les liquidations de retraite).
Le thème le plus neuf est la gestion sur Internet des "transactions commerciales communes", que la communauté internationale désigne par "web ledger" (voire "ledgerism"). Il y a là un dépassement radical des concepts classiques de la comptabilité, toujours pensés dans le cadre d'une entreprise donnée. Depuis bientôt vingt ans, le développement des EDI (Echanges de donnés informatisés) nous a permis de créer des liens entre les entreprises et avec les administrations (principalement les Impôts et la Sécurité sociale). En France, l'association Edificas regroupe les principales sociétés de service, représentant 95% du marché en termes d'entreprises utilisatrices de logiciels. Aujourd'hui, un progiciel qui ne sait pas transmettre d'informations fiscales à la DGI (direction générale des Impôts) n'est plus considéré par nous comme un vrai progiciel comptable.
Le développement du web ledger (Le "grand livre" sur la Toile) va plus loin. Quand une "transaction commune" s'effectue, elle s'inscrit dans un compte client chez le fournisseur, dans un compte fournisseur chez le client. L'idée est de l'enregistrer une seule fois sur un ledger commun, tenu par un tiers. C'est ce ledger commun qui sera utilisé ensuite par chacun des partenaires pour sa comptabilité. En France, la Poste avait lancé un projet de ce type, mais il a été refusé par la direction générale des Impôts. Il est vrai que nous sommes là loin des idées traditionnelles sur la comptabilité !
Nous travaillons aussi sur les agents intelligents, le workflow comptable (pour la production de la déclaration de TVA, des documents de reporting et d'autres applications agrégées), la mise en relation de la comptabilité avec les autres applications de gestion (par exemple dans le cadre des progiciels intégrés), la GED, la traçabilité...
Nous sommes aussi en train d'exprimer en XML la manière dont les informations comptables élémentaires doivent s'agréger. Cela n'est pas simple. Pour obtenir le chiffre d'affaires d'une période donnée, il faut regrouper un certain nombre de postes du Plan comptable, qui est une classification hiérarchisée numérique (mais, ailleurs, la classification comptable n'est pas structurée). Cette agrégation fait intervenir de multiples critères, qui se traduisent actuellement par des formulations comme "Pour les ventes, dans le compte de résultats, il faut prendre les comptes 70, sauf le 707, qui est la vente de marchandises... et il faut inclure la variation des travaux en cours... parfois il faut ne prendre que les débits, pas les crédits, ou telle période mais pas telle autre... ". Il y a là une complexité où la contribution des chercheurs pourrait être utile. Nous pourrions demander à des étudiants de contribuer à ces analyses.
A.H. : Pourriez-vous utiliser la Toile pour faciliter, notamment, la communication avec les chercheurs intéressés ?
M.L. : Une mise à disposition prématurée sur la Toile présente plusieurs inconvénients.... par exemple de nous faire reprendre toutes nos idées par les organismes américains, qui ne se gênent pas pour les utiliser sans citer leurs sources. Quant on qualifie les Etats-Unis de rouleau compresseur, on n'est pas en dessous de la réalité. Il faut donc vraiment de la passion pour mettre des documents sur le Web. Ou alors, il faut n'y mettre qu'une partie de ses travaux, et négocier ensuite pour le reste. Par exemple, j'ai réalisé, à titre personnel, un travail original sur les polyphonies composées sur le thème des Lamentations de Jérémie. Je n'ai mis sur mon site que la liste des compositeurs (plus de 1000, et de nombreux contemporains)... et mon courriel.
L'Ordre est donc prudent sur ce sujet. Et, de toutes façons, nous réglons nos travaux sur le rythme des publications de l'ONU. Dans notre domaine d'action, c'est-à-dire la comptabilité, l'audit et leur rapport à l'informatique, les Etats-Unis oeuvrent en marge des travaux internationaux. En France, nous avons dix ans d'avance et... d'expérience. Donc, nous devons progresser dans la coordination entre ce qui existe déjà, ce que nous devons faire et les grands mouvements internationux amorcés par l'UN-Cefact, Oasis, UBL, Soap, etc. La France est très active, mais les Etats-Unis aussi, et ils sont beaucoup plus puissants pour financer leurs opérations dans ce domaine comme dans bien d'autres.
Pour répondre complètement à votre question, nous envisageons, après la parution en France de l'ouvrage sur les progiciels de comptabilité, de confier son internationalisation à nos collègues belges (cette opération consistant à éliminer tout caractère spécifiquement français, notamment en matière fiscale), et de traduire le résultat en anglais (d'Oxford) avec l'aide de nos collègues québecois pour soumettre le résultat à nos propres instances internationales (IASC, Ifac). C'est un vaste travail qui demandera quelques années puisqu'aussi bien, seul le bénévolat prédomine dans nos travaux;
Qui n'a déjà rencontré des problèmes d'accessibilité aux interfaces informatiques? Le thème de l'accessibilité, celle du web en particulier, est un thème universel, qui concerne en premier lieu les personnes handicapées, qu'il s'agisse d'un handicap visuel, auditif, moteur ou de troubles du langage et de l'apprentissage. L'allongement de la durée de la vie en fait un thème permanent. "Nous voulons que l'ordinateur nous accompagne de 2 ans à 102 ans, affirme Madelyn Bryant McIntire, directrice Assisted Technologies Group de Microsoft, - ce qui n'est pas sans conséquences sur ses modes d'accès. La communauté dans son ensemble bénéficie en général des avancées de l'accessibilité pour les personnes handicapées.
Des événements de 2003, l'année européenne des personnes handicapées, marquent les progrès réalisés en matière d'accessibilité de l'ordinateur et du web. Accès à la lecture par les déficients visuels et à l'Internet pour les aveugles, tels étaient les sujets principaux du colloque "Nouvelles technologies pour une société plus accessible" de BrailleNet qui s'est déroulé à Paris les 28 et 29 avril.
En ouverture, Claudie Haigneré, Ministre déléguée à la Recherche et aux Nouvelles Technologies, a annoncé le lancement d'un appel à projets, à l'initiative de la Datar, pour l'accessibilité des espaces publics numériques, et la mise en accessibilité des sites Internet des ministères de l'Education nationale et de la Recherche. De fait, tous les nouveaux sites de e-gouvernement, tel le récent site Open source du ministère de l'Agriculture, www.agriculture.gouv.fr. se préoccupent d'être accessibles conformément aux dispositions légales de la Commission européenne. Rendre un site accessible dès sa conception coûte moins cher que d'intervenir a posteriori.
C'est le sens que l'on peut donner à la signature de l'accord (Memorandum of Understanding)"Euroaccessibility" par 24 organisations provenant de 14 pays : les parties s'engagent à unir leur forces pour travailler ensemble sur la question de l'accessibilité, un premier pas vers un standard européen de l'accessibilité des sites Internet espéré par les intervenants, dont BrailleNet qui propose le label Accessiweb et France Telecom R&D.
L'association BrailleNet a été créée en 1997 pour faire d'Internet et des nouvelles technologies un outil au service de l'intégration culturelle et sociale des personnes handicapées visuelles. Elle regroupe plus de 50 organismes dont des associations, des établissements d'enseignement, des organismes de recherche et des sociétés industrielles . Pour réaliser ses objectifs, l'association signe des conventions de partenariat avec d'autres organismes tels que l'Université Pierre et Marie Curie, la Bibliothèque Publique d'Information ou la Cité des Sciences et de l'Industrie.
De plus, pour renforcer et étendre son action, dans le domaine de l'accessibilité du Web, l'association a constitué un réseau de compétences. Il regroupe des experts d'organismes publics et privés répartis sur le territoire français et fonde sa réflexion et ses actions sur les recommandations internationales de WAI. Lancée en 1997 par le World Wide Web Consortium (W3C), cette initiative regroupe aujourd'hui plus de 500 membres – organisations issues de l'industrie, d'organismes pour personnes handicapées, de la recherche et de gouvernements. Ses actions pour l'accessiblité du Web se situent dans cinq domaines : les technologies du Web, le développement de recommandations, l'information et la formation, la recherche et le développement d'outils.
La tendance des concepteurs et développeurs est à l'utilisation du langage XML et à la création d'applications en Open Source. Mais la masse et la vitesse acquise font qu'un grand nombre de produits disponibles sont sur plate-forme Windows. C'est au début des années 90 que Microsoft a entrepris de standardiser dans ses produits et dans Windows des fonctions permettant une meilleure accessibilité. Des équipes de développement focalisées sur l'accessibilité ont ainsi introduit des outils et des fonctions dédiées à certains types de handicap ( raccourcis claviers, fonction de contraste d'écran, loupe, clavier virtuel). Aujourd'hui plus de 500 des 700 produits disponibles sur le catalogue de Enablemart ne fonctionnent que sur la plate-forme Windows, les 30% restants fonctionnant sur Mac et Windows (www.enablemart.com est un site Internet spécialisé dans la vente de produits d'accessibilité). Autre exemple, les trois célèbres logiciels d'accessibilité d'IBM, Home Page Reader 3, Speech Viewer, ViaVoice, sont sous Windows.
Front Page 2003 va plus loin, puisqu'il contraint par son architecture le développeur
de site Internet d'être conforme aux dispositions légales de la
CE. De nombreux projets de recherche en matière d'accessibilité
relient Microsoft et les universités américaines sous le titre
global "World without Barriers "– comme par exemple le projet
de rendre la lecture des cartes accessible aux aveugles qu'il partage avec l'Université
de Caroline du Nord. En partant du principe que si la personne handicapée
travaille dans une technologie, elle change le domaine, Microsoft emploie, par
exemple, Ted Hart, responsable du groupe de travail sur le langage naturel,
devenu sourd à la suite d'oreillons contractés lorsqu'il avait
13 ans.
Réalisation pratique, le site www.microsoft.com/France/accessibilite,
espace dédié aux personnes handicapées et à tous
ceux qui sont intéressés par les fonctions d'accessibilité
dans l'informatique.
Mireille Boris
La deuxième édition des États généraux européens du nommage sur Internet aura
lieu le 3 juillet 2003 à Paris (Fédération française du
bâtiment, 9 rue La Pérouse), organisée par l''Isoc France,
le Cigref, le Medef et la CCIP, en partenariat avec l'Afnic et la société Gandi.
400 participants sont attendus, venant de nombreux pays européens. Principaux
thèmes:
- Quels pouvoirs pour les européens dans la gouvernance d'internet ?
- Quel rôle réel pour le gouvernement des États-Unis dans le système actuel
et celui de la réforme ?
- Quelle place pour le multilinguisme ?
- Quelle concurrence entre les unités d'enregistrement de noms de domaines ?
Les débats seront ouverts par Claudie Haigneré, ministre déléguée à la recherche et aux nouvelles technologies, et Paul Twomey, nouveau président de l'Icann, l'organisme régulant l'internet, devraient ouvrir les débats au cours d'un échange sur la gouvernance mondiale de l'internet. programme, inscriptions (avant le 3 juillet), tarifs et contacts
La division Société civile du Secrétariat exécutif du Sommet mondial sur la société de l'information (SMSI, voir l'interview de Bruno Oude dans notre numéro 116 ) regroupe les informations concernant les initiatives nationales qui se développent autour du Sommet dans chaque pays et met en ligne sa base de données.
Pour la compléter, elle sollicite l'aide de tous ceux qui peuvnet l'aider à identifier dans leur pays des acteurs en rapport avec le Sommet tels que les commissions nationales tripartites (gouvernement, secteur privé, société civile), si elles existent, ainsi que les entités de la société civile impliquées dans le processus du Sommet. Contact: André Kovacs.
L'Ordinateur individuel, premier magazine français consacré à
la micro-informatique, fête ses 25 ans avec un numéro spécial
qui comporte un substantiel dossier rétrospectif et un peu prospectif.
Notons en particulier que Renaud Bonnet présente le chip TPM (Trusted
platform module), proposée par un consortium de fabricants et éditeurs
de logiciels, la TCPA (Trusted computing platform alliance), qui compte 200
membres.
Avantages : espace sécurisé, transactions électroniques
plus sûres, systèmes moins sensibles aux virus.
Inconvénients : fichiers espionnés en temps réel, intrusion
dans ls vie privée, difficultés pour le logiciel libre.
Il y a donc de la contestation dans l'air ! Jacques Eltabet (direcgeur du laboratoire d'essais du groupe Tests) lance aux industriels : "Laissez, s'il vous plaît, des espaces de liberté aux utilisateurs et aux concurrents. Avec la technologie, il sera très facile de policer, suivre, encadrer, espionner l'utiliateura insi que de bloquer l'innovaiton concurrentielle par des standards propriétaires. L'esprit micro a été un moteur puissant qui a accompagné l'industrie du PC, à l'opposé des systèmes propriétaires cadenassés. Or, l'informatique a besoin d'une dynamique pour retrouver de la croissance et de l'innovation".
Gestion de la confiance. P. Nixon, S. Terzis (Eds.):
Trust management first international conference, iTrust 2003, Heraklion, Crete,
Greece, May 28-30, 2003. Proceedings http://link.springer.de/link/service/series/0558/tocs/t2692.htm
Qualité de service. K. Jeffay, I. Stoica,
K. Wehrle (Eds.): Quality of service - IWQoS 2003 11th international
workshop, Berkeley, CA, USA, June 2-4, 2003. Proceedings http://link.springer.de/link/service/series/0558/tocs/t2707.htm
Systèmes auto-stabilisants. S.-T. Huang,
T. Herman (Eds.): Self-stabilizing systems 6th international symposium,
SSS 2003, San Francisco, CA, USA, June 24-25, 2003. Proceedings http://link.springer.de/link/service/series/0558/tocs/t2704.htm
Lambda-calculs typés. M. Hofmann (Ed.): Typed
lambda calculi and applications 6th international conference, TLCA 2003,
Valencia, Spain, June 10-12, 2003. Proceedings http://link.springer.de/link/service/series/0558/tocs/t2701.htm
Réseaux de Petri (applications). W. van der
Aalst, E. Best (Eds.): Applications and theory of Petri nets 2003 24th
International conference, ICATPN 2003, Eindhoven, The Netherlands, June 23-27,
2003. Proceedings http://link.springer.de/link/service/series/0558/tocs/t2679.htm
Processus de gestion. W. van der Aalst, A. ter Hofstede,
M. Weske (Eds.): Business process management international conference,
BPM 2003, Eindhoven, The Netherlands, June 26-27, 2003. Proceedings. http://link.springer.de/link/service/series/0558/tocs/t2678.htm
Appariement combinatoire de formes. R. Baeza-Yates,
E. Chávez, M. Crochemore (Eds.): Combinatorial pattern matching 14th
Annual symposium, CPM 2003, Morelia, Michoacán, Mexico, June 25-27, 2003.
Proceedings http://link.springer.de/link/service/series/0558/tocs/t2676.htm
Renseignement et sécurité. H. Chen,
R. Miranda, D.D. Zeng, C. Demchak, J. Schroeder, T. Madhusudan (Eds.):
Intelligence and security informatics First NSF/NIJ Symposium, ISI
2003, Tucson, AZ, USA, June 2-3, 2003. Proceedings
http://link.springer.de/link/service/series/0558/tocs/t2665.htm
Spécification formelle en Z et B. D. Bert,
J.P. Bowen, S. King, M. Waldén (Eds.): ZB 2003: Formal specification
and development in Z and B Third international conference of B and Z Users,
Turku, Finland, June 4-6, 2003. Proceedings
http://link.springer.de/link/service/series/0558/tocs/t2651.htm
Le 12 juin se tient à Angers, avec le soutien du ministère, une
journée " Ressources numériques audiovisuelles et multimédia
: Comment produire et gérer les contenus pédagogiques ? Quelles
méthodes ? Quelles normes ? Quels Systèmes ? ". Date limite d'
inscription : 6 juin.
Le député André Santini, bien connu pour ses actions
dans le domaine des technologies de l'information et de la communication, s'exprime
dans le Journal du Net à propos de la lettre de Luc Ferry à tous
les enseignants ("lettre à ceux qui aiment l'école").
Il regrette le peu de place accordé aux TIC dans le débat lancé
par le ministre de l'Education nationale. "La réussite de l'école
du XXIème siècle me semble, pourtant, étroitement liée
à ces nouvelles technologies" déclare-t-il et, plus loin,
"L'absence d'une profonde réflexion sur les conséquences
des technologies de l'information et de la communication sur le mode de fonctionnement
de l'Education nationale comme sur les enseignements quotidiens dispensés
aux élèves, porte les germes d'une grave fracture pour notre société"
.
Jacques Baudé
La Diffusion Paris 7 signale que l'on trouve des statistiques de la société de l'information sur le site Eurostat. Sur le même site, des chiffres sur les Télécommunications
La Chambre de commerce et d'industrie de Paris met en ligne des données
sur :
- Les services d'ingénierie-conseil
en Île-de-France
- L'industrie du logiciel
et du prologiciel en Île-de-France
Le Colloque interdisciplinaire en instrumentation (C2I) se tiendra à
l'ENS-Cachan les 29-30 janvier 2004. Ce colloque francophone a pour vocation
de réunir le monde de la recherche et le monde industriel afin de faire
le point sur les sciences
et technologies de la mesure et de l'instrumentation. Les domaines sont évidemment
très variés : méthodes et techno. pour la mesure, techniques
d'intégration, traitement du signal et de l'image, sciences du vivant
- Afia
- Afig
- Afihm
- ASF
- ACM Sigops
- Atala
- Atief
- Cigref
- Creis
- GRCE
- Gutenberg
- Inforsid
- Specif
Sur le site d'un développeur, de jolis modules d'extension (plug-ins, pour les non fanatiques des traductions officielles françaises) gratuits. L'auteur indique que certains sont basés sur la dynamique des fluides.