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Stic-Hebdo

No 23. 21 juin 2004


Sommaire : Trois questions à Robert Panico (Creis) | L'actualité de la semaine | Théories et concepts | Enseignement | Dans les entreprises et les administrations | Manifestations | La recherche en pratique | Détente

Colloque Creis - Revue Terminal. Paris, 30 juin, 1er et 2 juillet 2004
Société de l'information? Société du contrôle? Evolution de la critique de l'informatisation

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"Dans la société de l'information, les individus ne sont plus simplement les potentielles "victimes" de l'informatisation, du fichage, du contrôle généralisé ; ils en sont aussi et surtout les acteurs-clés. Ficheurs et fichés se retrouvent ainsi liés par de nouveaux contrats qui scellent leurs intérêts réciproques."

Trois questions à Robert Panico

Organisateur du colloque Creis-Terminal "Société de l'information, société du contrôle"

Stic-hebdo : Dans dix jours s'ouvre votre colloque Creis-Terminal . Y a-t-il vraiment du nouveau dans ce débat aussi vieux que l'informatique ?

Robert Panico : La nouveauté, c'est l'affluence des spécialistes de la communication, qui arrivent à la question de l'informatisation à partir d'une réflexion plus large sur les industries culturelles. Nous voulions, comme c'est notre habitude, convier des points de vue variés de chercheurs et de militants pour prendre en compte l'évolution constante des modalités et des enjeux de l'informatisation et notamment le rôle clé qu'y jouent désormais les individus. Et ce sont de nouvelles disciplines qui ont répondu à notre appel, renouvelant ainsi les problématiques traditionnellement développées à nos tribunes par les sociologues, les juristes et les informaticiens eux-mêmes.

Dès 1995, Felix Paoletti, alors président du Creis, le pressentait en ouvrant le colloque de Namur sur ces mots "L'informatique et l'informatisation ne sont plus du ressort des informaticiens et de quelques décideurs". En 2004, près de dix ans plus tard, les perspectives technologiques et géopolitiques de la société de l'information se sont précisées. Et le virage marchand laisse entrevoir ce qu'en échange des services rendus on attend de l'individu mondial, de l'e-individu : son pouvoir d'achat.

S.H. : Votre vision de la société de l'information n'est-elle pas exagérément pessimiste?

R.P. : Nous ne sommes pas pessimistes. Etre pessimiste suppose d'avoir une visée précise sur ce que doivent être les choses, ce dont nous entendons nous garder. Nous avant tout des chercheurs, et des pédagogues, non des idéologues. Ce que nous contestons, ce n'est pas la société de l'information (dont nous sommes les premiers usagers), mais les modalités de sa mise en oeuvre et le décalage entre les discours égalitaristes qui l'accompagnent et la réalité que nous observons. La dite société, dans ce qu'elle a de politique, est un projet, une perspective de croissance des pays industriellement avancés qui s'inscrit dans le temps long et repose sur la généralisation d'un mode de communication médiatisé et individualisant, c'est à dire où les anciens collectifs et les solidarités de tous ordres sont vus comme des entraves et systématiquement déstructurés par leur mise en réseau. Les individus économiquement, socialement fragilisés, pourraient l'être davantage encore. L'argument très classique que la société de l'information reprend à son compte fait état du lien entre la transformation des interactions sociales sous-tendue par la diffusion des TICs et celle des structures de pouvoir. Toutefois, son centre de contrôle, d'où se diffuse un modèle dominant d'implantation sociale des TICs, est lui bien localisé et semble même se concentrer dans des institutions politiques et/ou économiques souvent opaques, non démocratiques et non représentatives, et qui ont pour nom G8, OMC... ou encore Microsoft.

Elle promet un monde sans frontières, un monde de la connaissance pour tous ; mais sans jamais en dire le prix et c'est là un de ses revers, car c'est un monde obligé, un monde globalisé, hégémonique, unifié certes, mais par les lois du marché et le diktat de la consommation. Quel ailleurs dans ce monde à venir - qui n'a rien au passage de post-industriel, et où la culture elle-même se décline en industries et produits industrialisés diffusés à l'échelle mondiale - et quelle place pour l'autre, celui qui n'entendrait pas se résoudre à ses injonctions, ni se reconnaître dans ses marques ? Au doute profond qui plane sur la réponse font échos les multiples replis identitaires aux allures parfois violentes dont la société de l'information, à défaut de les prévenir, devra apprendre à se protéger.

S.H. : Sur quel type d'action concrète pouvez-vous déboucher?

R.P. : Le débat qui se dessine dans ce colloque - comme dans les multiples lieux où la société civile prend actuellement la parole sur cette question- aura pour mission première de contribuer à la prise de conscience des individus et des groupes, afin que par eux-mêmes ils infléchissent, en y prenant une part plus grande, des choix en partie déjà faits.

En effet, dans la société de l'information, les individus ne sont plus simplement les potentielles "victimes" de l'informatisation, ils en sont aussi et surtout des acteurs à part entière et sans qui le dispositif ne peut plus fonctionner. Ce sont eux que nous voulons toucher. De l'informatique, ils en usent rationnellement pour servir leurs besoins ;'ils développent des stratégies... et parfois même des comportements délictueux. Bref, ils ont part à cette informatisation ; ils en sont des usagers et des consommateurs attentifs à ce qu'ils obtiennent en retour de ce qu'ils investissent ; des consommateurs comme ils le sont depuis longtemps des médias.

C'est à ce prix d'ailleurs que l'on pourra expliquer leurs comportements parfois surprenants qui attestent par exemple que, pour une part ils consentent à laisser en échange des services qu'on leur fournit des informations les concernant, et qui serviront à les suivre au plus près. Si la question du fichage (question cruciale pour les sociétés démocratiques au moment précis où elles se sentent menacées) se doit d'être réévaluée à l'aune de ce consensus de fait , c'est parce que ficheurs et fichés sont liés aujourd'hui par un contrat qui, à défaut de se présenter ouvertement comme un nouveau contrat social les engageant en conscience et dans le long terme, se décline en une multitude de micro-contrats assurant sur le champ aux fichés une relative équité dans le libre (?) échange.

Cet individu-consommateur, pièce maîtresse du dispositif et objet de désir de tous les marketeurs du monde, nous voulons l'associer à nos réflexions sur les enjeux culturels de l'informatisation. Pour cela nous entendons travailler aux bases d'une éducation citoyenne aux technologies de l'information qui trouve, le cas échéant, à se diffuser en dehors des institutions éducatives officielles et qui amplifie, par une prise de conscience, ce que l'individu consommateur a aussi d'individu-citoyen. Ce colloque, où nous espérons aussi rencontrer de nombreux informaticiens, y contribuera, j'en suis assuré.

Propos recueillis par Pierre Berger

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Actualité de la semaine

La stratégie de Gilles Kahn pour l'Inria

Rassembler des chercheurs créatifs et entreprenants, c'est en un mot la stratégie que Gilles Kahn, nommé président de l'Inria le 27 mai dernier, a présentée au cours d'une conférence de presse le 15 juin. Les grands objectifs du plan stratégique 2003-2007 de celle-ci ne lui sont pas étrangers puisqu'il était directeur scientifique et faisait déjà partie du conseil d'administration.

L'institut compte aujourd'hui 3000 personnes dont un tiers de fonctionnaires titulaires, un tiers de contractuels, (parmi eux plus de 120 post-doctorants dont la durée moyenne de séjour est légèrement inférieure à un an), et 850 doctorants ("qui doivent être mieux payés", note le nouveau président). Le budget est 130 millions d'euros. Trois quarts viennent de la dotation de l'Etat, le quart restant de contrats. La croissance de 2000 à 2003 a été significative. L'institut a en effet obtenu dans son contrat quadriennal avec l'Etat, une augmentation de 40 à 45% étalés sur quatre ans. "2004 ayant une situation de plateau, nous demandons au gouvernement de repartir sur la même trajectoire," déclare Gilles Kahn.

De quoi maintenir les moyens, sans cependant empêcher le stress d'augmenter…"Les Stic seront au cœur de la science et des innovations des prochaines décennies. Leur rôle ne peut aller que croissant. La compétition mondiale est intense, l'Asie est mobilisée. La recherche industrielle qui ne fonctionne pas dans un modèle taylorien se localisera auprès des pôles d'excellence : formation , recherche, innovation, focalisation. Une croissance soutenue de l'effort de recherche dans ce domaine reste indispensable. La France et l'Europe, trop lentes, doivent redéployer."

La vocation de l'institut est de rassembler des chercheurs créatifs et entreprenants : des personnalités de tout premier plan mondial, de jeunes responsables d'équipes de recherche, des chercheurs venus du monde entier (actuellement un tiers du recrutement est étranger, moitié Europe moitié reste du monde). Il s'agit d'être "fair play" et d'évaluer les performances au plan international. Après avoir attiré des gens brillants, il faut permettre aux chercheurs d'être compétitifs, dans des lieux propices à la stimulation intellectuelle, Loria, Rocquencourt, Rhône-Alpes, Irisa, Sophia Antipolis. Pas de mégacentres supérieurs à cinq cents personnes étant donné l'atmosphère qui doit régner.

"Nous devons concentrer des moyens, définir des thèmes prioritaires pour faire émerger des pôles d'excellence. Travailler en partenariat : universités, écoles, organismes, entreprises."

Questionné sur l'opportunité d'un statut unique enseignant-chercheur, le nouveau président répond :" Tout doit être fait pour faciliter les échanges. Mais faut-il pour autant fabriquer un système centralisé uniforme? Je suis beaucoup moins convaincu. L'élément fondamental est d'assurer la mobilité des personnes, politique d'accueil et d'échange que nous souhaitons amplifier. Les universités ont fait de gros efforts pour accueillir les étudiants. Leur qualité n'a cessé d'augmenter. Nos relations avec les universités participent de la construction de pôles d'excellence. De même, la coexistence de deux modes d'organisation, Inria et CNRS est une richesse pour notre pays. Il y a beaucoup de conversations communes avec le CNRS…"

"Faire des  choix est impératif pour conserver une place pour l'excellence sans contraintes." Sept thèmes sont définis :
- concevoir et maîtriser les futures infrastructures des réseaux et des services de communication :( tout ce qui tourne autour de la communication longue distance ou locale, du sans fil aux grilles de calcul),
- développer le traitement des informations et des données multimédia,
- garantir la fiabilité et la sécurité des systèmes à logiciel prépondérant. (La sécurité, en outre, est un sujet très transversal, reconnu comme devant être stimulé par le gouvernement ),
- coupler modèles et données pour simuler et contrôler les systèmes complexes (météo, climat, environnement, haute performance),
- combiner simulation visualisation et interaction,
- modéliser le vivant (génomique, organes, systèmes) en interaction avec les sciences du vivant et dans leurs implications dans le monde médical,
- intégrer pleinement les Stic dans les technologies médicales.

L'Inria n'est pas un fabricant de logiciels. Cependant, "nous voulons mieux comprendre dans nos productions le statut des différents logiciels que nous produisons. Savoir lesquels auront une diffusion internationale, pour rendre ces logiciels plus fiables et construire des logiciels phares dans lesquels nous investissons de manière plus grande et que nous soutenons à plusieurs."

Travailler et dialoguer avec les entreprises est un héritage de 30 ans pour un institut qui avance sur trois fronts: approfondir et développer les partenariats avec les grands industriels, Alcatel, France Telecom, Nokia, Philips, Sun, etc.. Favoriser la création d'entreprises innovantes.  23 essaimages ont réussi et sont en vie à ce jour. Favoriser l'apparition de nouveaux utilisateurs avec les standards et une politique d'Open Source.

Gilles Kahn regrette que les relations avec les PME ne soient pas ce qu'elles devraient être, mais se réjouit de mesures récentes qui ont un effet de levier pour les PME comme l'exonération des charges pour le personnel R&D des jeunes entreprises innovantes, ou la revitalisation par l'Anvar d'une procédure d'aide au transfert.

Telles sont les principales directions indiquées par le nouveau président, qui souhaite consolider l'institut sur la scène mondiale, réussir l'Europe, développer des partenariats avec l'Asie et participer à des projets scientifiques d'envergure planétaire.

Mireille Boris

Le curriculum vitae.

Appel à manifester le 25 juin

Communiqué des organisations syndicales: SNCS-FSU, SNESUP-FSU, SNPCEN-FSU, SNTRS-CGT (Cnrs-Inserm-Inria-Ird), CEA-CGT, FERC-Sup-CGT, CGT-Ifremer, SNPTES-UNSA, A&I-Unsa, SGEN-CFDT (Cnrs-Inserm-Ird), CFDT-CEA, SUD-Recherche-EPST, SUD-Ifremer, SNIRS-CGC, et du collectif Sauvons la recherche (SLR)

A l’heure actuelle, aucune garantie n’a été obtenue sur la place qu’occuperont la recherche publique et l’enseignement supérieur dans le prochain budget. Ce silence gouvernemental laisse peser les plus vives inquiétudes à ce sujet :
- Où en est-on sur le milliard promis par le gouvernement pour 2005?
- Comment atteindre le 3% du PIB en 2010?
- Que sont devenus précisément les 550 postes statutaires pour la recherche et les 1000 postes de l’enseignement supérieur?
- Quel sens donner aux Etats généraux de la recherche et de l’enseignement supérieur avec un budget 2005 vide?

A l’appel des organisations syndicales, et du collectif Sauvons la recherche, une journée nationale d'action se tiendra le vendredi 25 juin 2004 ( Pour la région parisienne : de 12h à 14h, place de la Sorbonne. Pour les régions: délégations vers les préfectures et les élus (députés, sénateurs…)), en présence de journalistes et de personnalités politiques, afin que soient publiquement explicités les besoins des laboratoires et des universités qui justifient un effort public à la hauteur de nos demandes.

Les organisations syndicales appellent les personnels à se réunir dans les laboratoires et services, en assemblées générales, avec des votes, des motions vers les élus de la population. Un rendez-vous est demandé au Premier ministre.

Le site du SNCS


Théories et concepts

Gouvernance d'Internet

Louis Pouzin (Eurolinc) signale que les contributions présentées au colloque tenu le 12 février à Paris sur la gouvernance internet sont disponibles sur la toile.

D'autres articles sur la gouvernance se trouvent sur le site Cecua.

Une autre manifestation, Egeni, va avoir lieu le 1er juillet à Paris. C'est la 3ème édition d'un sommet annuel sur la gouvernance et les noms de domaines de l'internet. Programme et inscriptions.


Enseignement

Un ordinateur portable à crédit pour les étudiants

Le ministère de l'éducation nationale proposera aux étudiants, dès le mois de septembre 2004, une formule de crédit leur permettant d'acheter un ordinateur portable pour un euro par jour (« soit le prix d'un café », précise François Fillon dans une interview accordée au journal Les Echos). Le ministère a conclu des partenariats avec des établissements bancaires, des éditeurs de logiciels et un grand nombre d'universités.

Voyage dans l'espace

Une réussite du logiciel libre pour l'enseignement : Celestia : voyagez dans l'espace. A destination des professeurs de physique, de SVT, de mathématiques et de tous les apprentis astronomes, il s'agit d'un logiciel coopératif initié par Chris Laurel, à Seattle. De nombreux développeurs l'ayant rejoint. Ce logiciel libre et gratuit peut être téléchargé sur le site dédié à ce logiciel.

"Vous pouvez vous déplacer dans les quatre dimensions et visiter le système solaire, les étoiles lointaines et même sortir de la galaxie. Vous pouvez assister à des événements présents passés ou à venir (éclipses, comètes, passage de Vénus devant le soleil (8 juin 2004)). Le logiciel, tout en anglais, dispose aussi de séquences pédagogiques. Il faut quand même quelques heures pour le prendre en main, mais ses ressources sont très nombreuses et les applications pédagogiques intéressantes". (extrait de Maison des enseignants, qui propose une documentation sur ce produit). .

Quatrième édition des prix eLearning

European schoolnet et Young digital Poland, partenaire principal de l'événement en 2004, invitent les enseignants et les établissements scolaires à envoyer leurs projets TIC aux Prix. La principale catégorie récompensera les trois meilleurs exemples d'utilisation innovante des technologies de l'information et de la communication pour l'enseignement (Tice) dans les établissements scolaires d'Europe. Cette catégorie principale comprendra un premier prix, un deuxième prix et un troisième prix. Outre cette catégorie, des catégories spéciales sont également ouvertes.

European schoolnet est un réseau international de quelque 20 ministères de l'éducation européens. Son objectif majeur est d'élaborer des méthodes d'apprentissage pour les établissements scolaires, les professeurs et les élèves d'Europe. Le site.

Cours en ligne d'informatique

Le site de l'université Lyon I recense les cours en ligne notamment sur les thèmes suivants :
- cours de réseaux - niveau maîtrise informatique,
- cours et annales de TurboPascal, C et analyse numérique - niveau DUT,
- cours d'informatique - niveau ingénieur,
- cours et annales de programmation - niveau DEUG techniques industrielles
- divers cours (C++, JAVA, UNIX, ...) de l'université de Marne-la-Vallée et nombreux liens

Rubrique animée par Jacques Baudé


Dans les entreprises et les administrations

Le JO électronique a force loi

La version électronique du Journal Officiel est disponible (sur le site www.legifrance.fr) et possède la même valeur juridique que sa verson papier, indique "Le Journal d'ADeLE" N° 3 (Jeudi 17 juin 2004). Signalé par l'Adele.

La recherche en pratique

Fondations de recherche

François d'Aubert, ministre délégué à la Recherche, "a présenté le 16 juin 2004, au cours d’une conférence de presse, les premières fondations de recherche." Le ministre a apporté dans son discours, des précisions sur l'avancée du travail réalisé, avec les partenaires industriels. Il a souligné à quel point il était important pour le Gouvernement "d’amplifier le rôle des fondations dans le financement de la recherche". "Cette première vague couvre des thèmes scientifiques importants : la santé, l’aéronautique et l’espace, l’économie et la finance, l’alimentation, la sécurité routière…" Le ministère a mis en ligne également un document qui présente les premières fondations d'utilité publique de recherche et toute une série de fiches pratiques à télécharger (modèles de statuts, fiche sur la fiscalité...). La vidéo de la conférence de presse est retransmise sur le site. Le discours.

À lire aussi, l'article Aide à la création de fondations de recherche, dans l'édition du 13 février 2004 de SG Hebdo.

Le programme Oppidum (sécurité signature électronique, cryptographie, carte à puce etc.).

Oppidum s'adresse à des projets de recherche et de développement dans le domaine de la sécurité des systèmes d'information, avec pour objectif :
- de soutenir la dynamique industrielle de ce secteur,
- de proposer des outils de la confiance pour le développement de la société de l'information.
La date limite de dépôt des dossiers est fixée au vendredi 4 juin à 16h

Manifestations

Consultez le site des associations membres de l'Asti, où vous trouverez les manifestations qu'elles organisent.

Villette numérique, deuxième édition

Rendez-vous à dimension internationale, Villette numérique (du 21 septembre au 3 octobre) sera structurée cette année autour de deux grandes expositions et d' événements témoignant de la diversité des expériences aux frontières de l'art contemporain, du cinéma, de la musique, de la danse, du théâtre, de l'architecture et du jeu vidéo. On peut consulter l'ensemble de la programmation sur le site internet Villette.

Détente

Pendule

Inutile et addictif !

L'équipe de Stic-Hebdo : Directeur de la publication : Jean-Paul Haton. Rédacteur en chef : Pierre Berger. Secrétaire général de la rédaction : François Louis Nicolet, Chefs de rubrique : Mireille Boris, Claire Rémy et Armand Berger. Stic-Hebdo est hébergé par le LRI et diffusé par l'Inist.