Stic-Hebdo |
No 28. 27 septembre 2004
Sommaire : Trois questions à Jérôme Damelincourt, Robopolis| L'actualité de la semaine | Théories et concepts | Enseignement | | Manifestations | La recherche en pratique | Le livre de la semaine : Identification des schémas |Détente
Il y a deux catégories de passionnés de robots. Les passionnés passifs, que les robots font rêver, y sont attirés par la science-fiction, les jouets, les robots de collection. Et les passionnés actifs, qui veulent construire ou programmer leur robot."
Stic Hebdo : Vous organisez des Journées "Rencontre et découverte" du 9 au 23 octobre, en partenariat avec Sony, sur le thème Aibo, dans le cadre de votre boutique spécialisée. Quel a été votre itinéraire jusqu'à cette action de promotion très ouverte de la robotique ?
Jérôme Damelincourt : Les robots sont pour moi une passion qui remonte à la sixième. Ma professeure de français m'a dédicacé un livre "J'espère que tes rêves de robots se réaliseront".
En 1996, à 27 ans, j'ai décidé de reprendre mes études : DUT en formation continue puis ingénieur UTC en génie informatique, filière "management des produits innovants". Quant j'ai eu fini mon cycle d'ingénieur, une thèse m'a tenté, notamment dans le même esprit que le stage que j'avais fait, au milieu de mes études (au niveau bac + 3) en neuro-cybernétique à l'Ensea (Ecole normale supérieur d'électronique appliquée, à Cergy Pontoise), pendant lequel j'ai programmé des réseaux neuronaux sur des robots. Mais finalement je me suis orienté vers le marché du travail.
Je suis donc entré dans une start-up, à vrai dire axée sur les technologies avancées, puisqu'elle avait été fondée par un directeur de recherche, et comptait cinq docteurs ou doctorants sur un effectif de 25 personnes. J'y suis resté comme chef de produit jusqu'en 2001... mais l'entreprise est "allée dans le mur".
Entre temps, j'avais collaboré au magazine Micros et robots et créé le portail "Vie artificielle". Quand je me suis retrouvé au chômage, j'ai commencé à me poser des questions sur mon avenir. Et la notoriété du site m'a conduit à poursuivre en ouvrant un magasin en mai 2003.
S.H. Une boutique grand public dédiée aux robots. Est-ce bien raisonnable ?
J.D. Tout le monde a envie de construire des robots, ou de jouer avec eux... et jusqu'ici personne en Europe ne leur proposait rien, alors qu'il y a depuis longtemps une boutique sur le thème... de la vache (NDLR : près du Forum des Halles). Les distributeurs de composants électroniques proposent des kits, mais leur caractère technique est tellement marqué que l'amateur sans compétence particulière n'aura jamais l'idée d'y rentrer. Nous, nous avons ouvert un espace spécialisé, mais ouvert aussi aux débutants qui nous disent "Ah, oui, j'ai toujours eu envie de construire mon robot".
En fait, il y a deux catégories de passionnés de robots. Les passionnés passifs, que les robots font rêver; ils y sont attirés par la science-fiction, les jouets, les robots de collection. Et les passionnés actifs, qui veulent construire ou programmer "leur" robot. Il s'agit d'étudiants, enseignants, chercheurs, cadres techniques ou ingénieurs. J'y inclus ceux qui veulent participer à la coupe M6, compétition qui oppose tous les ans les écoles concernées et leurs étudiants. (Cette année, le thème est le rugby.)
Afin de satisfaire ces deux catégories, il nous fallait un vaste espace, pour présenter aussi bien des pièces détachées que des robots tout assemblés, mais aussi des ouvrage techniques et scientifiques, voire philosophiques et littéraires, car ma formation a porté notamment sur les sciences cognitives. Je ne suis donc pas insensible aux thèmes du genre "un robot peut-il penser ?".
Nous vendons des produits de 5 à 2000 euros pièce. Tous ces produits existaient déjà, mais nous les avons regroupés dans un espace unique, et situé dans un quartier central de Paris (NDLR : en l'occurrence, près de la Bastille, dans un quartier marqué par une longue tradition de créativité personnelle orientée vers la technique).
Je voulais l'anti "magasin électronique" : le débutant doit rentrer et se sentir chez lui. Et trouver en permanence du conseil. Nous sommes deux ingénieurs presque en permanence dans le magasin. Les clients, voire les simples visiteurs, repartent satisfaits et le bouche à oreille construit notre clientèle.
Le marché de l'enseignement représente déjà 30% de notre chiffre d'affaires. A son intention, mais cela peut intéresser aussi les laboratoires de recherche, nous élargissons par le haut notre gamme de robots programmables. Nous avons déjà les K-Team et la famille Mindstom de Lego. Celle-ci peut être utilisée à partir de douze ans. A cet âge, on s'en sert simplement par assemblage de briques, dans la logique de ce jeu. Mais elle se prête aussi à des projets de haut niveau puisque l'on peut télécharger plusieurs langages de programmation sur la Toile, y compris C et Java (pour lequel un livre a été publié).
S.H. Comment s'inscrivent les journées Aibo dans votre stratégie ?
J.D. L'événement est caractéristique de notre stratégie "tous publics", et ces journées sont importantes pour l'avenir de la robotique et pour nous en particulier Nous sommes revendeurs exclusifs de ces produits en France, hors ventes sur le web. (NDLR : Ces journées auront lieu peu après les journées portes ouvertes du laboratoire Sony CSL de Paris).
Nous présenterons tous les modèles qui ont été commercialisés en Europe, plus d'autres encore inconnus ici. Nous les mettrons en scène dans une gamme de scénarios adaptés à nos différents publics, depuis le Petit chaperon rouge jusqu'au match de foot opposant plusieurs robots. Nous pourrons parler recherche à un chercheur, musique à un musicien, foot à un enfant, compagnie à une personne âgée. Nous pourrons répondre pointu à une question pointue, "flat" à une question élémentaire.
Ces produits, qui font partie de la stratégie de communication de Sony, intéressent de nombreux publics, y compris le troisième âge. Nous avons vendu en 2003 un Aibo à une personne de 74 ans. Elle ne le considère pas comme un jouet, mais comme un animal de compagnie. Elle venait de perdre son chien et, à son âge, ne voulait pas prendre à nouveau un animal, ne sachant ce qu'il deviendrait si elle devait être hospitalisée. Le robot lui a donc paru un bon compromis. Il assure une présence dans la maison, il fait de petites musiques, vient voir son maître, surveille un peu l'environnement. Elle l'a maintenant depuis plus d'un an, ne s'en lasse pas et adore en parler (La seule difficulté viendrait plutôt de son entourage qui, comme c'est le plus fréquent en France, conserve une attitude réservée à l'égard des robots).
Après quelque trente ans, les robots me passionnent toujours. Mais ce n'est plus un rêve !
Propos recueillis par Pierre Berger
D'un côté, la conférence annuelle JFPLC (Journées francophones de programmation logique et de programmation par contraintes) était organisée par l'AFPLC, issue en 1998 de l'AFPC fondée en 1995.
De l'autre, la conférence annuelle JNPC (Journées nationales pour la résolution pratiques de problèmes NP-Complets) était née d'un groupe de travail national en IA. Elle était le lieu naturel de rencontre des chercheurs et praticien français travaillant sur la résolution de problèmes complexes. Elle était organisée par un comité informel renouvelé chaque année.
Depuis 1998, la tenue des deux conférences au même endroit a mis en évidence de nombreuses relations et liens entre les membres des deux communautés du fait de la similarité des problèmes abordés et des techniques utilisées. La question de la fusion des deux conférences est donc naturellement apparue. Ainsi, cette année, l'idée d'une unique association représentant les deux groupes initiaux s'est concrétisée, la nouvelle association organisera une conférence unique, les JFPC, dont la première édition aura lieu à Lens en juin 2005.
Les sujets couverts incluent la programmation logique et la programmation par contraintes, les problèmes de satisfactions de contraintes aussi bien continus que discrets (SAT, CSP, etc.) (NDLR : SAT pour satisfiabialité, explication sur le site de Frédéric Lardeux, et CSP pour Constraint satisfaction problems) , la programmation mathématique et l'optimisation combinatoire.
L'association est dirigée par un conseil d'administration de 17 personnes dont le premier président est Narendra Jussien (Lina, Laboratoire d'informatique de Nantes Atlantiques, Ecole des Mines de Nantes) et le vice-président François Fages (Inria). Elle a ouvert un nouveau site web . Elle représente en France l'ALP (Association for logic programming).
Au Menesr
- Budget de l'enseignement
supérieur. On peut y lire : Par ailleurs, un effort tout particulier
(163 millions d’euros d'autorisations de programmes et 131 millions d’euros
de crédits de paiement) est prévu pour permettre l’accélération
du chantier du campus Jussieu. Ainsi, 21 barres, sur un total de 38, auront
été désamiantées courant 2005. De plus, la construction
d’un bâtiment pédagogique de 16 000 m2 se poursuivra. Ce
bâtiment permettra d’accueillir les étudiants pour libérer
les zones non traitées, favorisant ainsi l’accélération
des travaux de désamiantage. L’effort sur le chantier du campus
Jussieu va de pair avec la construction des futurs locaux de l’université
Paris 7 sur la ZAC Paris Rive Gauche (premières livraisons en juin 2007)
- Enseignement scolaire
Pour la seconde fois en un an, des chercheurs du Oak Ridge national laboratory (Tennessee) ont repoussé les limites de l'observation de l'infiniment petit. A l'aide du microscope électronique à balayage du laboratoire, l'équipe a pu observer des paires d'atomes de silicium dans un cristal avec une résolution de 0,6 Angström , contre 0,7 Angström pour leur précédent record. Cette nouvelle étape dans l'étude de la matière à l'échelle atomique - la plupart des atomes ont un diamètre compris entre 1 et 4 Angström - a été rendue possible grâce à la collaboration de la société Nion (Washington). Celle-ci a en effet fourni une technologie de correction des aberrations qui a permis d'éliminer certaines erreurs d'imagerie liées aux imperfections des lentilles du microscope. En scrutant les structures atomiques au plus près, les scientifiques espèrent mieux comprendre les propriétés des matériaux et leur comportement ; certaines théories existantes pourraient ainsi être validées ou modifiées. Article Researchers set world record for image resolution d' USA To day. Signalé par l'Ambassade de France.
Trop beau, protestent les professionnels (en l'occurrence le Collège français d'échographie foetale) dans Le Monde du 24 septembre qui considèrent que le 3D n'apporte rien au plan du diagnostic et qui craignent deux choses :
- que les patientes ne remettent en question la qualité des examens
si le cabinet n'est pas équipé,
- que l'on abuse de l'échographie, avec les nouveaux "salons"
qui s'ouvrent sur le modèle américain, et proposent des images
fixes et des DVD de leur foetus en 3D, avec le danger d'exposer trop longtemps
le foetus aux ultrasons.
A notre avis, nous sommes entrés dans une nouvelle dimension des applications de cette technologie, qui n'a plus seulement une fonction médicale mais une fonction de communication affective entre l'enfant à naître et les parents (notamment le père, jusqu'ici pratiquement exclus du dialogue) voire la communauté familiale. Les risques et les abus potentiels sont possibles aussi bien pour une application que pour l'autre. Mais faut-il ne voir que les dangers ? P.B.
Les belles images fournies par cinq jeunes photographes donnent à réfléchir. Le commentaire, outre quelques constations d'évidence (notamment la possibilité de multiplier les prises de vues à coût pratiquement nul et la possibilité de voir les images immédiatement) signale quelques évolution possibles de la pratique, par exemple la visée avec l'écran intégré, et non plus le viseur optique traditionnel, fait jouer un rôle nouveau à la main de l'artiste. Enfin, la facilité du travail ultérieur, sur ordinateur et non plus en laboratoire privé de lumière, pousse à l'emploi de filtres et à la retouche, encourageant à fondre (et à confondre) la réalité avec la fiction.
Il s'agit d'une expérience originale de rapprochement entre l'école
et l'entreprise. Le dispositif IPE consiste à détacher de leur
entreprise dans les académies, à titre transitoire, des ingénieurs
et des cadres afin qu'ils puissent mettre leur expérience professionnelle
au service du système éducatif.
L'objectif est de favoriser le rapprochement entre l'école et l'entreprise
et d'accroître les chances d'accès des jeunes à l'emploi.
Le site
de l'association IPE informe sur le
dispositif, les missions, les bilans de l'association, les textes de référence,
Le label RIP (reconnu d'intérêt pédagogique) est délivré
par le ministère de l'Éducation nationale.
- De quoi s'agit-il et comment l'obtenir ?
- Liste des produits "ripés" (650 produits en septembre 2004)
- Résultats de la dernière commission du 30/06/2004 :
Le
site
Rubrique animée par Jacques Baudé
Pour les manifestations TIC en rapport avec l'enseignement et la formation, consulter le site Educnet.
Les performances des dispositifs d’imagerie utilisés dans la pratique clinique ne cessent de progresser (IRM, scanner, médecine nucléaire, ultrasons) et de nouvelles modalités d’imagerie médicale sont en train d’émerger. De même, l’imagerie moléculaire in vivo permet de révéler l’activité de différentes molécules au sein même de l’organisme.
A l’aide de l’interprétation quantitative des images notamment, de nouvelles thérapies peuvent être évaluées : cellule souche pour réparer certains tissus, thérapie génique contre le cancer, nouveaux médicaments dont l’effet est visible dans les images... De la même manière, l’endoscopie, combinée à la reconstruction en 3-D d’un organe, a de multiples applications. Enfin, le développement de nouveaux systèmes d’information en imagerie médicale coopérative permettra un meilleur fonctionnement en réseau des cliniciens pour une amélioration des soins et une performance accrue de la recherche clinique.
L’assistance au geste chirurgical a elle aussi fortement progressé dans les dernières années et reste une source de progrès considérables. Pouvant aller d’une imagerie temps réel au cours des interventions jusqu’à impliquer des intermédiaires robotisés au geste du chirurgien, elle amène des recherches avancées en vision par ordinateur. Par ailleurs, le rôle des simulateurs chirurgicaux et de la modélisation des effets de la chirurgie sur les tissus ira croissant. En particulier, les techniques de réalité augmentée, qui cherchent à superposer des images pré-opératoires, des constructions géométriques calculées et des images acquises en temps réel sur le patient lui même, permettront de disposer simultanément de l’ensemble des connaissances relatives à une intervention.
De nouveaux types de prothèses informatisées, impliquées dans la gestion du handicap, pourront aussi être développés grâce aux progrès sur la modélisation et la commande du système neuro-moteur, et plus largement, sensori-moteur. Ces prothèses permettront la rééducation ou encore l’assistance palliative d’une déficience sensorielle (cécité et surdité), motrice (para-, tétra- ou hémiplégie), fonctionnelle (miction) ou encore, la régulation de fonctions biologiques ou physiologies (diabète, parkinson, sclérose en plaques, épilepsie). La modélisation et la simulation des grandes fonctions de l’organisme et de leurs interactions, permettent, elles, d’envisager de personnaliser diagnostic et traitement : on pourra ainsi diagnostiquer des problèmes cardiaques à partir d’études personnalisées du système sanguin et respiratoire d’un patient. Dans un autre domaine, une meilleure connaissance de l’anatomie fonctionnelle du cerveau et du système nerveux central mènera au diagnostic, et plus tard, au traitement, des troubles cognitifs et neuro-dégénératifs, dont l’impact social est croissant compte tenu du vieillissement de la population.
Les travaux de recherche présentés sont issus du croisement de la médecine, des mathématiques, de la robotique et de l'informatique. Ils répondent au besoin de traiter les quantités importantes d’images médicales (issues de la neurologie, de la cardiologie, de la chirurgie, de la cancérologie ou encore des neurosciences) et de faire face à l’utilisation de plus en plus fréquente de ces images dans le cadre d’interventions radiologiques et chirurgicales (à travers des procédures robotisées par exemple).
La vocation de cette conférence est de garder un niveau scientifique d’excellence tout en ouvrant l’accès à un public large (étudiants, nouveaux chercheurs du domaine, recherche clinique, industriels) par le biais de communications courtes et de cours avancés donnés par les meilleurs spécialistes mondiaux du domaine. L’organisation des sessions scientifiques permet à tous les participants de suivre l’ensemble des thématiques abordées. (D'après le communiqué des organisateurs).
Identification des schémas, par William Gibson Editions du Diable Vauvert.
Pourquoi les éditeurs français n'ont ils pas traduit le titre original Pattern recognition par l'habituel "reconnaissance des formes" ? Il aurait du moins été mieux compris par les lecteurs de Stic-Hebdo. Le mot "forme" est sans doute un peu étroit ici, puisque ce sont les marques (au sens commercial, celles de la mode) qui occupent le devant de la scène, mais pas tout l'espace. "Schémas" fait plutôt penser au cours de physique, bien éloignés du lyrisme cosmique de cet ouvrage comme de tous ceux de Gibson.
C'est Neuromancer (Penguin 1984) qui a lancé Gibson, histoire cyberpunk dopée aux implants électroniques : on complète son cerveau naturel par simple piercing à l'oreille d'un bijou qui serait aujourd'hui une sorte de clé USB. Mais il fait oeuvre de romancier et non de technicien, et avec Idoru, (Penguin 1996) met surtout en avant l'univers des "images". L'héroïne est ici une spécialiste des marques et logos, embarquée malgré elle dans la chasse à l'auteur d'un mystérieux film qui paraît anonymement, par séquences en ordre aléatoire, sur Internet. De Londres à New York, de Moscou à Tokyo elle traque ce mystérieux auteur, qui se résoud à l'intersection du grand banditisme et d'un sentimentalisme proche des "roses blanches".
Nos lecteurs n'apprendront évidemment rien de technique dans un tel voyage. Les passionnés d'émergence seront même un peu déçus de ne pas voir, ne serait-ce qu'évoqué, l'idée d'une apparition spontanée de "schéma" dans ce vaste bouillon de culture. Ou alors elle est trop bien cachée. Mais, tout imprégné de technologie qu'il soit, c'est aux humains que l'auteur s'intéresse. Et l'on peut considérer son improbable scénario comme l'émergence d'une forme humaine inattendue ... En tous cas, le livre rend psychologiquement sensible la domination des symboles sur notre monde de brutes, comme le savent trop bien hélas les parents qui doivent équiper leurs rejetons à la rentrée scolaire.
Enfin, la qualité de la traduction (Cédric Perdereau) est telle qu'on résiste souvent à la hâte de savoir la fin pour savourer telle ou telle page où la poésie de Gibson se transpose à merveille dans la langue du prix Goncourt. P.B.
Le site personnel de Gibson est directement orienté vers la vente (des éditions américaines). Il y a ouvert un blog... mais l'a refermé il y a un an, déçu. Plus globalement, chacun trouvera aisément sur son moteur de recherche favori des points de vue et critiques sur ce nouveau classique de la SF sticienne;
Zoomez sur votre petit coin de planète avec Earthsat .
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