Roxame exposée à Maisons-Laffitte
Un écran type de Roxame vers 2012
-version H
J'en ai envie. Je ne me doute pas (c'st toujours ainsi) que ce serait accepté aussi facilement. Je me crois encore, à LMI, come au temps de Montel et Poupaert, avec qui j'étais tellement en phase que je me sentais "the right man in the right place". Ce qui n'était pas illogique tant que le journal gardait la ligne "système d'information".
Pourtant, le rédacteur-en-chef François Jeanne est clair "Tu es celui
qui as rendu les plus grandsservices .. ". Et non plus "celui qui rend le plus de
services". J'entre assez mal dans ses projets;
Pour lui les essentiels sont Desmedt et ..., qui me
détestent. Il aurait sans doute aimé que je ne participa
pas au séminaire dans le Nord de Paris. Et puis, mes soucis avec Cyril ne me
mettent pas au meilleur de ma forme. Je me perds dans mes papiers.
Je ne suis pas trop inquiet de la transition.
Les calculs montrent que le niveau de ma retraite sera suffisant pour continuer
le même type d'existence. Une série de projets en cascade : club de
l'hypermonde, études dd mats dans la ligne de LILH et en dernier recours, la
peinture.
Pas de problème, donc. Le chèque de départ en
retraite, en septembre 1999, facilite la transition financière.
Je crois assez longtemps que le club HM sera
le cœur. Mais une certaine lassitude, l'agressivité inattendue (et pourtant pas
imprévisible) de Berloquin et Bois m'obligeraient, si
je veux garder la barre, à une action violente.
Un peu par hasard, l'Asti m'ouvre les bras comme VP COm,
je propose asti Hebdo... je dis que je quitterai la présidence du club/.
En fait, j'avais fait le tour de différentes
possibilités, rencontré Giuseppe. Longo sur le recommandation
de Marcel. Ce n'est pas vraiment ma voie. Le club. crise.
Je pense un moment faire une histoire des
systèmes d'information dans les entreprises. Je suis bien placé pour le faire
et j'ai de grosses archives. Mais je constate assez viet
que cela n'intéresse pratiquement personne.
Sauf quelques universitaires (Cnam, Mounier-Kuhn) ou thésards (Marquiguy ou un nom comme ça).
Donc plutôt Roxame, et l'Asti. Je ne veux pas en
devenir secrétaire général (peut-être une erreur)
Technologie
du bâtiment pour faire place nette au 24
L’Asti (2001-2005).
Asti 2001. Succès ambigu. Création d’Asti Hebdo qui deviendra Stic Hebdo (association ).
Asti 2005, aberrant. Je démissionne un peu plus tard.
A partir de 1999, L'Asti me donne l'occasion
de réaliser un nouveau site HTML, avec son hebdomadaire Asti-Hebdo puis Stic-Hebdo, dont l'ensemble s'étend sur cinq ans, avec un
substantiel dictionnaire en ligne, doté d'un bon nombre de documents.
L'Asti est intéressante
pour moi elle me permet :
- d'avoir un contact sur un pied agréable avec des gens intéressants, ne
serait-ce que pour le plaisir
- de faciliter une veille technologique autour de mes thèmes de toujours
- de me rendre utile dans secteur où j'ai de compétences reconnues
- de réaliser qqch de plaisant et de valorisant.
A. Hebdo, puis le répertoire. Rejoint mes
vieux rêves du journal des savants, puis personnalisation, etc. et mémorial...
Ce projet a un caractère intégrateur. La
presse à l'heure d'Internet. A la fois le temps réel et l'éternité, avec une
structure souple (HTML rubrique), texte ¨image, éventuellement on pourrait
mettre du son et de l'image anime quand l'environnement y poussera.
L'intégration est conceptuel
et humaine, synchronique mais aussi diachronique. Je prends soin, dès la
création du répertoire, d'y injecter tout ce que je peux d'histoire sans
investissement lourd (9/2002 : reste à injecter ma grande chronologie)
Je suis en fait freiné plutôt par ma volonté
de ne pas mettre trop de moi-même dans de truc. D'où la recherche avec le group HEI de l'Afcet et la
récupération du site de l'Hypermonde;
Intégration humaine, j'aime cela malgré me
limites en la matière
L'Asti bute aussi sur le problème général de
associations. A l'origine, elle voulait proposer une revue. Mis elle ne trouve
ni les fonds ni l'éditeur pour le faire. Et moi, dès 2000, comme VP Com, je
marque mon opposition. Je démissionne. Puis reviens quelques années plus tard
pour liquider et passer les fonds au Spécif qui, du coup, devient la SIP (selon
oi avec les mêms défauts..)
2000-2005. Vice-président de l'Asti, chargé de la Communication. Fonctionnement
complexe, et limites d'efficacité d'une structure fédérative entre sociétés
savantes.
Vers 2009 j’y reprends de l’activité en tant
que représentant du Paris-ACM-Siggraph. Je conclus
qu’il faut liquider l’Asti, et obtiens gain de cause, avec transfert des fonds
au Specif, qui se transforme alors en SIF.
Dans
l’ensemble, l’Asti me laisse de grosses décept’ions
et une image négative du monde universitaire.
Je
fais un grand bouleversemnt en 1996.
Paris
ACM Siggraph Le succès. Une lutte difficile. Mais de
puissants résulats.
J’en
deviens membre et vice-président en 2001, pour aiderr
Patrick Saint-Jean. Mais san beaucoup d’activité.
En 2005, libéré de mes tâches à l’Asti, je prends du service actif au chapitre,
et le conduis à une assemblé générale en 2006 avec un
renouvellement complet du conseil d’administration.
En
2006, je fais très temporairement un site pour le Paris ACM Siggraph,
mais il est ensuite repris, de manière beaucoup plus sérieuse et sous Plone, principalement par Pierre Hénon.
En
2017, je suis lassé des difficultés rencontrées pour faire quoique ce soit au
chapitre, qui d’ailleurs décline. Et sans donner ma démission, ne
participe plus à ses activités sauf à l’occasion un message d’encouragement.
Sortir de la solitude, coopérer
S'avère trop difficile.
Fin 2010: Lioret s'en va,
Longuet aussi en pratique, Arnaud et Xavier s'accrochent, mais finalement
laissent tomber
Reste que cela sert à des gens en périphérie.
En
2016, je reprends la présidence pour faciliter la pérennisation de diccan. Mais il n’y pas vraiment d’activité.
Pour
développer Roxame. Echec encore;
Les
Pléiades.Site. Pléiades Info.
Le siet du pS.
en quelque sorte, un nouvel inputl
l'incorporer au diccam plutôt qu'à mon cerveau
critique par accumulation du passé, comme je l'avais fait pour les utilisaeurs
En
2017, toujours actif et mis à jour, malgré certaines déceptions. En 2018, Yves
de Ponsay
vient m’apporter son concours.
2001.
Vice-président du Paris-ACM-Siggraph. Pratiquement inactif de 2001 à l'é-té 2005. Actif depuis. Instructif sur les charmes
et limites d'une petite structure, même au sein d'un vaste ensemble
international.
2001.
Membre du Comité des riverains du Chemin de Fer Deauville-Cabourg. Simple cotisant.
En
2002, bien que ne consacrant plus de temps à l'électronique - cela reviendera peut-être, je suis toujours intéressé par ces
composants, les capteurs en particulier. Par bonheur, mon petit-fils Hoël semble partager mon attrait pour ces petites choses,
et je compte passe de bons moments à réaliser de belles choses avec li. Le
week-end derniere (Noël 1999) il se brûle avec le fer
à souder. Rien de grave. C'est le métier qui rentre. Il n'est pas découragé.
De
2003 à 2015 (ou 16à . Membre du conseil syndical de la
co-propriété Les Pléïades
(80 copropriétaires). Structures
décisionnelles particulières à une coproprité (par
exemple, mode d'élection des membres), rôle majeur du syndic, difficultés de la
démocratie alors que les bénévoles sont rares et les intérêts financiers
substantiels.
Je ne me représente pas
ensuite, n’étant plus assez souvenet à Houlgate.
2003.
Président et fondateur de Gerbert à Zurich.
Fonctionnement d'une structureassociative dans un
autre pays.
L’association est liquitée vers 2010.
2004.
Membre de la SFT (Société française de terminologie). Simple cotisant et intervenant dans ses
colloques.
2004.
Membre de deux associations de parents d'handicapés. Simple participant. Et non renouvelé.
2005.
Membre de l'Afia. Simple
cotisant. Non renouvelé/
2005.
Membre d'Eurographics. Simple cotisant pour l'instant. Non
renouvelé.
2019.
Hélas, aucun de mes petits enfants ne s'intéresse à ces choses
Je
fête mes 80 ans.
En fait je me sens de moins en moins bien, avec notamment des rhumatismes de
plus en plus présents. "Sentant ma fin prochaine", j'organise donc
une fête pour mon anniversaire, et je me dépêche de publier "Roxame, la recherche d'une vie".
Mais
mon médecin, Mme Meyer, a l'idée de la Cortisone, qui me tire d'affaire.
Impression
que mes capacités baissent, en particulier la mémoire immédiate. Très gênant en
programmation.
Eté caniculaire dès fin juin.
Compte-rendu
fait pour le CA du Paris ACM Siggraph
Me
voici revenu de ma descente au coeur d'un passionnant
univers d'images, avec un scénérario qui n'a manqué
ni de suspense, ni de progression rationnelle,
ni de happy end.
Fermez les yeux et imaginez le film :
Etant allé aux urgences juste pour demander un conseil, vous vous retrouvez
quelques minutes plus tard au plus mal, au bord de la syncope, avec plein
d'électrodes partout (enfin, pas aux endroits qui appelleraient des sex toys) , des petits écrans qui
frétillent et une équipe de quatre personnes qui s'agite et finit par
vous expliquer que vous êtes en train de faire un infarctus.
Trois gros mastards en uniforme bleu et rouge débarquent... pour vous embarquer
dans l'ambulance pinpon jusqu'au centre de
coronographie d'un autre hôpital. Là, re-équipes en blouse (avec de
drôles de petits bonnets couleur bordeaux), et vous translatent avec précaution
sur... disons... la surface de contrôle. A votre
gauche, pendus au plafond sur un support mobile, quatre grands écrans encore
tout noirs. Au dessus de vous, une
sorte de télé qui se promène au bout d'une massive potence (un peu
du style Jean Arp ) et s'approche, menaçante, de votre thorax. On vous a retiré les électrodes, merci. Mais en échange on
vous a enfilé un long tuyau par la fémorale (l'artère près du fémur, pour les non initiés), qui remonte
doucement vers votre petit coeur sensible.
Là dessus, celui qui semble être le chef vous explique
tranquillement que la situation est un peu diffiile,
car la tuyauterie est passablement entartrée,
notamment dans certains embranchements stratégiques. Et quelques artères
complètement bouchées (ce qui explique vos malheurs)
Entre temps il se passe plein de choses sur les écrans, mais la caméra,
malencontreusement, vient vous gâcher le paysage. Le chef explique "Bon, ne vous inquiétez pas. On va percer des passages là dedans en gonflant des petits ballons puis en posant des
petits cylindres de grillage qui empêcheront les
spectateurs du tour de venir sur le chemin des coureurs.
A part ça, c'est quand même sympa : pas d'anesthésie générale. Le chef vous
demande régulièrement "Tout va bien, monsieur Berger". "Pas de problème, docteur". C'est vrai que vous n'avez
presque pas mal. Juste un peu froid (mais le docteur dit que c'est pour des
raisons d'asepsie). Environ 90 minutes plus tard, c'est la fin de la
séance et vos artères remarchent en HD (je voulais dire, haut débit, et 3D,
bien entendu, même si vous êtes un peu à plat).
D'autres mastards, ceux-là aux cheveux longs (des passionnés de jeux de rôle,
semble-t-il) reviennent vous chercher pour aller à la chambre. Là, super. Vous êtes mollement couché bien horizontal
(attention à ne pas plier la jambe) sur un lit confortable, et une escouade de charmantes houris viennent vous faire des choses
inavouables (Sans vous en apercevoir, seriez-vous arrivé au paradis d'Allah ).
En prime, votre torse viril a récupéré des
électrodes, accrochées là aussi à un petit écran à côté du lit (là, c'est du
2D, mais en couleur quand même) et, dès que ça couine, une des charmantes
arrive tout de suite (et tout sourire) pour consoler le pauvre malade (ouais.. ou lui piquer du sang, de vraies vampires, qui sait
?).
Si tout va bien, deux jours plus tard vous rentrez à la maison sur vos deux
jambes. Dans votre cas, c'est un peu compliqué, car il faudra une deuxième séance. En outre vos liaisons lectriques entre ventricules sont un peu lentes (problème
de bus mal adapté ? ). Mais enfin, voilà, le film se termine. Retour à la maison, avec obligation
de repos.
En prime, vous avez perdu trois kilos en huit jours. Mieux que le Dr Dukan !
Une recette à recommander : un infarctus un peu compliqué, un séjour en soins intensifs aux frais de la sécu, et le tour
est joué.
Malheureusement, vous n'aviez pas emporté votre caméscope et ne pourrez donc
pas présenter votre film à Siggraph 2011. Aie.
Dommage. Du coup vous vous sentez mal... Mal !
Malaise ... Maintenant vous connaissez la musique : "Allo, le 15, on
repart pour un tour", et cette fois vouz allez emporter une caméra, et aurez peut-être le temps de
faire le montage avant le
deadline (si vous n'êtes pas dead tout court d'ici
là).
P.S. 1. Pierre H., j'entends le Samu qui arrive, dis-moi vite quel format
vidéo ils veulent au Siggraph, que je parte ce coup ci avec le bon matos.
P.S. 2 : A la réflexion, c'est peut être un bon
scénario pour un projet d'école. Si une équipe de nos chers étudiants est
intéressée, je le lui vends pas cher et je peux
donner les conseils d'un homme d'expérience. Si ça se trouve, le Samu
sponsoriserait.
Mon premier programme sur PET fut une sorte
de générateur graphique, mais hyper élémentaire. Xam1 va beaucoup plus loin
dans ce sens. Avec déjà toute une série de générateurs et quelques évaluateurs,
et un langage de macro qui, dans certains cas, donne déjà d'assez plaisants
résultats. Une des butées ici est venue de la diversité des cartes graphiques
et leur diversité de comportements à l'égard de palettes. On espère que Windows
permettra un meilleur contrôle.
Début du travail au printemps 2001. Au départ
simplement sur l'idée que je voulais me faire un mini-parseur de XML.
Et puis le virus m'a repris, en constant que j'arrivais mieux que je ne
craignais à relancer Xam sous Windows. D'abord Xam 7, puis Roxame
Le post-humanisme A l'opposé de l'intégration
personnelle, du SIP, mais dans le sens de Max réflexion sur les deux
conformités
Mais au bout de 5 ans, Roxame
bute, je vais fonder les Algoristes On reprendra en
2017 ! A partir de 2000, en parallèle, je commence à développer mon logiciel de
peinture Roxame, d'abord en C++ puis en Processing,
avec des essais en Java. Vers 2003,
En 2016-17, je reprends le développement,
cette fois en remplaçant le hasard par les data.
Roxame.2 est surtot
orientée Diccan, Roxame.3 reprend les développements.
En 2018 je l’utilise pour ma comptabilité.
Mon bureau au 2A. En 2018.
Jeter des livres (photos de brocante).
2014. Scan des albums, des docs, de la totalité du journal.
Archiviste pour les Berger comme pour les Alarcen.
Automatismes: essais de domotiquer.
Vers 2005, les prix
baissant et mes finances s'améliorant grâce à l'héritage de Line, je
fais numériser tous les films existant à Maisons-Laffitte, qu'ils viennent de
mon père (le plus gros) ou de la famille Alarcen.
Enfin, en 2010, pour faciliter la
transmission de mes précieues données à mes
descendants, je monte à nouveau un site personnel reprenant l'ensemble de mes
informations. La "face avant" est un "dictionnaire critique des
arts numériques". Mais je stocke dans ses caves, si je puis dire,
- une récupration du site de l'hypermonde
- une récuparation du dictionnaire "Asti",
d'Asti-Hebdo et de Stic-Hebdo
- l'essentiel des grands articles que j'ai publiés ou de mes notes internes
- (à l'étude) l'ensemble de ma base d'articles au monde informatique
et, last not the least, mais sous une forme suffisamment
protégée : mes mémoires !
Raisons du projet : mieux intégrer l'ensemble
de mes données et applications, notamment diccan, Roxame, mémoires et archives familiales.
Au coeur : créer
une base de données donnant accès à tous mes fichiers et permettant
- de répondre à des requêtes fournissant les données pertinentes
- d'organiser ces données sous différentes formes, notamment en utilisnt les algorithmes de Roxame.
Volumes : 200 Go, essentiellement des textes
et des photos (quelques fichiers Excel, audio, vidéo et présentations), se
répartissant comme suit :
- site web (diccan,
club de l'hypermonde, Asti) : 50 Go, 55 000 fichiers
- famille : 45 Go 25000 fichiers
- personnel 10 Go
- Roxame 15 Go 16000 fichiers
- Divers 80 Go
Evénements déclencheurs :
- J'arrivais au terme d'une intégration globale de forme hypertexte. A partir
d'un fichier "home" général, pouvoir accéder à tout par des fichiers
HTML et des liens. Mais cela devenait lourd et fastidieux, notamment pour diccan.
- Mon frère Jean-Marie me dit "Ce qui serait super, ce serait de faire un base de données des photos de famille".
- Une interrogation générale sur la manière de survivre à l'ère du Big Data et
de l'oveflow de données.
- La lecture du livre de Marz
et Warren "Big data. Principles and best practices" (Manning 2015), avec son axiomatique de base que
l’on peut résumer “Les données de base sont des atomes primitifs et
immortels que l’on ne peut voir à l’œil nu”.
Etat du projet au 1/10/2015
- 36000 lignes de données, de structure rigide à gauche (année, domaine, lieu)
et de plus en plus souple vers la droite, soit la presque totalité des fichiers
d'image, une petite partie des fichiers de texte, et des lignes valant pour
elles-mêmes, sans liens (notamment pour la chronologie générale et la
bibliographie)
- canal programmé d'entrée des nouveaux fichiers de texte ou d'image
- quelques routines d'interrogation et de mise en forme "artistique".
Les idées ur
l’informatique
A l'opposé de l'intégration personnelle, du
SIP, mais dans le sens de Max
réflexion sur les deux conformités
A
digital universe ( 2001-2010)
Vaste chantier, où les tranchées sont encore largement ouvertes, sinon les tas
de gravats envahissants. Un lecteur aventureux y trouvera peut-être d'utiles
matériaux.
Pour un
humanisme constructiviste. 2002. Darwinisme ? Une seule âme !
Histoire des systèmes d'information
. (Conférence à l'Institut Bull).
Musée
numérique. Un peu faible, trop conceptuel. Publié dans une revue.
Aménagement linguistique. Ma
vie de journaliste en informatique me confronte en permanence au problème des anglicismes; Ma rencontre avec, fondateur de la Société
Française de Terminologie, me conduira à ce concept et à ce texte. Au moment où
je l'ai écrit, l'expressions sentait un peu le soufre, m'a-t-on dit. Depuis, la
Société y a consacré un colloque (du moins aux politiques linguistiques, à
vérifier), auquel je n'ai malheureuseenet pas pu
participer.
Le juge. Revoir élémentgs
dans DU
Roxame
(2000-2005) Désespérant de percer comme philosophe, je me replie sur une
version informatique et "peintre" de Max. Je l'appelle d'abord simplemenet Xam, en considérant
que c'est la petite soeur de Max. (Ce que ma fille me
reprochera d'ailleurs. Jalousie... ). Mais un tour sur
Internet me montre que ce nom est fort répaandu. Je
cherche donc à innover avec "Roxame", pour
"Robot qui a une âme" (écho à l'âme digitale, expression qui traverse
mon livre de 1999). On peut considérer Roxame comme
une sorte de "test de Turing" pour une version artistique de l'intelligence
artificielle; Sur le plan théorique, je pense avoir
réussi. Certainement pas sur le marché de l'art. Mais, comme me le dit mon ami
Trois Carrés, il aurait fallu me consacrer à plein temps à cette percée sur le
marché. Je n'en ai pas eu envie, et ai préféré sur mon univers digital. Dans ce
cadre, quand même, j'écris l'assez substantiel Peinture et machine, que je compte
reprendre (compléments, corrections), dans l'avenir.
Mode
d'emploi de Roxame (exclusivement à titre
indicatif, sans garantie de fonctionnement)
- Le dictionnaire des Stic (Gerbert)
- Le dictionnaire de Roxame.
Celui-là est particulier, et est en soi un travail de recherche, car il est
fait d'abord pour être utilisé par le logiciel Roxame,
et en second lieu seulement comme un outil de documentation. La version HTML
(utilisée ici) est générée automatiquement par Roxame,
à partir du fichier .txt qui est utilisé normalement pour son travail
L'informatique "ambiante" (depuis 2005).
La prospective recommence à m'intéresser. Sur
une proposition de mon frère Joël, qui répond à une demande de l'Ordre de
experts comptables, je contribue à la récation de 2028 ?
Jeux
collectifs (communication aux journées ICSSEA, 2008) : Les jeux massivement
multi-joueurs en réseau comme plates-formes de développement.
DAI : Digitally augmented identity.(communication à Laval Virtual, 2010). Art, identité,
digitalisation (Texte non public, voir Actes de Laval Virtual).
Les Algoristes
(2010) Texte écrit sur une suggestion d'Alain Lioret.
.
- Le dictionnaire critique des arts numériques.
La religion
Ma relation avec la religion a suivi un
itinéraire qui reflète aussi bien une évolution personnelle qu'un changement
profond de l'Eglise et de sa position dans le Monde.
Pendant toute ma jeunesse, un grand consensus
familial, élargi à la plus grande partie de mon milieu social, met la religion
au premier plan. A la fois par les réels succès qu'elle obtient et par le voile
jeté sur ses points faibles. Il suffit de rappeler l'indulgence extrême dont
ont bénéficié les autorités ecclésiastiques à la Libération pour situer ces
enjeux. Le parcours dans les paroisses de la Vierge du Bon Retour (quelque
chose comme cela) a suffi a
faire oublier la complaisance marquée par l'Eglise au Maréchal jusqu'aux
dernier moment, même après le débarquement de Normandie !
Je doute qu'il faille aller jusque là. En tous cas dans mon cas personnel.
- La terre que nous habitons, et l'humanité
plus encore, sont extrêment improbables. Il y avait
bien peu de chances qu'ils apparaissent dans l'univers, et ils auraient dû,
statistiquement, disparaître depuis longemps. Les
hommes sont en moyenne trop bètes et trop méchants
pour mériter de subister. Alors, puisque malgré
toutes les prévisions rationnelles, ils subsistent depuis des millions
d'années, il n'est pas déraisonnable de parier sur le fait que cela continuera
encore pendant assez longtemps, malgré les multiples raisons qui poussent à
prévoir leur fin prochaine.
- L'athéïsme n'est
pas très facile à vivre, dit-on. Cela dépend pour qui. Pour une grande parie des humains, et de Français, le problème de Dieu ne
se pose pas, en dehors des problèmes que peuvent leur poser les croyants.
- Alors que faire ? Sur quels principes baser
mon action, orienter ma vie. J'en disserte assez longuement dans mon livre
"L'informatique libère l'humain". Il y a une pyramide de motivations.
Dans mon cas particulier, en décembre 2010 :
- le premier problème est de ne pas trop déranger ma famille ni l'environnement
au sens large. Comme disait ma grand-mère Gandilhon
"Quand on est jeune, on fait sa toilette pour plaire. Quand on est vieux,
on la fait pour ne pas déplaire".
- le deuxième est d'apporter une contribution positive ; et pour l'instant, je
considère que mes activités philosophico-artistiques sont ce que je peux faire
de mieux pour aider les autres à vivre, à aimer la vie et donc à ne pas se
laisser entraîner dans des voies négatives.
Vers 2010 apparaît le Bibliobox,
avenue de Longueil. J’y fais des visites presque
quotidiennes, en apporte des romans pour Marithé et des
livres sérieux (informatique, histoire, gouvernance) pour moi.
Il y a tout un mouvement de livres. Au fil des années, il en arrive de plus en
plus. Et il faut en retirer pour que cela reste présentable. J’en garde un tas
à la cave pour en remettre en cas de disette, mais cela se fait de plus en plus
rare.
J’y trouve de temps en temps des livres marquants. Par
exemple The Trouble with Africa.