manque objet et objectivité du journalisme

LA PRESSE

schéma en diabolo: préparation, puis matrice du jnméro, ou studio d'émission en direct. et de là, diffusion par impression ou ondes.

rôle selon Kowalski.

- identifier les problèmes intéressants à discuter

- décoder les enjeux concrets. cachés derrière la langue. rapports de force derrière l'ergonomie, interview de Meyer, manière dont la VA est ajoutée dans

les RVA

-d'où viennent les choses que les gens ont vécues?

produit de presse, mais aussi salons: importance d'un certain flou, d'une certaine déstructuration. signalé déjà par Le Moigne. une sorte d'alternance

système population.

SLT. vérification, mais aussi un autre mode de pensée. message vers autres utilisateurs. autre grille d'analyse que celle des produits. quels genres de

concepts peuvent passer dans les différentes rubriques.

NIVEAU DE TRAITEMENT

Plus un journal est sérieux, plus il applique au flux des informations un traitement approfondi.

Filtrage

- il suppose que le flux est plus important que le débit du média. si nécessaire, exercer une pression sur l'amont pour augmenter le flux (enquêtes, mailings), ou élargir le domaine

- on peut utiliser la redondance (produit déjà annoncé)

- on peut choisir ce qui intéresse le plus le lecteur. dans un communiqué de presse. des les propositions d'article à une revue scientifique.

Contrôle. on doute. pluralité des sources

Compléments. autres sources, mémoire, documentation, calcul

INITIATIVE, INVESTIGATION

enquêtes, études comparatives, bancs d'essai (difficile en informatique au moins sur les grands systèmes)

LE GENERATEUR D'EVENEMENT

automatiser grille d'analyse de produits (modèle,

base de données de comparaison, typologie, marché)

références et contre-références

....

rôle de la prévision avec comparaison "contrôle de gestion"

automate/déclencheurs temporels

auto-analyse par référence au passé : suivi de paramètres, nombre de PA, comptage nouveautés

notion d'émerveillement...

paramètre de non-normalité : bilan de sociétés,

évolution des hommes, taux normale d'annonce d'un

produit par un fournisseur, dans un secteur économique

notion de faute mort/souffrance

techniquement

utilisation de frames

notion de caractéristique normale

calcul relatif de valeurs

référence aux normes du marché

STRUCTURE DE LA BASE DU COEUR

indexation de la base de données

date de la nouvelle

longueur

utilisateur, adresse, secteur éco

application

produit

montant du contrat

durée prévue

figure

LA REDACTION

avec traitement de texte

think tank hypercard

aides syntaxiques, orthographiques, dictionnaires

(traduction, signification), correction, logométrie.

plus ou moins automatisé.

messagerie entre journalistes, avec secrétariat de

rédaction

LE GENERATEUR DE TEXTE AUTOMATISE

à partir des événements, sur profils

critères généraux d'intérêt

système d'alerte

périodique de tenue à niveau

à partir d'une demande

renvoie au traitement de la requête

notion de desk

CONDITIONNEMENT

mise en pages. intégration texte images

conditionnement physique

DESTRUCTURATION DU PRODUIT DE PRESSE

- Sens de la communication : la voie retour peut

devenir du même ordre de grandeur (débit) que la voie

aller; on peut déboucher sur une messagerie généralisée

entre l'amont et l'aval.

- Elaboration du message: il n'y a plus

élaboration d'un message unique pour tous les lecteurs;

il y a une base de connaissance et des moyens d'y

naviguer que chaque utilisateur emploie selon sa propre

dynamique. Modification de frontière puisque

l'utilisateur (certains au moins) se promènent dans la

base même du produit de presse.

.. Par conséquent, la structure de l'article perd

de son importance au profit de contenus avc une

navigabilité par l'utilisateur (ce que Ziff ne semble

pas prévoir, mai spourrait faire par la suite)

- Périodicité. La base peut être mise à jour à

toute heure, et exploitée de même.

- Genres littéraires. Hypertexte. Télédico. Et

même des "dynamiques".

- Multimédia.

Un journalisme extrêmea appuyé sur la

ré-utilisabilité, la POO, le progiciel,

l'EDI/TDED/Tove...

ETHIQUE ET POUVOIRS

ORGANISATION DE L'ENTREPRISE DE PRESSE

Pas très différente des autres. Voir orgware.

Cependant :

- le reporter doit aller sur le terrain

(Afghanistan),

- les réunions ne doivent pas s'écarter de l'axe

Etoile-Bastille.

HOMMES

adaptativité/abstraction/pêche

...... ex PHIREQ

e surprendre plus que de distraire ; inversement,

l'excès de bons mots nuit à l'efficacité du message

... ou alors il faut carrément changer de genre et

choisir d'amuser le public plutôt que de l'instruire.

Pour les jeux qui comportent un engagement

corporel, ce sont les règles en vigueur qui

détermineront le niveau de risque effectivement accepté

par les joueurs. Et l'attitude des arbitres vient

encore nuancer les règles. Il y a des jeux plus ou

moins dangereux : la boxe fait courir des dangers réels

et parfois mortels, le foot-ball est en principe sans

danger. Pour ce sport, d'ailleurs, on notera une

progression dans l'application des règles selon qu'il

s'agit de jeunes ou d'adultes, d'amateurs ou de

professionnels.

Enfin, l'importance et le mode de calcul des gains

et rémunérations ancre plus ou moins le jeu dans le

réel.

La dimension ludique, c'est aussi, en sens

inverse, le plus ou moins grand degré de réalisme à

l'intérieur d'un jeu. Plus "on se met en situation",

plus on utilise de décors, déguisements, accessoires,

etc. plus on se rapproche d'une certaine réalité.

Mais est-ce moins ludique pour autant ?

La vie professionnelle offre, malgré sa prétention

naturelle au "sérieux", toute une gamme de processus ou

de phases plus ou moins ludiques, en partie détachées

des phases productives proprement dites : périodes

d'essai pour les embauches, projets-pilotes,

simulations pour la formation, etc. Pour lutter contre

le chômage, on est allé jusqu'à créer des entreprises

fictives, notamment en Allemagne. Mais le résultat à

long terme de ces expériences n'a pas été beaucoup

diffusé.

Le travail, et les autres activités non ludiques,

se prêtent donc elles aussi à des régulations de la

ludicité. Déjà, le libéralisme politico-économique

réserve à l'Etat l'usage de la violence physique, et

limite la compétition à des enjeux purement

économiques. Après quoi la régulation s'exerce à deux

niveaux. D'une part au plan macro-économique, l'Etat

peut moduler l'âpreté de la concurrence entre les

entreprises, et entre les individus grâce à la

protection sociale. D'autre part, au sein de chaque

entreprise, les rémunérations peuvent être plus ou

moins réellement liées aux véritables rapports de

productivité. Mais l'argent n'est pas la seule

motivation réelle, et l'on peut se battre à mort pour

des hochets... la dimension ludique n'est donc

certainement pas quelque chose de simple à définir

DOCUMENTATION ET JOURNALISME

NIVEAU 1 : DEUX MONDES SEPARES

Dans leurs perspectives traditionnelles,

journalisme et documentation sont aussi peu combinables

que l'huile et l'eau.

Le journaliste vit dans l'instant présent, cherche

l'information immédiate, la fuite significative,

l'anecdote excitante ou émouvante, le scoop économique

ou politique. Il l'exprime dans son média, puis il

s'empresse de l'oublier, souhaitant rester au maximum

disponible pour l'événement, imprévisible par nature.

C'est à peine s'il entretient un réseau de contacts, un

carnet d'adresses, et quelques coupures de presse qu'il

laisse jaunir à la poussière, au cas où...

A l'inverse, le documentaliste travaille pour

longtemps, sinon pour l'éternité. L'essentiel c'est le

fonds documentaire, ou la banque de données si l'on est

moderne. Il veut être sûr, complet, fidèle, bien

structuré pour être rapide d'accès. Certes, on épure

les documents périmés : documentation n'est pas

archive. Mais c'est à regret. Et le documentaliste doit

se faire violence pour arrêter sa recherche au moment

de renseigner un client, voire de publier lui-même.

NIVEAU 2 : LA DOCUMENTATION COMME SERVICE

Une publication, ou une entreprise de presse

sérieuse, et de dimension suffisante finit par mettre

en place au moins un minimum de service documentation.

Plusieurs raisons convergentes l'y poussent :

- un flot de papiers et documents est rapporté par

les journalistes ou reçu à la rédaction, flot dont

certains articles ou documents ont une valeur de

référence, et que l'on répugne à jeter,

- les publications elles-mêmes doivent pouvoir

être consultées : réponse aux lecteurs, aux annonceurs,

et aux journalistes qui souhaitent parfois comparer

leur information et leur impression du moment avec ce

qu'ils ont écrit quelques mois plus tôt,

- pour passer du simple compte-rendu de

l'actualité à un journalisme d'investigation plus

ambitieux, il faut des fichiers, des références, etc.

On estime donc rentable, pour la productivité

comme pour la qualité du travail des journalistes, de

constituer à leur intention un service de

documentation. En sous-produit, le service répondra aux

questions des lecteurs et parfois créera pour eux des

produits annexes (annuaires, télématique).

L'informatisation est un moyen d'accroître

l'efficacité et de réduire les coûts des différents

services. Pour les journalistes, le traitement de texte

rend leur travail plus confortable, élimine les doubles

frappes, accélère et diminue les coûts du processus de

fabrication. Pour les documentalistes, l'informatique

est un perfectionnement du système de documentation, et

utilise des logiciels documentaires classiques

(typiquement : recherche sur mots-clés). Les

différentes applications de l'informatique ne sont pas

reliées entre elles, à l'exception de la chaîne

rédaction/fabrication dont l'intégration est

immédiatement rentable.

Mais, à ce niveau, la documentation reste un

centre de coûts, dont la rentabilité ne peut

s'apprécier que de manière qualitative et dont la

rationalité reste donc difficile à préciser.

Une relative insatisfaction est ici naturelle :

les journalistes ne trouvent jamais tout ce qu'ils

voudraient, sans trop savoir le définir ; les

documentalistes n'ont jamais assez de moyens pour

répondre à des journalistes et à des lecteurs dont les

problèmes sont imprévisibles.

NIVEAU 3 : LA DOCUMENTATION AU COEUR DU MULTIMEDIA

Dans l'avenir, mais à un horizon qui reste

difficile à prévoir, la documentation pourrait voir son

rôle se retourner simultanément de deux manières :

- de service auxiliaire, elle deviendrait pivot

d'une entreprise vendant de l'information par de

multiples canaux différents : presse écrite,

audiovisuel, télématique, études à la demande,

- de centre de coûts, elle deviendrait centre de

profit par une facturation systématique de ses

prestations à tous les utilisateurs, qu'ils soient

intérieurs à l'entreprise (journalistes, chargés

d'études) ou extérieurs ("lecteurs" au sens classique

mais aussi utilisateurs en tous genres).

L'informatique est appelée à transformer

radicalement l'ensemble de l'activité de l'entreprise

de presse, tant dans le mode de travail des

journalistes, documentalistes et autres professionnels

de l'information que dans les produits proposés.

L'entreprise devient un RVA à forte valeur ajoutée. Le

qualificatif "presse" traduit surtout une certaine

spécialisation sur l'information "événementielle".

A ce stade, les différentes applications

informatiques s'intègrent de plus en plus, et les

points que l'on peut détailler sont des fonctions

particulières d'un système global et non des systèmes

séparés. Cette intégration ira de pair avec le

développement des applications et ne pourra être que

progressive.

Au coeur du système, la documentation devient le

"modèle" de l'univers traité par l'entreprise. Ce

modèle est dynamique, c'est un modèle "de simulation"

au sens traditionnel de ce terme. Il permet donc non

seulement des analyses et des déductions synchroniques

mais aussi un travail diachronique, principalement

orienté vers la prévision/prédiction/prospective.

Du point de vue journalistique, le modèle doit

servir à détecter des anomalies qui pourraient être

intéressantes. Exemples :

- analyse financière des résultats donnés par les

sociétés, avec comparaison par rapport aux années

antérieures,

- relevé systématique des sociétés n'ayant pas

donné leurs résultats à l'époque normale ; cela incite

à supposer que ces résultats sont mauvais ; plus

simplement : examen systématique de toute société qui

n'a pas donné de nouvelles depuis un an,

Un modèle de ce genre aura nécessairement des

bruits (anomalies qui se révèlent tout à fait normales

à l'enquête) et des silences (anomalies non détectées).

Au départ, il serait trop ambitieux de construire

un modèle global, on se contentera donc de modèles

partiels, là où ce sera le plus facile. En matière

informatique, trois types de modèles partiels seraient

relativement aisés à développer : individu, entreprise,

créneau de marché.

RUBRIQUE (ou ASPECTS) SUR LE TERRAIN

Suite aux résultats d'enquêtes de lecture. 6/87.

ON CONSTATE QUE :

- les lecteurs ne perçoivent pas clairement la

rubrique,

ils ne croient pas trop à son caractère

non-publicitaire,

les reportages longs sont assez peu lus,

ils ne s'intéressent pas trop à l'étranger,

mais :

- le point de vue utilisateurs fait partie de

notre image

sérieuse et professionnelle.

- ils attendent du comparatif, du pluralisme avec

des orientations pour les choix (idéal : Fnac)

ALTERNATIVE

Il faut choisir entre :

- diluer la rubrique dans l'actualité et les

études, donnant

une "couleur" utilisateur à l'ensemble plutôt

qu'une partie

spécifique,

OU

- renforcer l'attrait et la visibilité de la

rubrique, en ne

la privant pas de ses papiers d'actualité ou "ça

coince", en rendant

sa structure plus diversifié, un peu comme les

sous-journaux avec Une interne de Computerworld.

DIFFERENTS MODES DE RELATION AVEC LES UTILISATEURS

- N : pas de contact. On exploite seulement une

information fournie par un fournisseur (communiqué de

type "installation et contrats") ou par l'utilisateur

lui-même, ou trouvée chez les confrères, dans des

fichiers, etc.

- G : contact collectif organisé soit par un

fournisseur soit par un utilisateur qui veut faire

parler de lui. Exemples : voyage IBM chez Peugeot à

Sochaux, conférence de presse/visite du Sernam.

- B : contact bref à notre initiative, par

téléphone ou à l'occasion d'un congrès, etc.

- R : rencontre approfondie de type reportage.

Estimation des coûts en heures de journaliste

expérimenté. Outre le temps de rédaction proprement

dit, que nous estimerons à une heure par U, il faut

compter :

- N : une heure, en tenant compte des temps de

classement, sélection.

- G : de 4 à 10 heures, selon qu'il s'agit d'une

conférence de presse à Paris ou d'un voyage d'une

journée, et compte tenu d'une heure de

sélection/tri/préparation.

- B : une heure, même si le contact proprement dit

est bref, du fait de la nécessité d'entretenir des

fichiers, de la difficulté d'obtenir effectivement

l'interlocuteur, etc.

- R : dix heures en moyenne, avec une assez forte

variation selon que le reportage est à Paris ou en

Province. Ce temps comporte : sélection des reportages

parmi des propositions toujours assez nombreuses,

travail préparatoire documentaire, contacts et prises

de rendez-vous, déplacement et travail sur place.

DIFFERENTS GENRES LITTERAIRES A PROPOS DES UTILISATEURS

- Brève "Installations et contrats", traitée plus

ou moins profondément. Longueur moyenne O,5 U.

- Actu assez commentée, type Amadeus. Positive ou

négative (çà coince). 4 U + une illustration.

- Reportage court. 4 U + une illustration.

- Reportage approfondi. Moyenne 1O U + trois

illustrations.

- Analyse signée par l'utilisateur lui-même (en

principe,& non admis à LMI).

- Enquête globale type étude de marché, sans

citation de firmes. Relève plus d'IDC et autre firmes

spécialisées, des fédérations professionnelles, etc.

que du journalisme approfondi. Moyenne 6 U.

- Tour d'horizon téléphonique de quelques

utilisateurs sélectionnés sur un thème défini (type :

évolution d'IBM vue par les utilisateurs). Moyenne 6 U.

ESSAI D'ANALYSE DES COUTS

On arrive au tableau de coûts suivant.

Genre U Enquête Ecrit. Total

Heures/U

Brève 0,5 0,5 0,5 1 2

Actu facile 2 0,5 2,5 1 0,5

Actu solide 3 4 3 7 2,3

Reportage court 4 4-8 4 8-12 2-3

Reportage long 8 8 9 17 2,12

Etude marché 6 4 6 10 1,7

Enquête Télph 8 16 8 24 3

Enquête brève 4 10 4 14 3,25

Ces calculs sont évidemment largement

approximatifs, mais montrent cependant la forte

dispersion, variant pratiquement de 1 à 3 selon que

l'on passe des brèves sans trop approfondir ou que l'on

engage des enquêtes téléphoniques solides.

En outre, les différents types de rapports avec

les utilisateurs et les différents genres littéraires

ne sont pas totalement indépendants. En particulier,

certains contacts brefs à utiliser en "enquête à chaud"

(type IBM) ne sont possibles qu'à la suite de contacts

plus longs à l'occasion d'un véritable reportage. Le

"bon contact" est comme l'indicateur du policier :

- il faut un certain investissement pour le mettre

en place, et pour l'entretenir (temps passé),

- c'est une ressource limitée qu'on ne peut pas

solliciter

trop souvent,

- c'est une ressource fragile qui se "grille"

facilement, comme on l'a vu récemment.

UNE PREMIERE CONCLUSION

Si l'on veut aller vers des genres coûteux, il

faut soit réduire la surface moyenne de "sur le

terrain", soit accroître les ressources en temps. Cela

peut se faire avec des pigistes, mais dans une certaine

mesure seulement. Le reportage, long ou court, se

sous-traite relativement facilement, quoiqu'il soit

difficile de trouver des pigistes à la fois bons

journalistes et bons informaticiens. L'enquête

téléphonique est difficilement sous-traitable sur des

sujets pointus.

Une partie du travail pourrait peut-être se faire

avec un(e) assistante qui prendrait en charge une

partie du contact.

UNE VOIE DE RECHERCHE : DECOUPLER ENQUETE ET PUBLICATION

On peut chercher une amélioration de performances en découplant l'enquête de la publication proprement dite. D'une part on ramasse de l'information en tout genre, de l'autre on prépare des articles avec l'information ramassée. Dans certains cas, la même information de base servira à plusieurs articles. Dans d'autres, un voyage relativement coûteux sera exploité en plusieurs modules en fonction de différents dossiers.

Cela suppose un système de stockage intermédiaire. Il est en partie réalisé déjà avec la documentation spécifique "Sur le Terrain". Pour aller plus loin :

- on pourrait organiser plus systématiquement la collecte de l'information et les contacts utilisateurs en fonction d'une politique de publication,

- étudier une informatisation de la documentation "utilisateurs", mais la complexité du problème est assez grande (information formatée / documents non structurés,

degrés de confidentialité, texte/iconographie...) et il vaut sans doute mieux attendre encore un peu pour avoir des outils plus performants et moins chers, sauf à tenter quelques expériences de "base de connaissances".

- il faudrait imaginer de bons moyens de motiver nos contacts chez les utilisateurs, essentiellement dans la manière de les mettre en valeur dans nos colonnes, peut-être aussi de mettre en place un service

spécifique d'information (???), ou un club...

MULTIMEDIA

tendance générale

presse écrite/audiovisuel/télématique

RVA

VPC, marketing direct

marketing téléphonique (automatisé...)

annuaire (ex. reprise annuaire sur minitel)

guides

vente de produits par télématique (télévision,

Moore Paragon chez nous)

PAO, serveurs etc. rendent toujours plus faciles

et moins chers, techniquement, tout en renforçant les

capitaux nécessairse pour se faire une place

IDG has begun to integrate a number of

data sources in order to improve IDG's market

research capabilities and to support new

business development. The long term goal is

to combine subscriber, conference attendee,

and advertiser files with the IDC computer

installation database in order to create a

strong in-house information resource.

revoir mon "analyse de la requête" (BOU)

renforcement naturel

dans l'intérêt du lecteur

les médias parlent les uns des autres

et l'autoréférence

déjà deux médias dans un : pub/rédaction

presse gratuite/circulation contrôlée

pb des fichiers

ne détourne-t-on pas les données fournies pour un

service à l'usage d'un autre service ?

- adresses et mailings

- ce qui est dit off-record

dans un groupe de travail

dans une séance étroite

en conférence de presse

pb de ce qu'on dit

- peut-on critiquer librement ?

- égalité devant l'accès à l'information (ex.

Livre de Cedic/Nathan dans O.1.)

- peut-on citer les autres journaux (était

tacitement interdit à O.1. et ne se fait pas beaucoup

plus à LMI).

- livres édités par le groupe (peut on faire des

analyses méchantes? )

pb de la propriété

droits d'auteur

sécurité, copie

On n'a pas le droit d'indexer Le Monde.

moralité, protection des mineurs

interdiction de propagande pour certaines

publications

apparition de l'éthique, comme en médecine.

problèmes délicats, mais pas insolubles

la relation pub/rédaction est un exemple

égalité des citoyens devant l'information

solutions :

séparation des responsabilités

d'autant plus facile que l'entreprise a une

certaine ampleur; faut-il imposer une masse critique ?

jeu de la concurrence sur chaque secteur

sur l'ensemble des services

obliger à la pluralité des sources d'information

donner au "lecteur" des moyens de protection:

-- généraux

- culture

- filtres

- signatures et authentification (pex. marquer que

c'est un publireportage); danger des genres

intermédiaires (sponsoring) ; les produits

d'information marqués comme les produits alimentaires.

-- particuliers

- droit d'accès, consultation en temps réel

intervention de l'Etat et législation

"Initiateur du processus de développement, l'Etat

doit l'être pour permettre à tous d'accéder aux

services de la télématique sans inégalités... Les

enjeux sociaux et économiques de son développement sont

trop lourds de conséquences pour que l'Etat n'essaie

pas de le maîtriser, et de le favoriser au mieux"

(Vuitton 82).

Difficile, car tout boucle.

Pierre Catala (dans son avant propos au livre de

Frédérique Toubol) : "Peu à peu, le droit des biens

remonte de Moulinex vers Einstein, et les intérêts

gravitant autour de l'information : banques de données,

logiciels, savoir-faire, devraient être les jalons de

cet itinéraire".

Jean-Paul II : "... cette responsabilité à l'égard

de la société ne se traduit pas aisément en termes

juridiques"

Bibliographie

Autrement

IDG 87 : Integrated data resource enhances

business development. IDG World Update, 22 september

1987, p. 5.

Global Data Resources expands business. Achieves

90% currency rate for installation file. IDG World

Update, 8/10/87 p. 3. 1,6 M$ en 87.

Loi informatique et libertés.

J.O. 78. Loi relative à l'informatique, aux

fichiers et aux libertés. Plus des décrets

d'application.

J.O. 1551. Communication audiovisuelle, loi du 29

juillet 1982, textes d'application. Journal officiel de

la République Française (édition 1983).

Toubol Frédérique : Le logiciel, analyse

juridique. Feduci/LGDJ, 1986.

Vuitton 82 : Philippe Vuitton, Philippe Leclercq

et Michel Bouvier : Demain, la télématique. La

documentation pratique, 1982.

Jean-Paul II : Dire la vérité dans sa totalité.

Discours aux dirigeants du monde de la communication (à

Los Angeles, le 15/9/87). Documentation catholique du

18/10/87.

... destinataires

Pat

Sylvie

FXC

Les US

La fill qui fait une thèse

.............

THE QUALITY WATCHER

Faire élaborer des principes globaux au niveau

global ; cellule de réflexion avec mission ad hoc ?

Ficheir AAAAAH

un bon tas de sigles

sur le modèle du NYT

ponctuation

charte

Discuter individuellemnet sur des articles, pas

sur des gesns

Ne pas se culpabiliser. Tout le monde fait le

maximum, mais besoin d'un autre regard.

Recoupement des infos

- documentation

- recouper une personne par elle-même

par le passé

par le calcul/cohérence du discours

LES TECHNIQUES DU JOURNALISMES SPECIALISE

REGLES GENERALES

longueur/placement

structuration

dossiers/séries

numéro spacial

titrage

style

GENRES PARTICULIERS

conférences et voyages de presse

interview

reportage

livres

calendrier

table ronde

compte-rendu de congrès

étude

MOYENS ET COMPORTEMENTS GENERAUX

formation permanente

classement personnel

bibliothèque et documentation

minitel

messagerie

déontologie

.....................

QUALITE DE LA PRESSE. (ex PRESQUAL)

O. POINTS CLES

1. NOTES PRELIMINAIRES

2. QUELQUES CRITERES SIMPLES ET INTUITIFS

3. LE LECTORAT

4. ORGANISATION DU PRODUIT ET DES MOYENS. APPROCHE

CARTESIENNE

5. ORGANISATION DU PRODUIT ET DES MOYENS. APPROCHE

SYSTEMIQUE

6. NOTES POUR LE LONG TERME

7. NOTES POUR UNE PEDAGOGIE A COURT TERME

8. BIBLIOGRAPHIE

PRESSE ET QUALITE

NOTES POUR LE SEMINAIRE CWCI DE DEAUVILLE JANVIER

1987

O. POINTS CLES

Refaire ou rediffuser la charte rédactionnelle.

Organiser systématiquement la formation et

l'entraînement des journalistes, tant à l'informatique

qu'aux techniques propres à la presse (techniques

d'interview, style, et même fabrication) et à la

culture générale profonde.

Mieux communiquer entre nous. Le dialogue sur la

qualité doit être permanent, et surtout ne pas se

fermer sur une critique de la mise an pages par les

journalistes. Il faut faire appel à des professionnels

de la communication (Graulier) pour nous proposer des

structures et des techniques appropriées.

Comment mieux maîtriser les équilibres de

longueurs, entre rubriques et à l'intérieur de chaque

rubrique ?

Pour améliorer l'esthétique, il serait nécessaire

d'assouplir le quota rédaction/pub.

Mieux communiquer avec le lectorat : refaire

l'enquête de lecture, et surtout exploiter au maximum

le Minitel.

1. NOTES PRELIMINAIRES

2. QUELQUES CRITERES SIMPLES ET INTUITIFS

3. LE LECTORAT

4. ORGANISATION DU PRODUIT ET DES MOYENS. APPROCHE

CARTESIENNE

5. ORGANISATION DU PRODUIT ET DES MOYENS. APPROCHE

SYSTEMIQUE

6. NOTES POUR LE LONG TERME

1. NOTES PRELIMINAIRES

1.1 Le mieux est l'ennemi du bien

Nous faisons actuellement le meilleur hebdomadaire

informatique du monde, faut-il encore se creuser la

tête pour l'améliorer ? Le mieux est l'ennemi du bien.

Mais qui n'avance pas recule.

1.2 Un problème d'actualité

Trois faits récents :

- le ministère de la Défense lance une action

contre la désinformation,

- nomination de la CNCL et ses premiers choix,

- à la suite des événements de novembre

(étudiants), la mission des commissions d'enquête

parlementaires sont étendues au rôle des médias.

2. QUELQUES CRITERES SIMPLES ET INTUITIFS

2.1 Répondre à un besoin

Pertinence des contenus : exhaustivité mais rien

d'inutile .

Précision. Des chiffres. Des noms propres.

Rapidité de réaction sur l'événement.

Le tout pour un prix raisonnable.

2.2 Dans le confort du lecteur

Lisibilité de la langue et du graphisme.

Equilibre, stabilité, cohérence. Normalisation.

"Médiocrité calibrée"

Le lecteur doit pouvoir s'habituer au support pour

y trouver ce qu'il cherche sans difficulté.

2.3 Pour le plaisir du lecteur

Sensationnel. Saveur. Titrage notamment.

Style. Un domaine où on peut toujours faire des

progrès. D'une part la pureté de la langue

(orthographe, américanismes), d'autre part

l'exploitation méthodique de toutes ses ressources

(temps, modes des verbes, ponctuation, et bien entendu

vocabulaire). On ne peut quand même pas aller trop loin

: un style trop recherché est difficile à lire, et doit

en tous cas se limiter à quelques points clés. Une

belle chute, par exemple.

Un minimum d'humour. Le calembour à répétition est

fatigant. Mais ne pas non plus se prendre trop au

sérieux. Le dessin humoristique de couverture est

excellent. Peut-on chercher méthodiquement l'humour ?

Rigoler plus en réunion de rédaction ?

Maquette, iconographie.

Beauté.

2.4 En toute confiance

Fiabilité. L'erreur peut coûter cher au lecteur ou

aux personnes concernées. Inefficacité des

rectificatifs.

Autorité du journal en général et des signatures.

Authenticité, transparence, objectivité, vérité...

jamais parfaites. Différents moyens pour y tendre :

- distinction publicité/rédaction,

- qui signe quoi, présentation des auteurs,

- distinction fait/commentaire (dans certains cas,

il pourrait être souhaitable de publier tel quel le

communiqué, suivi du commentaire),

- redondance (dans les moyens d'information du

journal et aussi dans le texte même donné au lecteur,

notamment quand il y a lieu à appréciation, la

publication simultanée de points de vue opposés),

- la réécriture et ses dangers (on perd la saveur

du texte d'origine, même si l'on gagne en normalisation

et en qualités stylistiques)..

A la limite, le lecteur devrait avoir l'impression

d'assister lui-même à l'événement. Une transparence

absolue du média. Se mettre dans la peau du lecteur et

se poser les mêmes questions que lui.

3. LE LECTORAT

Définition actuelle.

L'informaticien. Le responsable informatique.

Qu'est ce qui l'intéresse :

- des produits à intégrer à son système,

- des méthodes pour améliorer son travail et celui

de ses collaborateurs,

- des hommes à embaucher et à former,

- une idée de ce que font les autres pour en faire

autant ou mieux.

Certains produits sont commerciaux (progiciel)

d'autres non (langages, méthodes, théories).

Certains produits représentent un chiffre

d'affaires certain (consommables) alors qu'il y a peu

de rédaction à faire à leur sujet.

Il faudrait mieux connaître nos lecteurs.

Actuellement, c'est un point faible. L'enquête de

lecture n'est pas satisfaisante. On se contente en

général de se transmettre quelques informations

favorables.

Objectifs :

- mieux connaître les sentiments réels des

lecteurs sur LMI,

- mais surtout, mieux modéliser le lecteur pour

adapter notre style, nos thèmes, etc. ; distinguer

notamment une première lecture rapide, dans un

transport par exemple (la Une, quelques notes), de la

lecture approfondie d'une étude ; distinguer un lecteur

primaire (kiosque) de lecteurs secondaires non moins

importants : les documentalistes des services

informatiques par exemple. Distinguer abonné et

lecteur.

Comment est archivé LMI ? En bloc, par photocopie

(ou découpage) de certains articles, ... pas du tout ?

En dégager une image plus claire pour que les

journalistes puissent se mettre dans la peau de leurs

lecteurs.

Moyens à mettre en place ou étoffer :

- exploiter la compétence de SHD/AMR pour

comprendre notre lecteur, ses besoins et ses désirs (y

compris les désirs pervers),

- poursuivre l'enquête annuelle,

- analyser la diffusion, l'OJD, les abonnements et

réabonnements,

- faire des statistiques sur les questions posées

à Roseline, et en général au journal, par lettre ou par

téléphone,

- exploiter plus systématiquement le minitel et

renforcer notre action pour y pousser les lecteurs,

4. ORGANISATION DU PRODUIT ET DES MOYENS. APPROCHE CARTESIENNE

4.1 Définition du produit. Charte rédactionnelle

La presse périodique a des caractéristiques

constitutives :

- information à sens unique, d'un amont vers un

aval,

- périodicité définie,

- canal double : rédaction/publicité.

Canaux de diffusion.

Choix du type de langage : vocabulaire, style.

4.2 Découpage en rubriques et en articles

Actu. Exhaustivité, rapidité, scoop et

sensationnel.

Critères plus élaborés : chiffre d'affaires en jeu

(taille du marché, importance de la nouvelle sur son

évolution). Les grands enjeux de l'heure :

normalisation PC, RVA...

Sur le terrain. Voir note spécifique sur cette

rubrique. Le "ça coince" pas assez développé.

Persévérer dans l'humain. Viser des premières.

Les hommes.

Nouveaux produits. Nous tendons à en faire une

rubrique mineure. C'est pourtant une des grandes

préoccupation de nos lecteurs. C'est un des points où

des outils électroniques pourraient être utiles.

Constitution d'une banque de données pour vérifier que

les produits sont vraiment nouveaux. Mais aussi, cette

banque à disposition de nos lecteurs sur Minitel pour

les aider à trouver les produits qu'ils cherchent

(quelques idées à glaner dans Télédico). Quelque chose

de très concret, pas forcément facile à mettre à jour.

Livres. Objectif de base : conseil aux lecteurs

sur les livres qu'ils doivent acheter et lire. Donc

aspect "consumériste", d'autant plus qu'ici une

appréciation est possible (à la différence des nouveaux

produits en général). Aspects à signaler : contenu,

style et lisibilité, plus ou moins à jour, appareil

annexe (bibliograhie, index, etc.).

Cette rubrique peut aussi être l'occasion de

traiter du mouvement des idées. On pourrait aussi

exploiter dans ce sens les rencontres et

manifestations. Une revue de presse des revues

américaines de fond.

Business. Manif/agenda.

Volume global des rubriques.

Dans chaque rubrique, importance d'un événement,

d'une idée. La règle "morts sur kilomètres".

4.3 Découpage en phases de réalisation. Moyens

susceptibles d'y améliorer la qualité.

Enquête et recueil de l'information. Redondance

des sources. A la fois plusieurs informateurs et

comparaison avec des éléments disponibles en

documentation/banque de données. "Background data".

Comparer, situer, etc. Le choix des enquêtes suppose

une bonne connaissance des besoins de la cible. Il faut

des moyens humains suffisants pour pouvoir avoir une

action un peu volontariste.

Documentation. Filtrage. Protection contre la

désinformation. Sélection de l'essentiel.

Rédaction.

Travailler sur le style, le vocabulaires, les

structures d'articles.

Composition et montage.

Impression et diffusion.

4.4 Découpage des responsabilités

Outre la nécessité pratique d'un tel découpage

comme dans toutes les entreprises, il est nécessaire

dans la presse pour des raisons déontologiques :

distinction rédaction/publicité.

4.4.1 La direction

4.4.2 Les journalistes

Les journalistes ont tendance à privilégier la

"liberté de la presse", et à ce titre à revendiquer une

totale autonomie, sans tenir compte des contraintes

commerciales ni des conséquences en tous genres de leur

action. Alors le système ne s'équilibre pas et tombe

dans diverses dégénérescences :

- effet Larsen, par exemple une manifestation

alimente les médias qui font venir des gens à la manif,

etc.

- impossibilité de rectifier efficacement certains

types d'erreurs (l'honneur perdu de Katarina Blum),

lettres de lecteurs mal présentées, assorties de

réponses courtes mais assassines, en tous cas, passage

tardif.

Formation. Les journalistes ont besoin de

formation. On a tendance à considérer que leur métier

même leur apporte une formation permanente, puisqu'ils

sont directement dans les canaux d'information et la

recueillent à la source. C'est vrai, mais l'information

au jour le jour ne peut aller très en profondeur.

D'autre part les techniques journalistiques elles-mêmes

ne sont pas figées.

Il faut que les journalistes, individuellement et

en groupe, aient l'occasion de dialoguer avec les

autres groupes de l'entreprise. La bonne volonté ne

saurait suffire. Il faut mettre en place des techniques

appropriées (body management).

Les journalistes ne peuvent être seuls juges de ce

qu'ils écrivent. Il faut prendre en compte l'avis des

lecteurs, des autres personnels, de la direction, et

même à un certain niveau, de la publicité.

4.3.3 La publicité

Ne serait-il pas possible d'échanger des

informations avec eux sur l'évolution du marché, et de

leur perception du lectorat ?

4.4.4 La diffusion et l'animation

Devrait être une des antennes permanentes de la

rédaction.

4.5 Les moyens informatiques

Leur puissance a plutôt été utilisée (à LMI en

particulier) jusqu'à présent pour la gestion ou pour

l'amélioration de la productivité (coûts de fabrication

notamment). Dès que des produits efficaces seront

disponibles, il serait souhaitable de mettre à la

rédaction :

- un correcteur orthographique, si possible

opérant en conversationnel dans la phase de rédaction

elle-mê^me ; cela soulagerait le travail de Coco, lui

permettant à la fois de réduire encore le taux de

coquilles et de se concentrer sur des problèmes plus

intéressants (style ?),

- des outils d'aide à la rédaction (comptage de

mots, de longueurs de mots et de phrases, etc.),

- une banque de données en ligne, accessible au

cours du travail de rédaction (ce qu'il a dans LMI

Télématique, par exemple, plus rubriques à étudier). On

peut penser à une trilogie

produits-fournisseurs-utilisateurs, par exemple.

On devrait aussi pouvoir mettre en place de

nouveaux moyens de communication avec les attachés de

presse et les différents partenaires (Afcet,

Syntec...).

5. ORGANISATION DU PRODUIT ET DES MOYENS. APPROCHE SYSTEMIQUE

Le découpage cartésien masque d'autres structures

de notre métier, notamment les rétro-actions et

bouclages en général.

5.1 Le système "presse" dans le système

"profession"

Du fait même de son existence, une revue

professionnelle a une influence sur le milieu avec

lequel elle vit en symbiose.

Ce que nous amplifions ou affaiblissons.

Effets Larsen. Points aveugles.

Winners and losers.

Mc Luhan.

Le prédateur et le troupeau des entreprises.

Comment développer les retours sous toutes les

formes. Non-réabonnements. Minitel. Le couponing peut

aussi être informatif. Payer le lecteur pour qu'il

réponde (sous forme de prix et cadeaux, plutôt). Voir

si l'on est souvent cité dans les bibliographies

(efficace uniquement pour les revues scientifiques).

5.2 Systémique interne

Contre réactions aux différents niveaux. qui

contrôle quoi. redondance.

5.3 Différents niveaux de traitement

On peut classer les médias selon la qualité et la

profondeur du traitement qu'ils font subir à

l'information, en se basant sur la presse

professionnelle, où un amont et aval sont faciles à

distinguer.

Niveau 0. Aucun traitement de l'information, sinon

la composition et la mise en pages. Le journal est un

haut-parleur pour l'amont. L'équipe de rédaction est

minimale, de faible qualification et motivation. La

publicité fait la loi. On s'efforce de canaliser une

remontée de l'aval vers l'amont par le couponing.

Niveau 1. Filtrage et mise en forme en fonction

d'un certain lectorat. On sélectionne les communiqués,

on fait une réécriture de style notamment. On s'efforce

à l'exhaustivité. Le haut-parleur vise la Hi-Fi.

L'équipe se dote de journalistes compétents.

L'influence de la publicité se fait plus discrète.

Niveau 2. Le journal prend l'initiative :

investigation, comparaisons, enquêtes, sondages,

classements (Fortune). La rédaction s'étoffe, elle

comporte des journalistes fortement spécialisés. Elle

se structure, se dote de moyens de travail:

documentation, fichiers, grilles d'analyse et de

sélection. Elle fait appel à des intervenants et

conseils externes (Partenaire groupe). La publicité

est conçue comme un canal d'information indépendant,

qui parfois génère certaines actions informationnelles

(dossiers spéciaux). Danger possible : le traitement

est tellement fort que l'information d'origine est

complètement masquée derrière les réécritures.

Niveau 3. Le journal devient le noyau d'un système

d'information multi-médias. Le papier est une des

parties d'un RVA. Le flux amont-aval est pris en

compte par d'autres moyens (système de cartes en

direct). Minitel. Les moyens électroniques prennent

une place croissante. Le système devient une base

d'informations qui trouve dans l'amont une part

seulement de ses sources, et génère l'information pour

une part en fonction de ses fonds propres. Les

événements sont générés automatiquement par détection

de certaines structures (anomalies) au sein de cette

modélisation de l'univers. L'offre d'information est

différenciée en produits divers : d'une part des

produits très généraux (mode diffusion, sur papier,

radios-TV, câble, messageries générales), d'autre part

des médias très spécialisés (lettres), enfin des moyens

de répondre à des interrogations très personnalisées.

Des accords sont passés avec des partenaires :

Afcet, Micefa, etc. Synergie avec des manifestations.

A budget égal, arbitrages.

6. NOTES POUR LE LONG TERME

Multimédia autres journaux manif minitel télex

télécopieur

partenaires concurrents

Modéliser le lectorat... la clientèle

La presse comme un RVA

Maximisation du sens comme principe général de

sélection et de réalisation.

Idée d'une générateur automatique d'événements.

7. NOTES POUR UNE PEDAGOGIE A COURT TERME

Rencontrer chacun

Lui demander ses points forts

Préparer des petits fiches plutôt qu'un long

ouvrage

Pas de manies

Proposer des exercices.

Critères

vocabulaire variété

anglicismes

mots non définis

hiatus

sigles

syntaxe ponctuation

longueur des phrases

variété des modes

structure découpage, inters

on rentre vite

effets titrages

chutes

recherches

...... Notes diverses

Philippe Noiret à la TV, 22/11/87 (je crois).

- inversion: les journalistes se prennent pour des

vedettes, alors que les vedettes c'est nous.

- la TV n'a créé aucune oeuvre d'art.

8. BIBLIOGRAPHIE

Ecrire pour son lecteur

................;;

PRINCIPES POUR LES NOTES DE LECTURE

le fond

description du sommaire

prendre parti ou pas

à jour ou périmé

le ton

enthousiaste/pub/partisan/cool

la forme

le style ennuyeux

traduction plus ou moins bonne

appareil

bibliographie

index

annexes

iconographie

conseils au lecteur

le lecteur cible

le lire ou pas

l'acheter pour le conserver

dangereux, à proscrire

critiquer l'auteur, l'éditeur

ICONOGRAPHIE

L'artiste. pour la presse informatique, il se sent

un exclus. donc attitude a priori négative, ce qui se

ressent dans les dessins. ex. dossier bureautique 1977.

et Bouygues, etc.

solution: les former, les doter de micros. voir

avec Ponto avec qui j'ai amorcé le dialogue

GENERATEUR D'EVENEMENTS

Il vaudrait mieux parler de "détecteur d'anomalies

intéressantes". Car le "générateur d'événements" irait plut loin,

cherchant vraiment à le construire (e.g. Apple and the 1984

advertisement).

L'outil, dans son interface HM peut ressembler à un C3I, à

une salle de contrôle où seraient rassemblées toutes les

informations. Le générateur apparaît par détection d'anomalies en

fonction du modèle, y compris ses aspects prévisionnels. Est

événementiel ce qui n'est pas conforme au modèle, ce qui enrichit

le modèle.

Et l'essentiel, ce sont les décisions. Etudier les

paramètres pour que cette décision devienne importante. Le

pauvre, c'est celui dont les décisions n'ont aucune importance.

D'où le terrorisme.

La qualité du générateur dépend de la qualité du modèle

sous-jacent. Ce que le journaliste appelle "son lecteur", c'est

pour une part un certain modèle, pour lequel tel ou tel événément

reçu de l'amont prend plus ou moins de sens.

Comme en documentation, le générateur peut créer du bruit et

du silence. C'est un problème de correspondance entre le modèle

du lecteur et le modèle du générateur.

On rejoint aussi le problème de l'éditeur prédictif. Ce que

je dis d'intéressant à la machine, à l'éditeur, c'est ce qui est

à la fois contraire à son attente mais cependant capable d'être

admis dans son cadre. C'est l'anomalie qui est intéressante, mais

qui ne doit pas être léthale. A été étudié par Ecology of

Computing. Si on s'écarte trop, c'est la dissonance cognitive. On

pourrait quantifier ici de deux façons:

- d'une part la distance d'une information, à partir de

laquelle elle devient trop dissonante pour être acceptée,

- d'autre part le débit temporel de dissonance que le

système est capable d'assimiler. Au delà il y a overflow.

Ce qui ramène à l'espace des représentations, à l'éthique de

construction de cet espace. qui sera de plus en plus soft, mais

en attendant il faut bien le construire matériellement.

Le sens d'un événément, c'est la modification qu'il apporte

dans le champ de conscience de l'individu, des individus, du

corps social.

Comme tout objet, l'événement a une certaine épaisseur dans

le temps; Il y a la date, l'instant "exact", une sorte de centre

de gravité, et tout ce qui tourne autour. Une cloche guasienne

PRESS

Press as vitrine, window. Most important mesages for the

reader. Then he refers to documents and other services.

How to visualize, make visual, the readers preoccupations.

homogeneity, coherence, performances and prices

it could be interesting to lead a permanent reflexion

paper to be stored

relation with decision

support with image of a judge, doctor, journalist,

architect, airplane pilot.

=PRESS

The new market for computer press

The new end user should find permanent data.

Split between servers, which may be external, FM, and the

client/user stations.

The high level computer staff:

1/ Set standards

2/ Manages purchases of products and services

2.1 Internal hardware

2.2 Internal services and consumable products

2.3 External servicesn, operations

2.4 External services, design

3/ Monitors education and group arrangements.

What kind of information about that

On1. Permanent analysis of what people and corporations are

doing. A circular effect: what people make set the standards.

Press may help an acceleration of the cycle.

Press must follow closely the standards evolution.

By itself, the importance given by press to a standard is a

positive factor to that standard

(parallel observations: importance of soft for hardware

lines, importance of books, documentation and education for any

product.

Explanation (partial): structure of cost for the user. The

major part is in integration (design, architecture, choice by

itself, then education etc.).

The IBM dominance has long been self protective because it

took all that in account. What if that kind of security is no

longer valid? Then other standards will compete with the IBM

motherhood.

Forces playing a role in standards installation.

- initiators of standards

- makers, dealers and sellers

- press

- professional associations and users groups

- the users.

- State agencies and regulatory bodies

- Standards Organizations

- Unformal meeting and lobbying

Then, where will go the advertizing?

...

Catherine Danré: Chacun sa vérité, je dis à un patron "voilà

racontez votre histoire de cette manière"

Le journaliste

- enregistre ce que l'on lui dit

- filtre le sans intérêt, les effets de styme

- note des incohérences, des trous par rapport à des schémas

types (ex. CA/effectifs/benef)

- ajoute d'autres faits: archives, autres sources

puis construit pour son lecteur

...

=PRESS

Deontology. Base it on more information.

Who signs. Who pays (ad indication)

Publication of data about the journal (distribution, number

of issues printed, ec.)

financial information

make a clear, even for the reader, policy about

other group resources (other papers, trade shows,

repertories, direct mail)

open synergy or strict independance (editorial versus

adversising surfaces)

=SCOOPMAKER

A model of what's normal

macroeconomy

microeconomy. a model of the firm

eg Drass Bordeaux Expert system

............

You dont find a scoop. You make it

You prepare it

Press attachés are here to prevent scoops

Maraginal/middle persons

Tectonic plaques model

Scoop opposed to contact maintaining

///////////////

Presse/Edition

Nouveaux produits et médias

- CE Rom, minitel. Publicité virtuelle

- le sans papier. Internet. Journal électronique portable

La création, les auteurs

- traitement de texte

- infographie

- mise en pages

- standards

La publicité

- publicité virtuelle

- partenariats/bartering

- transferts par EDI

La rédaction

- profondeur de traitement

Gestion, prévision

- getion du capital et des risques

- double marché de la presse: lecteurs, annonceurs

Fabrication

- répétitif ?

- impression, façonnage, stockage

-

Distribution

- commande (Electre)

- picking et distributio (NMPP), bibliothèques

L'éditeur ne fabrique pas

Fournisseurs externes:

- pigistes

- fournisserus d'images (-agences)

Intégration

Archivage . La totalité du passé accessible

Régime juridique

L'outillage du lecteur

comprendre le processus de consommationde (nos produits), la combinaision des supports

rayonnage, bibliothèque

index

Internet/Altavista et autres

Presse/SIP

Push/Pull

/////////

granularité

composants réutilisables:

- d'un journal à l'autre

- journal/Internet

- journal/SIP

Granularité textuelle

mettre quelque chose autour pour que ça s'assemble (les trous du Meccano, les bosses duLego)

- bible de texte

- photos

- son

Le journal comme réponse à une requête . PCN. quoi de nouveau aujourd'hui ?

Notes de F Montel, 12/96

Valoriser le rôle des informaticiens, leur apport à l'entreprise

voir par le petit bout

décortiquer plus

LMI Mag: convaincre que linformatique sert à quelque chose

à la recherche d'une reconnaissance

ils ont davantabe besoin qu'on s'intéresse à eux

Pour nous source d'information externe

partenariats clairs avec des fournisseurs

nous sommes des brokers

notion de club d'échanges

Réunion du jeudi10:

les outils du manager

ME/MU

terrain/managemetn