Concepts de base des Stic
Pierre Berger.
Document provisoire, 8/2002
Ce texte vise à présenter de manière synthétique l'ensemble
des principaux termes employés dans le domaine des Stic (Sciences et technologies
de l'information et de la communication). Il intervient en complément du
Dictionnaire de l'Asti, où l'on trouvera tous les mots du domaine, avec pour
chacun un minimum d'explications ou de pointeurs sur des documents utiles à
leur sujet.
1. Science, techniques, processeur, processus
Dans la pratique française actuelle, on peut considérer que
les Stic sont la réunion de l'informatique et des télécommunications, en y
comprendant des disciplines comme le traitemen du signal, la vision, l'intelligence
artificielle, et dans une certaine mesure, l'organisation des entreprises,
l'ergonomie...
La définition de l'informatique par l'Académie française
fournit un bon point de départ : "L'informatique est le traitement
rationnel, notamment par des machines automatiques, de l'inrormation considérée
comme le support des connaisances et des communications dans les domaines
technique, économique et social". Cette définition englobe, en principe,
les télécommunications. Mais en pratique, ce dernier domaine ne s'est jamais
considéré comme une partie de l'informatique. On parle depuis toujours de
"convergence", mais les cultures comme les industries n'ont jamais
véritablement fusionné, malgré des relations et même une coopération toujours
plus étroite;
De même, et pour des raisons comparables, les sciences
humaines traitant de ces questions ne se sont jamais considérées comme relevant
de l'informatique.
Nous nous sommes écartés, dans l'exposé qui suit, de la
démarche traditionnelle qui part des composants matériels pour s'élever, de
couche en couche, vers les applications et les valeurs. Ce parcours a pour lui
le bénéfice de la tradition et l'avantage de ne venir que sur la fin à des
questions qui relèvent de moins en moins des sciences dures et de plus en plus
des sciences "molles" sinon même des opinions philosophiques. Nous
avons pris au contraire le risque de commencer par le concept qui nous semble
au coeur du domaine : le "traitement de l'information". Nous
déploierons ensuite les aspects matériels,logiciels et applicatifs des Stic en
partant de ce coeur.
Commençons par "traitement"
1.1. Processus et processeur
Le concept de traitement est étroitement associé à celui de
processeur. L'anglais d'ailleurs, les confond pratiquement, avec pour base le processus
(qu'il faudrait, pour satisfaire les puristes, traduire par procédé),
conduisant à la trilogie : process, processing, processor.
Un processus est l'application d'un ensemble d'opérations à
un flux d'entrées pour abourtir à des sorties. En Stic, les processus sont le
plus souvent discrets et immatériels. Opérandes, opérations et produits sont
pour l'essentiel des ensembles de bits auxquels on applique des opérations
"logiques". C'est seulement de manière secondaire, en périphérie, que
ces traitements concernent des objets continus et/ou matériels.
Un processeur est un dispositif qui met en oeuvre un
processus. Et cela conduit immédiatement à y distinguer quelques fonctions (ou
aspects) majeurs très généraux : des entrées, des sorties et des opérateurs.
Parmi les opérateurs on peut distinguer ceux qui restent fixes pendant toute la
durée d'existence du processeur et ceux qui peuvent changer. Ces
derniers sont caractérisés pas des paramètres (ou états) que
l'on peut, pour simplifier, considérer comme groupés dans une partie du
processeur, sa mémoire.
Du fait de la diversité du domaine des Stic, tant par ses
origines historiques que par ses applications, les processeurs sont désignés
par un grand nombre de vocables, et notamment :
- ordinateur, avec son unité centrale ses périphériques ; on
en décline de multiples variétés (calculateur, calculette, organiseur,
micro-ordinateur...voire tabulatrice si l'on veut remonter à la préhistoire de
l'informatique); - convetisseur, DSP, filtre (traitement du signal)
- machine et automate en général;
- automate fini, une des définitions formelles les plus
importantes des processeurs, avec ses trois paramètres I (input, entrées), O
(output, sorties) et E (états), reliés par deux fonctions caractéristiques : O
= f (I,E) et E = g(I,E) ; ce puissant formalisme permet notamment d'introduire
aux langages :
- machine de Turing, historiquement et théoriquement
essentielle
- composant matériel actif de l'électronique (porte logique,
circuit spécialisé, mémoire et micro-processeur);
- composants logiciels comme les programmes, objets et
agents ;
- système, sous-système, dans le vocabulaire de la
systémique et de la cybernétique;
- neurone (réalisé de façon matérielle ou logicielle dans le
cadre de réseaux neuronaux, et de plus en plus étudié en liaison avec les
neurosciences)
- ligne, commutateur, routeur... en télécommunications.
- filtre, convertisseur et plus généralement DSP en
traitement du signal
- analyseur, compilateur, interpréteur.. en génie logiciel
Le concept même de processeur induit quelques structures
très générales
Nota : Une machine est triviale lorsque le même input donne
toujours le même output. Dupuy Afcet 77.
1.2. Interne et externe
Dès que le processeur prend une certaine consistance,
apparaît la notion d'entrées et de sorties, (on lit souvent entrées/sorties,
voire I/O (prononcer ailleau, à l'anglaise)) formalisée dans le modèle de
l'automate fini, plus ou moins clairement exprimé dans les autres cas.
Entrées et sorties induisent l'idée de communication avec
"l'extérieur". Par opposition, il y a donc un "intérieur".
Les systémiciens parlent, en ce sens, d' "environnement interne" et
d' "environnement externe".
Plus un processeur est élaboré, plus ces concepts se
précisent. Le modèle biologique de la cellule et de l'organisme s'imposent à
l'esprit. Ils se concrétise de façon très parlante dans la disposition
matérielle des machines, qui par exemple s'entourent de carters et canalisent
leurs échanges avec l'extérieur par des dispositifs bien définis.
En quelque sorte symétriquement, le perfectionement d'un
processeur va de pair avec une certaine structuration de son environnement.
Dans la manière dont il le "perçoit" mais aussi dans la mesure où il
ne peut survivre que dans un "biotope" suffisamment favorable.
1.3. Séquence et boucle
Deux autres types de structures très générales émergent du
concept de processeur : la séquence et la boucle. En fait, les deux notions ne
vont pas l'une sans l'autre.
La séquence peut s'appeler aussi suite, itération, série. Ce
peut être les opérations successives d'un même processeur à une suite
d'entrées, fournissant les sorties correspondantes après traitement, comme dans
toutes les machines industrielles, ou les circuits logiques simples.
Mathématiquement, la séquence évoque la relation d'ordre. Dans le formalisme de
l'automate fini, elle évoque la fonction
O = f(I,E), avec le cas limite où E ne varie pas d'un cycle à l'aure, et
qu'on pourrait donc aussi bien écrire O
= f(I), la mémoire ayant été en quelque sorte gelée, et son rôle intégré à la
fonction f.
La boucle, ou le cycle, est un parcours où le point
d'arrivée est identique au point de départ,
qui constituent donc un invariant par rapport au fonctionnement d ela
boucle. Mathématiquement, la boucle évoque la relation d'équivalence. Dans le
formalise de l'automate fini, elle évoque la fonction E = (I, E), avec le cas
limite où I ne joue aucun rôle, et où l'on pourrait donc aussi bien écrire
E=g(E), la fonction g étant donc récursive.
Parmi les nombreux concepts liés à la boucle, ou évoqués par
elle, notons : horloge, rétroaction, feedback, boucle ouverte ou fermée,
auto-référence, autonomie, aséité, diagonalisation, infini voire ...conscience.
Philosophiquement, alors que la séquence se laisse parcourir
sans poser de problèmes, la boucle, avec son retour sur elle-même, pose de
redoutables problèmes, étudiés en particulier par les systémiciens et
formalisés par les logiciens. C'est le coeur de la différence entre
complication et complexité.
1.4. Information
Ce terme, aux multiples définitions, donne lieu à des débas
philosophiques où nous n'entrerons pas ici.
=
Pour faire simple, on pourrait se limiter à quatre niveaux :
- le signal, défini couramment comme "support physique d'une information" (mais cette
définition est loin d'être complètement satisfaisante)
- les données, objectivées sur un support et assez
élémentaires pour constituer des ensembles de structure simple et des
opérations itératives, et sans entrer en profondeur dans leur "sens"
- les informations, qui peuvent être en quelque sorte le
"contenu" ou le "sens" des données, mais en pratique, en
informatique, se confondent avec les données (on parle d'information processing
pratiquemnet comme synonyme de data processing)
- les connaissances, plus complexes et richement structurées
et, à la limite, traitables uniquemnet par l'intelligence humaine.
<
Nous y ajouterons :
- la donnée élémentaire : le bit
- les grands ensembles de signaux (son, image fixe ou
animée, multimédia)
- les grands ensembles simples de données (fichiers, base de
données)
- les ensemble complexes de données (texte, document)
- les notions de message et de transaction, pages actives,
etc.
1.4.1. Signal
Le signal est défini couramment comme "support physique
d'une information" (Oswald, GDR Isis). Cela répond adéquatement à la
pratique des spécialistes, mais résiste mal à une critique épistémologique, en
effet :
- un CD-Rom ou une disquette sont bien le support physique
d'informations, mais ne sont pas des signaux,
- un message peut être considéré comme un signal par son
destinataire de manière tout à fait indépendante de son support physique.
Nous n'entrerons pas plus avant dans la discussion.
Les signaux peuvent être traités sous leur forme analogique
ou après conversion. Dans ce dernier cas, n'importe quel processeur universel
peut convenir, s'il est assez puissant. Mais des processeurs spécialisés, les
DSP (Digital signal processor) sont en général mieux adaptés.
Un signal se prête à différents types de traitement :
- acquisition, par l'intermédiaire d'un capteur, ou senseur
- création, notamment à partir d'une donnée
- émission, par l'intermédiaire d'un actionneur
- transport, que ce soit par transport physique du support
ou par transmission d'une onde porteuse (ou direct...)
- traitement physique : amplification, affaiblissement,
"formattage" analogique
- filtrage, élimination du bruit
- conversion en données digitales, par échantillonnage et
conversion : avec ici les concepts de résolution (nombre de bits de
l'échantillon) et de fréquence d'échantillonnage
On peut citer aussi, bien que, surtout de nos jours, ces opérations se feront plutôt sur les
données obtenues après conversion :
- fusion
- interpétation
1.4.2. Bit, code, meaning
Depuis la diffusion massive des processeurs digitaux, le
traitement de l'information sous forme analogique est de plus en plus repoussé
aux frontières des systèmes (capteurs et actionneurs).
Est digital ce qui se présente sous la forme d'un ensemble
de bits, c'est à dire d'éléments d'information pouvant prendre deux valeurs et
deux seulement.
Selon les cas, ces deux valeurs peuvent être interprétées,
prendre sens, de multiples manières, notamment :
- valeur numérique 0 ou 1, dans un système de numération à
base 2 (c'est dans ce cas seulement que la traduction de digital par numérique
est correcte, malgré les décisions contraire de la commisson de terminologie)
- valeur logique vrai ou faux
- valeur physique d'un courant, d'une tension, d'une
amplitude ou d'un décalage de phase (éventuellemnt exprimé par l'allumage ou
l'extinction d'une ampoule, et déclenché par la position ouverte ou fermée d'un
interrupteur). Cette correspondance est arbitraire (on parle par exemple de
logique positive ou négatife), et définit ainsi le "sens" d'un bit.
Un bit est rarement traité seul, mais le plus souvent dans
une chaîne binaire, qui peut être courte (le cas le plus fréquent aujourd'hui
est l'octet de 8 bits) mais aussi très longue (blobs, binary large objects).
Nota : Un bit n'est pas la plus petite quantité
d'information possible (voir information).
L'établissement des correspondances entre ces chaînes et la
signification qui leur est données constitue un code. La structure de ce code
peut répondre à de simples considérations pratiques (caractéristiques du
processeur) ou à une volonté d'en rendre l'interprétation difficile ("code
secret", chiffrement/déchiffement et plus souvent aujourd'hui cryptage/décryptage).
Nota : les informaticiens, surtout en calcul scientifique,
emploient souvent le terme "code" pour désigner un programme ou un
ensemble de programmes.
analogique et digital
analogique et digital, hybride. différence avec le numérique
1.4.3. Data, données
La définition officielle qu'en donne l'Afnor (Morvan, 1970),
est des plus larges.
"Fait, notion ou instruction représentés sous une forme
conventionnelle convenant à une communication, à une interprétation ou à un
traitement soit par l'homme, soit pas des moyens automatiques".
Données traduit l'américain Data, à partir de l'expression
"Electronic data processing", forgée par James Birkenstock chez IBM
vers 1952 qui voulait se différencier aussi bien de ses machines à cartes
perforées (Electic accounting machines) que de Computer, alors trop idenfié aux
produits d'Univac. (Selon E. Ceruzzi)
Ces origines historiques aussi bien que le flou relatif de
la définition officielle française dissuadent de se plonger dans une analyse
épistémologique profonde. En pratique, nous considérerons dans les lignes qui
suivent qu'une donnée (élémentaire) est un ensemble de bits
relativement court (64 bits pouvant être considéré comme un
maximum en général).
Cet ensemble de bits sert notamment à représenter :
- une variable numérique
(entier signé ou non, nombre en virgule flottante...)
- un caractère ou une chaine de caractères
"alphanumériques"
- un valeur booléenne (on perd beaucoup de places à
représenter un bit par un octet, mais on y gagne en facilité de traitement)
- un pixel, par exemple avec trois octets
- une valeur floue (valeur assortie d'une fonction µ)
- une date, heure, coordonnée géographique
Ces différents types sont définis par les langages de programmation,
qui se chargent en général de les vérifier avant d'en faire usage.
La correspondance entre les chaînes de bits et leurs valeurs
symboliques, significatives pour un processeur, est définie par les
"codes", qui se sont multipliés au cours de l'histoire, les plus
connus étant par exemple l'Ascii et aujourd'hui l'Unicode (code à 16 bits
permettant le codage des caractères de toutes les langues, orientales
comprises).
La chaîne de bits utilisée pour stocker une donnée comprend
souvent quelques bits supplémentaires pour assurer la détection (voire la
correction) des erreurs de stockage et de transmission. On parle de codes
détecteurs et correcteurs. Ceci est possible du fait de la
"redondance" des bits entre eux.
Une donnée est constante si elle ne peut être modifiée par
un programme au cours de son exécution. Tous les types ci-dessus peuvent être
des constantes (dites par exemple "littérales" quand il s'agit d'une
chaîne de caractères)
Les données se prêtent au traitements suivants :
- création (par exemple comme résultat d'un calcul)
/destruction, acquisition, transmission,
- stockage : écriture et lecture en mémoire, changement
d'adresse, copie
- utilisation comme opérande (opérations arithmétiques en
particulier).
1.4.4. Information
le contenant et le contenu : adresse/pointeur et valeur
adresse : pointeur, déplacement, recherche, calcul ,
annuaire. Espace d'adresses
les hiérarchies
structuré/non structuré
Par rapport à quoi;
. totalement sturucré : tous les bits comptent, sont significatifs, pour un processeur non trivial
pex. image NB avec blocs de 1 bit, ou image RGB en prenant
des blocs de 24 bits (et en changeant de ligne en fonction du canvas de sortie
plus on va vers champs fins, grand nombre de bits, moins
c'est structuré
définition de structure comme la CK
ex. exploitation d'une chaine de bits comme générateur code
texte direct, sons, images, mdoèle à la Calliope
stuctures générales abstraites : séquence, liste, pile, file
structure formelle et reconnaissance. décrire, analyser,
évaluer
métafichier, métadonnées,
le sens ? ce qu'un
processeur peut/doit faire
impératif/déclaratif/contrainte/flou/stochastique
1.4.2.3. Qualitatif et quantifatif
qualitatif : classer, ordonner, apprécier, décider incrémenter, toutes opérations sur les
nombres
quantitatif : comme qualitatf plus additions
1.4.5. Grands ensembles de signaux
non structurés, blobs
1.4.5.1.. L'image
voir
codage : vectoriel et raster métadescriptions.
MNT
formats
opérations : morphing, stockage, couleur, dégradé,
combinaison, analyse et synthèse , détourage, incrustation
1.4.5.2. Le son
formats
fichies wav et midi
compression/décompression
1.4.6. Grands (simples) ensembles de données
dits "structurés"
Grandes hiérarchies, "bases de"
tableau, à une ou plusieurs dimensions
corpus de textes, BD, banque d'images, bibliothèque,
banques de donnaissances
la réseau comme "base de" Internet
créer/détruire,
saisir/acquérir créer par calcul
ouvrir, , charger, copier/sauvegarder/dupliquer, sécuriser,
dédoublonner,
compresser/décompreser
concaténer, segmenter, mettre en paquets / découpage brutal
sur trame
extension, donc format, pour l'analyse, header
brutalement, sémantique triviale d'un fichier
mais aussi, toujours possibilité d'avoir un type de données
quelconque en utilisant de bons filtres (Calliope, Roxame)
infecter (virus)
1.4.7. Grands et complexes ensembles de données
(non structurés ou faiblement structurés)
1.4.7.1. Le texte
le langage
synonyme de chaîne.
découpages et hiérarchies traditionnelles (mot, phrase, texte, bibliothèque)
relation avec les automates
séquence,
grammaire
syntaxe, EBF
sémantique, syntagme, métalangage
hiérarchie caractère, chaîne, phrase, texte,
volet "code". structures du langage, dépendances,
découpages, règles de constructino, plus ou moins formel
langage formel/Langage naturel
résumer, interpréter, traduire
relatio avec le sens. comprendre
l'alphabet, ses variants, texte scientifique. icones et
idéogrammes
volet "image" : polices, graisse, pente feuilles
de style
volet "son" : phonèmes, prosodie
aitres "lectures"
coder/décoder, déchiffrer
le langage naturel
langage contraint formellement
langage de programmation
phrase,
texte, éditer, immreimser,
traitement linguistique, taduire, relation vec parole, lire et écrire,
concatétnation, sous-chaîne
dictionnaire, clases
formel, structuré, semi-structuré
Langage. Vient de suite dans la théorie des automates finis
: qu'est-ce que I, et quelles opérations on peut faire dessus
Ce qui peut être traité
Ce qui est "significatig", compréhensible,
sémanqtique
tout opérande est plus ou moins sémntique
en programmation : le commentaire, ce qui n'a pas de sens
(ne doit pas en avoir) pour le compilateur
stucures de contrôle : branchement, condition, boucle
résumé, synthèse, expliciation, paraphrase
fichiers, structures stockées
XML . Introduire une sémantique compréhensible par la
machine comme par l'homme
1.4.7.2. Le document
et la connaissance
connaissance : gestion, base de conaisances, systèmes avecv
sa vaee
la mantra
en complément avec "humain"
1.4.8. Communication, messages et transactions, processus, pages actives, etc.
transaction : éxécutermessage : trame, routage
pages dynamiques
1.6.Caractéristiques quantitatives
-performances : puissance, bande passante, temps d'accès
TPC, bancs d'essais
capacité mémoire, complexité, autonomie, L
- consommations : espace, énergie, dissipation, pollution
minima de bits pour constituer un processeur : au xmoins
l'exressiond efonctions OIE, plus assez our des états, et une horloge
2. Organisation et architecture
Deux dimensions
Le concept de traitement induit les axes d'une architecture
: horizontale (des entrées aux sorite) et verticale (niveaux, profondeur)
2.1. Des entrées aux sorties. Phases
Le concept même de traitemnet induit une dimension "horizontale", dpeuis les entrées jusqu'aux sorties. Cette dimension, dès que le processeur prend un certain développement, so'rgnaise en fonctions successives : analyse des entrées, traitements "centraux", synthèse de sorteis.Si le développement est plus important, ces fonctions se concrétisent dans des organes qui sont
eux-mêmes des processeurs
2.1.1. Phases d'entrée
Tout dispositif susceptible d'apporter des informations au
processeur, en particulier à partir du monde extérieur, est appelé capteur. La
liste des types de capteurs est indéfinie : on peut toujours imaginer de
nouveaux dispositifs pour obtenir un signal exploitable par le processeur à
partir d'une qualité du monde extérieur, ou de tel point du monde extérieur.
Le processeur est en pratique un dispositif électronique,
susceptible de recevoir en entrée des signaux digitaux, c'est à dire des suites
de bits, c'est à dire, soit en successsion temporele soit sur une série de
broches, des tensions continues dans deux plages de valeur appropriée, une pour
le zéro et une pour le un (si l'on convient de désigner ainsi les deux valeurs
possibles d'un bit). Pour le rendre sensible à un phénomène extérieur, il faut
donc transformer quelque aspect de ce phénomène en bits, ce qui comporte deux
phases successives :
- obtention à partir du phénomène d'une tension continue représentative,
- transformation de cette tension en série binaire aux
conditions du processeur.
On qualifie en général de capteur (à proprement parler) le
dispositif qui assure la première partie de cette transformation et de
converstisseur digital/analogique la seconde.
Si le phénomène a lui-même une valeur binaire (présence ou
absence d'un objet, d'un rayonnement), la deuxième phase se réduit à un
ajustemnet des tensions. Dans le cas contraire, il faut décomposer la tension
continue en lui appliquant un système d'échelle. Il y a deux méthodes
classiques : comparaisons successives avec des tensions de référence pour
encadrer progressivemnet la tention à mesurer, comparaison avec une rampe de
tension continue croissant de fonction continue en fonction du temps, et
obtention de la valeur digitale par celle d'une horloge au moment où les
valeurs à comparer sont égales.
La variété est évidemment beaucoup plus grande pour le
capteur proprement dit. Ce sera par exemple un thermocouple qui transforme en
tension une différence de température, ou une cellule photo-électrique qui
fournit une tension en fonction du degré d'éclairement de sa surface.
Le progrès technique conduit souvent à dépasser ce modèle
classique (phénomène, tension continue, chaîne de bits), le capteur (on dira
plus souvent "senseur") fournit en permanence une série importante de
bits, en particulier l'ensemble des pixels d'une image, fournis globalement par
le circuit sensible d'une caméra électronique.
On peut donc distinguer trois types de capteurs selon qu'ils
fournissent :
- un bit unique (on parle souvent de "point Tor",
"tout ou rien",
- une série de bits représentant une grandeur supposée
continue
- une nappe de valeurs.
Pour tous les types, en particulier pour le second,
s'appliquent les paramètres de qualité caractéristiques des instruments de
mesure : fidélité, hystérésis, précision. Pour la précision, on parle ici
souvent de résolution (en points par pouce (ppi)) par exemple.
Dans un système digital, le temps lui-même est digitalisé.
La finesse temporelle de la mesure est qualifiée de fréquence
d'échantillonnage. Le produit de la résolution par cette fréquence donnera un
débit binaire qui exige, pour sa transmission, une bande passante minimale. Elle
est de l'ordre du mégahertz pour un signal vidéo.
Enfin, indiquons que la chaîne est souvent plus longue. En
particulier le signal continu est conditionné (filtrage, démodulation) avant
d'être transmis au convertisseur
notion de signal
échantillonage; conversion A/D, acquisition, saisie,
converion A/D, filtrage, démodulation, vérification (carte performée,
transactionnel)
tout un calculateur, système global d'acquistion, fusion de
capteurs
mise en buffer
voir si pas de virus, si message pas agressif, PC
presque central déjà : évaluation de l'intérêt
aspects logiciels
mesurande, entrée, message en entrée, signal reçu, percepion
Quelques capteurs : anémomètre, antenne, balance (poids,
manopétrique), clavier/souris/gant, combinaison, retour d'effort
acoustiques et micro-acoustiques
organiques
caméra fixe, animée, portée sur un bras de robot
périphériques d'entrée venanut nu
2.1.2. Phases de sortie
- sortie : effecteurs, convertisseurs D/A, amplificateurs, moteurs, modulateurs, accès
- perforateurs, graveurs
haut parleur, écran, projecteur
imprimante, machine à imprimer
2.1.3. Phases de calcul central
Traitement proprement dit, sur la formeconvolution
calcul
génération
2.1.4. Phases opératoires
cycle : par lots, temps réel, au fil de l'eau, transactionelcycles quotidiens, mensuel, annunel, ordonna cemnet
cuycle de du développement
cyucle de vie d'une machine, d'un organe, courbe en baignoire
2.2. Niveaux
2.2.1. Concept général
couches, tier
Par rapport à la dimension horizontale, le développement du processeur
conduit à une structuratio en niveaux, généralemnet considérée comme
hiérarchique. On place traditionelment à la base les aspects les plus
physiques, au somment les aspects les plus abstratis, statégique
OSI
formellement, longueur de la fonction de récursion, nombre
de cycles antérieusr (voir dans théorie des filtres)
les questions deviennent plus chaudes, plus passionnées,
quand on resserre la boucle,
aussi bien au plan épistémologique
vocabulaire sur l'homme
qu'au plan éthique/reproduction/sexe
Birkenhead plaide pour l'ectogénèse
dans le dialogue concret avec l'autre, jusqu'où je peux
resserrer la boucle?
le PC, moyen de ne pas resserresr
alors on parle de la pluie et du beau temps
Mais le progrès de la machine fait qu'elle serre la boucle
- cycles plus rapides
- cycle de vie, obsolescence
- cycle de pensée, de travail
dans le Post-humain, boucle trop serrée pour que nous y
intervenions
mais boucle serrée ne veut pas dire seulement cela
notion de distance
Ou placer l'épistémologie ? dans un schéma psychologique de
cycle : éveil du sommeil, phase floue, epxression/explosion, critallistaion
puis décision et retour au départ
Plutôt dans les phases d'explosion. S
pourquoi la cristalliation : parce qu'il faut avancer,
décider
et que à ce niveau la gorge est étroite. on est au centre du
processeur
IF à la rigeur case, mais c'est une suite d'IF
de même, comme en informatique, obsession de la
non-réécriture, la non-répétition,
toujours la recherche de la généricité, des standards
et donc en un sens va très bien avec la concentratio
industrielle microsoft
jusqu'à l'apparition de Linux, une autre philosophie, en
profondeur
prés du centre, la structure est extérieure, circuits
complémentaires
la complexité locale est une sorte d'adhérence à
l'extérieure
formellement, proximité entre f et E
alors que quand se développe, notamment E1+E2, alors E2
devient franchemnet lointain
c'est à alors la structure interne du sytème qui se déploie
essentiellemnet,
bien protégé de l'extérieur,
sauf dans la mesure où on veut la prendre telle quelle
par exemple en recopiant un bitmpa externe sans action
plus loin, la métropçole et la conlone
à partir de quel diamètre
- on commence à avoir des structures répétitives, simples
- nouveau quartier/colonie
taille de la bande de Turing
si, dans un S unique, le progamme s'allonge, à parir de quel
momnet apparaisent des onnées, ou la décomposition fonctions/script ?
les data en tête du BAsic
le bas de l'architecture est plus répétifif, par exemple
avec des paquets en transmission.
attention à bien comprendre ce que veut dire image.
concept très lié à notre vision des choses, que n'a
absolument pas un ordinateur actuel, et ne l'aura pas tant qu'on n'aura pas des
architectures de travail sur l'image à bas niveu opérant vraiment en 2D (un peu
ce que disait le parpier de TSI)
dans un morceau de musique, descripition à bas niveau ,
chaque note à chaque élémnet de tmeps
puis Midi,
puis objets de niveau plus élevé (Ircam)
donc il va y avoir
une phaxe d'expansion, puis on généralise
en Roxame, in fine repétitf en pixels
avec tecure je vais essayer de vaire, par produit de
stuctures
2.2.2. Contrôle
Auto-contrôle, compteur ordinatl,Bios, interruptions
bcouches du système d'exploitation,.
Moniteurs TR, de messagerie, sondes
Pupitre
L'applicatif
L'horloge
2.2.3. Opérateurs, à proprement parler
- opératurs ALU, excpetions, controle E/Sadditioner, convoloveur, filtre
2.2.4 Mémoire
flip-plop, bascule, registre à décalagetypes d'accès (alatoire, séquentiel)
mémoire asociative
adrese en mémoire, hiérarichie
SAN, NAS
2.2.5. Infrastructure matérielle
Cartersalimentation électrique
refroidissemnet
anti-ocvhoc
2.3. Cas particulier: l'interface de commande
groupement d'enrée et de sortie spour le pilotage par un humain ou une autre machineinterface voire partie 7
2.4. Architecture interne
organe et fonctionorgane remplaçable (à chaud), plug to plug, compativle
architecture du logiciel
bus, mesages
sous-ensmbe, cartes électroniques
parallélisme, multiprocesseurs, pipe-lintes SIMD.. MPQ, threads, syncronisation
interruptions
système d'adressage (indirectes, mémoire virtuelle) caches
phase temporelle: début et fin d'une action, d'une transaction
2.5. Architecture externe
A l'architecture interne répond l'architecture exyer, des
reltaions entre les proceseurs, c'st à dire des réseaux
un système est un ensemble de processeurs connectés
couplace fort/lâche
réplicaio pour des raisons de sécurité ou de performnces/efficacité
adresse externe
architecture du logiciel
middleware, MOM, structures réseau
urbanisme
Man, Wan
Bluetooth
OSI, clietn
seveur,
Il y a quelque chose de fractal entre réseaux de processeur
et processeur en réseau. mais on ne peut pas pousser le jeu indéfiniment, on
but sur les bis
2.5.1. Organes dans le monde extérieur
supports, badte, CP, ruban, bande magnétique, cassete, bandothèque, DLTCD Rom, DVD, ligne à retard
le papier : déliasseuse, pré-imprimes, rupteur, inséreuse
2.5.2. LIgnes de communication
Canal, multiplexeur, concentrateurvitese, tmps de transfert
3. Histoire et géographie
3.1. Histoire
Le développement du traitement de l'information suit des lois
de développement historique et géographique.
changer d'échelle (?N)
répartition
Ontogénèse, phylogénèse
progrès buissonnant, pas linéaire
poussé par besoins, par rêves, par les fournisseurs ?
lois générales : concrétisation, etc.
Cette évolution obéit à des lois, statistiqueemnt
ndépendanttes de l'action individuelle, à l'excpetion des catastrophes (sine me
nihil potestis facere), comme la destruction des bibliothèques antiques à
Bysance et Alexandrie.
Certaines de ces lois aont été dgagées par Leroy-Gourhan,
Simondon, Moore. Il serait important d'en travailler plus précisément la
réalité, d'en sonder les fondments et d'en tenter un esynthèse.
Pour cette raison, il est impossible de séparer les SIC
(sciences de l'information et de la communication) des TIC (te hnolgoies de .).
L'épistémolgoie des Stic ne peut se faire sans une prise en compte des
technologies, ce qui induit de délicats problèmes de récursivité.
Cette histoire est faite en partie par les hommes, en partie
par la "nature".
- montée : explicitation de la récursion. Elle "prend
conscience" d'elle même
- rapprochement opérateur/opérande
- dématérislisation et inversion: c'est le matériel qui est
englobé dans l'informationnel
- formatliation progressive : alphabet, lngage machine,
langage des matheux
3.1.1. Evolution des matériels
Loi de Mooreaffinement, miniaturisation, densité, finesse, consomations
nouvelles technologies (qu'est-ce qu'une technologie ? )
avant l'homme.
silex
bois, cuir, un peu de fer
mécanique, engrenage, come
papier/marquage
papier/perforation, aiguille
électronique, butes
électrinque CI SSI MSI LSI VLSI , submicroinique
optique
bio
quantique
technologie des télécoms : lignes métalliques, hertzien, optique, satellite
ICONO
les processeurs n'existent que concrètement, à un moment donné du temps, sur la base des technologies disponibles à ce moemnt
Micro-technologies, nano-technologies
3.1.2. Evolution du logiciel
Logique de l'histoire. Hegel. Du point de vue des hommes,
les machines
logique de développement des idées Gn1
évolution de langages, objets, formel/naturel
internationaliation/localisation
3.1.3. Evolution des ontologies
modèles, modliation
description toujours plus fine du monde (résolution, mais
aussi cadence d'échantillonnage)
richesse des ontologies, jeux des relations
plongemnt dans des espaces plus vastes
3.2. Géographie
relativité physique et réseaux, satellites, ligneslocalisation, différents pays.
caractéristiques quantittives, espace, nombre de systèmes
distibution, répartiton
3.2.1. Espaces definis par l'information
évolution vers des espaces définis par des caractéritiqus
informtionnelels plus que physiques
clutures, claves, phyles de Stephenson
diversification
multi-culturel pou run emême nation, pour un même individu
Le territoire, c'est la carte
4. Limites fondamentales
La relativité et ses différentes formes4.1. Relativité mataterielle
Etant matériels, les processeurs de traitement de
l'information sont soumis à la relativité physique (Heisenberg vitese de la
lumière), ce qui a eu jusqu'à présent relativemnet peu de conséquences (sinon
par exemple sur la structure des grands calculateurs), mais devrait devenir
sensible dans l'avenir, et dont l'avènement du calcul quantique est peutêtre le
versant positif
fin de la loi de Moore
2017 ?
EPR
cas particulier des télésomx
4.2. Finitude
nombre de bits, machines concrètesconséquences
Fermat
perte de précision dans les espces à grand nombre de dimensions
la représentation finie de l'infini
4.2.1. Limites de résolution
Limites de résolution : échantillonnage, résolution,
alisaisn
4.2.2. Bruit et erreur
bruit de calcul, bruit de compilation, limites de
résolutuioh
fiabilité, bugs
correction par fault tolerance
non correspondance aux objectifs
usure, fiabilité
4.2.3. Auto-oscillation
prise d'autonomie intempestiveauto-oscillation, pompage
virus, ouverture sur un ature infini
4.3. La relativité fondamentale de Gödel
Etant digitaux, "logiques", les processeurs de TI
sont soumis à ce qu'on pourrait appeler la "relativité digitale", dont
les racines remontent à Gödel, e qui se taduisent sous différentes limites.
refouil dans l'inconscient par les mathématiciens (Bourbaki)
comme par les ingénieurs, sauf quand ils ne peuvent vraiment pas faire
autrement
la pierre que le bâtisseurs avaient rejeté
pas d'anti-virus universel, décidabilité, arrêt
5. Naturel et artificiel
5.1. Homme/femme, humain, nature, artifice
D'abord prenons conscience des dangers de parler de
"transcendance" de l'homme. CAr tout en lui n'est pas
tarnscendantant. Il est pour une large part un animal et tout autant une
machine. S'il se construit par une négation combinée de ses deux volets, il ne
peut vivre qu'en les assumant.
Levy/Breton, n'être soumis ni à l'un ni à l'autre
Qui fait l'ange fait la bête.
"Deviens ce que tu es" en veut pas dire
"deviens un ange", sans bouche, nez, maisns, sexe ni anus.
"Deviens une bête", ne faisant comme un chien, que courir après sa
queue, même si cette métaphore évoque le signe de linfini (mais ici le serpent,
lui, arrive à se la mordre)
La double revendication/négation
Ce qui est transcendant, c'est l'humain, image de Dieu, et
agissant de son libre arbitre. Saint Thomas.
Le déterminisme : problème philosophique dans l'absolu. En
pratique, une évidence que nous comportements, nos modes de pensée, ont une
certaine généralité, déterminé. Sinon la communication et l'action seraient
impossibles.
Formalisme.
Symétriquemnt (?) la nautre non plus n'est pas tout à fait
déterminée.
Repousser toujours le s limites.
La transcendance constructivisme, renoncement à la
transcendance
artifice, médiation, jeu des coupures
d'abord prise de conscience de la distance
puis individuation
puis objectiviation de la médiation (mon poème sur la trace)
Il me semble qu'on pourrait résumer ce genre de questions
par "Comment l'humanité doit elle, à l'avenir, se reproduire ?"
(version biologique) ou par "Comment l'essentiel de l'humain (l'esprit ?) doit-il, à l'avenir, se développer
?" (version culturelle, spiritualiste). De mon point de vue, il n'y a pas
de différence majeure entre les deux questions.
Au départ, l'humanité apparaît avec l'outil. (C'est en fait
de plus en plus difficile à cerner, car les animaux aussi ont des outils, mais
seuls les humains les conservent, ou en font un usage social, etc.).
Donc, pendant quelque centaines de milliers d'années (on
n'est presque plus à un zéro près), l'humanité se reproduit de deux manières
parallèles :
- une manière interne, biologique, par la fécondation etc.
- une manière externe, technologique, avec le legs d'un
patrimoine externalisé toujours plus considérable.
Les deux manières ne sont pas sans lien, bien entendu. La
"culture" est un peu entre les deux, puisque la mère forme l'enfant
par un apprentissage qui est évidemment externe (geste et parole) mais pas ou
peu matérialisé.
Cependant la coupure est très forte, en particulier du point
de vue de la volonté.
D'une part la technologie est un acte volontaire, une
exigence morale, depuis l'exigende vérité du chercheur jusqu'à la poursuite du bien commun par
l'urbaniste en passant par le devoir de développer le patrimoine dans les
grande familles capitalistes. Une fois passées les
terreurs prométhéennes, l'humanité les responsabilités de la
technique et la religion même s'en dégage.
Au contraire, la
procréation reste pour l'essentiel soumis à des forces irrationnelles :
pulsions de la libido, imprésibilité de l'amour sentimental, aléas du moment et
des conditions physiologiques du coît,
aléa radical de la combinaison génétique, aléas sanitaires de la grossesse et
de la petite enfance. La paternité/maternité garde un caractère sacré, même
pour les non-croyants. Le non-vouloir reste une règle essentielle. En
particulier l'eugénisme est radicalement proscrit.
Cependant, depuis Mendel (et Marx ? ) et avec une forte
accélération ces dernières décennies et années, les deux domaines convergent.
La frontière entre le vouloir et le non-vouloir s'abaisse.
D'une part, en effet, on comprend que la technologie a sa
dynamique propre, qu'elle échappe largement à la volonté consciente de ses
inventeurs et de ses promoteurs. La loi de Moore n'en est qu'un exemple
frappant (après les travaux de Simondon, notamment, cités par Kaufmann).
Et la conclusion du "Moi, robot" d'Asimov, fait
l'hypothèse du moment où les décisions, en tous cas les décisions majeures
concernant l'humanité, deviendront l'apanage de "ils", c'est à dire
des machines. Mais le principe de vouloir et de responsabilité reste majeur (au
point que les hommes tendraient à culpabiliser, sans trop de preuves, quand la
nature désertifie une contrée ou fait écrouler une falaise normande).
D'autre part la technologie nous ouvre de plus en plus
profondément l'accès aux mécanismes même de la procréation. Dans une large part,
les moralistes (et Jean-Paul II en particulier) continuent de faire du
non-vouloir la règle fondamentale. Les comités d'éthique, au fil des
décennies, tentent de définir des frontières en deçà
desquelles l'homme a le droit d'intervenir dans la procration. Mais le principe
de non-vouloir reste majeur.
J'ai tendance à m'insurger contre ces deux aveuglements
volontaires.
D'une part, je pense qu'il faudrait s'intéresser de près au
déterminisme technologique. Ne pas se contenter de stigmatiser la vitesse
excessive de l'innovation, tout en acceptant sans barguigner "les lois du
marché". Il faudrait comprendre vraiment pourquoi la loi de Moore
fonctionne depuis bientôt 40 ans (formulatino en 1965) sans faillir, et n'est
d'ailleurs, à mon avis, qu'une prolongation de lois existant depuis l'origine
de la technologie (voir Leroi-Gourhan).
D'autre part accepter de front nos responsabilités en
matière de procréation et dé-sacraliser le processus, avec les précautions qui
s'imposent. Je dois dire que les grossesses et les accouchements de ma fille
comme de ma belle-fille, m'ont fait toucher du doigt le caractère
de plus en plus choquant de la manière dont nous faisons les
enfants. Sans parler des réflexions de Houellbecque sur les conditions de sa
propre conception :
- nos femmes paient trop cher le privilège d'être mères :
douleur, risque mortel (je sais de quoi je parle maintenant, j'ai eu trop
peur), effets secondaires s'étendant à toute la durée de vie, sans parler des
conséquences sur la vie professionnelle; et ne nous en remettons pas
aux femmes uniquement pour en juger : des musulmanes à ma propre mère, elles ont
majoritairement toujours plaidé pour la continuation de leur propre esclavage ;
- nos enfants sont trop précieux pour en laisser le génôme
et le développement foetal aux caprices du hasard, des lendemains de fêtes plus
ou moins bien arrosées et des accidents en tout genre (automobile, microbes)
qui menacent la mère.
Je crois quon ne pourra avancer qu'en travaillant
directement sur l'union des deux principes constitutifs fondamentaux de
l'humanité : biologie et technologie. A leur rencontre, parmi cent thèmes, les habitudes de Bourdieu et Kaufmann, les cultures chères à Jean-Paul
Bois, les cyborgs rêvés par les extropiens...
5.2. Conscience
5.3. Cela concernet-t-il les Stic ?
5.3.1. Le jeu des coupures
Technologie, la technique aussi est une double négation de
la nature, en nous et dans les choss.
Au départ, elle est une coupure que nous faisons dans
l'immédiateté entre nous et le monde. Puis la chaÎne des coupures qui se
refeme. Boucle ouverte puis boucle fermée, qui conduit à la machine et à la
récursion (mon schéma de la croissance des complxités).
Volet psychologique des Stic.
La transcendance passe à travers toutes les couches, pas
seulement celle de la pensée. parce qu'il y imposition d'un formel sur du
matériel. Retrouver la forme et la matière des thomistes ?
La machine est finie parce que je la construis : rationalité
limitée, médiation finie. Cette médiation elle-même, digitale, se dégageant du
corps-à-corps.
Mathématiques, le même nom pour des choses différentes.
5.3.2. Machine et transcendance
Les Stic, rlevant du fini, n'ont pas à prendre position sur
la transcendance de l'homme, de ses valeurs, des origines et des fins ultimes
de l'univers. Ces questions relèvent des convicions personnelles, et l'on ne
peut pas demander aux Stic de nous prouver que nous sommes des humains (cela
relève des convictions personnelles et collectives). Il y aurait d'ailleurs
paradoxe à demander à une science d'élaborer une preuve (c'est à dire une
machine) qui nous garantirait que nous ne sommes pas des machines.
Pour les mêmes raisons, il n'appartient pas aux STic ni aux
machines de trancher sur nos différents quand ils portent sur des valeurs
fondamentales, sur les droits de l'homme. Ce point est expressément prévu par
la loi française Informatique et liberté sde 1978.
L'homme st un animal raisonnable. Il se construit par une
double nébation (ou refus, ou dépassemnt) : il ne veut être ni une bêtte, ni un
robot.
Sur la bête : très tôt, évident Saint Ex dans els Andes
(l'autre),
Sur la machines: Bible puis mystique
Le matériel est ce par quio le processeur échappe à ma
constructio volontariste, rationnelle, à la fois en me limitant en
perforamnces, rentabilté et en se sitant hic et nunc
La vraie frontière ne passe pas entre l'homme et la ma
hine, ni entre l'homme et l'animal
mais entre l'artificiel et le naturel;
il y a de l'artificiel aussi chez l'animal.
mais l'artifice est un des composant mjeurs de l'humaint.
Naisance avec l'outuiolla culture comme artificel, le langage, exemple de
combinaison
Et ce en nous comme dans nos oeuvres. Symétriquement, on
peut se demander "qu'y a-t-il de transcendant dans nos oeuvres ? "
Valeur de l'outil de travail
Objet consacré, lieux où souffle l'esprit. idole
Patrimoine culturel. On peut donner sa vie pour des oeuvres,
se dévouer corps et âme à une vocation artistique. Y sacrifiser la vie amoureuse.
Mettre en danger sa santé. Ou pour auvegarder des pans importants du
patrimoine. C'est autre chose que de donner la vie des atures (aucune idée ne
vaut le sacrifice d'une vie).
Deep blue
La médiation boucle
5.4. Jusqu'où peut la machine penser et agir
Le réductionnisme, c'est l'afirmation que nous pouvons, à
travers cette double négation, à l'intérieur de cette boucle fermée, finie,
reconstituer l'intégralité de ce qu'il y a de complese en nous.
(boucle pourtant est infini)
D'où cette idée : on pourrait poser la question sous la
forme : jusqu'oû peut on pensre machinalemnet
l'émotion comme écart par rapport à cette pensée machinale
5.4.1. Pour les machines, une question technique
Dans le cas de la machine, le problème est surtout technique
: cherchons les limites des machines à la fois d'un point de vue théorique
relativité digitale, complexité de Kolmogorov, etc° et d'un point de vue
pratique, en exploitant au mieux la puissance de calcul que les fabricatns nous
offrent.
peut être demain éthique si commence à mordre sur humain
fortement
les lois de la robotique
5.4.2. Pour les humains, une question psycho-technique, mais aussi morale
Dans le cas de l'homme, la question est technique aussi,
voire psycho-technique. Comment puis-je "mécaniser" ms processus
mentaux (ne disons pas "ma pensée") pour éviter de fâcher,
soit pour les rendre plus fiables (la logique au sens
classique) ou plus puisants (mnémo-techniques), soit plus rapides.
En particulier pour les travaux répétitifs et poru l'action
en situation stressants (pompiers, soldats).
Mécanisation :
1. Acquisition = acquisition de réflexes + acquisition
d'habitus + acquisition d'outils et de la manière de s'en servir
2. Résultat d'une mécanisatino
Cette mécanisation, tant comme acquisitio que comme
résultat, est tantôt conseicnte, tantôt no. Je peux volontairement apprendre
qqch, m'exercer à faire quelque chose machinalemnte, sans avoir besoin d'
réfléchir. Ex. ne pas regarder son clavier quand on tape.
intégration de Kaufmann
Ou inconscince : on prend des habitudes on est dressé ans
trop s'en rendre compte. on fatigue..
Le résultat lui-même peut être conscient : je sis faire une division
d'entiers avec un diviserur de trois chiffres, j'applique la méthode. Ou
inconscient l je fais du vélo.
Mais pour nous la question est aussi éthique. Jusuq'où ai-je
le droit (et le devoir) d'asservir ma pensée à des mécanismes qui en réduisen
tla portée, la liberté, la responsabiltié, la maîtrise par une intime
conviction.
Le tehcnofan et le sectaire, même combat.
L'artiste de Bouler
ils ont leur autonomie par rapport à l'individu,
à partir du moment où je renonce à l'universel
l'engagement total de MS (I Sing Body, the soul of a new
machine), ou Platt, au dessus des lois
le capitaliste
pas vrai poru les princes du soft
IBM
La référence à l'universel en l'homme
L'art pour l'art, le parasite. le management pour le
managemnet
toutes ces fermetures, autres que l'univesel
Tant qu'il n'y a qu'un mot dans ma boudhe, un éclat sur le
silesx, il adhère toujours à la nature
(le mantra, en remontant, mais en fait on redescenda dans
l'intime inarticulé) derrière
quand j'ai refermé les mots sur eux-mêems, (réfléchi, je) ou
le silex fermé, à ce moment apparaît la finitue, l'intérieur du cercle,; ni nul
ni infini
l'artefact m'échappe tout en restn fini
auto-nomie, ré-cursion
convergence neurosciences/philosophie
velut machinas (Bacon)
5.4.3 Organisation du travail
Le travail en miettes. Spécialisation, Taylor, Ford, OSTRôle, acteur
5.4.4. Description des êtres humains
Ils ont compté tous mes osanthropométrie
mesure du social
prix de la vie
choix en matière de sécu, militaire
neuro-sciences
IRM
6. La transcendance est-elle compatible
avec la fécondité des analogies
et des concepts communs (transversaux).
Cette double
négation n'empêche pas, et au contraire encourage (voire exige) une dialectique
entre la nature et la machine.
système, cybernétique
entropie (atention)
=
C'est une caractéristique essentielle de la science de
désanthropomorphiser progressivement, c'est à dire d'éliminer petit à petit les
traits dûs spécifiquement à l'expérience humaine. Bertalanffy 1937/53/66
6.1. Langage et sens
grammaire, vocabulaire, sémantique, nomenclature, unités de mesure
naturel et artificiel
Tout est jamais pur (Bazin, Catach), acronymes
standardisation (consubstantielle au langage, mais pas forcément explicite)
Kaplan
6.2. Processus mentaux "programmables
D'une part les anthropomorphismes (et plus généralement
naturo- morphismes) sont souvent féconds, à condition d'être limités. Un avion
ne bat pas des ailes, mais il a des ailes et une queue, comme un oiseau. Et la
reproduction de nos processus mentaux est une source majeure de développement
des Stic.
D'autre part les modèles que nous élaborons dans nos
mécanismes sont précieux pour comprendre ce que nous sommes, notamment dans le
cadre des neurosciences.
La décision
6.3. Enseignement
IA, réseaux neuronaux
6.4. Comportement
Comportement. Kaufmann, robotique, Lingo, architecture des comportements
w
- Le bruit, la souffrance
- Le péché, felix culpa. Négation fondamentale, résonance
propre échappant à son auteur. le problème du mal, ma dissertation.
7. Stic, commande des machines et coopération avec elles
Cette double négation nous invite (et dans une certaine
mesure nous contraint) à une coopération-symbiose toujours plus grande avec les
machines que nous construisons. En fait, nous mettons de plus en plus de
nous-mêmes dans nos machines, et nous mettons de plus en plus de machines en
nous-mêmes.
La difficulté est qu'il faut à la fois accepter ce mouvement
et le critiquer, le maîtriser. Rien ne nous garantit (je ne suis plus croyant)
que tout finira bien, mais le pire n'est jamais sûr.
Typologie des attitudes. Breton/Lévy
7.1. Interfaces
Transparencd,
wysiwyg, ease of use, instainctifconviviaité
ergonomie
charge de travail
immersion plus ou moins totale
bande passante
7.1.1. Aspects matériels
Mettre tout ici, juste renvoi en première partie
Analogique et digital
Construction des interfaces. Aspects techniques, aspects
éthiques : prothèse, implantation, contrôle direct
Montée en complexité, multimodal, 2D/3D (bande passante
(bits et pixels par
seconde)
Montée en saturation : touche... combinaison/cave. Pervasif.
Vêtements.
Capteurs biogiques. La prothèse jusqu'où ?
Curative au augmentative. Sport. Handicapés; Exsoquelettes
Mobilité
7.1.2. Relations avec le corps et l'espace
Mobilité et géodépendance . GPS. VOitures, véhicules, avions, hélicoptères, HUD
La bureautique
Le guichet (front-office)
Les services amnistrafifs (front-office)
L'externet à l'hmme : robotique
7.1.3. Aspects logiciels
Intégration (Ganascia)Langages, modèles mentaux
Services
Traduction des langues. Convertisseurs divers
7.2. Relativité, ennemi mais aussi complice
diaphonie
redondance
débruitage, filtrage, antibruit
7.2.1. Limited reliability of systems
Se servir de la relativité, pour construire avec. Démocratie, architectures, décentralisation
7.2.2. Autonomy taking by machine
Larsenvirus
révolte des robots
(autonomie symétrique de l'humain par délégation ? )
7.3. Applications
7.3.1. General
7.3.1.1. GroupwareCSCW, collecticiel
workflow
versioning (...)
7.3.2. Horizontal
centres d'apelcompta, finance, paye, poduction commercial
7.3.3. Vertical
7.3.3.1. Defense, sécurité, justice
L'intervention de la machine dans nos conflits
séparation en groupes
Guerre
systèmes d'armes
distianciaation
drones, robot
guerre électronique
CII-C4I
réseaux sécurités, dispersion de fréquence, reconfigurables
la rcherche de la paix
7.3.3.2. Sécurité
fiabilité (et non alignemnet) des machines, des hommes
chiffrement et déchiffement, cryptage et décryptage
PKI, authentification, non répudiation. DES RSA
Enigma
réseaux sécurisés
certification, tiers de confiancne
back up
7.3.3.3. Justice and loi
cybercrime, cybercriminalité
Le droit comme machine en soi. La machinerie judiciaire
Machines à tuer. peine de mort
Loi de 1978
juge et robot. IDA.
propriété intellectuelle. brevetabilité,
informatique et liberts, privacy
Les machines de nos conflits
7.3.3.4. Standardisation
7.3.3.5. Etat, administration
E-administration
7.3.3.6. Industrie
agriculure, agro-alimentaire, tabac et cuir
mécanique, chimie
constructino auto, aéro, espace
BTP
7.3.3.7. Transports
transport aérien. ATC (control), ATM
ATM
Résa
location
par fer : SNCR, RATP
par route : guidage des véhicules
7.3.3.8. Commerce and distribution
BtoB, BtoC... places de marché
7.3.3.10. Services
tertiaire
banque : monétique, carte de cérdit, DAB, TPV Etebac,
compensation RIP (? )
services
télécoms. réseaux et services
postes
centres d'appel, SAV
SSII, ASP,
imprimerie, presse, documentation, bibliothè-ques
7.3.3.11. Education
Que faut-il apprendre sur les Stic ? A quel niveau
Enfants, écoliers, travailleurs, patrons, décideurs
politiques
LMS
machines à enseigner, QCM, docimologie
7.3.3.12. Santé, médecine
systèmes experts, aide au diagnostic
Hopitaux. prothèses, PMSI
réseau de paiement, carte sante, mutuelles
ECG, EEG,
imagerie, IM
7.3.3.13. Tâches domestques et vie sociale
appareils ménagers
domotique
chat
relations familiales, associatives
7.3.3.14. Jeux et distractions, plaisir
chat
L'hypersexe. relation avec procréation, santé
logiciels et machines de hjeux
cybercafé, cybersexe
7.3.4. Création et development
La création
Editeurs (texte, musique). Création graphique
création musicale Ircam. Séquenceur
éditeu prédictif
action éleméntaire, script/macr, programme..
7.3.4.2. Ingénierie et calcul
CAO, CFAO
calcul scientifique en général. en chimie, conception computationnelle
simulation, ingénierie (réalité virutelle) prototypge rapide
gesttion de projets
7.3.4.3. Ingénierie des systèmes d'information
Informatique . Génie logiciel AGL aspiratur de site, compilateurs, versioning
faisabilité
organisation/ analyse stratégique. BPR BRP. analyse sous-traitances,
analyse fonctionnele/ conception
nalyse organique, programmatino wizards, sourcing.
Tests
déploiement
maientance, évolution
EAI, connecteurs API
méthodes
7.3.4.5. Décision
Décision collective. La politique
Le groupware.
Le système d'information des décideurs. Le décisionnel.
SIC, DSS, SIAD, ES
SIG, cartographie
data mining, Data warehouse, datamart
simulation,
7.3.4.6. Production
temps réel, transactionnel
CIM, SCM, CRM, ECR
7.4. Institutions spécialisées
7.4.1. Assciatiosn informatique
normalisation et standardsRégulation pouvoirs poltiques ART, Finances, MRT
7.4.2. Standardisation et normalisation
forums, consortiums
7.4.3. Services publics spécialisés
ART, Cnil, DCRF, DSSI
7.4.4. Organismes de recherche
universités, EPST... privé
7.5.5. Producteurs commerciaux, industrie
Constructurs, editurs, SSII
7.5. Métiers et services
DSI, infogérence escalade utilisatuers ME/MU
DBA
Productin/exploitation
ME/MU
A contrôler ou démontrer : le caractére récursif de la fonction E, appliqué
à un processus informationnel, introduit un carcture nécessairement digital
(pas forcément numéique ? ) au coeur même des processeurs de TI et donc des
Stic.
Ordinateur
Je n'ai pas connaissance d'un autre domaine où s'exerce l'effort humain, dans lequel le résultat dépende réellement, pour chaque objet fabriqué, d'une séquence d'un milliard d'étapes et où, de plus, chaque étape importe vraiment. cela est pourtant vrai pour les machines à calculer. John Von Neumann.Cité par Blumenthal 1969
Sur définition des
Stic. Dupuy : Ensemble des sciences et technologies concourant à l'étude, la
conception et l'implémentation de modèles et systèmes opérationnels d'information
et de communication. (on supprime deux propositions) Siarry J'ai lu en détail
ce texte, tout y est, que veux-tu que l'on rajoute ? Je suis partisan d'adopter
tel quel ce texte... Brauschweig A part cela j'ai jeté un oeil sur ta page et
je la trouve très bien. J'aurai certainement des commentaires de détail mais
comme je suis pris par la rédaction d'une proposition de projet européen, je
me concentre sur mon sujet prioritaire et je t'en parlerai après. Coulon Technologies
Les Stic s'appuient sur les technologies les pl^us aptes à porter leur complexité.
Après la mécanique et l'électricité, elles ont fait appel à l'électronique (puis
la micro-électronique) et l'optique. Pour l'avenir, elles attenden
Définition des Stic
vraie difficutlé sur automate/représentation
la fusion viendrait du digital pensé-je
en analogique, il y a une grosse différence entre un automate et une
représentation
en tous cas quand on des cend vers les constitutions fondamentales, on a d'un
côté le moteur, les structrures de contrôle lui seront ajoutées
arbitrairemnet, brisant sa rotation daileurs dans sa régularité
de l'autre l'horloge binaire, sur quoi embraye tout nautrellemnt le jeu des
portes. Et qu'on peut d'ailleurs réaliser avec peu de portes (et un condensateur..)
le répétitif est essentiel. Le moteur élémentaire
est l'itérateur élémentaire
simulation. cas intermédiaire. c'est une représentation, mais
mobile
one could build all from my Automatemes
and the four causes systèmes
Science informatique et systèmes d'information
O14_IK/AGL.HTM (30/6/1997) (divers sur le génie logiciel, la programation)
O14_IK/BIHEMI.HTM (Idée d'une informatique à deux hémirsphère "cérébraux") Mars 192
Informatique d'entreprise
ENTREPRISE\VISIMANA.HTM . L'informatique, pourquoi, comment ?
Applications de gestion
ENTREPRISE\SUPEV.HTM
et
ENTREPRISE\APPLICA\HOMEAPPL.HTM (juste des pointeurs sans liens) . L'entreprise informatisée
O14_IK/BUREAUTI.HTM Bureautique
Divers :
L'informatique est le traitement rationnel, notamment par des machines automatiques, de l'information considérée comme le support des connaissances et des communications dans les domaines technique, économique et social. Académie française
L'informatique, moyen privilégié d'utilisation des modèles, est particulièrement dépourvue en modèles. Martzloff