Hebdo No 130. 27 octobre 2003

Les actes d'Asti 2001 sont en ligne sur le site du Paris ACM Siggraph, en version flash (un peu longue à charger mais interactive et ergonomique) ou simplement HTML.

L'Asti étudie la faisabilité d'un séminaire "Sciences sociales". Toutes réactions seront les bienvenues auprès de Dominique Desbois ou de Jean-Paul Haton

"L'environnement économique et légal est aujourd'hui plus favorable. Une équipe de chercheurs prête à se lancer dans l'aventure industrielle a plus de chances que jamais de voir ses efforts s'avérer rentables."

Trois questions à Jean-Marie Chauvet

Cher Monsieur,
Merci pour la communication de l'article. Je n'ai pas de commentaire particulier à formuler. Les détails suivants reprennent les sociétés que nous avons évoquées :

* La start up du CRM qui fait parler d'elle s'appelle salesforce.com fondée par Marc Benioff (par ailleurs invité à Capital IT la semaine prochaine à Paris)
* Des start up montantes dans le secteur de la logistique sont Vastera ou Optum aux USA et DDS Logistics en Europe

Des pointeurs sur les sujets évoqués :

* L'environnement de l'innovation technologique en France avec Croissance Plus (http://www.croissanceplus.com/) association de jeunes entreprises de croissance, l'AFIC (http://www.afic.asso.fr/) l'Association française des investisseurs en capital, l'ANVAR (http://www.anvar.fr) l'Agence française de l'innovation, Capital-IT (http://www.capital-it.com/) le rendez-vous français entrepreneurs/investisseurs.
* Sur le wireless 802.11. : http://wifinetnews.com/ ou http://www.wi-fiplanet.com/
* Sur le RFID : http://www.radiofrequencyidentification.org/ entre autres
* Smart Dust à l'Université de Berkeley http://robotics.eecs.berkeley.edu/~pister/SmartDust/

Partner, Dassault Développement

Asti-hebdo : Après l'explosion de la bulle Internet, dans la conjoncture économie actuelle, est-il encore raisonnable pour des chercheurs de chercher à valoriser industriellement leurs travaux?

Jean-Marie Chauvet. : Mais oui ! En France, le statut du chercheur commence à changer un peu. Nous sommes encore loin de la flexibilité, parfois un peu caricaturale, du monde anglo-saxon, où l'on peu voir le président de quatre sociétés continuer à donner des cours dans deux universités.. De ce point de vue, l'engouement des années 1997-98 pour les nouvelles technologies a fait évoluer les milieux politiques, jusque là très conservateurs dans leur façon de gérer la législation. Sans aller encore jusqu'à alléger beaucoup les réglementations, on a pris conscience de quelques archaïsmes qu'il convenait de dépoussiérer.

Il y a quelques années, on a sans doute voulu aller trop vite. La Silicon valley fait référence, mais on oublie de dire qu'elle s'est construite en 25 ans de travail, souvent laborieux, de compromis et de convergences entre des centres universitaires, une industrie appliquée, la Défense (en particulier par l'intermédiaire de la Nasa et les contrats du secteur aéronautique et spatial). Cet écosystème ne s'est pas fait du jour au lendemain. C'était une illusion de croire qu'il suffirait, dans un pays européen comme la France ou l'Allemagne, de créer quelques institutions similaires pour obtenir un environnemnent comparable.

Aujourd'hui, malgré quelques désillusions, il ne faut pas garder en tête uniquement l'explosion de la bulle boursière et les scories qu'elle a laissées. Les conditions pour qu'une équipe de chercheurs parvienne à valoriser industriellement son travail sont beaucoup plus favorables qu'il y a cinq ou six ans. Nous avons de fortes structures comme l'ENST, le CEA ou le Génopôle d'Evry qui facilitent les transferts. L'Inria a même en quelque sorte industrialisé un processus recherche-industrie, avec de fonds d'investissement (financés par ses précédents succès) pour aider aux portages. Et les grands industriels français (Alcatel, Thales) se sont dotées de structures de corporate ventures pour investir dans des entreprises qui les intéressent, soit pour leur propre activité, soit pour faciliter la prise d'indépendance de certaines de leurs équipes (spin off). Ajoutons que l'Anvar joue son rôle, que le crédit-impôt-recherche fonctionne, que des rencontres recherche/industrie sont organisées par les ministères et les grands laboratoires publics comme le Minatec...

L'Administration prête une oreille plus attentive aux créateurs d'entreprise. Comme les grands groupes tendent à s'alléger et à licencier, parfois par milliers de postes, elle s'est rendu compte que si l'on veut créer à nouveau des emplois, il faut s'appuyer sur un tissus de PME et PMI.

A.H. : Pouvez-vous nous indiquer les thèmes porteurs aujourd'hui, sans nous dévoiler trop de secrets ?

J.-M.C. : Il n'y a pas tellement de petits secrets, car les thèmes porteurs ont été identifiés un peu par tous les fonds d'investissement.

Le premier est le sans-fil (wireless), qui couvre un spectre large, avec les avancées technologiques permises par les nouveaux chipsets et la standardisation et sa panoplie de nouveaux protocoles. Cela va du téléphone UMTS 3eme génération (qui, à vrai dire, n'intéresse vraiment personne car il est trop cher et sera concurrencé par des solutions plus intéressantes avant même de devenir réellement faisable) au Wi-Fi et aux PDA communicants.

On parle peu, en France, du RFID (Radio frequency identification systems), c'est-à-dire en pratique des étiquettes électroniques. On sait maintenant qu'elles sont capables de remplacer les codes à barres dans presque toutes leurs fonctions et, avec de la mémoire en plus, de donner une forme d'intelligence à tous les objets. Les applications sont évidentes en logistique haut de gamme : plutôt que d'avoir des personnels qui circulent dans les containers pour lire les codes barre, il suffit de passer le container, fermé, sur sa péniche, sous un portail. Et les 10 000 étiquettes des objets qu'il contient permettent une identification immédiate.

Un grand nombre d'industriels sont pressés de faire parler, avec leurs utilisateurs mais aussi entre eux, tous les objets domestiques : le frigidaire, la télévision, la chaîne hi-fi, l'ordinateur, les jouets des enfants... votre portefeuille et votre carnet de chèques. L'automobile même devient d'abord un réseau (comme vous l'a expliqué Michel Parent, dans votre numéro 107). On parle aussi, un peu pompeusement de "smart dust", ces nanotechnologies qui rapprochent du vraisemblable des univers comme ceux qu'a décrit Neil Stephenson dans L'age de diamant (Editions Rivages, 1996).

C'est un moment intéressant de voir aujourd'hui le consensus qui s'est fait dans nos industries sur la nécessité de communiquer. Entre les objets mais surtout entre les entreprises. Comme il est devenu peu coûteux d'interconnecter les systèmes d'information, si vous écoutez les tenants d'XML il suffit d'une connexion Internet pour échanger tout ce qu'on veut. A condition de s'appuyer sur les nouveaux protocoles et de développer le vaste domaine de la sécurité et de l'intégrité des données.

D'où un changement radical de perspective : les compartimentages, les accès privilégiés à l'information ont cessé d'être rentables. Puisque tout devient interconnectable, chaque entreprise doit désormais tout lire, être au courant de tout, et se rendre accessible, transparente. Même le logiciel libre, ou l'open source pour être plus précis, n'est qu'un volet de ce changement radical. Le logiciel, et plus généralement l'informatique, devient une commodité dont le coût diminue. "IT does'nt matter...." pourquoi y dédier des ressources spécialisées en développement ?

On voit donc de nouvelles firmes entrer sur des marchés qui semblaient bien bouclés, avec leur leader et leur deux ou trois secondes sources. Je pense à la SFA (sales force automation), ou au CRM (customer relationship management), qu'animait Siebel. Or on voit ses clients passer un par un chez XXX (?????) , une start-up qui a démarré en 1999, avec un modèle d'affaire complètement nouveau, basé sur la prestation de services (ASP, Application service provider). Un peu comme si un nouveau fournisseur proposait les fonctions de tableur et reprenait peu à peu la clientèle de Microsoft avec Excel !

Les grands industriels et prestataires de services, IBM en particulier, l'ont bien compris. Ils savent habiller leurs produits, même très classiques, de nouveaux logos comme le BOD (business on demand). Mais le mouvement est tel qu'ils ne pourront pas occuper toutes les niches, tout l'écosystème, et qu'il y aura donc beaucoup de place pour de nouveaux entrants, comme Vastera et I2 Mu (?????) en logistique.

A.H. : A quel moment une équipe peut-elle utilement s'adresser à vous ?

J.-M.C. : Au moment où elle est prête à se lancer, où son projet a pris ce que nous appelons "de la substance". Une idée sur le papier ne suffit pas. Pour nous, le bon cocktail, c'est un ou plusieurs chercheurs qui ont une bonne maîtrise de la technologie commercialiser sous forme d'un produit, unis dans une équipe comprenant aussi un commercial dynamique qui a senti l'adéquation entre ce produit et un marché. Voilà le moment où notre intervention financière va faire la différence et permettre le décollage.

Dassault est une grande maison, avec toutes ses participations industrielles, Dassault aviation, Dassault systèmes, une belle réussite du logiciel français, d'autres sociétés reliées aux activités aéronautiques, ou engagées dans d'autres secteurs, notamment la presse (49 titres) ou les biotechnologies... une diversité de portefeuille qui laisse un peu rêveurs les modestes artisants que nous sommes à Dassault développement, où nous intervenons au niveau private equity, c'est à dire comme partenaires financiers de jeunes firmes au cours de leur maturation, depuis leur lancement jusqu'à leur "sortie" : LBO (leverage buy out), reprise par un grand groupe ou accès un marché bousier.

Nous sommes en quelque sorte le deuxième étage de la fusée, entre le premier où se regroupent chercheur et commercial et le troisième qui est l'entrée dans les grands structures industrielles. A nous de rentabiliser nos investissements en ne nous trompant pas sur les marchés, les scénarios de développement, la qualité des technologies, les talents de management. (Il ne faut d'ailleurs pas croire que les Etats-Unis ont un pourcentage de réussite tellement meilleur que l'Europe).

Le timing est un point essentiel. Une idée bonne trop tôt, ou trop tard, est un idée mauvaise. Et une idée même médiocre peut réussir si elle survient juste au bon moment et rencontre un financement correct. On a vu des projets invraisemblables trouver leur débouché juste avant l'explosion de la bulle Internet (et des équipes savoir décrocher au bon moment).

Nous sommes aujourd'hui dans un environnement favorable. Le séïsme Internet doit être évalué en tenant compte des richesses qui ont été créées, des nouveaux métiers qui ont vu le jour. Nous ne sommes qu'au début d'une vague de fond. Et je dis aux équipes qui sont prêtes à se lancer dans l'aventure industrielle : "N'ayez pas peur. Non seulement les technologies ont encore beaucoup à apporter, mais l'environnement économique et légal a évolué dans le bon sens. Mon courriel vous est ouvert. Vos efforts ont plus de chances que jamais de d'avérer rentables".

Propos recueillis par Pierre Berger

Actualité de la semaine

L'Adeli fête ses 25 ans

L'Adeli a joyeusement célébré son 25eme anniversaire au cours d'une croisière fluviale sur la haute Seine. On en trouvera un bulletin détaillé dans le numéro d'octobre de la Lettre de l'Adeli, dont le sommaire propose aussi :
- Enquête et débat "informatique et être humain", par Pierre Fischof et Alain Coulon,
- Notre vocabulaire des systèmes d'information (c'est un choix de 250 termes sélectionnés par un comité ad hoc. (NDLR : L'optique est différente du dictionnaire de l'Asti, qui vise à inclure tous les termes que l'on rencontre dans la profession, buzzwords anglo-saxons compris, en indiquant ceux qui sont recommandés par la Commission de terminologie),
- Les journées ICSSEA 2003, par Jacqueline Sidi,
- CGL, pour la simplification de la performance. Entretien avec Jean-Marc Morel et Martine Aguado, réalisé par Mireille boris et Pierre Fischof,
- UML et la modélisation, par Antoine Clave,
- La signalisation routière, par Alain Coulon.

Théories et concepts

Urbanisation

L'analogie entre systèmes d'information et ville est séduisante, et probablement éclairante sur le terrain. En revanche, le concept ne désigne ni un marché précis, ni un outillage technique déterminé, a fortiori standardisé. C'est ce qui est ressorti d'une table ronde organisée le 16 octobre par le Club de la press informatique et des télécommunications. Les intervenants ont fait ressortir l'opposition entre les aspects bas niveau (boites noires, voire "rustines" de l'EAI notamment) et haut niveau (visés globale sur le ou le systèmes d'information de l'entreprise).

A bas niveau, les grands fournisseurs proposent un cadre et des produits techniques (IBM Websphere, typiquement). A haut niveau, certains intervenants évoquent UML, voire Aris. Mais l'essentiel se fait avec Word et PowerPoint. Il n'y a même pas l'amorce d'une standardisation de l'outil de base : la "cartographie des applications".

On trouvera dans notre dictionnaire une synthèse bibliographique et des pointeurs.

Sociologie du conseil : consultance

Extrait du communiqué. L'ouvrage analyse plusieurs situations de consultance ; il interroge la conduite de l'activité mais également le contenu de cette activité, en l'occurrence les connaissances qui sont produites à cette occasion. L'ouvrage s'inscrit donc dans une double perspecive, à la fois une sociologie du travail d'étude et de conseil et une épistémologie des savoirs mobilisés ou élaborés dans le cadre d'un diagnostic, d'une évaluation ou d'une étude.

NDLR. Une des activités qui peuvent le mieux compléter la recherche, c'est l'intervention comme consultant auprès des administrations et surtout des entreprises privées. Ce type de travail fait l'objet d'une analyse théorique en profonduer dans l'ouvrage La relation de consultance. Une sociologie des activités d'étude et de conseil, que Pascal Nicolas-Le Strat vient de publier à l'Harmattan. Il reste loin des Stic, et sa forme de discours est certes fort éloignée de celle des lecteurs d'Asti-Hebdo. Ne lui demandons pas non plus des recettes pratiques. En revanche, pour ceux qui sont prêts à s'interroger sur la complexité des relations qui s'établissent entre eux et leurs clients, sur l'ambiguïté possible de leur rôle, et même sur les postures qu'ils prennent ou qu'ils devraient prendre, cet ouvrage nourrira leur méditation et qui sait clarifiera leur pratique. P.B.

Management des SI

Aligner le parc applicatif sur la stratégie d'entreprise, modéliser l'urbanisme des procesus
par D. Joliot

Pour justifier les projets nouveaux et pour tenir compte prioritairemnt des exigences utilisasteurs, les directions des systèmes d'information (DSI) sont dans l'obligation
- d'une part de démontrer les retours sur investissemnte et leur compréhension des orientations de la direction générale
- d'autre part de garantir le bo managemnet des rojets.
Ce n'est pls le "tout technologique" qui prédomine, mais les aspects de gouvernance de l'informatique par l'entreprise.
Devant ce constat, il convient donc de donner l'état de l'art dans les domaines de la stratégie des systèmes d'informtion et de la définition des beoins par la maîtrise d'ouvrage. Au-delà de la conjoncture qui pouse à la rédaction de cet ouvrage, il apparaît nécessaire d'en profiter pour écarter toutes les confusions qui se rattachent très sou vent à ces sujets, et découvrir des métiers nouveaux, ou pour le moins en pleine mutation. La clé de leur réussite passe effectivemnet par la maîtrise de concepts spécifiques et une organisation adaptée à ces changements.

Ces objets qui communiquent.
Sous la direction de P. Mallein et G. Privat. Numéro spécial de la revue Les cahiers du numérique.

Grâce aux possibilités techniques nouvelles offertes par les micro et nanotechn oloiges, l'informatique embarquée et répartie, les réseaux sans fils, les opportunités de transformer n'importe quel objet de la vie quotidienne en objet communicant vont croître et se multiplier dans les prochaines années. Ce numéro spécial est consacré à ce phénomène et à ses conséquences en termes de nouveaux environnements techniques de l'activité humaine, de nouveaux objets et interfaces, de types de relations qui pourront s'établir entre les humains et ces objets, et particulièremnet de nouvelles façons de concevoir ces objets associant pragmatiques techniques et pragmatiques de l'usage, technologies et sciences humaines appliquées.

Vie artificielle
Sous la direcion de A. Guillot et J.A. Meyer
Numéro spécial de la revue RSTI-Technique et science informtaiqueu

Les recherches sur la VA visent à la synthèse de comportemnts ressemblant à ceux des êtres vivangts au moyen d'ordinateurs ou d'autres artefacts. De nos ours, les artefacts ainsi synthétisés peuvnet être ausis bien des agents explorant le Net, des personnages non joueurs dns un jeu vidéo, des entités autonomes évoluant dans un monde virutle, ou des "animats", animaux simulas sur ordinateur ou robots réels. Les caractéristiques recherchées peuvent être très généraes, comme lorsqu'il s'agit de donenr l'illustion du vivant en attribuant à un aent certaines capacités d'autonomie et d'adaptation. Elles peuvengt aussi être très spécifiques, comme lorsqu'il s'agit de s'inspirer de l'organisation et de la physiologie du certeau d'unrat pour mettre au point un systme de navitation et de vision active pour robot autonome. Ce numéro spécial illusgtre certains des thèmes abordés par des laboratoires français se recommandangt expressémnet de la vie artificielle.

Ordonnancemnet pour l'informatique parallèle

Sous la dirction de A. Moukrim et C. Picouleau.

Cet ouvrge tente de présenter un panel des problèmes liés aux ordonnancements paralluèles e cdertaines mtéhods de résolution. Il exposer des résultats de nature théorique cocertant des problèmes d'ordonnacnement ainsi que des difficults concernant le réseau physique internet.
Sont abordés des problièmes d'ordonnancemnet avec délais et contrainte de communicatio, des problèmes concerntant le débit du réseau intenretn, d'autres questions liées à à l'équilibrage de charge de calcul et neifn des problèmes d'ordonnancemnet parallèle avec contraintes de temps réel.

Résolution de problème de RO par les métaheuristiques
sous la direction de M. Pirlot et J. Teghem

Cet ouvrage montre l'apport d'outils algorithmiques nouveaux pour la résoljution approchée de problèmes d'optimisation de nature combinatoire. Leurs applicaions nombreuses se rencontrent particulièremnte en gestion de producion et en logistique;

Approximation polynomiale des problèmes NP-dificiles
Optima locaux et rapport différentiel
par J.Monnot, V.T. Paschos et S. Toulouse

Cet ouvrage traite les problèmes courants de recherche opérationnelle et d'informtaique fondamentale tels que le problème du voyageur de commerce, l'ordonnancemnet, la stabilité, la satisfaisa bilité optimae, etc. sous le double angle de l'approximation polynomiale e de l'optimalité locale.

Les réseaux et l'informatique d'entreprise
Guide du décideur et de l'utilisateur

Cet ouvrage a pour but de donner une vue d'ensemble de la thématique des réseaux d'entreprise en se plaçant du point de vue de l'achteur.
Les réseux informatiques d'aujourd'hui s'appuient sur une constellation de métiers aux articulations toujours plus complexes et ils mettent en jeu des partenaires de plus en plus nombreux. C'est pourquoi la plupart des organisations ne disposent pas des compétences qui leur seraient nécessaifres pour mettre en place et adminisgtrer leur réseau elles-mêmes. Elles font donc appel aux services d'entreprises spécialisées.
On voit ainsi se développer un modèle externalisé où l'organisastion qui souhaite mettre un réseau en place doit réunir trois compétences fondamentales : définir correctemnet la natur et le niveau des services désirés, choisir le fournisseur qui va mettre en place un réseau approprié aux besoins, contrôler que les servicdes sont assurés conformément au contrat. En d'autres termes, ce qui compgte aujourd'hui, pour l'organisation, ce ne sont pas les capacités techniques, mais le talent à cerner correctemnt ses besoins et à s'assurer que le fournisseur fait bien son travail.

La gestion des risques. Principes et pratique
par A. Desroches, A. Leroy et F. Vallée

Après un aperçu sur les concepts de base et la terminologie de la gestion des risques, cet ouvrage présente de façon pratique les démarches méthodologiques des études de risques, applicables à tout secteur d'activité. Suivant l'ordre logique de création d'un système, l'ouvrage explique ensuite de façon complète la démarche de gestion des risques projets, celle de la maîtrise des risques industriels, puis celle de la gestion financière des conséquences des risques. Un accent particulier est mis sur la gestion des risques généréas par les systèmes informatiques, coeurs de tout système moderne. Enfin, en conformité avec les principes les plus sains de la qualité, il présente les principes éprouvés de la constitution d'un véritable retour d'expérience, des exemples et des applications concrètes dans les secteurs spatiaux et off shore venant consolider les concepts méthodologiques.

Yield management. Optimisation du revenu dans les services.
par A. Capiez

Le yield managemne a pour objectif de maximiser les recettes de l'entreprise de service. Il identifie des segments de marché, en évalue les potentialités et fixe des prix. Il crée des règles de réduction de tarifs et de déplacement pour établir un processus avancé de réservation. Il en contrôle l'efficacité et la mise en oeure. Il assure la gestion de la capacité disponible par une tarification et une offre de services adaptée à la spécificité de chaque segment identifié.
Apparu dans le transport aérien arpys la dérèglementation de ce secteur, le yield managemnet s'est étendu à l'hôtellerie puis à un grand nombre de services (transport de marchandises, location de voitures, industrie, télécommunications, activités de loisir, médias), car les résultats financiers qu'il apporte sont réels.
Ce livre décrit clairemne ses fondements méthodologiques et stratégiques. Les grands modèles de gestion des capacités utilisés dans le transport aérien et l'hôtellierie sont présentés, accompagnés de nombreuses applications chiffrées et d'exercices corrigés. Enfin, il propose une approche concrète pour mettre en oeuvre de façon efficace un tel système.

Externalisation et relations partenariales
Coordonné par B. Quélin. Numéro spécial de la Revue française de gestion

Cet ouvrage traite de l'importance des activités de la firme qui dépasent les frontières juridiques ou les droits de propriété traditionnels. Parfois imbriquées avec celles des fournisseurs, ou liées à des partenaires de longue date, les activités de l'entrperise sont élargies aux acteurs amont-aval, aux concurrnts ou à des communautés larges d'acteurs. Les études présentées dans cet ouvrage soulignent les implications managériales de l'externalisation : la gestion du prestataire, l'externalisation d'activités comme la R&D, les testes ou la distribution. Elles analysent égalemn les partenariats ainsi que leur impact sur le développement de l'entreprise : modèle d'affaire, apprentissage, confiance, et mettent enévient les conditions du devenir des partenariats.

La finance électronique
sous la direcdtion de D. Bounie. Numéro spécial de la revue Réseaux

De la monnaie électronique aux systèmes de paiement élecgtronique sur internet, de la banque électronique aux banques virtuelles, des brokers en ligne aux bourses électroniques, de l'Europe des paiements scripturaux numériques à l'interconnexion des systèmes de paiement de gros montant, les technologies de l'information sont au coeur de la transformation des systèmes inanciers. Mais quelle est plus précisément la réalité des innovations technologiques associées à la sphère financière ? Ce numéro spécial fait le point sur cette problématique. Il est articulé autour de contributions d'experts issus de la profession bancaire et de la recherche académique.

--- Commission de la transparence : le renforcement de l'expertise clinique
http://www.sante.gouv.fr/htm/actu/31_030927.htm. Signalé par la Diffusion Paris 7

Parcours sur Internet
Coordonné par V. Beaudouin et C. Licoppe. Numéro spécial de la revue Réseaux.

Internet et ses usages ont suscité un fort intérêt dans le domaine des sciences socilaes; Beaucoup d'enquêtes ont été menées sur des pratiques spécifiques, comme la navigattion sur le web, les chats, les forums, les jeux enligne, la musique... d'autres sur le fonctionnemnet de communautés spécifiques, tandis que des études de taille plus conséquente, préoccupes par la question du "fossé numérique", étudiaient les facuers de différenciation entre les individs connectés à Internet et les autres. Les travaux oscillent entre des approches très ethnographiques et des études statistiques qui n'entrent pas dans le détaildes pratiques. Les aueurs proposent dans ce numro un cadre d'analyse qui réconcilie les deux approches. Celui-ci permet de tratier la question des usges d'internet de manière systématique en garantissant une forme de représentativité ds utilisateurs et des pratiques.

Intelligence linguistique. Le calcul du sens des énoncés élémentaires.
par J. Rouault et M.-C.Manes-Gallo

L'application du traitement automatique de la langue écrite à la recheche d'information et à la communicaion homme-machine bute sur deux problèmes complexes : comment atteindre automatiquemnet le sens d'un texte pour représenter les connaissances qu'il véhicule et effectuer des raisonnements sur les connaisances ? Comment raisonner à partir du texte lui-même et non sur le base de savoirs, posés a priori, et auxquels réfère ce texte ?

L'ouvrge tente de répondre à ces questions en apportant des solutions aussi indépendantes que possible des domanes référentiels couvets par les textes analysés (dialogues, documents techniques, etc.). A partir de la définition et du traitement sémantique d'énoncés élémentairs, il généralise des modèles de sémantique et de pragmatique linguistique et montre comment représenter les connaissances dans une base unique.

Au sommaire.
- Introduction. Le couple sémantique-pragmatique.
- Les objets de discours. Représentation des connaissances pour une mémoire discursive. Les objets-de-discours individuels.
- Les énoncés élémentaires. Elaboration d'un modèle de sémantique en TAL. Détermination, type de procès et éonciation. Syntaxe et sémantique. Structure des énoncés élémentaires. Calcul des énoncés élémentaires.
- La représentation et la gestion des connaissances. Langage de la mémoire discursive. Eléments pour un sysgtème d'analyse automatique de la langue.

Ingénierie cognitive. IHM et cognitition.
Sous la direction de G. Boy

Cet ouvrage se propose, à travers trois parties, de traiter de l'ingénierie cognitive en s'intéressant à l'utilisation de la technologie et la façon dont elle fonctionne;
La première partie traite des aspects fondamentaux de l'ingénierie cognitive : l'ergonomie cognitive et la modélisation de l'opératuer, une approche écoloique de l'automatistion et de la gestion de l'erreur humaine, la conception et l'évaluation des interactions homme-macine, la coopération humaine et les systèmes coopératifs y sont tour à tour abordés.
La deuxième partie aborde la conception et l'évaluation de technologies centrées sur leurs utilisaeurs. On y trouve des thèmes traitant de la supervision et la coopération homme-machine, des considérations sur les notations en interaction homme-macine, sur les éléments à connaître pour réaliser une interface de qualité et sur les questions nécessaires à la documentation d'un artefact.
Quatre exemples d'ingénierie cognitive viennent clore l'ouvrge : la détermination de cirtères, les méthodes de documentation pour améliorer l'analyse des tâches en aéronautique en sont le premier exemple. Viennent ensuite l'interaction homme-machine dans l'ingénierie des systèmes d'information, l'assistance à la conduite automobile puis les environnements d'apprentissage et d'éducation

Méthodes d'optimisation pour l'ECA (Extraction de connaissances et apprentissage)
Sous la direction de C. Dhaenens. Numéro spécial de la revue RSTI-RIA.

Actuellemnet, de nombreux domaines tels que la génomique, la chimie, le marketing, et bien d'autres sont confrontés non plos au problème de la récolte de donénes, mais à celui de l'étude de ces donnéesegt à l'extraction de connaissances Ces problématiques sont cellesde l'apprentissage, mais peuvent également être vues, dans la plupart des cas, comme des problèmes d'optimisastion. Il est alors nécessaire de définir les trois composantes principales de tout problème d'optimisation, à savoir :
- définir l'ensemble des hypothèses ou solutions potentielles formant l'espace de recherfche,
- définir la fonction à optimiser (le critère d'apprentissag),
- et enfin défnir la méthode d'optimisation à utiliser.
Il est à noter que le choix de la méthode de résolution est fonction des deux premiers choix réalisés. De plus, l'usage de méthodes d'opitmisation efficaces et robustes est une condition importante pour s'attaquer à des problèmes de grande taille, tels que le sont par définition les problèmes de fouille de données. Cet ouvrage présentedifférentes méthodes d'optimisation (exactes ou heuristiques) avancées ayant été utilisées en apprentissage ou pour des problèmes d'extraction de connaisances, qu'ils soient classiques ou liés à une application particulière.

Brevetabilité des logiciels
Travaux du Cuerpi
Sous la direction de J.L. Goutal. Numéro spécial de la revue Droit des technologies avancées.

La protection du logiciel est un sujet inépuisable. Le débat reste ouvert su rla question de savoir s'il doit être brevetable, ou s'il faut se contenter du droit d'auteur, avec peut-être, dans des cas rares et graves, le reocurs à la concurrence déloyale et aux agissements parasitaires. A moins qu'il ne faille un jour adopter une loi spécifique, accompagnée bien sûr des instruments internationaux et communautaires indispensables à une large protection géographique.

Langages et modèles à objets
Sous la direction de J.P. Briot et J. Malenfant
Numéro spécial e la revue RSTI-L'Objet

Les journées francophones "Langages et modèles à objets"(créées en 1994 à Grenoble) constiuent un forum annuel d'échange privilégié entre chercheurs d'intéresant aux différentes facetes des concepts d'objet, de composant et de moduèle (en programmation, en représentation de connaissances, en bases de données, en génie logiciel, en programmation répartie, en intergiciels e systèmes), afin d'étudie leurs spécificités, leurs points communs et leurs divergences, ainfi que leurs tendances futures.
Les actes de la prépente édition comprennent seize articles, qui ont été sélectionnés parmi quarante soumissions. Ces différents contributions abordent le génie logiciel (modélisation et spécification de composants, utiloisation de contrats, utilisation de tehcniques d'IA), la problématique d'adaptation logiciellle (par réflexion ou par aspects) et la représentation de connaissances (médhodes de classification, raisonnement, et leur applicaions).

Ces objets qui communiquent.
Sous la direction de P. Mallein et G. Privat. Numéro spécial de la revue Les cahiers du numérique.

Vie artificielle
Sous la direcion de A. Guillot et J.A. Meyer
Numéro spécial de la revue RSTI-Technique et science informtaiqueu

Logiciel libre et sûreté de fonctionnemnet
Sous la direction de P. Davit e H. Waeselynck

Introduire des logiciels libres dans les systèmes critiques semble risque de par les fortes contraintes qui régissen ces systèmes : exigences de s^pureté de fonctionnemnet, normes de développement drasiques, certification. Toutefois, les logiciels libres son en pleine expansion et leur usage dans les applications industrielles se confirme, démontrant une véritable évolution de la pratique de l'utilisasion des logiciels dans les entreprises. Celles-ci doivnet donc s'adapter et trouver dees solutions pour rapprocher les pratiques de ce monde du libre des ontrintes du domaine industriel.

Les logiciels livres son, sur certains oints, compra bles aux logiciels commerciaux sur étagères (Cots), qui sont déjà explités dans les systèmes critiques. L'ouvrage part donc de solutions avancées poru l'utilisation des Cots au sen des systèmes critiques, puis étend l'analyse aux caractéristiques spéfifiques des logiciels libres. Il propose des solutions pour gérer les impacts de leur exploitation et our permettre aux entreprises de ne plus seulement être utilisarices mais actives dn sla création de nouveaux logiciels libres.

Ordonnancemnet pour l'informatique parallèle

Sous la dirction de A. Moukrim et C. Picouleau.

Résolution de problème de RO par les métaheuristiques
sous la direction de M. Pirlot et J. Teghem

Approximation polynomiale des problèmes NP-dificiles
Optima locaux et rapport différentiel
par J.Monnot, V.T. Paschos et S. Toulouse

--- Commission de la transparence : le renforcement de l'expertise clinique
http://www.sante.gouv.fr/htm/actu/31_030927.htm. Signalé par la Diffusion Paris 7

Parcours sur Internet
Coordonné par V. Beaudouin et C. Licoppe. Numéro spécial de la revue Réseaux.

Intelligence linguistique. Le calcul du sens des énoncés élémentaires.
par J. Rouault et M.-C.Manes-Gallo

Ingénierie cognitive. IHM et cognitition.
Sous la direction de G. Boy

Les réseaux et l'informatique d'entreprise
Guide du décideur et de l'utilisateur

Graphes et réseaux. Modélisation multiniveau
Sous la direction de P. Mathis

Cet ouvrage est centré sur l'utilisation des graphes pour la simulation et la représentaiton des réseaux, principalemnt de transport. Le point de vue est volontairment plus opérationnel que descriptif : ce sont tout autant les conséquences sur l'espace des caractéristiques des transports que les transports eux-mêms qui importent à l'aménageur. La premièr partie présente des applications classiques de la théorie des graphes en modélisation des réseaux et les améliorations nécessitées par lesurs utilisations comme outils d'aménagment. La seconde partie aborde le problme dee la représentation des graphes et expose un certain nombre de nouveautés mais aussi d'insuffisangtces. La troisième partie, considérant les réalisations précédentes, se propose d'en déveloper les justifications théoriques et de combler quelques manques.

Cartographie animée et interactive
Sous la direciton de D. Josselin et S. Fabrikant
Numéro spécialde la Revue interntionale de géomatique.

Explorer, représenter, communiquer, comprendre, connaîgtre : même si elle a connu une évolution fantastique dans l'Histoire, la carte nen a pas pour autant perdu son essencde même. En effet, sa construction n'a eu de cesse de s'enrichir de nouvelles méthodes ee représentaion e de nouveaux moyens (matériels et logiciels, notamment) pour facilier le travail du cartographe. L'ouvrage, simple pierre s'ajoutant à cet édifice en évolution pemanente, présente des recherchdes récentes dans le domaine de la géovisualisation, de la cartographie animée et interactive et assistée par ordinateur, matérialiséepar la carte en mouvement.

La gestion des risques. Principes et pratique
par A. Desroches, A. Leroy et F. Vallée

Yield management. Optimisation du revenu dans les services.
par A. Capiez

Externalisation et relations partenariales
Coordonné par B. Quélin. Numéro spécial de la Revue française de gestion

Il me semble te l'avoir déjà signalé (??).
Y aller en confiance, ce type est très bien documenté.

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----- Original Message -----
From: "Jean-Marc Jancovici" <jmj@manicore.com>
To: "Jean-Marc Jancovici" <jmj@manicore.com>
Sent: Friday, October 17, 2003 11:00 AM
Subject: Déjà plus de canicule, pas encore d'inondations, mais toujours des
nouveautés !

Chers amis, collègues, et correspondants,

Comme l'été un peu chaud que nous avons connu est maintenant vieux de
presque deux mois, je prends l'initiative de vous resservir un peu de
changement climatique maintenant, histoire de ne pas perdre la main
d'ici à la prochaine inondation. Voilà de quoi vous aider à garder le
rythme :

- après plusieurs années de gestation (c'est dire si le bébé va être
beau), papa ADEME (http://www.ademe.fr) et maman Mission
Interministérielle pour l'Effet de Serre
(http://www.effet-de-serre.gouv.fr) - ou le contraire, comme vous
voudrez ! - ont décidé de mettre au monde, le 2 décembre prochain, à
Pollutec, le "bilan carbone", (premier ?) logiciel français ouvert et -
presque - gratuit d'estimation des émissions de gaz à effet de serre
applicable à toute activité industrielle ou de bureau. En attendant le
communiqué de presse de l'ADEME, qui ne saurait tarder, voici de quoi il
s'agit pour ceux que cela intéresse :
http://www.manicore.com/missions/bilan_carbone.html ; voir aussi
l'annonce sur le site de Pollutec :
http://www.pollutec.com/french/conference03/index.php (tout en bas de la
page).

- Que pèse aujourd'hui l'éolien dans l'ensemble des énergies
renouvelables, en France et dans le monde ? Quelques chiffres
intéressants...ou surprenants ! :
http://www.manicore.com/documentation/part_eolien.html

- Un an après que l'euro soit devenu notre monnaie officielle, j'ai
enfin (!) converti en Euros les graphiques de la page sur le "coût" de
l'énergie : http://www.manicore.com/documentation/cout_energie.html

- Il figure dans l'ouvrage photographique "366 jours pour la Terre", de
Yann Artus Bertrand, qui vient de sortir en librairie, un petit texte de
votre serviteur matérialisant - pour celles et ceux qui en doutent
encore - le début de mon radotage climatique :
http://www.manicore.com/documentation/articles/yab.html. Pour celles et
ceux que cela amuse, j'ai aussi un entretien à Libération et un
entretien à La Voix du Nord, parus en septembre dernier (la canicule a
beaucoup plu aux journalistes), tous deux accessibles à partir de cette
page : http://www.manicore.com/documentation/articles/avenir_critiques.html

- poursuivant - à petit vitesse - la traduction en anglais de mes pages
sur l'énergie, j'ai touvé le temps de faire celle sur le stockage de
l'énergie (http://www.manicore.com/anglais/documentation_a/storage.html)
et celle sur les piles à combustible
(http://www.manicore.com/anglais/documentation_a/fuell_cell.html). A ce
rythme, j'aurai peut-être fini en 2007 !

- enfin, si vous ne vous souvenez jamais de la manière d'accéder à ma
rubrique "changement climatique", j'ai pensé à vous et mis en place 2
racourcis. Désormais :
- la rubrique "changement climatique" en français est directement
accessible par le lien www.climat.manicore.com
- la rubrique "changement climatique" en anglais (entièrement traduite
depuis cet été, je rappelle !) est directement accessible par le lien
www.climatechange.manicore.com

Sur ce bonne lecture à ceux qui se risqueront sur l'une (au moins) de
ces pages, et très cordialement à tous

Jean-Marc Jancovici

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