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Ma relation avec les milieux de la recherche

Pierre Berger. Premiet jet, 12 janvier 2015.

Jusqu'en 1970, je n'espère guère avoir de relations avec la recherche autrement que pour en rendre compte, avec une certaine humilité, en tant que journaliste. Je n'ai pas de diplôme, je ne peux pas programmer, je n'ai même jamais manié un fer à souder. Pour moi la recherche est représentée essentiellement par mon frère aîné Marcel, mathématicien, et très au-delà de mes compétences. J'ai fait un essai manqué de formation universitaire en parallèle de mon travail dans l'assurance, mais capitulé rapidement (un peu, si je puis me permette, comme le poète Jacques Roubaud []

Dans l'assurance, je participe à des groupes de travail au Capa (Comité d'action pour la productivité dans l'assurance) et à la FFSA (Fédération française des sociétés d'assurance), mais on est loin de la recherche.

Je ressens tout au plus quelques petites déceptions, par exemple quand Jacques Arsac déclare [X]: "J'enseigne la programmation. L'analyse, je ne sais pas ce que c'est.". Ceci à un moment où le développement de l'informatique, de gestion surtout, a de plus en plus besoin d'analystes.

C'est en 1970 que mes relations avec ma recherche commencent à changer. Quand je suis embauché à Informatique et Gestion, la revue a ses locaux à l'université Paris-Dauphine, juste en face des locaux de l'Afcet, en train de se constituer. L'Afcet fait d'ailleurs partie du petit groupe d'associations qui ont fondé l'AIG (Associations pour l'Inforamtique de Gestion), éditeur de ma revue. Elle dispose notamment d'une assez belle bibliothèque et je suis bien accueilli par Madame Clément (je cite ce nom de mémoire), secrétaire de l'association. Il me semble que ma première question fut "Avez-vous quelque chose sur la complexité" (Question qui me travaillait au moins depuis 1963 ou 1964). Elle me propose un livre d'Ashby [X]. La complexité m'intrigue parce que, cherchant une définition de l'intelligence, on m'avait proposé "l'art de résoudre aisément des problèmes complexes"... et je m'intéresse toujours à l'IA, même si, a cette époque, les espoirs déraisonables des années 1960 étaient oubliés.

Un peu plus tard, je lui demande , un peu timidement, si je pourrais devenir membre de l'Afcet. Elle me répond, en substance : "Si des gens comme vous n'y entrent pas, qui en fera partie ?". Flatté,j'y entre évidemment sans hésitation et commence à suivre les travaux. Je suis même convié au groupe qui a la charge d'organiser l'Afcet en différentes "divisions" correspondant aux spécialités qu'elle regroupe. Une question-clé était de réunir la "recheche opérationnelle" et l'informatique de gestion Après plusieurs réunions, on se met d'accord sur ADSG (Aide à la décision et systèmes de gestion), dont je serai un membre actif jusuq'à la fin de l'Afcet.

Mais je suis assez vite déçu, et l'exprime dans Convergence (1972), un assez gros document composite, rédigé pour les responsables de ma revue, notamment Jack Van Cleef et Perrette Becquevort-Ferrié. Ils ne m'encouragent nullement à persévérer dans cette voie.

 

Un espoir apparaît en 1973 avec l'organisation à l'université d'Orsay d'un colloque Recherche en informatique de Gestion (1973). Il entraîne la création d'Inforsid et est suivi d'un autre à Grenoble, qui permet de réunir quelques crédits pour faire fonctionner trois groupes de travail: techniques, méthodes, aspects sociaux. Une troisième réunion à Caen (1976) montre hélas que seuls les aspects techniques ont été sérieusement travaillés, et c'est donc cette orientation qui bénéficiera par la suite des subsides prévus, et se poursuivra notamment dans l'association Inforsid. . (Voir mon article Le miracle n'a pas eu lieu . Je me rappelle avoir quiité la salle en frissonnant de rage déçue). Ce volet technique soutiendra efficacement le développement techniques de méthodes, débouchant notamment sur Merise, renommée en France pendant plusieurs années, et essaimant sous le nom d'Euromethod.

Je continue cependant, sous l'influence de Jean-Louis Le Moigne, à m'intéresser à la "systémique", et fais partie du groupe de travail Afcet sur le sujet. Hélas, de mon point de vue, la systémique passe à ce moment de sa phase "dure" (un volet de la recherche opérationelle, si l'on veut) à sa phase "molle", d'orientation plus philosophique ou du moins "sciences humaines" (voir notamment Le Moigne []). On pourrait dire aussi que l'on passe d'une systémique "moderne" à une phase "post-moderne". Un des concepts centraux, la complexité, sort alors des définitions mathématiques et formelles (dans la ligne de Kolmogorov, par exemple) pour aller vers des descriptions littéraires. Je suis personnellemnet fort déçu de cette orientation, qui me paraît d'un médiocre intérêt, sinon de justifier une sorte d'agnosticisme voire de tchnophobie et notamment d'un déni des perspecgives de l'informatique artificielle.

Les travaux de l'Afcet auxquels je collabore s'exprimeront notamment par des dossiers spéciaux sur la systémique et sur la bureautique.

En 1976, je prends l'initiative d'un groupe de travail Afcet Sémiologie et gestion [], qui n'aura pas de suite. Le projet est, à vrai dire, un peu naïf, et je n'ai pas de légitimité dans le domaine de la sémiotique. Il me permet cependant de développer le concept de "langage tabulaire", auquel je donnerai des suites avec plusieurs articles sur la programmation (vori plus bas).

Je commence à comprendre peu à peu comment fonctonnent les milieux de la recherche, et vois quelques uns de mes articles acceptés dans des congrès ou bulletins scientifiques.

En 1980, je quitte Informatique et gestion, et une nouvelle phase débute pour moi en 1982, où je deviens (à mi-temps) secrétaire général de la rédaction d'une nouvelle revue, TSI (Technique et Science Informatique). Son objectif à l'origine était de lancer une revue d'informatique générale, sérieuse, mais tout de même "grand public cultivé", donnant à l'Afcet une audience plus large que son bulletin interne Afcet-Interfaces et ses revues spécialisées (Rairo). Mais l'équipe qui la prend en charge, animée par Bertrand Meyer, transforme radicalement le projet et en fait une nouvelle revue de haut niveau à caractère scientifique, avec revue de chaque article par quatre "pairs" et, par exemple, un appareil de notes et référenes hautement formalisé.

C'est aussi, en 1982, dans le cadre de TSI que je découvre Internet, accessible à travers le Minitel.

Ce passage à TSI me fait découvrir le fonctionnemen des publications scientifiques "peer-to-peer", avec leur sérieux, leurs manies, leurs subtils arrangements mais aussi leur amicale et compétente camaraderie.

Le système a tout de même quelques faiblesses. En 1983 (circa), l'équipe de TSi cède à l'enthousisame généralisé pour les systèmes experts, que partagent aussi bien certains industriels américains que le gouvernement français avec son "Centre informatique mondial". La déception viendra progressivement, et ancrera pour longtemps un déni des progrès de l'intelligence artificielle, quels que soient les succès d'IBM, par exemple, avec Deep Blue et Watson.

Je perçois aussi, concrètement, l'impossibilité de dialogue entre "littéraires" et "scientifiques", connue depuis les années 1930 et le travail de C.P. Snow []. Le comité de rédaction est composé exclusivement d'informaticiens (formation universitaire et grandes écoles). Il nous arrive une proposition d'article d'un littéraire, sur la psychologie de la planification, si mes souvenirs sont exacts. Etant donné ma culture de base mi-philosophique mi-mathématique, je vois clairement que l'incompréhension ést totale et symétrique. Les informaticiens ne rentrent pas du tout dans la problématique de l'article. Et l'auteur ignore absolument l'environneent technique où son article pourrait faire sens. Dans la presse "grand public" dont j'avais l'habitude, j'aurais pu faire un travail de ré-écriture, un peu lourd en l'occurrence, mais possible, en dialogue avec l'auteur. Dans le cadre très technique et formel de TSI, c'est impensable

Le comité de rédaction accepte un certain nombre de mes articles, surtout à propos de la programmation, où je peux alors m'appuyer sur une connaissance non seulement de Basic (méprisé des professionnels et des universitaires en particulier) mais de Mapper, un langage très particuleir, une sorte de super-tableur, lancé par Univac (à vérifier), et que j'utilise pour créer mon portail informatique sur minitel, Télédico. Mais ma vanité est mise à rude épreuve par la présentation de cet article par le comité, qui me qualiie de "candide". J'estime qu'à l'époque, travaillant dans la spécialité informatique depuis quinze ans, le qualificatif est quelque peu injuste. Mais ma relative inexpérience des milieux de la recherche, et les difficultés professionnelles que je rencontre alors par ailleurs, ne me permettent pas de me battre, ni pour défendre mon Ego, ni pour faire aller la revue dans le sens de son projet d'origine.

Ces difficultés me conduisent, en 1985, à revenir à la presse spécialisée, en l'occurrence au Monde Informatique, qui vise essentiellement les entreprises utilisatrices, domaine que je connais particulièrement bien. Je vais alors me concentrer sur ce thème, et limite mes travaux personnels à des développements ou textes publiés seulement de manière confidentielle (par exemple dans un petit bulletin, Valeurs 2010).

Mais le démon de la recherche continue de m'habiter et, en 1991, avec quelques amis, nous fondons le Club de l'Hypermonde (site toujours en ligne, mais par sécurité repris dans mon site diccan). Dans mon esprit, il pourrait fonctionner comme un groupe de recherche. Mais, malgré différents efforts, il ne parviendra pas à produire de travaux de recherche significatifs.

Quelques expériences de soutenance, et de rapports (notamment celui du Spécif en 1992, je crois), me conduisent à deux ou trois éditoriaux incendiaires ("Médiéval", "Xavière"), que certains universitaires n'oublieront pas dans la suite. Pour moi, dont le premier contact avec ce processus a a été la soutenance de mon frère Marcel, sur le groups d'holonomie (je n'ai évidememnt rien compris du tout), une thèse, c'était une proposition, la preuve d'une hypothèse. Une nouveauté qui faisait avancer la science.

Dans cette idée, j'avais conseillé à un jeune ami, vers 1995, de proposer comme sujet "L'EDI rend-il la cédision plus rapide en entreprise". Cela lui aurait permis de faire une enquête sur le terrain et, quelle que soit la réponse, d'éclairer une question qui était alors dans le vent. Ce sujet fut refusé, et transformé en un thème très généra sur quelque chose comme la communication. Le résultat fut ce qu'on pouvait attendre : une grosse compilation de la littérature du domaine, et quelques lignes quand même sur le sujet que j'espérais, mais sans enquête de terrain ni argumentation. J'ajoute que le président du jury commença par dire qu'il n'avait guère eu le temps de s'occuper de son doctorant, que les critiques du jury furent très vives, et que malgré cela il conclut par une mention très honorable.

(En 2015, de plus en plus, le système même des thèses me semble inadapté au monde actuel. On fait travailler des gens dans l’ombre, pendant 3-5 ans (souvent plus chez les littéraires, je crois). Après quoi le résultat de leur travail, théoriquement public, est plus ou moins enterré dans les archives, et parfois l’auteur, assez longtemps après, en sort un livre. Ces textes très longs, comportent souvent assez peu d’idées ou d’informations nouvelles. Ils servent à prouver que l’impétrant a bien lu toute la documentation disponible sur le sujet. Pendant ce temps là, Internet court à toute vitesse, et offre en ligne l’essentiel de l’existant.

Dans les domaines plus proches de l'art, j'ai pu voir quelques surprenantes entorses au processus traditionnel, notamment avec la thèse de Fred Forest (obtenue au forceps par un processus juridique, je crois), ou celle de Maurice Benayoun, dont les travaux en général, notamment sur Internet, ont été acceptés comme thèse.)

Vers 1997, je lance une sorte de recherche (concrète, de terrain) sur l'industrialisation (le "packaging") des services inforamtiques. Elle se traduira par un échec. Non pas théorique, cette orientation débouchera sur les "webservices". Mais les SSII n'ont aucunement l'intention d'aller dans cette voie. Bien au contraire, elles vont plutôt s'orienter vers des contrats globaux de "facilities management" opaques et ne laissant pratiquement aucune place à une réflexion formelle. J'en aurai une confirmation brutale un peu plus tard dans une interview de Roland de Conihout : "Le terme même d'investissement est un "gros mot" chez nombre de professionnels du service."... a foriori la recherche !

J'ai aussi l'occasion de mesurer la limite de mes compétences techniques en informatique. Certes je continue à développer des projets intéressants, par exemple une tentative de logiciel intégré personnel, et je passe de Basic à C puis C++. Mais je reste un amateur, cela m'est rudement prouvé à une semaine de formation chez Microsoft, où je suis le cancre d'une classe de professionnels. L'animateur s'en aperçoit d'ailleurs assez vite et ne fait aucun effort pour se mettre à ma portée, préférant (je le comprends, mais mon employeur avait payé la semaine au prix fort...) se faire plaisir avec les meilleurs de la classe. De même, je participe à un congrès Object World à San Francisco, et n'y comprends goutte.

Prévenu de mon prochain départ en retraite, Michel Israël me propose de devenir le délégué général de l'Asti association qui entend fédérer souplement la pléîade des associations d'informatique en France, éclose à la suite de la liquidation judiciaire de l'Afcet en 1993 (date à vérifier), qui fut d'ailleurs une grosse déception pour moi. Mais ayant vu à l'oeuvre les secrétaires généraux de l'Afcet, j'ai vu que leur travail était essentiellement administraifs. Soutaitant faire vraiment de la recherche par moi-même, je décline l'offre. J'ai peut-être manqué là une belle occasion de rendre service et de faire, malgré tout, de la recherche.

L'Asti organise en 2001 son premier congrès, à la Cité des Sciences de La Villette. Succès ? On peut décompter 700 participants... mais la plupart d'entre eux sont plutôt venus pour une réunion co-localisée d'une structure publique de fonctionnement de la recheche en logiciel (ce dernier point à vérier). Succès quand même, qui assure à l'Asti un solide matelas financier pour poursuivre ses activités.

Mais l'Asti est néammoins prometteuse et, en 2001, je laisse la présidence du Club de l'Hypermonde à Jean-Paul Bois et lance un petit hebomadaire Asti-Hebdo (qui deviendra Stic Hebdo). Chaque numéro comporte une interview et des éléments d'actualité. L'intégralité des quelque 200 numéros est toujours accessible, de même que le Dictionaire des Sciences et technolgoies de l'information réalisé aussi dans ce cadre. Dans les deux cas, je souhaite que ces projets soient collectifs, mais ne parviens jamais à constituer une équipe de projet et opère pratiquement seul, à l'exception d'un membre suisse de l'association, François Nicolet, qui assurera tout au long des 200 numéros une mise au point des numéros de l'hebdomadaire.

Ces interviews me mettent au contact avec 'un grand nombre de chercheurs... et elles contribueront à nourrir mon scepticisme sur la possibilité de constituer vraiment une science profonde, cohérente et globale de l'informatique.

Sur les "méthodes d'analyse", par exemple, je constate que l'on progresse assez peu, et uniquement sur les aspects les plus techniques. M'interrogeant sur ce domaine, je lance un canular en republiant, début 2005, une interview de Jacques Mélèse qui datait de 1975. Aucun de mes lecteurs ne s'aperçoit de la supercherie. L'un d'eux, en revanche, la trouve très intéressante et me demanda où contacter l'auteur... décédé depuis dix ans.
L'incapacité de l'université à travailler sérieusement sur ce terrain m'est confirmée par une interview de de Jean-Loup Chappelet, auteur d'un livre sur la méthode Ossad. Je lui demande : "Comment validez-vous vos travaux ?". Réponse : " Nous ne sommes pas évalués sur l'utilisation de nos idées, mais sur leur appréciation par d'autres scientifiques. Nous nous évaluons à partir des publications et des conférences.  Il y a beaucoup de chercheurs, beaucoup de revues qui se créent... le système marche bien dans de nombreuses disciplines. L'intérêt d'un chercheur est de présenter de nouveaux concepts en disant qu'ils sont dix fois plus intéressants que ceux qu'il avait proposé jusque là et que tous ceux que proposent les autres.". Aucun processus de retour d'expérience ne permet de valider dans le concret et de faire progresser ce type de travaux (Il en va autrement pour les logiciels intégrés de gestion).

Dans ce cadre, j'organise une journée d'épistémologie intitulée STIC : De quoi parlons nous ? Comment en parler ? Mais le secrétariat de l'Asti se refuse à toute promotion de la journée et même à toute diffusion sur la liste des membres. L'assistance se réduit donc pratiquement aux intervenants et à quelques amis.

Les choses se gâtent sensiblement avec l'organisation d'un second congrès, Asti 2005, à Clermont Ferrand. Le programme est impressionnant, avec plusieurs sessiosn en paralèèle. Mais, faute de tout effort sérieux de communication, l'assistance se limite là encore aux intervenants. C'est une première fin de l'Asti. J'en démissionne à la fin de 2005... et le responsable du site s'empresse de rendre pratiquement inaccessible aussi bien l'hebdo que le dictionnaire. Ils auraient été définitivement perdus si je n'avais pu les récupérer à temps et les mettre en ligne sur mon site diccan.com (où ils dorment assez discrètement, mais sont cependant toujorus consultés).

L'Asti vivotera encore jusqu'à sa dissolution en 2011 (date à vérifier).

A partir de 2005, je reporte mon activité sur le Paris ACM Siggraph, contribue à lui donner un nouvel élan à son Assembée générale de 2006, mais ne publie rien dans ce cadre. En revanche, plusieurs de mes comunications sont acceptées à l'Afig et à Laval Virtual.

En 2006, il me semble que mes recherches personnelles sur Roxame ne progressent plus, et je pense qu'il faudrait poursuivre par un travail collectif. Avec Alain Lioret, nous lançons donc l'association, et j'écris plus tard un texte, Les Algoristes (2010). Mais cette association ne parviendra pas à atteindre son but d'origine: la création collective d'une version plus ambitieuse de Roxame. J'espérais que mon code Roxame, avec sa libfrairie d'algorithmes, permettrait d'aller vite, d'autant plus que sa structure très ouverte en permettait l'extension. Malheureusement, la qualité du code fut jugée trop mauvaise par les associés informaticiens, et un même processus se reproduit trois fois: élaboration d'un projet cohérent et formellement propre... puis arrêt faute de trouver les ressources en temps nécessaire à un développement sérieux. En 2011 (à vérifier), je jette l'éponge.

A partir de 2010, je me concentre sur mon site diccan.com, consacré aux arts numériques. Et le fais seul, ayant conclu, après différentes échecs de travail coopératif, que je suis un mauvais chef de projet. Mais je travaille avec de nombreux amis dans le domaine de l'informatique graphique et de l'art numérique, et de groupes de réflexions comme l'IES.

P.B. Premiet jet, 12 janvier 2015. Dernière révision: 15/1/2015.

Références

ARSAC référence à retrouver, vers 1969)8-85 Arsac . Dans 01 Pas encore scanné
ASHBY Ross: An introduction to Cybernetics. Chapman and Hall, 1956.
LE MOIGNE ,Ro dure, Ro molle
LE MOIGNE. Systèmes d'information
ROUBAUDE Jacques : Mathematica:
SEMIOLOGIE ET GESTION ...
SNOW C.P. : The search.  Tauchnitz 1935