Ordinateur et conscience collective
Voir mes notes ultérieures sur Conscience.
Augmentation du nombre des individus. Fichiers, gros, tâches répétitives, si vie en commun.
Sentiment d'appartenance à une communauté
Notion de structure de passage, de médiation. Travail.
Humanisation du cosmos par matérialisation. Langage, écriture, imprimerie, mécanisation, photos/arts plasiques, automation, moulin à prière.
Prise de décision. tout à fait différent quand en machine.
Liberté par rapport à la matière.
Ainsi: ambiguïté fondamentale de la matière, qui a tendance à se situer elle-même hors du domaine des valeurs.
Retour sur médiation. Imposible de communiquer directement avec l'autre, dialectique entre les moyens de communication et la création des communautés.
A la base, problème géographique
couper tout l'espace
logique que ce problème virtuellemnet résolu, le problème devent autre, inefficacité des médiations traditionnelles,le livre, etc.
car: redondances, absences, incapacité de dialogue
(la lenteur n'est pas un problème réel aujourd'hui)
... tout naturels dans cette technique nouvelle
notes: sous communautés: spécialistes, colloques, mouvements de jeunes
tout ce qui a un point commun se rassemble
la médiation pèse toujours. elle a une inertie
elle est un moyen d'influence mauvaise pour l'autre
l'ordinateur pèse
donne information au puissant
permet de cerner plus efficacement l'individu
l'individu se sent dépassé
même le puissant ne peut contrôler tous les raisonnements et se trouve obligé de suivre
les principes de fond sont toujours une matérialisation d'intuitions profondes, mais en machine, qui extrpole sans nuance, conduit à des décisions non conformes
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Sans doute 11/67
(complexité)
dans une analyse plus fine de la complexité, on se pose donc le problème, étant donné un objet de complexité "brute" donnée en fonction d'une capacit d'analyse donnée, de rechercher le meilleur moyen de le décrire avec une capacité inférieure. Il faut alors distinguer deux cas: l'objet présente des contraintes ou non
sinon, il n'y a aucun moyen de réprésenter tous ses étatns mais on pourra chercher à décrire le plus grand nombre possible, certainement limité au nombre d'états de la capacité sujet et éventuellement inférieure. Mais par contre, si les états de l'objet ne sont pas équiprobables, on pourra certainement arriver à en définir sinon la totalité du moins un grand nombre
On peut aussi se donner des approximatins (ce qui revient à admettre que l'on ne considère qu'un certain nombre d'états, les autres y étant assimilés)
De plus, il peut y avoir une pondération de valeur entre les types d'état, mais ceci nous emmène plus loin
Le cas le plus intéressant est celui où il y a des contraintes. On peut raisonner en disant qu'alors le nombre de cas est réduit, ce qui a vrai dire résoud le problème.
Noter que l'on fait intervenir chez le susjt deux "niveaux" de mesure ou de conscience, ce qui est intéressant, carf si on ne faisait pas cette supposition, on en percevrit seulemnt les étants le ...
Ce qui est intéressant, c'est le fait que pr un procédé de définition de contraintes, on réduit le nombre des tats, mais en fait, plus subtil, car il faut alors modifier le mode de description, ce qui se fait de multiples façons, mais serait intéressant à mesurer.
Exemple. Ce qu'on a vu plus haut, étude d'un linéaire, dans le 1er cas, one petu dire que l'on décrit l'objet par simple copie (appréhension immédiate), alors que, dans le second, on fait intervenir une foule de notionas: zone, alternance, ceci étant d'ailleurs assez peu complexe puisque pet ^tre réalise assez facilement sur schéma...
...
On ne justifie pas des performances similaires, mais de très bonnes, sur des points particuliers. Ce qui revient, pour un prix donné, à une forte augmentation de puissance, sous réserve de raisons de construire un moniteur
a/soit un moniteur qui teste le type de problème
b/soit c'est le minimum (?) qui teste lequel du système a mardhé, le 1er et stoppe les autres
Mais objection: jusqu'à nouvel ordre, un système donén en peut accepter un problème que s'il est mis sous une forme par lui acceptable, d'oùeee, si on exclut une mise en forme manuelle pour chacun des systèmes (on se rapprocherait de faire faire le travail par n équipes), il fau que chaque système comporte un bloc d'entrée qui lui permette, à partir de la présentaiton d'un problèume donné, de le transformer.
Théorie de la concurrence
On admet que la dispersion des performances sur un problème donné varie de 1 à 100, et on néglige provisoirement les tests de réussite.
dix calculateurs
on leur fait faire tous les 10 le travail et, dès que le premier a réussi, on arrête tous les autres. Pendant la durée de ce calcul, on fait travailler dix calculateurs, mais en moyenne pendant 1/100e du tmeps nécessaire par le plus grand. Donc, bien que constamment n a 9 calculateurs qui travaillent pour rien, on a qund même multiplié les performances par 10
...
Effectivement, homme peut assez peu modifier sa structure organique, il peut par contre influer sur sa structure sociale.
Croissance de la réflexivité devrait amener croissance de la spiritualité. Or ceci ne paraît pas vrai. Il y a par contre "croissance des valeurs morales".
Il y a plus de croissance de la réflexion sur la vie spirituelle (et encore) que dans la vie spirituelle elle-même.
Loisirs ! Et l'on fait sortir les moines de leurs couvents.
Refus d'un mysticisme qui s'écartait du monde. On admet certaines justifications, mais il faut insertion.
Mais raideur des organismes trop perfectionnés.
Nature personnelle comme structure sociale ne sont pas complètement donnés, chosifiables, problématisables.
Pb des ordinateurs temps/espace, assez théoriqeu, car s'il s'agit d'un développement de puissance pure, un seul caculateur àpuissance égale doit pouvoir faire la... pas d'introduction
d'élément fondamental nouveau
noter cependant que l'on sait construire des machines perfectionnées et très performantes pour des pb particuliers. La décomposition dans l'espace retrouve alors sa justification
Essai de synthèse autour d'un schéma (1966?)
Voir/juger/agir
La réduction sémantique
Comme on l'a vu, les procédés algorithmiques de traitement deviennent rapidement hors d'usage quand le nombre de bits du stimulus augmente, même en choisissant en tête les opérations les plus probables.
Il faut donc inventer, outre les méthodes heuristiques, des modes de réduction. L'une d'entre elles paraît d'un intérêt particulier, c'est la réduction sémantique. On ne traitera que les stimuli qui "veulent dire quelque chose" pour la macine et, bien entendu, on émettra de même.
Le processus a ses applications constantes dans la pratique. Hors l'arithmétique et la comptabilité, qui traitent des stimuli de longueur indéterminée (à vérifier), et sans réduction, mais suivent des processus assez simples, tous les processus mentaux font appel à la réduction sémantique, face à un univers et des sens foisonnants.
Les réductions sont d'autant plus considérables que le sens estr plus riche, en particulier la vue. On le comprendra aisément. sur une matrice quadrillées, de l x h carrés, le nombre de formes possibles est de 2** l.h, ce qui est rapidement considérable.
Liberté et ordinateur
Introduction. La machine ne fait que ce qu'on lui dit de faire, alors que l'homme "fait ce qu'il veut". La distinction essentielle semble donc être la volonté, dont on peut prendre pour définition "tenance consécutive à une prise de conscience". Donné, valeur.
Elimination provisoire du problème de l'intellect, délicat et se ramenant à la question "conscience", apparemment insoluble. Mais remplaçons prise de conscience par "résultats d'une certaine analyse des information" et peut s'expliquer...
Pour exercer cette liberté, la machine doit échapper à certaines nécessités de coercition, c'est à dire être placée dans un milieu tel qu'elle puisse fonctionner, ou dispose elle-même de moyens d'adapter son milieu. Homéostase.
(Il faut aussi que sa nature lui permette de poursuivre certains buts, c'est à dire qu'elle puisse disposer de certains moyens d'information, développés, de logique, et d'action suffisants).
Ces niveaux secondaires admis, on pourra déterminer le degré d'autonomie d'un dispositif par le niveau des fins qu'il poursuit, en laissant de côté provisoirement la question de savoir s'il est conscient ou non.
A ce niveau, on peut dire que la machine ne cesse de faire des progrès, mais que sur ce plan on peut discerner la transcendance de l'homme.
- l'homme, animal raisonnable
- il serait essentiel de partir d'une théorie de l'homme
- échelle de respectabilité (à rapprocher aussi de la
inalité). L'homme, absolu théorique, mais ps toujours an fait: les autres hommes, la machine, en théorie O. Mais, en fait, elle représente
a/ la nature pour laquelle on doit avoir un certain respect b/ un certain effort humain respectable
c/ une certaine beauté "en soi" comme oeuvres d'art, etc.
- notion de volonté "inclination suivant une appréhension intellectuelle"
- nécessité de coercition, comme opposée au dynamisme propre.
Autonomie
- par rapport aux intervention extérieures (homéostase)
- par rapport aux prévisibilités (théoriqeus, concrètes-pratique)
- par rapport aux attentes mentales
- le simulateur de Türing
- état de non-équilibre propre à la personne, et qui est la non-obtention de Dieu, avec tention, non simulable (?) par son debré
- simulations actuelles fragmentaires
- référence au bien et au mal. situation de personnes
- possibilité d'auto-reproduction.
Mesure
- en temps-espace (rayon d'action)
- en mesure d'activité
- en mesure de choix (libre arbitre)
- par "quantité de résistance" (liberté de non-contrainte)
- mesur de la créativité
voir par rapport à choix - aléatoire
incorporer le problème du bien et du mal
- niveau téléologique. niveau de la motivation, homme infini, transcendant, Dieu, exprié par "acte gratuit"
escargot, ordinateur standard
- capacité de changement, d'adaptation
Gagliolo.
- si une machine pensait, elle se suiciderait aussitôt
- problème du compromis dans les faiblesses humaines, petites luttes de puissance, etc
//de Rouvray
- l'ordinateur (les gens qui le servent) prendront les commandes si la boite ne marche pas.
AGIR
- processus généraux d'action et technologie
- réception d'instructions d'action, de la part de l'homme, de la part du central
- plan important: les armes et moyens de contrainte - noter les implications très particulières en ce domaine de l'instruction DELETE, qui va de l'effaceemnt d'un trait de crayon à la peine de mort
- instructions DO, MAKE, BUILD
- instruction de but (finalité)
- en particulier définie par la constitution et les règles normatives qui peuvent présenter un carractère dynamique: TRY TO
- aspect particulier de l'art.
CENTRAL/MACHINE
- transmission d'informations synthétisées, sur demande, périodique
- réception d'information sur demande, ou sur programme périodique, instructions, compléments de structuration intenre
- demande d'actione, sur un autre centre (interpol) au plan général (ONU, Otan)
Le droit à l'information
- réception d'ordres spéciaux
d'ordres généraux, mobilisation, orientation de la production
- c'est en principe ici que nous analyserons les liens avec la société
- bien entendu, ces centraux seront reliés dans un système mondial
- problème des reproductions de mémoires importantes et de registres complets
- grande importance du degré de centralisation en raison des associativités différentes
HOMME/MACHINE
Homme: philosophie, mystique, Dieu
Machine: terminal, personnel/de groupe, dictionnaire propre, en fit une certaine catégorie de registre. peut constiytuer en fait le fichier humain.
De homme vers machine:
Demande de pure consommation
Demande d'autorité sur les autres hommes
De machine vers homme:
commmuniqués personnalisés (selon culture, intérêts, valeur morale, temps), éventuellement sur demande
PUBLISH. (category of Y of reader)
avec règles de culture commune,
sanction contre le criminel, à ce niveau
censure
danger de falsification
- sanction récompense/punition (intellectuelle, consommation, possibilité d'action)
- éventuellement par la contrainte matérielle
- organes d'accès, dico, annuaire
- conséquences sur le langage humain et sa philosophie
- conséquences sociales
- règles de communication (SECRET,... etc.)
Voir/juger/agir vers capteur/monde
- processus de reconnaissance des formes
- d'abstraction, induction/déduction
- on retrouve ici aussi l'instruction général
au plan action
"STRUCTURE IN ... SHAPE AS"
c'est au fond l'instruction la plus générale de la théorie de l'information
au plan pensée
STRUCTURE peut prendre la forme de "STUDY3,
- il s'agit de réunir des faits
- puis de le structurer, la structure elle-même engendrant des faits nouveaux ou poussant à les rechercher
- instuctions SCAN, SURVEY, LOOK AT
par capteurs mobiles SEARCH
Action de la machine sur le monde
- elle est quasi par définition en temps réel, mais il peut y avoir une dissociation par rapport aux demandes immédiates de consommation
- utilisationdu feed-back très rapides
homéostase par rapport à des environnements très changeants, raffinerie, mohole
ajustement en cas de choc
fusion contrôlée
- problème de la manutention, et de la ligne droite
- problème de la répétitivité, libération de la série
- application aux états "mécanographiques"
- au plan industire: exemple, automobile personnalisée au plan administratif:
La structure économique ne coûterait rien, seulement le temps humain (vers O)
(Auto: Il doit y avoir des solutions puisqu'on a réels pensables, soit le système actuel, soit le wagon individuel. L'auto dans un autre réseau étant un autre exemple).
- secteurs primaire/secondaire, tertiaire
- "décentralisation" par le robot, analyse du dit
- problèmes difficiles du travail "in situ" et de la manutention
- on peut placer ici la médecine
L'homme et la machine, orientation vers Dieu
- libération de temps pour la contemplation
- travaux théologiques
- découverte et connaissance de Dieu au plan du développement interne, conséquences sur l'organisation des connaissances de la machine (théocentrisme)
- actes religieux de la machine
- nouveux aspects de la consécration du monde
- Dieu de la théodicée/Dieu révélé
- conséquences sur l'agir: normes de la machine
- étude par simulation de l'influence de Dieu sur le comportement moral
- le cas du miracle
Niveaux téléologiques
- vivant non humain, subsitance essentiellement n'est guère dépassé, sinon par "harmonies préétablies", avant la domestication. L'homme semble être le grand finalisateur de l'univers, et il est évident que sa finalité dépasse sa subsistance (recherche scientifique, religion quand elle est ce qu'elle doit être)
- donc intérêt de recherches téléologie dans le monde de ce qui entour l'homme
- place de l'aléatoire, du jeu, optimisation
- autonomie de fait, indépendance
- autonomie de droite, liberté reconnue.
A lire l'analyse thomiste, il y a trois niveaux de nécessité: coactio, hypothetica, naturae
Les deux premiers ne posent pas question. Il faut choisir la troisième à un plan suffisamment élevé pour qu'il reste place à la voluntas ut natura dans le choix des moyens, et établir des procédures de choix à ce niveau.
ex. Portefeuille financier: objectif global, nécessités immédiates, choix dans des valeurs analogues.
ex. jeu d'échecx
...
- dans quels cas faisons-nous réellement du nouveau
- certains le refusent même
- solutions de problèmes pratiques, médicaux (Braille, Newton, Hollerith)
- besoin de créativité pour autres affirmations
- dialectdique (besoins, solutions) problèmes et méthodes générales
- ne ps trop en demander qund même
- la machine devrait toujours être en actdivité à cause de la disproportion constante entre nos besoins et leurs possibilités de satisfactino
- Asimov a en fait supprimé la question du chômage, si les machines sont si puissantes, à quoi servent les ingénieurs dont il parle dans la dernière histoire?
Analogie avec l'ingénieur
hypothèses de travail:
- analyse des faits
- expérimentation
- propostion de solution
- mise en oeuvre, rechreche de lois générales de la circulation par induction et développement d'une théorie générle, c'est à dire mise en mémoire.
- l'invention de l'expérience a été surtout, outre la rigueur logigue, l'infvention de nouveaux "MOVE"
- convergence de la science vers la vie: grosses molécules, autonomie, circuits électroniques, bionique, miniaturisation, conditons thermique, fragilité de la vie, durée de vie, auto-reproduction
- le problème du "résidu scientifique" différent ou égal au résidu non mécanisé.
L'individu, supposé plus instruit qu'aujourdh'ui, et moins alourdi de connaissances livresques, devait avoir une très forte conscience de son appartenance à un grand tout, et à certaines parties de ce tout
Il se trouve de gré ou de force lié aux motivtiona de ces appartenances, donc participation et constation de plus sans possibilité, au niveau le plus élevé, d'une échappatoire possible, à un plan qui est celui des besoins matériels en gros
reste liberté radicale, et choix des sous-appartenances, par quoi peuvent elles se définir?
- orientaion sur les motivations générales
- orientations divergentes par exemple sur décisions pratiques
exclut en tros répartition des revenus, sinon à des points de vue très élevés.
Attitudes pratiques
Il devrait y avoir un abaissement des barrières de protection personnelles, certaines deviendront inutiles, car impossibles à tenir.
ex. aujourd'hui, on ne dit pas son salaire, demain, de quelqu'un que l'on connaît tant soit peu, en ayant en théorie sur l'économie générle, la branche professionnelle à laquelle appartient la personne, sa façon de s'habiller, la taille de son logepent, le type de sa voiture, son âge, des enfatns, toutes choses qui sont généralement connues des amis, il sera très facile avec son ordinateur personnel de déterminer ce qu'il gagne.
de même, actuellement, on cache certains de ses caractères psychologiques, mais ces éléments pourront se trouver demain par l'analyse de quelques réactions seulemnet en utilisation de registre PS de son ordinateur.
Cet abaissement des barrières apportera une plus grande efficacité, mais aussi une vulnérabilité: de même que la liquidation des microbes nous fait abaisser notre défense, au prix d'une meilleure santé globle.
Cependant, il y aura d'autres barrières très fortes, analogues à la vaccination, résistance à de nouvelles forces. Ces barrières seront sans doute de type psychologiqeu, avec una ttention plus poussée donnée à la formation du caractère.
Loisirs
A la différence d'autres civilisations du loisir, relativement inconscientes, ici méhode et techniques puissantes de contrôle
Plus grand si plus grande liberté par rapport aux nécessités de base ex. contrôle de la natalité, différent du Malthusianisme
excrétions de la société, voir celles de la cellule, on peut mourir si trop importantes, mais la proportion doit pouvoir croître avec la taille générale, avec gain de rendement
pied/bicyclette/auto/train/bateau (avion)
...
On rejoint ici un problèume qui devrait devenir des des leitmotiv de la pensée de demain: en devenant maître du monde, l'homme le transforme à son image. Aux niveaux primitifs, cette transformation est épisodique, partielle: peinture figurative, expression de la structure sociale par le réseau urbain et routier. Puis, avec la force animale puis l'ère industrielle, l'homme transfère à la nature certains de ses travaux, mais donc de sa nature même; la force physique d'abord, puis les petits automatismes (apparaît le papier, objectivation de la fonction "mémoire"), qui sont du niveau des réflexes musculaires élémentaires, puis des grands systèmes automatisés, cette partie que l'on peut faire de manière routinière sans faire intervenir de hautes facultés. La ville ggrandit et exprime la nouvell structure de la société. Avec l'ordinateur commence un transfert plus profond. Ce qui était autrefois activité vraiment intellectuelle devient travail de machine.
Mais l'ordinateur n'est au départ qu'un germe sporadique. Avec l'interconnexion, le téléprocessing, la machine commende de représenter la société dans les divers servides d'une entreprise, mais bientôt plus loin, devrait aller vers une structure de réseau généralisé exprimant assez finement notre structure sociae dans son ensemble, bien que la structure électronique présente ses caractéristiques propres, de même que le trvail fait par la machine est autre chose que le travail de l'artisant, et que le transfert de la motricité se fait par la roue, parfaitement étrangère dans son principe aux mécanismes animaux que nous utilisations naturellemnet.
Parallèlement, les modes de communication avec l'univers matériel évoluent. Il y a un fossé entre le cueilleur primitif qui arrache le fruit à l'arbre et le technicien qui conduit un processus de raffinage à l'aide de quelques volants!
Cette évolution continue: on programme, on agit par l'intermédiaire de l'écrit, bientôt de l'oral, qui sont les moyens même que nous utilisons entre nous. Aur fur et à mesure que nous conformons à nous l'univers, nous entrons en symbiose avc elui d'une manière plus profonde, moins matérielle, plus
mentale. Nous sommes beaucoup plus "présents" au monde et à lasociété.
Mais cette strucgure, qui devient expression de nous-mêmes, nous détermine pour une large part et deivent témoin de notre pensée, devient aussi moyen de communication et structure objective. Elle peut servir à l'autre home pour remonter jusqu'à nous. La symbiose avec la matière implique (de multiples manières, mais avec une phase dialectique d'opposition) une symbiose de la société.
Nous sommes obligés pour vire, et pour vivrfe bien, c'eset à dire dans les perspectives actuelles, pour avoir un niveau de vie élevé, d'accepter de participer à ce complexe, en en étant membre, en en étant partie, dont connassable et largement déterminée par cette appartenance même.
(à revoir plus loin)
La clandestinité, le secret, semble devenir ici plus difficile si le système social est très conscient de soi. Car il aura vite fait de repérer les anomalies de son évolution et d'en trouver les causes et les auteurs, à moins que l'adversaire ne dispose de moyens puissants de camouflage et de brouillage, voire d'intoxication de la structure officielle.
En bref, on ne peut augmenter, sauf le cas de rébellion, son action qu'en augmentant sa participation, et "jouant le jeu" de la structure et en acceptant ses contraintes. L'exercice de la liberté n'est possible qu'en l'engageant et en finalemnt, il faudra y revenir, la liberté est bien plus dans l' "assuemr" que dans le "refuser", ou dans le "rester à part", même si une certaine zone de contestation doit rester tout au moins virtuellement disponible.
Quelle pourra être l'évolution
motivation élémentaire plus ou moins disparue
pas celle de se reproduire (plus plaisir de base sans conséquences essentielles)
conquête de l'univers
Il y aura encore à faire avant que les besoins essentiels soient satisfaits/gaspillage épouvantable. A tout le moins, pour être sûr que tout le monde ait le minimum.
Il n'est pas indispensable qu'il y ait évolution radicale.
Quoiqu'en fait, toujours plus ou moins: empire romain, moyen-age, grêce...
Construction d'un univers plus parfait
implique rentabilité
évoque à coup sûr une mutation vers autre chose
en fait, la plus grande révolution serait peut-être d'avoir un univers stable? implique fatalisme, suppose un certain optimum
Chine ancienne/monde stable implique cyclisme, ramène à Chine Ancienne
renoncement à modifier le monde
quasi-impensable en fait dans perspective chrétienne. Ou alors il y a aura eu mutation, ou alors il y encore évolution.
Mais l'évolution va dans le sens d'une évolution plus rapide, donc, si pas mutation, on aura un monde en évolution hyper-rapide.
Il faut donc réfléchir à ce que sera cet univers, et ne pas le concevoir de manière stable.
A ce moment, la vitesse affectera tout. Le monde que l'on connaît à 20 ans sera très différent 5 ans après.
Resistance de l'homme à la mutation, au changemnet... noer la plus grande résistance à l'information aujourd'hui: sentiment de vie, pas concernés
dans le vie concrète, obsolescence des matériels, du savoir.
situation matérielle du voyage quasi-permnente
fin de l'urbanisme en tant que structure stable, mais seulement comme infrastructure d'un vaste mouvement
persistance de caractères psycholgoques de l'homme: temps d'apprentissage, relations humaines. Il faut des années pour se
faire un mai... vie conjugale, famille.
amis: peut être raccourci; avec bonnes méthodes de connaissance
durée du plaisir, table, lit
psychanalyse, et surveillance médicale, degré croissant, vie avec un cerveau qui contrôle constamment un certain nombrfe de paramètres plus ou moins complexes.
dans une certaine mesure, à quoi sert l'intimité actuelle. lest protections prises seront essntiellement, car les autres peuvent avoir une certaine curiosité gênante pour nous. et pourquoi gênante?
La part des biens donnés gratuitement devrait augmenter, ne serait-ce que pour faire l'économie de nombreux clculs et la simplification des comptes
ex. transports
p.e. nourriture/veêtement
parapplèle avec synapsifier de ?
Créativité:
-monde complexe, hyper-organisé/plus ordinateur en évolution rapide
-il faudra constamment avoir des idées pour s'adapter, modifier le monde
- cependant, du fait de l'interactdion totale, il faudra étudier de près les modifications, du moins connaître des moyens subtils de classification, à l'intérieur de quoi on puisse travailler (zones), cez zones étant sans doute eles-mêmes en évlution.
implique travail d'équipe, utilisation de ordinateur
implique restriction de l'initiative privée
en parallèle, croissance actuelle aux multiples permis
Il faut un permis de conduire, qui n'était pas nécessaire quand on marchait à pied/permis de construire/permis de faire des enftns...!
il faudra une vérification permanente de la cohérence avec les plans généraux de l'humanité, l'ordinateur étant le seul moyen suffisammnet efficace. Ici encore, rôle du poste individuel, apportant une liberation de l'esprit, possibilité de constestaiont.
(parallèle avec assurances)
La quantité d'énergie par personne sera évidemment très grande, voire virtuellement illimitée, mais quant aux règles d'usge... il y aura deux types de "consommation":
. la consommation personnelle, destruction, pouvoir d'achat
. la consommation à caractère d'investissement, pouvoir économique
Système d'optimisation de la diffusion de l'information
Deux phases: éducation/vie active
éducation: culture générale, vie personnelle, information désintéressée
vie active: connaissances pratiques, information d'action
Dose de liberté:
1/ parties connues du fait d'appartenance ou de participation à une entreprsise. caractère non l. de cette information
2/ recherche faite personnellemnet, pour contestation de l'information automattique, pr exemple, ou désir de se cultirver, information sur les autres hommes, alimenter la méditation etc.
c/retour sur démocratie
possibilité de délégation à un individu, même seulement sur points partiels, ou a plusieurs selon branches
auquel cas, droit de se faire communiquer les partis qu'il a pris.
Le problèmes est de connaître la psychologie d'un homme conscient d'être dans une structure optimisée et, au moins partiellement, en dehors de lui
contestation de cette optimisation, car on ne fait pas d'omelettes sans casser d'oeufs
liberté basique de choisir cette optimisation ou non. filière de participation et d'opposition
mais aussi liberté de contestation à des plans plus élevés, certaines reconnaissances, d'autres non
le prix de la liberté qui peut peut être se mesurer en partie par ex. nécessité d'un minimum d'espace si liberté de se déplacer. Degré d'insonorisation si bliberté de faire du bruit.
Mesur de la non contestation avec ses inconvénients (redondance) si liberté, concurrence
On peut peut-être refuser la liberté de détruire, mais pas celle de construire moins ou pas du tout.
Contrôle des chèques aux U.S.
Que peut-on dire de l'évolution de cette mesure
- tout d'abord, pour un individu donné, la somme ne peut dépasser un certain total, fonction de sa mentalité, de ses aptitudes
- même pour un même tyupe de relation: conjugale par exemple, le coefficient peut varier d'un couple à l'autre
- par ailleurs, une croissance de la somme
. entraîne une augmentation du temps consacré aux relations
. dans certains cas, amène à l'utilisation de moyens matériels, carnet d'adresses, de téléphone, fichier familial
. si ordinateur, peut donner moyens plus puissants, évitant une large perte de temps à mettre en mémoire, préparation plus poussée des rencontres par relecture de dossier
. mais, à l'opposé, introduit un élément tiers qui peut avoir ses inconvénients, classement des gens, etc.
techniques psychologiques, physiognomonie par exemple, caractérologie, etc.
- implique, dans une certaine mesure, plus grande complexité des décisions de chacun. Pour mes choix professionnels, je dois tenir compte de ma situation de famille, et réciproquement.
noter usure de certains moyens, cartes de voeux par exemple
- aussi important de connaître la dérivée dans 20 ans que la valeur absolue
- de plus, il ne s'agit pas d'un pur mouvement, bien qu'il y en ait aussi (démographie, par exemple), mais d'une structuration
- en particulier, il faudrait étudier l'évolution du nombre de personnes avec qui on est en realtion, ou plus exactement, du fait qu'il y a toujours la relation minimale de connaissance indirecte: les Chinois, et jamais une connaissance totale: ma femme. Il faut déterminer un "coefficient de relation" et totaliser sur l'ensemble de l'humanité
- distingeur divers niveaux
. connaissance de principe
. connaissance vague ou fonctionnelle (mon voisin du dessus, le directeur de telle société)
. connaissance nommée (untel, avec tête mettable, ou sans).
Mais niveau simple ex. Tattevin pour moi.
relations personnelles: lointaines, Laleuf
relations plus approfondies
avecun maximum dans amis et famille
. les coefficients pensables de 0 à 100,
D. Ceci rend difficile une optimisation de la diffusion de l'information.
Par ailleurs, l'appartenance impliquait une certaine localisation
L'analyse de la relation d'appartenance est au fond très générale (Bourbaki) mais plus particulièremnet dans la mesure où elle est ressentie, conscience
actuellemnet, deux essentielles: l'entreprise et le chez soi.
avec perte de temps consécutive, la distance augmentant.
Les nouveslles technologies apportent par exemple recentrement sur le lieu familial, qui implique nécessairement la vie dans un même univers matériel.
Il serait par exemple souhaitable de "mobiliser" l'univers familial, la roulotte américaine: appartements standard. Intérieurs transportables d'un point à un autre.
- mauvaise tendance d'un urbanisme fixiste. Il n'y a pas de structures stables
échanges d'appartements très difficiles. suppression du droit à la propriété d'un lieu
stabilité minimale du cadre familial, d'un certain volume.
...
Ne pas oublier les phénomènes de relaxation, par exemple la diffusion de l'information: les points forts ne doivent pas venir à la suite sans "sauce", autrement c'est illisible
Ré-apprentissage d'un rythme de lecture.
Différent de la méditation, qui est rapprochement de ce qu'on lit à toute un système mental qu lieu seulement de "compréhension" aisément et à demi-mot
- noter l'effort certain de revues comme Computers and Automation, avec abréviatgions, bons articles, etc.
Dans les relations professionnelles, perte de temps plus faible, car je parle à des professionnels qui ont le même lngage, nous savons en gros ce que nous avons à nous dire
dans les relations familiales, il y a un peu de cela aussi
Noter
relation entre le fait de l'appartenance et un certain caractère des échanges d'informtion. Il y a une certine notion de sous-entendu supposés préalablement à la connaissance.
Noter aussi le caractère de plus en plus nombreux des appartenances. Autrefois, il y avait quasiment une hiérarchie unique basée sur un groupe familial qui était à la fois unité économique, sociologique, religieuse, mentalité, histoire, avec des structures y ressemblant assez au niveaux supérieurs
Maintenant, il y a au moins deux appartenances: la famille et la profession.
Les appartenances religieuses et politiques restant assez largement familiales, mais avec mise en question même sur ces oints. Le niveau culturel peut sensiblement varier d'un membre d'une famille à l'aure, et bien entendu dans l'entreprise.
Dans la vie actuele, certaines informations sont reçues obligatoirement: instruction, publicité, téléphone, notes de service. Le loi eest censée connue de tous. Le minimum perçu dans l'entourage: Je suis obligé de voir qu'il y a une voiture garée devant ma fenêtre. qu'il y a un type qui klaxonne à minuit, que ma femme n'est pas contente, que mon fils a mal aux dents.
Mais je peux choisir: les livres que je lis, les personnes que je rencontre (plus ou moins).
Sentiment présent d'une difficulté de s'informer dans quelle mesure
- on ne peut pas rencontrer tout le monde, du moins tous ceux que l'on voudrait
- tout n'est pas publié
- les livres coûtent cher
- les revues aussi, mis encore quand on les as on n'est pas également intéressé par tout ce qu'elles contiennent
- par ailleurs, al forme présente d'écriture et de rédaction paraît souvent lourde, redondante, destinée à un public plus large, et je dois perdre mon temps à fouiller pour trouver les quelques éléments esentiels que je recherche
je ne trouve pas un moyen de m'informer
...
Un nombre d'hommes croissant
chacun d'entre eux représente une finalité absolue
système de l'entreprise (système du monde)
par opposition à un homme
opposition à juxtaposition (nations, provinces, familles)
un certain nombre de besoins classbles (motivation)
. matériels, basiques
. mentaux
. spirituels
un certain nombre de moyens d'action
. physique, entrées/sorties
. capacité de traitemnet de l'informatino
. plus la conscience
autour, un univerts, des realtions, liberté
mouvement, sans terme défini
éducation
ne peut avoir connaissance et maîtrise de lui-même et du mande que par l'intermédiaire d'un outil
l'outil lui-même excède ses capacités, ne peut être connu et utilisé qu'avec une large paricipation d el'outil lui-même
augementation de la distance au "réel de base"
phase corporelle (homéostase, station debout)
phase instrumentale (outil, culture)
- habitudes mentales venant de la recherche opérationnele, CPM(?) etc.
: optimisation en tenant compte d'un grand nombre de variables
philosophie de synthèse, idée de l'univers
le niveau de réflexe
optimisation du système général de l'humanité: l'objectif peut difficilement être fixé en dehors d'une idéologie, et seules devraient subsister celles qui sauront faire face à ce problème
Le catholicisme semble en bonne position... l'American way of life
...
un nouvel alphabétisme
formation à de nouvelles structures mathématiques beaucoup plus importantes que la géométrie "physique" et l'algèbre
classique, présente d'ailleurs des inconvénients d'un certain irréalismae de la 1e face aux prlbèmes atomiques et la seconde dans une certaine perte de la faculté de raisonnemnet.
formation dès le plus jeune âge aux activités sociales
modification du rythme de vie
...
valorisation d'informations jusqu'à présent inutilisables (traces, villages disparus, photo aérienne, logométrie).
Le régime de la loi
Présentation
- programmation faite en une fois (avec de très légères "altérations" possibles seulemnt si elles ont été prévues à l'avance
- consultation pratiquemnet impossible, la masse est informations... séquentiel
Très lourds inconvénients:
- bêtise de la machine
- difficulté de correction des erreurs
- la loi talmudique, "pharisaïque"
- l'exemple scientifique, essai d'expression scientifique
- difficulté de programmation
1. La machine vit sous le régime de la loi
exemple. loi talmudique, science
démonstratino
essai d'expression scientifique
les fautes selon la loi
la dégénérescence "balistique"
inconvénients concrets
la responsabilité, aptitude à répondre, causalité
difficulté de programmation
structure de la machine
loi mathématique
le compilateur
le modèle du monde (retour au pb de la loi)
2. La réponse est le dialouge
3. Problèmes à plus long tereme
- maîtrise de la civilisation des loisirs
- compréhension et contrôle des mécanismes
- création d'un langage nouvau pour l'homme (l'ordinogramme)
- dissociation du langage d'accès et du langage machine
Asimov, éventuellement Higon
... Un texte incomplet. réponse à une lette de je ne sais qui.
La machine doit bien se tromper de temps en temps, à mon avis, et cela est arrivé chez nous. Mais évidemment la probabilité la plus forte d'erreur est certainement chez les prorammmeur, qui manipule au fond des idées plus complexes, qui conçoit, penant que la machine galope avec des conditions d'auto-contrôle qui la rendent très sûre. Je peux t'e dire que quand je fais des additions avec ma petite machine de bureau, je me dis toujours aussi que moi qui me suis trompé, et c'est le dax (J'ai eu, depuis 5 ans à la Compagnie, deux fois seulemnet dans e service, des machines qui ont débloqué).
La question de la responsabilité est un peu différente. si on admet qu'elle est faillible, on pourra dire par extension, en cas d'erreur ayant des conséquances graves, que la machine a été responsble, comme on l'a dit par exemple du radar pour certains collisions maritimes où, pourtant, les coupables étient plutôt des capitaines imprudents. Si on ne fait pas passer la machine en cour d'assies, on pourra tout de même décier qu'elle a fait son temps, et la mettre à la casse. La similitude avec le procèspourra être augmentée si la machine elle-même est utilisée pour détecter et trouver la source des erreurs commises: cela revient, par analogie, à la mettre au banc des accusés. On pourra ensuite rechercher les responsabilités humaines qui ont engendré cette erreur (mauvais entretien, mauvaise programmation).
Quant à dire que l'électronique constitue un fait radicalement nouveau, d'accord, et il est difficile de rechercher dans l'histoire des faits qui puissnt nous aider à résoudre les problèems qu'elle pose.
On me dit souvent, à la suite de mon article, que la machine créer plus d'emplois qu'elle n'en suppprime et que le chômage est donc impossible, que bien au contraire nous sommes de plus en plus débordés par une fgoule d'activités, et que c'est plutôt le surmenage qui serait à craindre.
Peut-être. mais l'électronique, par son caractèred'automatisation radicale, pourrait bien agir en sens contraire... Dans une certaine mesure, il nous appartient, collectivemnet, de décider si nous voulons ou non une civilisqtion des loisirs. Les options de nos plans de développement, quinquennaux ouj non, en décideront.
Il faut choisir entre le repos et l'abondance des biens de consommation (*10/92: la situation s'inverse: pour maximiser les biens de consommation, il faudra sans doute arrêter de déranger les machiens qui les produisent), du moins entre l'accent mis sur l'un ou sur l'autre. Il y a aussi les services, certains étant automatisables, d'autres peut-être aussi, mais de moins en moins facilement, quand les services prennent un caractère humain de plus en plus marqué, à la limite pas du tout, quand le service à rendre est essentiellemnet une compréhension humaine, la visite à uen pesonne seule, par exemple.
Par ailleurs, l'aide aux pays sous-développés et l'expansion démographique suffiront à absorver une bonne partie de l'accroissemnet de productivité. Dans la mesure où le conrôle des naissances est possible, il ay a là aussi un moyen de se donner plus ou moins de loisirs, les entants étant une charge très lourde et leur éducation tant peu automatisable.
Enfin, l'importance de l'effort de recherdhe et de conquête de l'espace peut être lui aussi mesuré et servir à déterminer la quantité de loisirs que l'on veut donner à l'humanité.
Eu un mot, nous aurons la civilisation des loisir si nous le voulons. C'est assez réconfortant, à conditoin que les structures de décision collectives fonctionnent de façon satisfaisante et que les électeurz puissent choisir en
connaissance de cause.
On cherche à se rassurer en se disant que tous les mécanismes sont compréhensibles. Et c'est exact, et on peut penser qu'ils le resteront encore un certain temps. Cependant, si l'on sait faire des machiens améliorant elles-mêmes leurs programmes (software) ou arrivera (c'est déjà commencé) à
utiliser la machine elle-même pour améliorer ses circuits ou construire ceux d'une machine plus perfectionnée.
Le degré de complexité pourrait finir par nous dépasser. C'est cependant une hypothèse assez gratuite pour le moment. Mais, dès à présent, les circuits de la machine ne sont compréhensibles que par une petite minorité de spécialistes, globalement seulemnt par les utilisateurs et pas du tout pour le vulgaire. Il y a là une source de dangers.
D'autre part, il faut distinguer le compréhensible et le contrôlable. Tant que la machine ne traite que de l'inforamtion et de sort que des informations sous dorme de langage, le danger n'est pas trop grand, bien que la mauvaise compréhension d'une statistique puisse conduire à des décisions fausses ou dangereuses. Par contre, là où la machine commande des dispostifis d'action réels, le danger est plus sensible. On cite le cas d'une fabrique de bière anglaise qui a laisse partir aux zgôuts un million de litres de bière, l'ordinateur ayant décidé, on ne sait pourquoi, que ce type de bière n'étiat plus demandé par les consommageurs. Le danger est encore plus grand quand la machine contrôle des armes, nucléaires ou non. Et c'est déjà le cas! Evidemment, certaines mesures de précaution sonr prises, mais non infaillibles.
je pense donc que la compréhension des mécanismes de base ne peut suffire à nous tranquiliser, et qui'l ne peut être qu'estion d'ailleurs de^tre toute à fait tranquilles. L'appel à l'automation est une source certaine de riqeus. Le jeu en vaut la chandelle, mais il ne faut pas se faire d'illusions, on ne fait pas d'omelettes sans casser d'oeurs. L'indépendance de la mchinee n'est pas, et est de moins enmoins, subjective.
Vient ensuite dans ta lettre une phrase extrêmement précieuse, et qui me donne beaucoup à réfléchir: la sémantique d'une question dégénère avec le nombre d'instructions qu'elle génère (ta phrase était plus euphonique que la mienne, d'ailleruss). Je connais mal le contenu de la notion de sémantique. Atrement dit (si je comprends bien), plus une question est complexe, maoins ou peut être sûr de bien comprendre la réponse.
Dans le domaine normal, on peut trouver des analogies. Si je demande à un employé de faire tel travail, relativement simple, très bien défini, et ne demandant aucune initiative de sa part, et s'il est consciencieux, je peux être sûr de ce qu'il me donne, et je peux d'ailleurs le vérifier assez aisément par sondage ou par recoupement.
Mais si je lui confie une tâche plus générale, s'exprimant petu-être ent très peu de mots, exigeant de sa part réflexion, adaptation initiative, je sui obligé de lui "faire confiance", je ne peux plus tout véfirifer, et il s peut qui'l se fasse de son travail une idée un peu différente de ce que je voulais.
Allons plus haut. Quant un Directeur confie à un cadre une certainefonction hiérarchie, avec des responsabilités, cette tâche devient un peu la "chose" de ce cadre, qui la traitera comme il l'entendra (dans une certaine mesure), et dont la personnalité aura une influcence certaine sur la qualité et les résulats même de son travail et de celui de son personnel. Ce cadre et son équipe seront devenus une aprte relativemnte autonome de l'entreprise.
le Directeur pourra donner des corrections d'orientation, ajuster ses directives. Il ne pourra être le maître absolu et, si le travail ne lui convient vraiment pas, il lui restera à remplacer ce cadre, sans pouvoir pour autant reprendre le travail déjà fait. Bref, l'autonomie de ce cadre est telle qu'il échappe largement à ses supérieurs, qu'il devient partie prenance des
responsabilités de l'entreprise, qu'il y a une réelle délégation de pouvoirs. L'entreprise ne peut plus être considérée comme monolithique, mais comme une communuté de personnesl où se créent et subsistent tensions, incertitudes, où une marge d'erreurs, de divergences, est inévitable.
On aurait un mouvement analogue avec le développement de la machine. Plus il y a de disproportion entre la quantité d'insructions que je lui donne (instructions au sens large) et le travail qu'elle exécute (nombre d'instructions au sens technologique), plus elle se comporte comme un être autonome, plus il y a délégation de responsabilité. Cette disproportion pourrait s'exprimer sous forme d'un rapport simple: instructions données/ quantité d'information représentée par le travail réel. Mais il faudrait sans doute préciser.
On peut d'ailleurs certainement démontrer que, pour que le nombre d'instructions générées par un ordre ou une question soit supérieur à 1, il faut que la machine ait, dans sa structure ou dans ses mémoires, "quelque chose", une certaine quantité d'inforamtion préalable à cet ordre. Le cas est bien clair quand on utilise des langages de programmation, où il faut ajouter à la structure de la machine un compilateur adéquat. Au fur et à mesure que ces langages se développeront, et utiliseront des instructions deplus en plus larges, ces compilateurs se développeront jusqu'à donner une certaine personnalité à lamachine.
On peut d'ailleurs imaginer une machine ayant à la base une culture générale" équivalente à celle d'un certain niveau de culture, lui permettant de comprendre directemnet le genre d'instructions qu'on donne à un subordonné. Il est vai que cela suppose une mémoire d'accus suffisamment rapide de taille considérable, et notre technologie présnte ne le permet guère,
mais enfin cela ne paraît pas impensable jsuqu'à un certain niveau. la strucgure d'une telle machine et, en particulier, l'organisation de sa mémoire, lui donnerait sans doute un certain type de réactions assez semblables aux caractéristiques d'une "mentalité".
A la limite, splendide, il y a l'appel de Dieu à l'homme, qui peut se résumer par un seul ordre: tu m'aimeras. Cet ordre entraîne une quasi-infinité de réponses partielles de la part de l'homme, toute une vie. l'expérience du péché originel a montré en effet qu'il y a une dégénérescence! Encore faudrait-il disginguer le péché qui a en lui même des caractrères spécifiques de refus volontaire, à ne pas confondre avec la simple imperfection ou défaillance.
C'est peut-être pour faire face à cette disproportion entre l'ordre trop simple et l'application indéfinie que l'home a cherché à codifier, sous l'inspiration de Dieu d'ailleurs, la loi divine, ce qui consiste à compliquer le programme pour le rendre plus proche du code "machine", de cette machine qu'est un peu l'homme.
Mais ceci ne suffit ps, et la Loi tue, comme Saint Paul le dit, autrement dit le programme détaillé finit toujours par diverger de l'intention première. Or la machine semble faite pour vivre sous la loi et, autant qu'on puisse le penser, ne peut pas se référer, comme nous par la grâce, à l'esprit qui vivivie. Elle ne peut d'ailleurs pas, normalemnet, aller contre la loi, etn tous cas "volontaireemnt", et ne peut donc pécher au sens propre.
Cette dégénérescende de la loi face à l'appel concret de Dieu ou de l'autre dans la réalité peut trouver deux exemples connus.
1/ La dégénérescence talmudique, c'est àd ire l'effort finalemnet stérile fait pour adapter une loi finie à toutes les situations de l'existence. C'est le problème des pharisiens qui, à force de gloser sur les commandements de Dieu tels qu'exprimés dns la Torah, finissaient par rendre la vie impossible et l'amour réel de Dieu encore plus. Assez curieusement, la dégénérescence
casuistique du XVIIeme sicèle aboutissait à ces conclusions inverses.
2/ La limite d'application des lois physiques. On donne d'agord une expression très simple, comme la loi de Mariotte, disant qu'une certaine quantité de gaz enfermée voit sa pression augmenter en proportion de la diminution de son volume. Puis on s'aperçoit qu'il faut introduire toute sortes de corrections pour appréhender la ralité, seuls des gaz "parfaits" (construction de l'esprit) obéissant à la loi... puis les nouveles formulations apparaissent encore insuffisantes, etc. (Un phénomène équivalent se produit avec les systèmes philosophiques trop logiques et trop peu vécus.
L'exemple scientifique est de loin le meileur, car dans la science moderne, appuyée sur les mathématiques, la logique est aussi rigoureuse qu'au sein d'un ordinateur (note: il n'y pas à "interpréter", question à voir); alors que dans les domaines moraux et philosophiques (non sans rapport entre eux), les mots ne peuvent jamais avoir un sens parfaitement défini, car aucune définition de l'amour, par exemple, ne pourra épuiser la réalité de l'amour.
Et toute construction logique sur cette définition est à la merci d'un aspect non vu par la définition et venant rndre aberrant le résultats des déductions. Ceci rend impossible la construction d'un système philosophique intégralemnet logique.
Le péché de l'ordinateur est donc tout autre chose que celui de l'homme. L'homme en effet pêche souvent par inobservation de la loi( morale ou juridique), alors que la machine ne peut pécher contre la loi que "inadvertance", si l'on peut dire, ce qui n'est pas moralement coupable.
On retrouve là, sans doute, la différence entre l'esprit et la matière. la vie morale se situe dans un monde de relations de esonnes et ces relations, utilisant de fait des moyens (paroles, ction), sont de soi transcendantes à ces moyens. Dans une ertaine mesure, ces moyens apparaissent parfois comme un frein ouloureux, là où ils se révèlent incapables à nous assurer le
contact. Ou ils sont une séparation.
Dans la pratique, que signifie ce péché originel? Le but que ous assignons à la machine est
1. de nous aider à traiter des informations complexes
2. de nous libérer de travaux sans intérêt pour nous ermettre de nous consacrer à des tâches plus nombes. Peut-^'tre eut-on trouer des lumières dans les prédécesseurs de 'électronique, c'est à dire pour la 1e câche, les machines omptables et les cartes perforées, la machine "automatique" classieu pour la deuxième tâche.
Peut-on dire des cartes perforées qu'elles ont entraîné une égénérescence par rapport aux intentions premières?
De toutes façons, on peut penser que le remède à cette égénérescence est le dialogue et, de fait, cette recherche est ou-jacente à diverses recherches actuelles. Elle inspire pour ne part les programmes de jeu (échecs, dames, voir Newell, Shaw and Simon). Elle est à l'origine de la construction des compilateurs permettant d'utiliser des langages plus maniables, plus proches de nos habitudes que le langage machine.
Le Cobol, en particulier, s'écrit presque intégralement en langage ordinaire, malgré une colleciton de restricions ans rapport avec nos exigences propres. L'effort fait pour le rendre lisible a d'ailleurs pour conséquecne de le renvre verbeux (thèse). Un langage comme l'Algol, conçu pour les mathématiciens, est nettement plus bref et plus maniable pour un scientifique habitué à manipuler des équations.
Jusqu'à présent, les limites de puissance des machines et leur prix exorbinatnt rendaient le dialogue très difficile. Pour dialoguer, il faut un échange de questions de de réponses (non seulement d'ordre intellectuel, mais aussi d'ordre affectif, et on cherche aussi à développer pour la machine, un équivalent du couple récompense/punition, qui est essentiel à nos relations interpersonnelles). Le prix de la machine oblige à bloquer cet échange en blocs importants. Le programme est établi en entier, passé une fois en machine.
En règle générale, la machine ne comprend pas bien "du premier coup", ou plus exactement, le programmeur ne s'explique jamais de manière absolument correcte dans son premier jet, aussi, après un premier passage "test", le programme est rectifié (debugged) avant de le lancer pour de bon.
Les résultats obtenus sont ensuite longuement analysés, la machine étant libérée pendant ce temps, puis un programme nouveau est mis en route pour permettre d'aller plus loin. C'est un peu la situation de personnes qui ne peuvent communiquer que par la poste, et doivent de plus chiffrer leurs messges. Méthode non sans efficacité, qui a l'avantage de "laisser des traces" et, dans le cas présent, de réduire au maximum le temps-machine.
...
(réponse par le dialogue
recherche en ce sens
. learning machines
. les jeux
. les langages de programmation
le procédé actuel est balistique, raisons
. il faut arriver au contrôle permanent
. exemple opposé des machines en temps réel
introduction de la multi-programmation
de la mémoire de masse
programmation en temps réel
multiplication des voies d'accès
implique une augmentation de la puissance de la machine
utilisation de l'analogique
Conclusion partielle: possibilité de la commande permanente
le contrôle (compréhension, contrôle)
problème de la santé mentale de l'individu
de la hiérarchie des finalités
des hiérarchies sociales
de la communicatione t du secret
Remarque
finalité de la machine, finalité de l'opérate (limites encore))