La création numérique
Notes à l'intention
0. Le modèle
0.0. Cinq pôles
Les classifications de l'art numérique
Elles sont nombreuses
Ce modèle, simplificateur comme tous les modèles, est intéressant pour comprendre comment se développement les arts numériques.
Bien entendu, il s'agit de "pôles". Il est exceptionnel (mais pas tout à fait impossible) qu'un artise, un mouvemnet, une oeuvre, se concentre exclusivement sur un des pôles, ou vise à le faire. Ou au contraire à éviter totalement un des pôles.
Aucun des pôles ne peut être atteint parfaitement. C'est toujours un peoint limite.
Classificaion selon les techiques. Souriau. Littérature.
Peuvent se combiner. y compris architecure, art total. Exemple emblématique : Bayreuth. Cinaxess
Aucun des
Classsificationde qualité : pluks ou moins bon, pluks ou moins originala
Classification selon
Au départ, nous avons forcément un auteur, et un spectateur (auditeur, lecteur, etc.) , qu
0.1. L'inspiration
Un premier type d'artiste est polarisé par lui-même, son ego, son rôle d'auteur. C'est un romantique, un inspiré. Nous dirons instiinctif.
Je ne peux pas atteindre le fonds de mon moi. Je peux approfondir pour me connaître de mieux en mieux. Et notamment découvrir ma compelxité, ma multiplcité... Ma duplicité
- les inspirésqui ne peuivent s'emêcher ce créer, l'inspiration
. Picasso
. les romantiques,
. mon jésuite
. abstraction lyrique
Une vocation. On veut être artiste
0.2. L'utilité
Un deuxième type, au contraire, est polarisé par son destinataire, l'effet qu'il va faire sur lui. Dans un cas limite, le destinataire est lui-m^mee. Une fome de narcissisme.
Cela peut conduire au commercial aussi bien qu'à l'art en gagé. Le travail artistique est un moyen de gagner sa vie ou de changer le monde.
Le destinataire final final n'est pas plus accesble que le moi. C'est toujours quelqu'un qui se montre à moi sous un certain angle. Qui fait une ceraine mine pour acheter mon oeuvre sans la pauer trop cher.
. les taggeurs, au moins une partie d'entre eu
.. ceux qui viennent à l'art pour gagner leur vie
- les commerciaux (ou les militants) qui créent pour un public
. Toffoli, les militants, les designers
. les prostitué(e)s
. les artisans en général quand ils ne se donnent pas d'objectifs supérieurs
. le mainstream
. les avant-garde
.. Duchamp, les amateurs purss
0.3. Le concept
dEn général, l'artiste va créer à partir d'une idée et en utilisatnt des moyens. D'où deux autres ^pôles /
I: l'y a pas de spiritutel en soi. Même Kandinsky, au fond, va trouver son spirituel dans le mouvement de sa main.
Nous dirons "conceptuel" l'art pour lequel l'idée passe avant tout . L'esprit, si con veut. Kandinsky.
Les conceptuels- les "conceptuels s" qui partenet d'une idée
.
Duchamp. fortement marqué dans ce sens ; pas du tout commercial ; assez peu intéressé par la technique (sauf dans le volet scientifique des machines mobiles, tout de même assez secondaire)
. Léonard de Vinci, la peinture comme expression d'une idée
. Esscher
. les impressionistes et post-impressionistes
. l'art cinétique et cybernétique
. la musique dodécaphonique, sérielle
. les arts "savants" en général
.. les naïfs, l'art brut ;
.. les enfants, au départ, avant qu'ils n'aiente un concept
0.4. Les moyens
Pour d'autres c'est la matérialité, le moyen qui compte. Les techniciens, les algoristes
Les impressionnistes avec la peinture en tube. Van Eyck et la peinture à l'huile.
Les premiers peintres sur ordinateur
Les photographes à l'origine, d'une certaine façon
Il n'y a pas de matière pure.
I
- les techniciens, qui partent d'une technique ou d'un matériau
. les premiers cinéastes, en général les premiers explorateurs d'une nouvelle technique
. les algoristes, à la base ; Yves Klein
.. naifs, art brut
0.5. La création
.
Il n'y a pas de vivant pur, idéal. Toujours une vie un peu malade.
Enfin, la création débouche sur une oeuvre. Pour certains, elle est réduite à rien, juste une performance,e ou un objet quclconque. Pour certains artistes, c'est l'essentiel. Leur ego leur impote aussi peu que l'effet produit sur le public, et toutes les idées, tous les moyens sont bons pour y parvenir.
- les génératifs, qui veulent que l'oeuvre vive pour elle-même
. les vrais algoristes et les créateurs d'automtes s'ils ne sont pas de purs techniciens
. les cinéastes sont plus génératifs
. les compositeurs de musique
. les parents qui aiment leurs enfants
. les plasticiens, souvent ; du fait que l'oeuvre va rester
.. en antinomie : tactical media ; rien ne doit rester
Aussi bien par rapport à leur créateur que par rapport à la matière. Ces formes peuvent elles-mêmes devenir créatrices.
Dieu crée l'homme à son image,, donc créateur. La première récursivité.
Modèles, textes bibiques
la vie, ADN comme projet, cytoplasme comme matière
1. Stucturation et digitialisation du modèle
1.0. Les poles se développent
Une analyse un peu plus élaborée fait apparaître des étapes intermédiaires, des formes intermédiaires dans ce processus.
Toutes ces structurations vont correspondre à des réutilisations possibles.
Cela passe notamment par une "élémentarisation" des uns comme des autres, avec une mise en correspondance des processus d'assemblage.
L'assemblage
Le découpage n'a de sens, d'intérêt, qui si on a le moyen de réasembelr.
Puis vient le moment de l'assemlage. Et ça ne marche pas fordément bien.
Il est venu dans le monde, et le monde ne l'a pas reçu
Le péché originel
Le Corbusier pas assez attentif aux matériaux.
Nathanaël, quitte mon livre.
L'orgue. Aux limites de ce qu'on pouvait faire avec de la mécanique, puis de l'électromécanique.
Pour avoir des projets forts, il faut
- une délagétion, sinon c'est trop lourd, trop compliqué
- un matériau assez fin et léger pour porter un projet complex
1.1. De l'inspiration à la carrière artistique
L'artiste n'est pas inspiré une fois unnique, pour faire une oeuvre, faire son numéro une fois dans sa vie. Il se forme pour devenir un professionnel.
Pour que l'art fonctionne, d'ailleurs, il faut bien que les gens intéressés aient une certaine idée des artistes auxquels s'adresser.
En règle générale, pour monter haut, il faut commencer tôt. Mais cela dépend des arts, en particulier du fait qu'un art dépend plus ou moin d'aptitudes physiques qui doivent nécessairemnt s'cquérier très tôt (danse, musique).
L'artiste va choisir son art en fonction de ses goûts, de ses dons, de sa personnalité.
Le peintre. Peut venir très tard. La sculpture.
L'architecte est un homme des grandes choses, du global, du permanent
Le cinéaste est centré sur le mouvement, le temps, le psychologique
Le cuisiniser, pas la peine de lui faie un dessin
Le danseur doit avoir un corps. Il d'ailleur suqil commence très tôt.
L'écrirure. Presque rien. L'envie peut suffire, parfois. Et venir très tard. Et l'on es déterminé par sa langue "maternelle"
Math : on a la bosse ou pas
Musique : on peu s'y metttre très tart phases successives,
1.2. Du spectateur au public
Vient alors le spectateur. Interactivité, jouabilité.
Marché public, marché des particuliers. Contrats de résidence, maîtres.
Paradoxes ou contradictions
Il n'y a pas un spectateur unique, mais un type de public. Un marché avec ses canaux, ses strucdtures.
Architecture : Il s'agit de gros budgets. Particuliers, mais pas tous. Sauf les habitants, évidement. Promoteurs, marchéa publics.
Cinéma : Marché très strucfturé, voir mainstream. Cycle de formation qui y conduira Mainstream. Bouquin sur les pixels.
Cuisine : tous !
Danse : sauf pour la vie sociale, c'est un large public, avec des salles, etc.
Ecriture : ici une très grande varikété. On peut écrire pour une personne, ou pour toute la planète. Lettre d'amour. Voire journal intime. Et grande presse
Math : Pas de public "direct", sauf exception
Musique : comem écritur. Je peux chanter pour ma copine, ou pour le Palais des Sports. Sturcutration du marché par le digial. Le web
1.3. Du concept au projet
Du côté de l'esprit, il formule son projet de manière de plus élaborée. Le concept, l'intention.
Ce faisant, il se rapproche de la technique. Le pourquoi va se décliner dans le comment.
Le texte du projet va devenir le programme qui va s'exécuter.
La partition
On peut en partie classer les oeuvres par les concepts. Le romantisme, le rococo.
L'esprit est une limite que l'on ne peut atteindre. Ineffable. N'a pas besoin d'exister autrement que comme un infini projectif
le Verbe, l'Esprit de Dieu, la Sagesse, le langage articulé (une des articulations). On ne peut pas rester trop près du bit. Bourbaki.
Le digital n'est jamais l'origine première.
Le détachement, le désintéresemnet
Haut niveau de la robotique
Analse fonctionnelle. Schéma UML
Le jeu scolatistique/platonicien des genres, expères
L'intention exprimée, une forme de cause finale
Les machines aussi peuvent avoir des intentions.
Il y a une certaine indifférence du projet au matériau. On peut traduire le bonheur, la peur, la mer... par tous les moyens artistiques. Certains évidememnt convienentn mieux que d'autres.
Architecture : le calcul, la tectonique, les structures générales
Cinéma : concept, stoty telling, storyboard
Cuisine : le menu, la recette
Danse : chorégraphie, langage chorégraphique
Ecriture : l'idée du roman, le thème, les choix stylistiques globaux
Math : calcul formel
Musique : phases successives, inspiration, projet. la partition puis DA si interprétatation. assez en amont si humain, ju'au stade de détail si synthé.
dans la musique sérielle, tout est dans le projet, le matériau est dissous dans la formule.
dans la musique concrète, on part plutôt des matériaux. de même que l'arrivée de l'enregistrement a conduit à rassembler des matériaux "folkloriques"
1.4. De la matière aux composants
Du côté de la matière, le créateur l'organise préalablement en matériaux. Et en outils.
Matter still matters !
La matière brute n'existe pas. Il y a des matières presque brutes. La glaise, en quelque sorte.
Mais la bonne glais homogène, isotrope, est aussi artificielle que la matière organiséae
Mettons ici les types d'art à la Souriau : peinture, sculpture
L'art total tend à utiliser tous les moyens. Mais ce peut être pour un concept unique.
La matière s'organise en matérieaux. De plus en plus complexes.
On peut aussi parler de matériaux abstraits
Virtuel. comme s'il nb'y . Une absence de matérie au sens propre
La disposition intérieure selon les exercices de St Ignace
Architecture : là, du gros. Le matériau. Le terrain même . Pas tès digital si on ne fait pas dans le virtuel. Tendance à l'éphémère
Cinéma : virtuel et illusoire par nature. Digital par vocation.
Cuisine : cusiine moléculaire. Mais aussi la richesse, la complexité profonde des matériaux naturels
Danse : le corps, le groupe. et la scène.
Ecriture : le papier, l'ordinateur : et derrière, le matériau, la substance, les caractères, le suejt , qui este qqq part entre l'idée et la matière
Math : le dessin, l'écriture, la preuve
Musique : les instruments, la voix .
dans la musique sérielle, tout est dans le projet, le matériau est dissous dans la formule.
dans la musique concrète, on part plutôt des matériaux. de même que l'arrivée de l'enregistrement a conduit à rassembler des matériaux "folkloriques"
Du côté de la matière
Aussi inatteignable que l'esprit.
l'articulation des phonèmes,
la glaise, les eaux
Matériaux ductiles : glaise, béton
Eléments préfabriqués
On ne peut pas rester trop près du bit
Le pixel comme élément de matière.
l'impimante
art viral
Le puzzle, le jeu de constrution
analyse oganique
cristallisation (le viral n'est qu'un niveau un peu plus élevé
Architecture, matériau au sens propre . Bois, scierie. Béton, centrale à béton
Cuisine : les produits du marché, la nature, le sel
Musique : le son, timbre, les instruments.
Organisation sociale, politique : la machine à vapeur et les hommes dans La Bête Humaine
Eléments autonomes de la matière, du matériau : le résonateur musical (corde, tuyau)
Outils. Peut-être au milieu, en fait.Ce sont aussi des formes matérialisées.
Le silex
L'ordinateur, universel
Logicielse; Photoshop.
Energie. Le moteur
Capteurs et actionneurs
Bas niveau de la robotique
Entre les deux, les compoants, les normes. Web services
Le progrès : le matériau peut être utilisé pour n'importe quel projet.
1.5. Vers l'oeuvre vivante
En quelque sorte une "plate-forme" est une oeuvre intermédiaire pour en faire d'autres. Elle convient à certains artistes ayant certaines compétences, elle exprime certains concepts, met en oeuvre certains matériaux, vise certains types de public. Exemples un système d'exploitaion, le web, unc chaine de télévision.
Elle devient de plus en plus autome.
Il y a d'ailleurs une sorte de symétrie.
La jouabilité.
Echappe à son créateur.
Cette élémentarisation atteint un terme théoriquea vec le binaire.
Le moteur
La forme est-elle du côté de l'esprit, ou au milieu. Le milieu serait mieux. Elle est indépendante de l'esprit comme de la matière. C'est un concept un peu au milieu. D'ailleurs un peu flou.
Interaction et jouabilité
Architecture : le bâtiment, l'ouvrage dart
Cinéma : concept, stoty telling, storyboard
Cuisine : le menu, la recette
Danse : chorégraphie, langage chorégraphique
Ecriture : l'idée du roman, le thème, les choix stylistiques globaux
Math : calcul formel
Musique : phases successives, inspiration, projet. la partition puis DA si interprétatation. assez en amont si humain, ju'au stade de détail si synthé.
dans la musique sérielle, tout est dans le projet, le matériau est dissous dans la formule.
dans la musique concrète, on part plutôt des matériaux. de même que l'arrivée de l'enregistrement a conduit à rassembler des matériaux "folkloriques"
Organisation sociale, politique : la machine à haut niveau (Zola)
Peinture : le sujet, l'idée
Scuptpure : idem. CAO
Textile, vêtement: le motif général
Théâtre: simulation. Shakespeare. Le projet se précise et s'écrit. Le matériau (acteurs) doit sy plier
Vie. La prole, la culture
L'autonomie
Enfin l'oeuvre, acteur, et son dialogue avec le spectateur, qui est un autre acteur, cherchant lui aussi à crer
L'autonomie de l'oeuvre implique la possibilité du mal (St Thomas, Safransky). La vie, le virus. Le being, Schimtt, Roxame. Identité de l'oeuvre. Auto en généra, autoréférence;
La boucle cybernétique (pas directemnet une autoréférence). L'oeuvre se détache de la matière. Se délocalise. Passe d'un ordinateur à un autre.
Au sein de l'oeuvre elle-même, des cellues autonomes. Devient vraiment digital quand le moteur même de l'oeuvre est digital. Devient vraiment digital quand le digital est le coeur de l'eouvre, avec un moteur, le schém automate, etc.
Le coeur : centralisé ou connexionsite, réseau neuronal, etc.
Puis l'oeuvre devient créatrice. Autoclonage (virus) ou sexuée (génétique)
Niveaux de l'autonomie. le hasard, les agents, le connexionisme
L'accompagnateur. Le plus simple : métronome. Puis, ajustement au jeu des autres, boite à rytymes.
L'autonomie permet l'utilsation par le spectateur. Met le disque dans sa chaine, etc.
Mais collection d'oeuvre, univers de choix du spectaeur.
En 2010, ce qui est disponible simplemnet sur Internet est considérablement supérieur à la capacité d'absorption.
Donc problème de sélection
Et, par réflexion (?), problème pour un auteur comme moi.
Couches intérmédiaire, le système d'exploitation
Le cas des acteurs humains
L'oeuvre Duchamp Vs. Benayoun
Les automates (Triolet). Robots
Le composant, rencontre de deux logiques. L'imprimerie
L'auditeur a besoin de reconnaître les agents : le chanteur, les insruments, les thèmes wagnériens, PSJ
image texturée irrégulière, pavée, on coupe pour avoir l'élément répétitit du pavage. ll faut l'identifier.
L'autonomie s'applique aussi aux agents humains.
Et autonomie implique capacité de s'oppoer su créateur.
A bas niveau, cette opposition n'est qu'imperfection à agir conformément à sa volonté, ou à percevoir cete volonté
A haut niveau, l'agent connaît ces intentions, mais devient capable de s'y opposer.
Duchamp. Le matériau ne compte plus. Seule l'instanciation. Le pointeur posé sur un objet "quelconque". L'intention peut quand même être complexe. La signature doit être suffisamment longue ou graphique pour être un identifiant. En outre il y a le titre, auquel Duchamp donne beaucoup d'importance.
2. La digitalisation proprement dite
2.0. Digitaliser
Dans chacun des cinq pôles, la digitalisation intervient comme un facilitateur du développement. Mais surtout, du fait de la polysémie radicale du bit, elle permet l'intégration des différentes pôles et la montée de l'oeuvre.
Et le remix
En revanche, elle est emblématique de la rupture de continuité entre les hommes, et appelle constamment une nostalgie d'un eden sans couture. D'où notamment le besoin d'un grand nombre d'artistes de revenir aux moyens les plus primitifs : dessiner, modeler... quitte à utiliser les capacités de mémorisation pour aboutir tout de même à une oeuvre.
Même ces moyens primitifs d'art sont encore assez médiatisés. Les arts de performance (chant, danse, théâtre) sont moins médiatisés par l'absence d'oeuvre matérielle fixée. Il y a quand même médiatisation dès qu'il qu'il ya formalisation, a fortipori instauration d'un texte, dune partition, voire d'une tradition.
Le cri instinctif, le geste (coup, caresse, pénétration) sont des immages fortes de l'immédiateté, où la conscience même se perd.
Mais peut-être la digitalisation nous emmènera plus loin encore avec le Brain-to-Brain. Via un computer certes, mais avec une possible disparition du dispositif au niveau de la conscience. Domaine très peu exploré actuellement à notre connaissance.
Fondamentalement,
- la radicale orthogonalité/pivotalité
- la récursivité
2.1. L'artiste digital
2.2. Le public digital
Si c'est p
2.3. Le projet digital
2.4. Le matériau digital
tout est matériau
2.5. L'oeuvre vivante digitale
- se faire soi-même . eugénisme, design baby
- se refaire soi-même : la chirurgie "esthétique" jusuq'à refaire son propre cerveau ; pourquoi pas son propre génome
- l'oeuvre externe totalement autonome
la digitalisaiton est la combinaison du tout. TEF
3. Interactions
3.0. quid
3.1. Interaction de lartiste avec son oeuvre.
Oeuvre en temps réel. VJ. Inerface dans les deux sens. Wysiwyg.
3.2. Interactiondu concept avec l'oeuvre.
Analyses et évaluations de l'oeuvre pour l'évolution de sa réalisaion
Le concept compporte des boucles.
Cela peut joeur en particulier s'il y a des capteurs.
3.3. Interaction de l'oeuvre avec la matière
capteurs/actionneurs sur la nature
Evolution de l'oeuvre en fonction de ce qui est vu, du résultat des actions prises
art cinétique, schoeffer
3.4. Interacction avec le public. Le spectacteur, etc
applaudimètre
interacion plus ou moins profonde
public intégré à l'oeuvre
le critique parmi le public (et la critique comme oeuvvre)
3.5. interaction de l'oeuvre avec elle-même. Le processus génératif
groupe doeuvres, multi-agents