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Dieu.... 0.1.

amour
construction d'un univers nouveau
présence du Christ dans cet univers
0.1. Moyen d'information pour ceux qui sont dans cet univers, qui se fait, et pour tous, qui le font en partie
Implique: présence du Christ en moi-même
équilibre
réflexion approfondie
0.1. Jouer dans le sens vérité
jouer dans le sens problèmes humains
articles de moi, d'autres
info, rubtique bouquins
cette pression payée par: travail
efficacité/compétence
aide
pas d'emmerdements
compétences: maths fondamentales
informatique
philosophie
techniques de l'imprimerie

Décision

9/11/67.
Jusqu'ici, mes analyses considéraient essentiellement lamachine comme moyen de traitement de l'informtaion.
Ou moyen de contrôle de machines.
en fait, à venir rôle de décision fondamental
"The computer complex would be the city's largest decision aking body"
analyse de la décision dans l'existence
réseau d'ordinateurs d'une communauté
décision conformément à des règles exprimées. Mais dans la esure où l'on sort du domaine scientifique, les
règles exprimée ont de la nature de la loi et de la lettre/ portent idiosyncrasies de ses auteurs, défauts, oeillères
dans la mesure où aptitudes finies, choix certains conscients, clairs, d'autres inconscients, ou application à cas
non prévus
pas absolument nouveau, d'ailleurs, dans la mesure où déjà le droit pouvait conduire à des injustices (juridisme)
mais, au moins théoriquement, il y a vait possibilité de rectification par l'homme
analogie évidente avec la machine administrative
Deweze. Traitement de l'information linguistique, page 79. "Il serait souhaitable de communiquer à la mchine non
pas le jugement d'un seul homme, mais les appréciations d'un jury de spécialistes".
relations homme Dieu
relations homme autre homme (individu)
(société)
relations homme monde
La machine intervient dans toutes ces relations. Avec Dieu, tout le oins dans la mesure où l'Eglise
Si l'on ne personnalise pas la machine, ce qui au moins présentement est juste, la machine n'est qu'un élément,
nouveau cependant, de l'univers matériel suport du reste
Nouveau dans quelle mesure?
- dans la mesure où il est une émanation de moi-même ou des autres hommes
- fondamentalemnet artificiel
- dans la mesure où jouit d'une certaine autonomie, mais l'univers l'a aussi. surtout au niveau de l'animal qui a
authentiquemnet ce que l'on pourrait
...
- conséquences sociales
- l'emploi, chômage, civilisation des loisirs
- la nature des travaux
- démonétisation
- nouveau droit nécessaire
- utilisation plus facile du droit
- applications médicales
- nouveaux types humains
- univers kafkaïens?
- accélération des relations inter-personnelles
- assurance et sécurité sociale
- capitalisme et communisme sans doute tous deux complètement débordés à ce niveau
- on peut imaginer: il faut faire face à deux problèmes: une finitudes des biens consommables dans n'importe
quel cas, le travail étant insuffisant comme procédé de répartion des revenus
- on peut imaginer
a/ gratuité de certaines fonctions élémentaires dans les limites normales (santé, alimentation, enseignement,
logement, vêtment)
b/ affectatio périodique d'un revenu minimal garanti dépensable au gré de chacun
c/ affectation de sommes plus importantes à titre de responsabilité économique, utilisables librement mais
renouvelables seulement si efficace
...
La loi de Parkinson exprime un aspect de cette structuration. Seule une mutation permet de dépasser le
gigantisme
Structure mobile. Ceci très lourd pour l'individu.
Comme un bateau, structure très complexe et mobile
Non, car c'est la structure du bateau elle-même qui est en évolution en réalité.
Bien sûr, problème du mouvemnet. apparemment sans valeur en soi, si c'est le cas, il faut imaginer un terme à
tout le moins une échelle (et encore cela n'est guère suffisant)
Changemnt dans la signification du travail, d'abord lutte contre la nature "pure" puis contre une nature de plus
en plus humaniése, implique dans une certaine meusre lutte "contre" l'homme, avec les transpositions
psychologiques qui vont de soi (une certaine agressivité, par exemple)
implique: modification des rapports sociaux, autre signification de la solidarité humaine
implique: intériorisation du donné à travailler, au niveau collectif, mais aussi au niveau individuel

Démocratie

Viabilité d'une consultation nationale
- envoi à domicile de cartes perforées (plus tard, par les terminaux individuels. PUBLISH WITH ANSWER)
- retour et dépouillement, pré-trige, plus ordinateur
- falsification par groupement
- 20 M x frais envoi et réception, + stockage + traitemnet
- dépendance d'un fichier général
- une démocratie de l'ordinateur
- pas de suffrage censitarire, universel va dans
représentation
- limite: consultation
- contrôle de la programmation
- demande d'information en retour
- éventuellement an-archie. mais dangereux, incertain; selon
ritères peut-être d'habitude
- plan national, mondial
va vers intégration générale
- procédures de contestation individuelle et collective
...
La machine universelle supposée illimitée ou très grande par rapport aux gbesoins que l'on imagine dès que l'on
peuse à des sytèmes très généraux vote nationa: machines à votrer très répandues (simple terminal, relativement
peu côteux (un million ancien si fait en séries importantes) à placer un peu partout mais le vote explicite est très
loin d'être la seule manière dont s'exprime le citoyen, qui est aussi agent économique comme produceur et
comme consommateur te dont on peut saisir l'expression à ces différents niveaux
...
Ces problèmes n'admettent pas de solution simple.
Il faut rejeter d'emblée toute structure informatique nationale qui:
- fonctionnerait à sens unique par rapport au peuple, c'est à dire qui donerait à un noyau d'initiés des
information détaillées sur chacun des citoyens
- dans une certaine mesure, la croissance des peuples a permis la mise au point d'un certain nombre d'échelons,
et c'est eux qu'il faut développer en leur donnant une autre tenue région, peut avoir un tout autre sens que
purement économique, aussi politique
les organes "spirituels" semblent dépouills des moyens matériels qui leur permettraient d'être ainsi
auto-conscients
croissance mathématique factorielle-exponentielle du nombre
a/ de relations interpersonnelles possibles
b/ dy type de relations... avec progrès des connaissances
idée de structure et de circulation à l'intérieur
se reconnaître
à l'intérieur d'un même ensemble de traitement de l'information, il est possible d'avoir des sous-systèmes à cause
du soft
dans un certaine mesure, les matériels à choisir sont indépendants de la structure désirée
cependant le matériel disponible à un moment donné,
techniquement et financièremnet, diffère de
...

Informatique et société

Le fait que complexe
cénesthésie sociale. incarnation dans autre chose qu'idées très simples (patrie, ennemi)
on ne peut poser un acte gratuit authentique que si on est payé pour le faire
intégration-concertation vient de la nécessité de la complexité. de l'exigence d'efficacité: pas seulement, il y a
aussi le problème de penser le monde. psychologie de l'ingénieur
conseil
Concler simplicité de structure et liberté individuelle
Cénesthésie: prese, plus directement: sondages d'opinion,
mais il y avai la démocratie.
Signification latérale de idéal: merveile, mais aussi modèle simplifié: facilement concevable.
paradoxe de l'atomisme et des lois fondamentales. (on pourrait peut-être démontrer...) en partant par exemple  d'un système de valences...
Problème de fond. Réaliser la démocratie,
Car, dans une certaine mesure, la vérité vient du bas car heureux les pauvres  car les crocheteurs du port au foin sont nos maîtres il s'agit, si l'on peut dire, de dégager le consensus mais  transcendance des décisions générales par rapport aux idées particulières  niveau de complexité
problème d'information dans les deux sens
à la base, il y a aussi le péché
sur de nombreux points, il n'y a pas consensus
si consensus il y a, il peut être mauvais
le consensus est fluctuant et il faut cohérence de l'action dans le temps
réciproquement, il y a une certaine inertie du consensus
d'où l'idée d'autorité
d'où l'idée d'une certaine déconnexion
absolue dans la monarchie,
à relais dans une "démocratie"
Quid de l'informatique?
elle permet de dégager des consensus
elle permet de ventiler les grandes options et de donner à chaque niveau une information adaptée (sinon à  chaque personne)
La machine à aider le penseur
seul,
seul plus monde,
avec autres penseurs
exemple de souffrance: recherche bibliographique, travaux d'un congrès
dans quelle mesure idées neuve, et clivage à chaque fois reclassification, nouvelle lumière distinguer plusieurs
types d'idées (faits, théories) comme pour toute distinction, clivage parfait insoluble un fait ne peut s'exprimer
que dans un certain langage, comportant un niveu jamais nul d'abstraction
ex. il y a un malaise sociale
il y a une tendance à l'augmentation des grèves comptage des grèves
le fait: absence d'ouvriers
sans abstraction, on reste à un niveau élémentaire, non pensable
base sémantique: une base de connaissance en métalangue
accroissements (plus accroissementa automtaiques)
porter à connaissance des intérezssés par processus aautomatique
va vers: vaste système homme-machine
nécessité d'un dispositif "évocateur" à la sortei

Complexité

dans une analyse plus fine de la complexité, on se pose donc le problème, étant donné un objet de complexité
"brute" donnée en fonction d'une capacit d'analyse donnée, de rechercher le meilleur moyen de le décrire avec
une capacité inférieure.
Il faut alors distinguer deux cas: l'objet présente des contraintes ou non
sinon, il n'y a aucun moyen de réprésenter tous ses étatnsmais on pourra chercher à décrire le plus grand
nombre possible, certainement limité au nombre d'états de la capacité sujet et éventuellement inférieure. Mais
par contre, si les états de l'objet ne sont pas équiprobables, on pourra certainement arriver à en définir sinon la
totalité du moins un grand nombre
On peut aussi se donner des approximatins (ce qui revient à admettre que l'on ne considère qu'un certain
nombre d'états, les autres y étant assimilés)
De plus, il peut y avoir une pondération de valeur entre les types d'état, mais ceci nous emmène plus loin
Le cas le plus intéressant est celui où il y a des contraintes. On peut raisonner en disant qu'alors le nombre de
cas est réduit, ce qui a vrai dire résoud le problème.
Noter que l'on fait intervenir chez le susjt deux "niveaux" de mesure ou de conscience, ce qui est intéressant,
carf si on ne faisait pas cette supposition, on en percevrit seulemnt les étants le ...
Ce qui est intéressant, c'est le fait que pr un procédé de définition de contraintes, on réduit le nombre des tats,
mais en fait, plus subtil, car il faut alors modifier le mode de description, ce qui se fait de multiples façons, mais
serait intéressant à mesurer.
Exemple. Ce qu'on a vu plus haut, étude d'un linéaire, dans le 1er cas, one petu dire que l'on décrit l'objet par
simple copie (appréhension immédiate), alors que, dans le second, on fait intervenir une foule de notionas: zone,
alternance, ceci étant d'ailleurs assez peu complexe puisque pet ^tre réalise assez facilement sur schéma...
...
On ne justifie pas des performances similaires, mais de très bonnes, sur des points particuliers. Ce qui revient,
pour un prix donné, à une forte augmentation de puissance, sous réserve de raisons de construire un moniteur
a/soit un moniteur qui teste le type de problème
b/soit c'est le minimum (?) qui teste lequel du système a mardhé, le 1er et stoppe les autres
Mais objection: jusqu'à nouvel ordre, un système donén en peut accepter un problème que s'il est mis sous une
forme par lui acceptable, d'oùeee, si on exclut une mise en forme manuelle pour chacun des systèmes (on se
rapprocherait de faire faire le travail par n équipes), il fau que chaque système comporte un bloc d'entrée qui lui
permette, à partir de la présentaiton d'un problèume donné, de le transformer.

Théorie de la concurrence

On admet que la dispersion des performances sur un problème donné varie de 1 à 100, et on néglige
provisoirement les tests de réussite.
dix calculateurs
on leur fait faire tous les 10 le travail et, dès que le premier a réussi, on arrête tous les autres. Pendant la durée de
ce calcul, on fait travailler dix calculateurs, mais en moyenne pendant 1/100e du tmeps nécessaire par le plus
grand. Donc, bien que constamment n a 9 calculateurs qui travaillent pour rien, on a qund même multiplié les
performances par 10
...
Effectivement, homme peut assez peu modifier sa structure organique, il peut par contre influer sur sa structure
sociale.
Croissance de la réflexivité devrait amener croissance de la spiritualité. Or ceci ne paraît pas vrai. Il y a par contre
"croissance des valeurs morales".
Il y a plus de croissance de la réflexion sur la vie spirituelle (et encore) que dans la vie spirituelle elle-même.
Loisirs ! Et l'on fait sortir les moines de leurs couvents.
Refus d'un mysticisme qui s'écartait du monde. On admet certaines justifications, mais il faut insertion.
Mais raideur des organismes trop perfectionnés.
Nature personnelle comme structure sociale ne sont pas complètement donnés, chosifiables, problématisables.
Pb des ordinateurs temps/espace, assez théoriqeu, car s'il s'agit d'un développement de puissance pure, un seul
caculateur
àpuissance égale doit pouvoir faire la... pas d'introduction d'élément fondamental nouveau
noter cependant que l'on sait construire des machines perfectionnées et très performantes pour des pb
particuliers. La
décomposition dans l'espace retrouve alors sa justification
Essai de synthèse autour d'un schéma (1966?)

Voir/juger/agir

La réduction sémantique
Comme on l'a vu, les procédés algorithmiques de traitement deviennent rapidement hors d'usage quand le
nombre de bits du stimulus augmente, même en choisissant en tête les opérations les plus probables.
Il faut donc inventer, outre les méthodes heuristiques, des modes de réduction. L'une d'entre elles paraît d'un
intérêt particulier, c'est la réduction sémantique. On ne traitera que les stimuli qui "veulent dire quelque chose"
pour la macine et, bien entendu, on émettra de même.
Le processus a ses applications constantes dans la pratique. Hors l'arithmétique et la comptabilité, qui traitent
des stimuli de longueur indéterminée (à vérifier), et sans réduction, mais suivent des processus assez simples,
tous les processus mentaux font appel à la réduction sémantique, face à un univers et des sens foisonnants.
Les réductions sont d'autant plus considérables que le sens estr plus riche, en particulier la vue. On le
comprendra aisément. sur une matrice quadrillées, de l x h carrés, le nombre de formes possibles est de 2** l.h,
ce qui est rapidement considérable.

Liberté et ordinateur

Introduction.
La machine ne fait que ce qu'on lui dit de faire, alors que l'homme "fait ce qu'il veut". La distinction essentielle
semble donc être la volonté, dont on peut prendre pour définition "tenance consécutive à une prise de
conscience". Donné, valeur.
Elimination provisoire du problème de l'intellect, délicat et se ramenant à la question "conscience", apparemment
insoluble. Mais remplaçons prise de conscience par "résultats d'une certaine analyse des information" et peut
s'expliquer...
Pour exercer cette liberté, la machine doit échapper à certaines nécessités de coercition, c'est à dire être placée
dans un milieu tel qu'elle puisse fonctionner, ou dispose elle-même de moyens d'adapter son milieu.
Homéostase.
(Il faut aussi que sa nature lui permette de poursuivre certains buts, c'est à dire qu'elle puisse disposer de
certains moyens d'information, développés, de logique, et d'action suffisants).
Ces niveaux secondaires admis, on pourra déterminer le degré d'autonomie d'un dispositif par le niveau des fins
qu'il poursuit, en laissant de côté provisoirement la question de savoir s'il est conscient ou non.
A ce niveau, on peut dire que la machine ne cesse de faire des progrès, mais que sur ce plan on peut discerner la
transcendance de l'homme.
- l'homme, animal raisonnable
- il serait essentiel de partir d'une théorie de l'homme
- échelle de respectabilité (à rapprocher aussi de la finalité). L'homme, absolu théorique, mais ps toujours an fait:
les autres hommes, la machine, en théorie O. Mais, en fait, elle représente
a/ la nature pour laquelle on doit avoir un certain respect b/ un certain effort humain respectable
c/ une certaine beauté "en soi" comme oeuvres d'art, etc.
- notion de volonté "inclination suivant une appréhension intellectuelle"
- nécessité de coercition, comme opposée au dynamisme propre.
Autonomie
- par rapport aux intervention extérieures (homéostase)
- par rapport aux prévisibilités (théoriqeus, concrètes-pratique)
- par rapport aux attentes mentales
- le simulateur de Türing
- état de non-équilibre propre à la personne, et qui est la non-obtention de Dieu, avec tention, non simulable (?)
par son debré
- simulations actuelles fragmentaires
- référence au bien et au mal. situation de personnes
- possibilité d'auto-reproduction.
Mesure
- en temps-espace (rayon d'action)
- en mesure d'activité
- en mesure de choix (libre arbitre)
- par "quantité de résistance" (liberté de non-contrainte)
- mesur de la créativité
voir par rapport à choix - aléatoire
incorporer le problème du bien et du mal
- niveau téléologique. niveau de la motivation, homme infini, transcendant, Dieu, exprié par "acte gratuit"
escargot, ordinateur standard
- capacité de changement, d'adaptation
Gagliolo.
- si une machine pensait, elle se suiciderait aussitôt
- problème du compromis dans les faiblesses humaines, petites luttes de puissance, etc
//de Rouvray
- l'ordinateur (les gens qui le servent) prendront les commandes si la boite ne marche pas.

AGIR

AGIR
- processus généraux d'action et technologie
- réception d'instructions d'action, de la part de l'homme, de la part du central
- plan important: les armes et moyens de contrainte - noter les implications très particulières en ce domaine de
l'instruction DELETE, qui va de l'effaceemnt d'un trait de crayon à la peine de mort
- instructions DO, MAKE, BUILD
- instruction de but (finalité)
- en particulier définie par la constitution et les règles normatives qui peuvent présenter un carractère
dynamique: TRY TO
- aspect particulier de l'art.
CENTRAL/MACHINE
- transmission d'informations synthétisées, sur demande, périodique
- réception d'information sur demande, ou sur programme périodique, instructions, compléments de
structuration intenre
- demande d'actione, sur un autre centre (interpol) au plan général (ONU, Otan)
Le droit à l'information
- réception d'ordres spéciaux
d'ordres généraux, mobilisation, orientation de la production
- c'est en principe ici que nous analyserons les liens avec la société
- bien entendu, ces centraux seront reliés dans un système mondial
- problème des reproductions de mémoires importantes et de registres complets
- grande importance du degré de centralisation en raison des associativités différentes
HOMME/MACHINE
Homme: philosophie, mystique, Dieu
Machine: terminal, personnel/de groupe, dictionnaire propre, en fit une certaine catégorie de registre. peut
constiytuer en fait le fichier humain.
De homme vers machine:
Demande de pure consommation
Demande d'autorité sur les autres hommes
De machine vers homme:
commmuniqués personnalisés (selon culture, intérêts, valeur morale, temps), éventuellement sur demande
PUBLISH. (category of Y of reader)
avec règles de culture commune,
sanction contre le criminel, à ce niveau
censure
danger de falsification
- sanction récompense/punition (intellectuelle, consommation, possibilité d'action)
- éventuellement par la contrainte matérielle
- organes d'accès, dico, annuaire
- conséquences sur le langage humain et sa philosophie
- conséquences sociales
- règles de communication (SECRET,... etc.)
Voir/juger/agir vers capteur/monde
- processus de reconnaissance des formes
- d'abstraction, induction/déduction
- on retrouve ici aussi l'instruction général
au plan action
"STRUCTURE IN ... SHAPE AS"
c'est au fond l'instruction la plus générale de la théorie de l'information
au plan pensée
STRUCTURE peut prendre la forme de "STUDY3,
- il s'agit de réunir des faits
- puis de le structurer, la structure elle-même engendrant des faits nouveaux ou poussant à les rechercher
- instuctions SCAN, SURVEY, LOOK AT
par capteurs mobiles SEARCH
Action de la machine sur le monde
- elle est quasi par définition en temps réel, mais il peut y avoir une dissociation par rapport aux demandes
immédiates de consommation
- utilisationdu feed-back très rapides
homéostase par rapport à des environnements très changeants, raffinerie, mohole
ajustement en cas de choc
fusion contrôlée
- problème de la manutention, et de la ligne droite
- problème de la répétitivité, libération de la série
- application aux états "mécanographiques"
- au plan industire: exemple, automobile personnalisée au plan administratif:
La structure économique ne coûterait rien, seulement le temps humain (vers O)
(Auto: Il doit y avoir des solutions puisqu'on a réels pensables, soit le système actuel, soit le wagon individuel.
L'auto dans un autre réseau étant un autre exemple).
- secteurs primaire/secondaire, tertiaire
- "décentralisation" par le robot, analyse du dit
- problèmes difficiles du travail "in situ" et de la manutention
- on peut placer ici la médecine

Dieu

L'homme et la machine, orientation vers Dieu
- libération de temps pour la contemplation
- travaux théologiques
- découverte et connaissance de Dieu au plan du développement interne, conséquences sur l'organisation des
connaissances de la machine (théocentrisme)
- actes religieux de la machine
- nouveux aspects de la consécration du monde
- Dieu de la théodicée/Dieu révélé
- conséquences sur l'agir: normes de la machine
- étude par simulation de l'influence de Dieu sur le comportement moral
- le cas du miracle
Niveaux téléologiques
- vivant non humain, subsitance essentiellement n'est guère dépassé, sinon par "harmonies préétablies", avant
la domestication. L'homme semble être le grand finalisateur de l'univers, et il est évident que sa finalité dépasse
sa subsistance (recherche scientifique, religion quand elle est ce qu'elle doit être)
- donc intérêt de recherches téléologie dans le monde de ce qui entour l'homme
- place de l'aléatoire, du jeu, optimisation
- autonomie de fait, indépendance
- autonomie de droite, liberté reconnue.
A lire l'analyse thomiste, il y a trois niveaux de nécessité: coactio, hypothetica, naturae
Les deux premiers ne posent pas question. Il faut choisir la troisième à un plan suffisamment élevé pour qu'il
reste place à la voluntas ut natura dans le choix des moyens, et établir des procédures de choix à ce niveau.
ex. Portefeuille financier: objectif global, nécessités immédiates, choix dans des valeurs analogues.
ex. jeu d'échecx
...
- dans quels cas faisons-nous réellement du nouveau
- certains le refusent même
- solutions de problèmes pratiques, médicaux (Braille, Newton, Hollerith)
- besoin de créativité pour autres affirmations
- dialectdique (besoins, solutions) problèmes et méthodes générales
- ne ps trop en demander qund même
- la machine devrait toujours être en actdivité à cause de la disproportion constante entre nos besoins et leurs
possibilités de satisfactino
- Asimov a en fait supprimé la question du chômage, si les machines sont si puissantes, à quoi servent les
ingénieurs dont il parle dans la dernière histoire?
Analogie avec l'ingénieur
hypothèses de travail:
- analyse des faits
- expérimentation
- propostion de solution
- mise en oeuvre, rechreche de lois générales de la circulation par induction et développement d'une théorie
générle, c'est à dire mise en mémoire.
- l'invention de l'expérience a été surtout, outre la rigueur logigue, l'infvention de nouveaux "MOVE"
- convergence de la science vers la vie: grosses molécules, autonomie, circuits électroniques, bionique,
miniaturisation, conditons thermique, fragilité de la vie, durée de vie, auto-reproduction
- le problème du "résidu scientifique" différent ou égal au résidu non mécanisé.
L'individu, supposé plus instruit qu'aujourdh'ui, et moins alourdi de connaissances livresques, devait avoir une
très forte conscience de son appartenance à un grand tout, et à certaines parties de ce tout
Il se trouve de gré ou de force lié aux motivtiona de ces appartenances, donc participation et constation de plus
sans possibilité, au niveau le plus élevé, d'une échappatoire possible, à un plan qui est celui des besoins
matériels en gros
reste liberté radicale, et choix des sous-appartenances, par quoi peuvent elles se définir?
- orientaion sur les motivations générales
- orientations divergentes par exemple sur décisions pratiques
exclut en tros répartition des revenus, sinon à des points de vue très élevés.
Attitudes pratiques
Il devrait y avoir un abaissement des barrières de protection personnelles, certaines deviendront inutiles, car
impossibles à tenir.
ex. aujourd'hui, on ne dit pas son salaire, demain, de quelqu'un que l'on connaît tant soit peu, en ayant en
théorie sur l'économie générle, la branche professionnelle à laquelle appartient la personne, sa façon de
s'habiller, la taille de son logepent, le type de sa voiture, son âge, des enfatns, toutes choses qui sont
généralement connues des amis, il sera très facile avec son ordinateur personnel de déterminer ce qu'il gagne.
de même, actuellement, on cache certains de ses caractères psychologiques, mais ces éléments pourront se
trouver demain par l'analyse de quelques réactions seulemnet en utilisation de registre PS de son ordinateur.
Cet abaissement des barrières apportera une plus grande efficacité, mais aussi une vulnérabilité: de même que la
liquidation des microbes nous fait abaisser notre défense, au prix d'une meilleure santé globle.
Cependant, il y aura d'autres barrières très fortes, analogues à la vaccination, résistance à de nouvelles forces.
Ces barrières seront sans doute de type psychologiqeu, avec una ttention plus poussée donnée à la formation
du caractère.
Loisirs
A la différence d'autres civilisations du loisir, relativement inconscientes, ici méhode et techniques puissantes
de contrôle
Plus grand si plus grande liberté par rapport aux nécessités de base ex. contrôle de la natalité, différent du
Malthusianisme
excrétions de la société, voir celles de la cellule, on peut mourir si trop importantes, mais la proportion doit
pouvoir croître avec la taille générale, avec gain de rendement
pied/bicyclette/auto/train/bateau (avion)
...
On rejoint ici un problèume qui devrait devenir des des leitmotiv de la pensée de demain: en devenant maître du
monde, l'homme le transforme à son image. Aux niveaux primitifs, cette transformation est épisodique, partielle:
peinture figurative, expression de la structure sociale par le réseau urbain et routier. Puis, avec la force animale
puis l'ère industrielle, l'homme transfère à la nature certains de ses travaux, mais donc de sa nature même; la
force physique d'abord, puis les petits automatismes (apparaît le papier, objectivation de la fonction "mémoire"),
qui sont du niveau des réflexes musculaires élémentaires, puis des grands systèmes automatisés, cette partie
que l'on peut faire de manière routinière sans faire intervenir de hautes facultés. La ville ggrandit et exprime la
nouvell structure de la société. Avec l'ordinateur commence un transfert plus profond. Ce qui était autrefois
activité vraiment intellectuelle devient travail de machine.
Mais l'ordinateur n'est au départ qu'un germe sporadique. Avec l'interconnexion, le téléprocessing, la machine
commende de représenter la société dans les divers servides d'une entreprise, mais bientôt plus loin, devrait
aller vers une structure de réseau généralisé exprimant assez finement notre structure sociae dans son ensemble,
bien que la structure électronique présente ses caractéristiques propres, de même que le trvail fait par la machine
est autre chose que le travail de l'artisant, et que le transfert de la motricité se fait par la roue, parfaitement
étrangère dans son principe aux mécanismes animaux que nous utilisations naturellemnet.
Parallèlement, les modes de communication avec l'univers matériel évoluent. Il y a un fossé entre le cueilleur
primitif qui arrache le fruit à l'arbre et le technicien qui conduit un processus de raffinage à l'aide de quelques
volants!
Cette évolution continue: on programme, on agit par l'intermédiaire de l'écrit, bientôt de l'oral, qui sont les
moyens même que nous utilisons entre nous. Aur fur et à mesure que nous conformons à nous l'univers, nous
entrons en symbiose avc elui d'une manière plus profonde, moins matérielle, plus mentale. Nous sommes
beaucoup plus "présents" au monde et à lasociété.
Mais cette strucgure, qui devient expression de nous-mêmes, nous détermine pour une large part et deivent
témoin de notre pensée, devient aussi moyen de communication et structure objective. Elle peut servir à l'autre
home pour remonter jusqu'à nous. La symbiose avec la matière implique (de multiples manières, mais avec une
phase dialectique d'opposition) une symbiose de la société.
Nous sommes obligés pour vire, et pour vivrfe bien, c'eset à dire dans les perspectives actuelles, pour avoir un
niveau de vie élevé, d'accepter de participer à ce complexe, en en étant membre, en en étant partie, dont
connassable et largement déterminée par cette appartenance même.
(à revoir plus loin)
La clandestinité, le secret, semble devenir ici plus difficile si le système social est très conscient de soi. Car il
aura vite fait de repérer les anomalies de son évolution et d'en trouver les causes et les auteurs, à moins que
l'adversaire ne dispose de moyens puissants de camouflage et de brouillage, voire d'intoxication de la structure
officielle.
En bref, on ne peut augmenter, sauf le cas de rébellion, son action qu'en augmentant sa participation, et "jouant
le jeu" de la structure et en acceptant ses contraintes. L'exercice de la liberté n'est possible qu'en l'engageant et
en finalemnt, il faudra y revenir, la liberté est bien plus dans l' "assuemr" que dans le "refuser", ou dans le
"rester à part", même si une certaine zone de contestation doit rester tout au moins virtuellement disponible.
Quelle pourra être l'évolution contestation doit rester tout au moins virtuellement disponible.
Quelle pourra être l'évolution
motivation élémentaire plus ou moins disparue
pas celle de se reproduire (plus plaisir de base sans conséquences essentielles)
conquête de l'univers
Il y aura encore à faire avant que les besoins essentiels soient satisfaits/gaspillage épouvantable. A tout le
moins, pour être sûr que tout le monde ait le minimum.
Il n'est pas indispensable qu'il y ait évolution radicale.
Quoiqu'en fait, toujours plus ou moins: empire romain, moyen-age, grêce...
Construction d'un univers plus parfait
implique rentabilité
évoque à coup sûr une mutation vers autre chose
en fait, la plus grande révolution serait peut-être d'avoir un univers stable? implique fatalisme, suppose un
certain optimum
Chine ancienne/monde stable implique cyclisme, ramène à Chine Ancienne
renoncement à modifier le monde
quasi-impensable en fait dans perspective chrétienne. Ou alors il y a aura eu mutation, ou alors il y encore
évolution.
Mais l'évolution va dans le sens d'une évolution plus rapide, donc, si pas mutation, on aura un monde en
évolution hyper-rapide.
Il faut donc réfléchir à ce que sera cet univers, et ne pas le concevoir de manière stable.
A ce moment, la vitesse affectera tout. Le monde que l'on connaît à 20 ans sera très différent 5 ans après.
Resistance de l'homme à la mutation, au changemnet... noer la plus grande résistance à l'information aujourd'hui:
sentiment de vie, pas concernés
dans le vie concrète, obsolescence des matériels, du savoir.
situation matérielle du voyage quasi-permnente
fin de l'urbanisme en tant que structure stable, mais seulement comme infrastructure d'un vaste mouvement
persistance de caractères psycholgoques de l'homme: temps d'apprentissage, relations humaines. Il faut des
années pour se faire un mai... vie conjugale, famille.
amis: peut être raccourci; avec bonnes méthodes de connaissance
durée du plaisir, table, lit
psychanalyse, et surveillance médicale, degré croissant, vie avec un cerveau qui contrôle constamment un
certain nombrfe de paramètres plus ou moins complexes.
dans une certaine mesure, à quoi sert l'intimité actuelle. lest protections prises seront essntiellement, car les
autres peuvent avoir une certaine curiosité gênante pour nous. et pourquoi gênante?
La part des biens donnés gratuitement devrait augmenter, ne serait-ce que pour faire l'économie de nombreux
clculs et la simplification des comptes
ex. transports
p.e. nourriture/veêtement
parapplèle avec synapsifier de ?
Créativité:
-monde complexe, hyper-organisé/plus ordinateur en évolution rapide
-il faudra constamment avoir des idées pour s'adapter, modifier le monde
- cependant, du fait de l'interactdion totale, il faudra étudier de près les modifications, du moins connaître des
moyens subtils de classification, à l'intérieur de quoi on puisse travailler (zones), cez zones étant sans doute
eles-mêmes en évlution.
implique travail d'équipe, utilisation de ordinateur
implique restriction de l'initiative privée
en parallèle, croissance actuelle aux multiples permis
Il faut un permis de conduire, qui n'était pas nécessaire quand on marchait à pied/permis de construire/permis de
faire des enftns...!
il faudra une vérification permanente de la cohérence avec les plans généraux de l'humanité, l'ordinateur étant le
seul moyen suffisammnet efficace. Ici encore, rôle du poste individuel, apportant une liberation de l'esprit,
possibilité de constestaiont.
(parallèle avec assurances)
La quantité d'énergie par personne sera évidemment très grande, voire virtuellement illimitée, mais quant aux
règles d'usge... il y aura deux types de "consommation":
. la consommation personnelle, destruction, pouvoir d'achat
. la consommation à caractère d'investissement, pouvoir économique
Système d'optimisation de la diffusion de l'information
Deux phases: éducation/vie active
éducation: culture générale, vie personnelle, information désintéressée
vie active: connaissances pratiques, information d'action
Dose de liberté:
1/ parties connues du fait d'appartenance ou de participation à une entreprsise. caractère non l. de cette
information
2/ recherche faite personnellemnet, pour contestation de l'information automattique, pr exemple, ou désir de se
cultirver, information sur les autres hommes, alimenter la méditation etc.
c/retour sur démocratie
possibilité de délégation à un individu, même seulement sur points partiels, ou a plusieurs selon branches
auquel cas, droit de se faire communiquer les partis qu'il a pris.
Le problèmes est de connaître la psychologie d'un homme conscient d'être dans une structure optimisée et, au
moins partiellement, en dehors de lui
contestation de cette optimisation, car on ne fait pas d'omelettes sans casser d'oeufs
liberté basique de choisir cette optimisation ou non. filière de participation et d'opposition mais aussi liberté de
contestation à des plans plus élevés, certaines reconnaissances, d'autres non le prix de la liberté qui peut peut
être se mesurer en partie par ex. nécessité d'un minimum d'espace si liberté de se déplacer. Degré
d'insonorisation si bliberté de faire du bruit.
Mesur de la non contestation avec ses inconvénients (redondance) si liberté, concurrence
On peut peut-être refuser la liberté de détruire, mais pas celle de construire moins ou pas du tout.
Contrôle des chèques aux U.S.
Que peut-on dire de l'évolution de cette mesure
- tout d'abord, pour un individu donné, la somme ne peut dépasser un certain total, fonction de sa mentalité, de
ses aptitudes
- même pour un même tyupe de relation: conjugale par exemple, le coefficient peut varier d'un couple à l'autre
- par ailleurs, une croissance de la somme
. entraîne une augmentation du temps consacré aux relations
. dans certains cas, amène à l'utilisation de moyens matériels, carnet d'adresses, de téléphone, fichier familial
. si ordinateur, peut donner moyens plus puissants, évitant une large perte de temps à mettre en mémoire,
préparation plus poussée des rencontres par relecture de dossier
. mais, à l'opposé, introduit un élément tiers qui peut avoir ses inconvénients, classement des gens, etc.
techniques psychologiques, physiognomonie par exemple, caractérologie, etc.
- implique, dans une certaine mesure, plus grande complexité des décisions de chacun. Pour mes choix
professionnels, je dois tenir compte de ma situation de famille, et réciproquement.
noter usure de certains moyens, cartes de voeux par exemple
- aussi important de connaître la dérivée dans 20 ans que la valeur absolue
- de plus, il ne s'agit pas d'un pur mouvement, bien qu'il y en ait aussi (démographie, par exemple), mais d'une
structuration
- en particulier, il faudrait étudier l'évolution du nombre de personnes avec qui on est en realtion, ou plus
exactement, du fait qu'il y a toujours la relation minimale de connaissance indirecte: les Chinois, et jamais une
connaissance totale: ma femme. Il faut déterminer un "coefficient de relation" et totaliser sur l'ensemble de
l'humanité
- distingeur divers niveaux
. connaissance de principe
. connaissance vague ou fonctionnelle (mon voisin du dessus, le directeur de telle société)
. connaissance nommée (untel, avec tête mettable, ou sans).
Mais niveau simple ex. Tattevin pour moi.
relations personnelles: lointaines, Laleuf
relations plus approfondies
avecun maximum dans amis et famille
. les coefficients pensables de 0 à 100,
D. Ceci rend difficile une optimisation de la diffusion de l'information.
Par ailleurs, l'appartenance impliquait une certaine localisation
L'analyse de la relation d'appartenance est au fond très générale (Bourbaki) mais plus particulièremnet dans la
mesure où elle est ressentie, conscience
actuellemnet, deux essentielles: l'entreprise et le chez soi.
avec perte de temps consécutive, la distance augmentant.
Les nouveslles technologies apportent par exemple recentrement sur le lieu familial, qui implique nécessairement
la vie dans un même univers matériel.
Il serait par exemple souhaitable de "mobiliser" l'univers familial, la roulotte américaine: appartements standard.
Intérieurs transportables d'un point à un autre.
- mauvaise tendance d'un urbanisme fixiste. Il n'y a pas de structures stables
échanges d'appartements très difficiles. suppression du droit à la propriété d'un lieu
stabilité minimale du cadre familial, d'un certain volume.
...
Ne pas oublier les phénomènes de relaxation, par exemple la diffusion de l'information: les points forts ne
doivent pas venir à la suite sans "sauce", autrement c'est illisible
Ré-apprentissage d'un rythme de lecture.
Différent de la méditation, qui est rapprochement de ce qu'on lit à toute un système mental qu lieu seulement de
"compréhension" aisément et à demi-mot
- noter l'effort certain de revues comme Computers and Automation, avec abréviatgions, bons articles, etc.
Dans les relations professionnelles, perte de temps plus faible, car je parle à des professionnels qui ont le même
lngage, nous savons en gros ce que nous avons à nous dire dans les relations familiales, il y a un peu de cela
aussi
Noter
relation entre le fait de l'appartenance et un certain caractère des échanges d'informtion. Il y a une certine notion
de sous-entendu supposés préalablement à la connaissance.
Noter aussi le caractère de plus en plus nombreux des appartenances. Autrefois, il y avait quasiment une
hiérarchie unique basée sur un groupe familial qui était à la fois unité économique, sociologique, religieuse,
mentalité, histoire, avec des structures y ressemblant assez au niveaux supérieurs
Maintenant, il y a au moins deux appartenances: la famille et la profession.
Les appartenances religieuses et politiques restant assez largement familiales, mais avec mise en question même
sur ces oints. Le niveau culturel peut sensiblement varier d'un membre d'une famille à l'aure, et bien entendu
dans l'entreprise.
Dans la vie actuele, certaines informations sont reçues obligatoirement: instruction, publicité, téléphone, notes
de service. Le loi eest censée connue de tous. Le minimum perçu dans l'entourage: Je suis obligé de voir qu'il y a
une voiture garée devant ma fenêtre. qu'il y a un type qui klaxonne à minuit, que ma femme n'est pas contente,
que mon fils a mal aux dents.
Mais je peux choisir: les livres que je lis, les personnes que je rencontre (plus ou moins).
Sentiment présent d'une difficulté de s'informer dans quelle mesure
- on ne peut pas rencontrer tout le monde, du moins tous ceux que l'on voudrait
- tout n'est pas publié
- les livres coûtent cher
- les revues aussi, mis encore quand on les as on n'est pas également intéressé par tout ce qu'elles contiennent
- par ailleurs, al forme présente d'écriture et de rédaction paraît souvent lourde, redondante, destinée à un public
plus large, et je dois perdre mon temps à fouiller pour trouver les quelques éléments esentiels que je recherche
je ne trouve pas un moyen de m'informer
...
Un nombre d'hommes croissant
chacun d'entre eux représente une finalité absolue
système de l'entreprise (système du monde)
par opposition à un homme
opposition à juxtaposition (nations, provinces, familles)
un certain nombre de besoins classbles (motivation)
. matériels, basiques
. mentaux
. spirituels
un certain nombre de moyens d'action
. physique, entrées/sorties
. capacité de traitemnet de l'informatino
. plus la conscience
autour, un univerts, des realtions, liberté
mouvement, sans terme défini
éducation
ne peut avoir connaissance et maîtrise de lui-même et du mande que par l'intermédiaire d'un outil
l'outil lui-même excède ses capacités, ne peut être connu et utilisé qu'avec une large paricipation d el'outil
lui-même
augementation de la distance au "réel de base"
phase corporelle (homéostase, station debout)
phase instrumentale (outil, culture)
- habitudes mentales venant de la recherche opérationnele, CPM(?) etc.
: optimisation en tenant compte d'un grand nombre de variables
philosophie de synthèse, idée de l'univers
le niveau de réflexe
optimisation du système général de l'humanité: l'objectif peut difficilement être fixé en dehors d'une idéologie, et
seules devraient subsister celles qui sauront faire face à ce problème
Le catholicisme semble en bonne position... l'American way of life
...
un nouvel alphabétisme
formation à de nouvelles structures mathématiques beaucoup plus importantes que la géométrie "physique" et
l'algèbre
classique, présente d'ailleurs des inconvénients d'un certain irréalismae de la 1e face aux prlbèmes atomiques et
la seconde dans une certaine perte de la faculté de raisonnemnet.
formation dès le plus jeune âge aux activités sociales
modification du rythme de vie
...
valorisation d'informations jusqu'à présent inutilisables (traces, villages disparus, photo aérienne, logométrie).

Le régime de la loi

Présentation
- programmation faite en une fois (avec de très légères "altérations" possibles seulemnt si elles ont été prévues
à l'avance
- consultation pratiquemnet impossible, la masse est informations... séquentiel
Très lourds inconvénients:
- bêtise de la machine
- difficulté de correction des erreurs
- la loi talmudique, "pharisaïque"
- l'exemple scientifique, essai d'expression scientifique
- difficulté de programmation
1. La machine vit sous le régime de la loi
exemple. loi talmudique, science
démonstratino
essai d'expression scientifique
les fautes selon la loi
la dégénérescence "balistique"
inconvénients concrets
la responsabilité, aptitude à répondre, causalité
difficulté de programmation
structure de la machine
loi mathématique
le compilateur
le modèle du monde (retour au pb de la loi)
2. La réponse est le dialouge
3. Problèmes à plus long tereme
- maîtrise de la civilisation des loisirs
- compréhension et contrôle des mécanismes
- création d'un langage nouvau pour l'homme (l'ordinogramme)
- dissociation du langage d'accès et du langage machine
Asimov, éventuellement Higon

Erreur/Responsabilité

... Un texte incomplet. réponse à une lette de je ne sais qui.
La machine doit bien se tromper de temps en temps, à mon avis, et cela est arrivé chez nous. Mais évidemment la
probabilité la plus forte d'erreur est certainement chez les prorammmeur, qui manipule au fond des idées plus
complexes, qui conçoit, penant que la machine galope avec des conditions d'auto-contrôle qui la rendent très
sûre. Je peux t'e dire que quand je fais des additions avec ma petite machine de bureau, je me dis toujours aussi
que moi qui me suis trompé, et c'est le dax (J'ai eu, depuis 5 ans à la Compagnie, deux fois seulemnet dans e
service, des machines qui ont débloqué).
La question de la responsabilité est un peu différente. si on admet qu'elle est faillible, on pourra dire par
extension, en cas d'erreur ayant des conséquances graves, que la machine a été responsble, comme on l'a dit par
exemple du radar pour certains collisions maritimes où, pourtant, les coupables étient plutôt des capitaines
imprudents. Si on ne fait pas passer la machine en cour d'assies, on pourra tout de même décier qu'elle a fait son
temps, et la mettre à la casse. La similitude avec le procèspourra être augmentée si la machine elle-même est
utilisée pour détecter et trouver la source des erreurs commises: cela revient, par analogie, à la mettre au banc
des accusés. On pourra ensuite rechercher les responsabilités humaines qui ont engendré cette erreur (mauvais
entretien, mauvaise programmation).
Quant à dire que l'électronique constitue un fait radicalement nouveau, d'accord, et il est difficile de rechercher
dans l'histoire des faits qui puissnt nous aider à résoudre les problèems qu'elle pose.
On me dit souvent, à la suite de mon article, que la machine créer plus d'emplois qu'elle n'en suppprime et que le
chômage est donc impossible, que bien au contraire nous sommes de plus en plus débordés par une fgoule
d'activités, et que c'est plutôt le surmenage qui serait à craindre.
Peut-être. mais l'électronique, par son caractèred'automatisation radicale, pourrait bien agir en sens contraire...
Dans une certaine mesure, il nous appartient, collectivemnet, de décider si nous voulons ou non une
civilisqtion des loisirs. Les options de nos plans de développement, quinquennaux ouj non, en décideront.
Il faut choisir entre le repos et l'abondance des biens de consommation (*10/92: la situation s'inverse: pour
maximiser les biens de consommation, il faudra sans doute arrêter de déranger les machiens qui les produisent),
du moins entre l'accent mis sur l'un ou sur l'autre. Il y a aussi les services, certains étant automatisables, d'autres
peut-être aussi, mais de moins en moins facilement, quand les services prennent un caractère humain de plus en
plus marqué, à la limite pas du tout, quand le service à rendre est essentiellemnet une compréhension humaine,
la visite à uen pesonne seule, par exemple.
Par ailleurs, l'aide aux pays sous-développés et l'expansion démographique suffiront à absorver une bonen
partie de l'accroissemnet de producivité. Dans la mesure où le conrôle des naissances est possible, il ay a là
aussi un moyen de se donner plus ou moins de loisirs, les entants étant une charge très lourde et leur éducation
tant peu automatisable.
Enfin, l'importance de l'effort de recherdhe et de conquête de l'espace peut être lui aussi mesuré et servir à
déterminer la quantité de loisirs que l'on veut donner à l'humanité.
Eu un mot, nous aurons la civilisation des loisir si nous le voulons. C'est assez réconfortant, à conditoin que les
structures de décision collectives fonctionnent de façon satisfaisante et que les électeurz puissent choisir en
connaissance de cause.
On cherche à se rassurer en se disant que tous les mécanismes sont compréhensibles. Et c'est exact, et on peut
penser qu'ils le resteront encore un certain temps. Cependant, si l'on sait faire des machiens améliorant
elles-mêmes leurs programmes (software) ou arrivera (c'est déjà commencé) à utiliser la machine elle-même pour
améliorer ses circuits ou construire ceux d'une machine plus perfectionnée.
Le degré de complexité pourrait finir par nous dépasser. C'est cependant une hypothèse assez gratuite pour le
moment. Mais, dès à présent, les circuits de la machine ne sont compréhensibles que par une petite minorité de
spécialistes, globalement seulemnt par les utilisateurs et pas du tout pour le vulgaire. Il y a là une source de
dangers.
D'autre part, il faut distinguer le compréhensible et le contrôlable. Tant que la machine ne traite que de
l'inforamtion et de sort que des informations sous dorme de langage, le danger n'est pas trop grand, bien que la
mauvaise compréhension d'une statistique puisse conduire à des décisions fausses ou dangereuses. Par contre,
là où la machine commande des dispostifis d'action réels, le danger est plus sensible. On cite le cas d'une
fabrique de bière anglaise qui a laisse partir aux zgôuts un million de litres de bière, l'ordinateur ayant décidé, on
ne sait pourquoi, que ce type de bière n'étiat plus demandé par les consommageurs. Le danger est encore plus
grand quand la machine contrôle des armes, nucléaires ou non. Et c'est déjà le cas! Evidemment, certaines
mesures de précaution sonr prises, mais non infaillibles.
je pense donc que la compréhension des mécanismes de base ne peut suffire à nous tranquiliser, et qui'l ne peut
être qu'estion d'ailleurs de^tre toute à fait tranquilles. L'appel à l'automation est une source certaine de riqeus. Le
jeu en vaut la chandelle, mais il ne faut pas se faire d'illusions, on ne fait pas d'omelettes sans casser d'oeurs.
L'indépendance de la mchinee n'est pas, et est de moins enmoins, subjective.
Vient ensuite dans ta lettre une phrase extrêmement précieuse, et qui me donne beaucoup à réfléchir: la
sémantique d'une question dégénère avec le nombre d'instructions qu'elle génère (ta phrase était plus
euphonique que la mienne, d'ailleruss). Je connais mal le contenu de la notion de sémantique. Atrement dit (si je
comprends bien), plus une question est complexe, maoins ou peut être sûr de bien comprendre la réponse.
Dans le domaine normal, on peut trouver des analogies. Si je demande à un employé de faire tel travail,
relativement simple, très bien défini, et ne demandant aucune initiative de sa part, et s'il est consciencieux, je
peux être sûr de ce qu'il me donne, et je peux d'ailleurs le vérifier assez aisément par sondage ou par
recoupement.
Mais si je lui confie une tâche plus générale, s'exprimant petu-être ent très peu de mots, exigeant de sa part
réflexion, adaptation initiative, je sui obligé de lui "faire confiance", je ne peux plus tout véfirifer, et il s peut qui'l
se fasse de son travail une idée un peu différente de ce que je voulais.
Allons plus haut. Quant un Directeur confie à un cadre une certainefonction hiérarchie, avec des
responsabilités, cette tâche devient un peu la "chose" de ce cadre, qui la traitera comme il l'entendra (dans une
certaine mesure), et dont la personnalité aura une influcence certaine sur la qualité et les résulats même de son
travail et de celui de son personnel. Ce cadre et son équipe seront devenus une aprte relativemnte autonome de
l'entreprise.
le Directeur pourra donner des corrections d'orientation, ajuster ses directives. Il ne pourra être le maître absolu
et, si le travail ne lui convient vraiment pas, il lui restera à remplacer ce cadre, sans pouvoir pour autant
reprendre le travail déjà fait. Bref, l'autonomie de ce cadre est telle qu'il échappe largement à ses supérieurs, qu'il
devient partie prenance des responsabilités de l'entreprise, qu'il y a une réelle délégation de pouvoirs.
L'entreprise ne peut plus être considérée comme monolithique, mais comme une communuté de personnesl où
se créent et subsistent tensions, incertitudes, où une marge d'erreurs, de divergences, est inévitable.
On aurait un mouvement analogue avec le développement de la machine. Plus il y a de disproportion entre la
quantité d'insructions que je lui donne (instructions au sens large) et le travail qu'elle exécute (nombre
d'instructions au sens technologique), plus elle se comporte comme un être autonome,
plus il y a délégation de responsabilité. Cette disproportion pourrait s'exprimer sous forme d'un rapport simple:
instructions données/ quantité d'information représentée par le travail réel. Mais il faudrait sans doute préciser.
On peut d'ailleurs certainement démontrer que, pour que le nombre d'instructions générées par un ordre ou une
question soit supérieur à 1, il faut que la machine ait, dans sa structure ou dans ses mémoires, "quelque chose",
une certaine quantité d'inforamtion préalable à cet ordre. Le cas est bien clair quand on utilise des langages de
programmation, où il faut ajouter à la structure de la machine un compilateur adéquat. Au fur et à mesure que
ces langages se développeront, et utiliseront des instructions deplus en plus larges, ces compilateurs se
développeront jusqu'à donner une certaine personnalité à lamachine.
On peut d'ailleurs imaginer une machine ayant à la base une culture générale" équivalente à celle d'un certain
niveau de culture, lui permettant de comprendre directemnet le genre d'instructions qu'on donne à un
subordonné. Il est vai que cela suppose une mémoire d'accus suffisamment rapide de taille considérable, et
notre technologie présnte ne le permet guère, mais enfin cela ne paraît pas impensable jsuqu'à un certain niveau.
la strucgure d'une telle machine et, en particulier, l'organisation de sa mémoire, lui donnerait sans doute un
certain type de réactions assez semblables aux caractéristiques d'une "mentalité".
A la limite, splendide, il y a l'appel de Dieu à l'homme, qui peut se résumer par un seul ordre: tu m'aimeras. Cet
ordre entraîne une quasi-infinité de réponses partielles de la part de l'homme, toute une vie. l'expérience du
péché originel a montré en effet qu'il y a une dégénérescence! Encore faudrait-il disginguer le péché qui a en lui
même des caractrères spécifiques de refus volontaire, à ne pas confondre avec la simple imperfection ou
défaillance.
C'est peut-être pour faire face à cette disproportion entre l'ordre trop simple et l'application indéfinie que l'home
a cherché à codifier, sous l'inspiration de Dieu d'ailleurs, la loi divine, ce qui consiste à compliquer le programme
pour le rendre plus proche du code "machine", de cette machine qu'est un peu l'homme.
Mais ceci ne suffit ps, et la Loi tue, comme Saint Paul le dit, autrement dit le programme détaillé finit toujours par
diverger de l'intention première. Or la machine semble faite pour vivre sous la loi et, autant qu'on puisse le
penser, ne peut pas se référer, comme nous par la grâce, à l'esprit qui vivivie. elle ne peut d'ailleurs pas,
normalemnet, aller contre la loi, etn tous cas "volontaireemnt", et ne peut donc pécher au sens propre.
Cette dégénérescende de la loi face à l'appel concret de Dieu ou de l'autre dans la réalité peut trouver deux
exemples connus.
1/ La dégénérescence talmudique, c'est àd ire l'effort finalemnet stérile fait pour adapter une loi finie à toutes les
situations de l'existence. C'est le problème des pharisiens qui, à force de gloser sur les commandements de Dieu
tels qu'exprimés dns la Torah, finissaient par rendre la vie impossible et l'amour réel de Dieu encore plus. Assez
curieusement, la dégénérescence casuistique du XVIIeme sicèle aboutissait à ces conclusions inverses.
2/ La limite d'application des lois physiques. On donne d'agord une expression très simple, comme la loi de
Mariotte, disant qu'une certaine quantité de gaz enfermée voit sa pression augmenter en proportion de la
diminution de son volume. Puis on s'aperçoit qu'il faut introduire toute sortes de corrections pour appréhender
la ralité, seuls des gaz "parfaits" (construction de l'esprit) obéissant à la loi... puis les nouveles formulations
apparaissent encore insuffisantes, etc. (Un phénomène équivalent se produit avec les systèmes philosophiques
trop logiques et trop peu vécus.
L'exemple scientifique est de loin le meileur, car dans la science moderne, appuyée sur les mathématiques, la
logique est aussi rigoureuse qu'au sein d'un ordinateur (note: il n'y pas à "interpréter", question à voir); alors
que dans les domaines moraux et philosophiques (non sans rapport entre eux), les mots ne peuvent jamais avoir
un sens parfaitement défini, car aucune définition de l'amour, par exemple, ne pourra épuiser la réalité de l'amour.
Et toute construction logique sur cette définition est à la merci d'un aspect non vu par la définition et venant
rndre aberrant le résultats des déductions. Ceci rend impossible la construction d'un système philosophique
intégralemnet logique.
Le péché de l'ordinateur est donc tout autre chose que celui de l'homme. L'homme en effet pêche souvent par
inobservation de la loi( morale ou juridique), alors que la machine ne peut pécher contre la loi que
"inadvertance", si l'on peut dire, ce qui n'est pas moralement coupable.
On retrouve là, sans doute, la différence entre l'esprit et la matière. la vie morale se situe dans un monde de
relations de esonnes et ces relations, utilisant de fait des moyens (paroles, ction), sont de soi transcendantes à
ces moyens. Dans une ertaine mesure, ces moyens apparaissent parfois comme un frein ouloureux, là où ils se
révèlent incapables à nous assurer le contact. Ou ils sont une séparation.
Dans la pratique, que signifie ce péché originel? Le but que ous assignons à la machine est
1. de nous aider à traiter des informations complexes
2. de nous libérer de travaux sans intérêt pour nous ermettre de nous consacrer à des tâches plus nombes.
Peut-^'tre eut-on trouer des lumières dans les prédécesseurs de 'électronique, c'est à dire pour la 1e câche, les
machines omptables et les cartes perforées, la machine "automatique"
classieu pour la deuxième tâche.
Peut-on dire des cartes perforées qu'elles ont entraîné une égénérescence par rapport aux intentions premières?
De toutes façons, on peut penser que le remède à cette égénérescence est le dialogue et, de fait, cette recherche
est ou-jacente à diverses recherches actuelles. Elle inspire pour ne part les programmes de jeu (échecs, dames,
voir Newell, Shaw and Simon). Elle est à l'origine de la construction des
compilateurs permettant d'utiliser des langages plus maniables, plus proches de nos habitudes que le langage
machine.
Le Cobol, en particulier, s'écrit presque intégralement en langage ordinaire, malgré une colleciton de restricions
ans rapport avec nos exigences propres. L'effort fait pour le rendre lisible a d'ailleurs pour conséquecne de le
renvre verbeux (thèse). Un langage comme l'Algol, conçu pour les mathématiciens, est nettement plus bref et
plus maniable pour un scientifique habitué à manipuler des équations.
Jusqu'à présent, les limites de puissance des machines et leur prix exorbinatnt rendaient le dialogue très difficile.
Pour dialoguer, il faut un échange de questions de de réponses (non seulement d'ordre intellectuel, mais aussi
d'ordre affectif, et on cherche aussi à développer pour la machine, un équivalent du couple
récompense/punition, qui est essentiel à nos relations interpersonnelles). Le prix de la machine oblige à bloquer
cet échange en blocs importants. Le programme est établi en entier, passé une fois en machine.
En règle générale, la machine ne comprend pas bien "du premier coup", ou plus exactement, le programmeur ne
s'explique jamais de manière absolument correcte dans son premier jet, aussi, après un premier passage "test", le
programme est rectifié (debugged) avant de le lancer pour de bon.
Les résultats obtenus sont ensuite longuement analysés, la machine étant libérée pendant ce temps, puis un
programme nouveau est mis en route pour permettre d'aller plus loin. C'est un peu la situation de personnes qui
ne peuvent communiquer que par la poste, et doivent de plus chiffrer leurs messges. Méthode non sans
efficacité, qui a l'avantage de "laisser des traces" et, dans le cas présent, de réduire au maximum le
temps-machine.

Dialogue

(réponse par le dialogue
recherche en ce sens
. learning machines
. les jeux
. les langages de programmation
le procédé actuel est balistique, raisons
. il faut arriver au contrôle permanent
. exemple opposé des machines en temps réel
introduction de la multi-programmation
de la mémoire de masse
programmation en temps réel
multiplication des voies d'accès
implique une augmentation de la puissance de la machine
utilisation de l'analogique
Conclusion partielle: possibilité de la commande permanente
le contrôle (compréhension, contrôle)
problème de la santé mentale de l'individu
de la hiérarchie des finalités
des hiérarchies sociales
de la communicatione t du secret
Remarque
finalité de la machine, finalité de l'opérateur (limites encore))