Warren Buffet. Symbole du capital old style.
« Je n'investis que dans ce que je comprends. »
« Il y a une lutte des classes aux Etats-Unis, évidemment, mais c'est ma classe, la classe des riches qui a mène la lutte. Et nous sommes en train de gagner. »
Bravo Pierre pour ta contribution aux EG socialistes.
« La théorie se change, elle aussi, en force matérielle, dès qu'elle saisit les masses. » KM
@+, Dom
Le progrès au servide de l'homme. La Nef, dec. 1955animé par Francis Raison
Il existe, en France et ailleurs, des millions de petits hommes en plein désarroi qui ne parviennent pas à prendre la mesure d'un prorgrès tro rapide. Dans cet univers qui leur est offert, ils déambulent commee des autoamtes...
Un chapitre sur l'avenir de l'autoamtion (Jean-Gilbert Dumont)
font valoir que la machine, après avoir remplacé l'énergie musculaire de l'homme, est en bon chemin de se substituer à son appareil sensoriel et à ses facultés les plus subtiles.
... Il y a une différence cruciale entre l'homme et la machine, c'est que le cerveau électronique exerces son jugement sur une seule voie, n'exécute qu'une seule opération à la fois, tandis que l'homme analyse et juge sur plusieurs plans simulatanés... ... il coûte bien moins cher d'engager un mécanicien doté de jugement (Hurd, IBM).
L'automation s'annonce déjà comme une grande niveleuse sociale, une ennimie des excès, une banalisatrice effrénée... Elle affermira sans nul doute la positio du syndicalisme et du socialisme coopératif.
... si la puissance économique s'accumulait au profit de certaines fortunes...
L'ouvreir de l'avenir trouvera le temps d'écrire des romans, de brevetger un invetion ou d'effectuer une prise de conscience
Certes il restera encore à rsoudre l'angoissant problème des ressources alimentaires.
Le plein emploi , par Gabriel ARdat
Accélération du progrès et frein des institutions, par Robert Buron
Les robots, enjeux économiques et sociaux, la documentaiotn fçrnace, Joël Le Quément. 1981
Domination du travail 105
- Je ne suis pas sûr qu'il y a une solution
- S'il y en aune, elle ne peut être que mondiale
- Le Monde n'en prend pas le chemin... à moins que ...
En laissant de côté tes injures et tes affirmations erronées (où as-tu vu que je faisais l’impasse sur Dassault ? Dans diccan, il est présent aussi bien que Autodesk, avec un peu moins de lignes car il est moins présent dans le domaine artistique qui est la spécialité de diccan).
Il y a certes de belles choses dans la conférnce de Charlès. Et je te remercie de me l’avoir fait connaître, car elle me donne à à réfléchir sur l’état d’esprit de nos dirigeants et le genre de discours qu’ils prononcent ou écoutent. Notamment sur deux points :
- 1. Si tu remplaces 3D par RV, tu retrouves exactement le genre de discours qu’on entendait il y a 25 ans, avec les journées de Montpellier, la reconstitution de Cluny en réaité augmentée (1992). Et mon conceCpt d’hypermonde. Mais as-tu lu mon bouquin, ou au moins le chapitre sur le marché ?
Apparemment, ni Charlès ni son auditoire ne le savent ou ne veulent le savoir. Ils s’enivrent de visons euphorisantes de l’avenir, alors que la réalité (chômage, guerres, terrorisme, marchandisation de l’humain (pour reprendre le slogan intelligent de la LMFT) s’avère bien différente de ces lendemains qui nous ont fait chaner.
Accessoirement, les grands cantiques actuels sur les charmes de l’impression 3D donnent de grandes déceptions à ceux qui essaient vraiment de s’en servir.
Si Charlès était un “jeune des banlieues”, je le trouverais naïf. Etant le patron de Dassault Systèmes, dont la Défense est un des principaux clients, je pense qu’il est cynique. Ou qu’il a le cerveau bien lavé par son patron Serge Dassault.
- 2. Le fait qu’il ne fasse aucune allusion à ses équipes, aux travailleurs de chez Dassault ou au sort du personnel de RTT qu’il est fier d’avoir acheté récemment, me choque encore plus que son ignorance affichée du passé.
Sans avoir fait d’enquêtes particulières, j’ai plusieurs raisons de penser que le sort des salariés de Dassault n’est pas enviable.
Ici encore, on est à fond dans la marchandisation de l’humain, en l’occurrence du travailleur, réduit par les logiciels CMS à l’état de pions sur des écrans manipulés par des cadres qui sont eux-même des pions pour le haut de la hiérarchie, qui s’en met plein les poches et gaspille l’argent dans des yachts de grand luxe et des résidences royales dans des paradis fiscaux.
L’humain n’est pas une marchandise. Fais le savoir à ton ami Charlès