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Comptabilité

   ENTREPRISE\IGFINA.HTM

MIS

Lorsque nous parlons de système informatique intégré de gestion, nous entendons une combinaison très structurée de personnes, d'installations et de machines qui assurent le stockage, le traitement et l'extraction de données, leur transmission et leur visualisation, pour répondre aux besoins de preneurs de décisions situés à tous les niveaus de la hiérarchie de l'entreprise. Hershner Gros, avant 1969. Cf Blumenthal 63

Un SIG 'système d'information de gestion) comprend un grand nombe de sous-systèmes individuels qu'on peut classer en trois catégories:

- système opérationnel de gestion

- sytème de reportage aux dirigeants

- sytème d'aide à la prise de décision opérationnelle.

Stanford Research Institute, 1970. Cité par Hurtubise, Deloche de Noyelle.

Top management, CEO

   ENTREPRISE\IGDIRG.HTM

CIO

Le métier, c'est ce qu'on sait répéter efficacement
Le SIG, répétition des opératins de gestion. la chaine
L'informatique n'est pas le métier de l'entreprise, pas stratégique (Wiseman bien mort)

Les autres n'ont pas intérêt. Laisser les autres désorganisésréutiliser mieux qu'eux

le DSI voudrait fluidité à l'extérieur : des composants souples dans ses mains, dans une architecture

éventuoement: plus ou moins filialisation pour rapports rationnels à l'intérieur et allongemnt des séries en vendant à l'extérieur

le DSI est au service d'un concentrateur (Gle des eaaux) en coo-pétition avec les autres concentratenrsu notamment ses fournisseurs (MS, IBM), qui n'ont pas intérêt à le laisser, lui, concentrer,

le PDG n'est pas (pas toujours en tous cas) un père our sen entreprsie. Il y a des phases, des configurations stratégiques très différentes :

-conquète : Drouot, Pauly, Axa

- autonomi/défense

- vendre, alléger

MIS
Lorsque nous parlons de système informatique intégré de gestion, nous entendons une combinaison très structurée de personnes, d'installations et de machines qui assurent le stockage, le traitement et l'extraction de données, leur transmission et leur visualisation, pour répondre aux besoins de preneurs de décisions situés à tous les niveaus de la hiérarchie de l'entreprise. Hershner Gros, avant 1969. Cf Blumenthal 63

Un SIG 'système d'information de gestion) comprend un grand nombe de sous-systèmes individuels qu'on peut classer en trois catégories:
- système opérationnel de gestion
- sytème de reportage aux dirigeants
- sytème d'aide à la prise de décision opérationnelle.
Stanford Research Institute, 1970. Cité par Hurtubise, Deloche de Noyelle.

REUTILISATION
REUTILISATION ET MODELE ECONOMIQUE
(suite à l'interview de Lapassat, je pense)

1. Origines et niveaux de la réutilisation
1.1. Dans la nature
Chez l'homme
Dans les machines
- architecture, der éseau
- base
- langags
machine de von neumann

le bit
ordinateur universel

politique
free
standards


La réutilisation joue différemment selon que utilsiée
sur
données, orpvmrammes, images, didacticiesl, décision

1.2. MOYENS DE REUTILISATION

la copie. imprimerie, télécopie.
va de pair avec digitalisation. Réutilisation des caractères (composition)
donc normalisation, polices

la radio, multiplicatrice de facto, puis orgnisé, radio diffusion, télé


décomposition en éléments simples
formalisation. mathématiques, logique, binaire
dématérialisation : permet fusion plus profonde, les objets matériels se juxtaposent
digitalisation
orthogonalité des commandes. notamment local/global

formats physiques, interfaces, fonctionnel (applications verticales, horizontales)

en hiérarchie. des circuits intégrés vers les applications
intégration. suppression des redondances, concentration industrielle, fusion d'entreprises
concentration géographique
élargissment du marché, économies d'échelle, internationalikation
normalisation des la B de D
dictionnairs, nomenclatures. normalisation sémantique
composants. normalisation algorithmique
abstration, généralisation, pensée unique, porter la bonne nouvele à tout l'univers
objectivation des idées
augmentation de la durée de vie, investissement à long terme
formation/éducatin (langage commun, habitudes)
massification
normaliastion du langage : les mêmes mots, les mêmes lettres réutilisée, limite : binaire, optimum (Kaplan)
mutualisation, services, filialisation

automatisation de l'acte répétitif, la machine, automate
OIE, rlation entre taille I/E/O nombres de pattes/ temporel si mémoire
robustesses, adaptatilité (il n'y a pas besoin de composants différents si peuvent s'adadapter à des conditions différentes)
mais oblige à allongement des trames

services d'adaptation/traduction. Corba, ASP pour l'EDI (GEIS)

Espace : Télé/transport. libération du problème spatial. On peut répéter à distance, partager l'outil. Téléchargement des logiciels. Accès à fond commun. Le web comme mémoire
télésaisie, télésurveillance, téléchirurgie
Temps : la mémoire, on n'a pas besoin de réccire

Biologie. ADN, formes des feuilles
Plus bas : atomes

Moore

Conséquences : le star system

2. La dualité

concrétistaion de Simondon

à la fois centralisation et décentralisation
réunion mammifère, revalorisation des aspects matériels

revalorisation du temporel (hier/aujorud'hui)
revaloirisation du local
régionalisme au XIXe siècle, un rien méprisant (Bécassine), le tourisme
Paris et le désert
les immigrants aux portes des pays développés (San Diego/Tijuana)
enablig the front line

opposition à l'intégration : transparence, masquer
simplicit apparente (voir, mais 10 G neurones)
la transparence fait voir les défauts
couplage réunion/différenciatio
TV on demand

donc :
personnalisation, 1 to 1, CRM/ECR
le déploiement des applications
importance de la logistique
IHM volué
pages dynmiques

industrie/pour ou contre la qualité ?
best practices, control
Iso 9000 comme investissement

3.1. MODELE ECOOMIQUE
Solow
Nous nous somme

Modèle libéral
chacun veut ré-utiliser pour soi
compétition/domination.. Logique de la concentration capitaliste. Rockefeller
gagner de la productivité chez soi, dans son entreprise
dans le réseau (Wiseman)
économie d'échelle
intérêt à laisser les autres désorganisés

Modèle public
recherche de domination mondiale. normaliser le monde, une seul roi, pax romana
la recherche universitaire
Afnor comme organisme ministériel
universités

Modèle libre
logique de la communauté libre, travailler ensemble, le profit perçu comme un frein
le cauchemar du trou noir


Problème général
-investissment
-chaine de valeur, sa forme. percevoir l'évolution vesr la répétition max comme une évolution géométqrieu? bonnes et mauvaises formes
Rawls
- loi de Caquiot
- rémunération des personnes

Qui produit quoi pour qui

Qui produit
Structure : entreprise privée, ministère, ONG (associatif différent de bénévole)
Personne : salarié, bénévole, capitaliste
Quoi : territoire, maison, produit matériel, logiciel, concept, service
Qui paye : salarié, contribuable, "participant"

La proportion du gratuit croît forcément (en bits... mais se masque en permenence par rapport au payant, de même que l'informationnel se masque par rapport au métériel
le non payant devient invisible pour l'oeil ordinaire comme pour les équations de l'économiste


La forme de la chaine de valeur
Volle, Evans

4. La DSI

Le métier, c'est ce qu'on sait répéter efficacement
Le SIG, répétition des opératins de gestion. la chaine

L'informatique n'est pas le métier de l'entreprise, pas stratégique (Wiseman bien mort)


Les autres n'ont pas intérêt. Laisser les autres désorganisés
réutiliser mieux qu'eux

le DSI voudrait fluidité à l'extérieur : des composants souples dans ses mains, dans une architecture
éventuoement: plus ou moins filialisation pour rapports rationnels à l'intérieur et allongemnt des séries en vendant à l'extérieur

le DSI est au service d'un concentrateur (Gle des eaaux) en coo-pétition avec les autres concentratenrsu notamment ses fournisseurs (MS, IBM), qui n'ont pas intérêt à le laisser, lui, concentrer,

le PDG n'est pas (pas toujours en tous cas) un père our sen entreprsie. Il y a des phases, des configurations stratégiques très différentes :
-conquète : Drouot, Pauly, Axa
- autonomi/défense
- vendre, alléger

REPARTIE

(BASE DE DONNEES). Sera dite répartie un ensemble de bases de données, chacune d'elles susceptible de fonctionner de manière autonome, distribuée physiquement sur plusieurs installations différentes, permettant un accès sélectif et modulé à l'ensemble des données.
p.14 un fonctionnement dégradé demeure possible
BD 1/9 (Gardarin sans doute)
REPARTIE (BASE DE DONNEES) Base de données dont les données sont enregistrées dans des bases (dites locales) existant sur différentes installations reliées entre elles par un réseau de type général et pour laquelle un accès à l'ensemble des données qui la composent est assurée (par le SGBDR), en général à partir de plusieurs installations. Gardarin. BD 1/90
REPARTITION. La netteté et la précision sont souvent du côté des modes de répartition arbitraires. Motais de Narbonne 1975
REPARTITION/DECOMPOSABLE. Les répartitions, selon qu'elles sont justifiées ou non, peuvent masquer ou au contraire révéler les causes d'évolution. Motais de Narbonne 1975 p. 172


REUTILISATION

Message de Lapassat répondant au mien

Ce n'est pas urgent, certes, mais c'est intéressant d'en parler.
Ci-joint mes commentaires rapides, dans ton texte:
N.B.: fin de la réponse: je me suis fait plaisir une petite heure.

Pierre Berger <pmberger@noos.fr> le 21/01/2002 14:55:51

Pour poursuivre la réflexion, par exemple au Cigref, je vois par exemple les axes suivants (excuse le ton un peu provoc, nous sommes trop pressés, toi surtout, pour que je prenne des périphrases politiquement correctes).

Je t'envoie ces réflexions par priorité. J'ai l'intention de les formaliser, de les préciser un peu, et le cas échéant d'en parler au Cigref, notamment par l'intermédiaire de Pépin avec qui j'ai
d'excellentes relations. Mais j'aurais aimé avancer d'abord avec toi...

MES POINTS :

1. Il faut cesser de penser l'informatique, et surtout le logiciel, comme quelque chose de comparable à l'automobile. La chaîne est trop différente. Voir par exemple le bouquin de Michel Volle.

Il est vrai que les modèles "automobile" et "informatique" sont différents, mais ils sont utilisés pour essayer de faire comprendre aux interlocuteurs qu'il y a une économie de l'informatique, à prendre en compte, et qu'un logiciel est un produit réalisé 1 seule fois (sa duplication représente un coût négligeable par rapport à sa fabrication), qu'il évolue à un rythme rapide (ce n'est pas le cas de ma voiture, c'est le cas d'un prototype: voilà pourquoi on emploie la métaphore), etc.

C'est en partie parce que nous ne sommes pas arrivés à élaborer un modèle économique adapté que l'économie de l'information est déstabilisée (et déstabilisante), avec tantôt les surbénéfices choquants de quelques leaders, dont Microsoft est le principal bien entendu,
tantôt la très grande difficulté de gagner sa vie sur ce genre de marchés (que de cadavres sur les autoroutes de l'information, et ils ne sont pas tous morts avec un gros chèques pour payer les fondateurs de leur peine).

L'économie informatique est très jeune, elle n'est pas stabilisée, etc. OK; mais
que veux-tu démontrer?

2. La réutilisation est un axe clé pour l'approche. Mais, par rapport à ce que tu en dis

- depuis les origines de l'informatique, on a énormément fait dans ce domaine. bien sûr on continue de refaire des modèles de données pour la paie etc. mais il y a longtemps que les DSI n'écrivent plus (comme je l'ai connu, des routines d'écriture sur bande magnétique (années 60), des moniteurs de télétraitement (Club Med années 70), des logiciels de
traitement de texte (comme Axa l'a encore fait dans les années 80, non sans quelques bons
arguments, d'ailleurs) ...

Oui, l'informatique progresse. Seulement, les nouvelles solutions réutilisent
assez peu l'expérience antérieure, et nous pourrions progresser 2 à 10 fois plus
vite (comme je n'ai pas d'unité de mesure pour dire à quelle vitesse nous
allons, je ne me hasarderai pas à prouver si le coefficient est plutôt 2 ou
plutôt 10). De même, en ce qui concerne la lenteur de l'évolution, les
fournisseurs (éditeurs, constructeurs, etc.), détruisent plus qu'ils ne
favorisent les standards. Ils ne favorisent les standards que quand ils y voient
une condition de survie (Bull soutient avec énergie Linux: survie?), d'attaque
du concurrent, ou de possibilité de gain de part de marché à court terme; des
gains à moyen terme? l'intérêt du client - à leur détriment -?ça ne les
intéresse pas; il y a même des cas où je soupçonne qu'ils ne comprennent même
pas à quoi ça sert. La seule chose que je peux dire, à leur décharge, que bon
nombre de directeurs informatiques n'y comprennent pas grand chose non plus, ou
qu'ils laissent faire parce qu'ils savent que les directions générales ne feront
rien pour soutenir des initiatives qui ne sont pas promues par le marché - sauf
exceptions -.

- la réutilisation n'est pas née avec l'informatique. elle est au fondement même de tout outil, donc de l'humanité. Et même avant l'homme, la nature se ressert indéfiniment du même tableau de Mendeleïeff, des mêmes formes de feuilles et de fleurs, qu'elle refait tous les ans, sous nos climats, par milliards.

Faudrait-il donc s'attendre à ce que les fournisseurs informatiques fassent la promotion de la réutilisation? Ils n'ont pas de raison d'avoir une inspiration aussi bucolique ou aussi darwinienne. C'est bien dommage. Comment tenir compte de cette remarque, sinon en disant que tu justifies un peu plus ma "croisade" pour l'industrialisation, et qu'il est naturel (ce que je recommande) d'aller vers plus de réutilisation.

Donc il faudrait cerner de plus près. Ce que l'on réécrit est de plus en plus immatériel, conceptuel. Et conduit donc logiquement à tes positions sur :

3. Le problème de la gratuité est essentiel, très actuel, très difficile

En raison de la loi de Moore, une grande partie des traitements informatiques sont virtuellement gratuits. Mais comme on en fait énormément, des traitements, on dépense toujours beaucoup, et ni Internet ni la micro-informatique domestique ne sont vraiment gratuits (mais, comme me dit un de mes frères, par rapport au golf, c'est nettement moins cher à l'heure)

Le conceptuel ne devrait pas être brevetable, mais il faut tout de même protéger la propriété intellectuelle...

En physique, les concepts s'appellent probablement des lois, etc. Personne ne
peut les vendre. Personne ne paie les descendants d'Einstein à chaque
utilisation de la relativité universelle. On brevète et on vend des
savoir-faire. Un modèle de données est à la frontière une propriété
intellectuelle. Je militerais plutôt pour qu'il soit gratuit, et éviter ainsi de
faire perdre du temps à l'humanité entière. je sais que ce sujet mérite
réflexion. Les laboratoires pharmaceutiques doivent-ils cacher leurs
découvertes pour gagner plus d'argent? Leur travail mérite salaire, également.

En pratique, on voit s'opposer le mode commercial classique (Windows) et le mode "free" (Linux). Les deux sont excessifs, au moins dans certaines de leurs manifestations.

Que faire ? Comment concilier la gratuité naturelle de l'immatériel avec la légitime rémunération des créateurs et des éditeurs ?

Je ne pose pas vraiment le problème en ces termes. J'admets que Microsoft gagne de l'argent. Je n'admets pas qu'ils le fassent avec des solutions médiocres, alors qu'ils pourraient en gagner tout autant sinon plus avec de bonnes solutions, sans mettre en péril leur futur. Je pense même qu'ils assureraient mieux leur futur en suivant ma voie. Je regrette également qu'ils combattent ou condamnent des solutions plus avancées que les leurs pour protéger leurs solutions.

D'accord, c'est la loi du business; je regrette qu'il en soit ainsi, tout comme on peut regretter le déclin de la littérature, de la poésie, de la musique classique, ou la montée de la violence et des égoïsmes.

4. OK pour se méfier de l'infogérance globale

Comme DSI, il est normal que tu soies contre l'infogérance globale. Je uis moi aussi très méfiant. D'autant plus qu'il est impossible de faire raiment des retours d'expérience. Ce type de contrats, et la manière dont ils se déroulent, est tout à fait confidentielle par la volonté,
tout à fait compréhensible, des parties.

Ta phrase laisse place à l'ambiguïté sur mes intentions: interprétation classique: "puisque je suis DSI, alors je défends mon bifteck, et je veux garder pouvoir et maîtrise de l'informatique en interne"; même si ce n'est pas toujours faux, à mon niveau d'expérience, il y a longtemps que je privilégie d'autres attributs que le nombre de personnes qui me sont rattachées. La capacité d'intervenir dans la gestion de l'entreprise, d'être écouté de ses dirigeants,
d'avoir un bon salaire et une bonne place, ou de vivre tranquille,, par exemple,
sont des critères bien plus importants (à classer dans divers ordres de priorités suivant les individus et les sociétés).

La vie de DSI face à un outsourceur est de loin la position la plus confortable: le risque est transféré sur un autre, le quotidien des soucis d'exploitation aussi, seul reste le devoir de contrôle, de négociation, de critique, et de gestion des architectures, qui devient enfin l'autorité incontestable du DSI.

Ma position personnelle est de dire à une grande entreprise (ce n'est pas le cas des petites, qui peuvent bénéficier d'effets de mutualisation) "si vous voulez avoir une informatique optimisée, l'outsourcing global n'est pas source d'économie; il existe assez souvent des domaines où nous n'avons pas la taille critique, et où l'outsourcing sélectif a un sens; ce qui est différente". j'ai en effet la prétention d'être un DSI normal, qui sait gérer sa direction; je
suis donc capable de faire l'économie de la marge prise par les SSII pour exploiter et développer nos systèmes. Et j'affirme que nous ne sommes pas à un stade industriel suffisamment développé pour pouvoir transformer l'informatique en un simple intégrateur de solutions toutes faites. Ceci arrive peu à peu; c'est pourquoi il y a de plus en plus de possibilités d'outsourcing utiles.

Pour enquêter sérieusement, la presse devrait disposer de moyens considérables (en niveau de compétences et en disponibilité de temps) tout à fait hors des limites de ses budgets. Les grands cabinets en savent sans doute un peu plus, mais ne peuvent pas beaucoup s'exprimer.
D'accord.
De temps en temps (une fois tous les dix ans environ), un gros échec fait soulever les couvercles. Mais un bon scandale (type Pégase au PMU) ne fait pas science !
Exact
De toutes façons, je pense qu'une bonne partie de l'informatique, même de gestion, fait partie du métier de l'entreprise, et ne doit donc pas être sous-traitée.

5.La solution devrait venir ASP, peer services et web services... sur points particuliers

Tu dis qu'ils ne sont pas venus te voir. OK

Pour l'instant, ils visent plutôt les sociétés plus petites. Leur offre n'est pas au point pour les sociétés plus grosses. Le time sharing existait en 1970; il revient petit à petit. Pourquoi pas, si l'offre est bonne?

Il y en a qui marchent très bien, et depuis la mécanographie à carte perforée : la paye et la comptabilité entre autres. on pourrait aussi parler de la monétique.

Je pense que, techniquement et économiquement, c'est le vrai moyen de faire de la réutilisabilité sérieusement.

Ce n'est pas de la réutilisabalité au sens où je l'entends; c'est de la mutualisation; mais je ne suis pas contre.

Un des obstacles qui freinait cette approche était la bande passante des télécoms. Mais avec les lignes d'aujourd'hui, et le cas échéant une réplication astucieuse de caches sur les sites à fort nombre d'utilisateurs, cela ne devrait plus être un problème. Ceci baisse la barrière du coût d'utilisation; pas celle de la compatibilité avec les processus de l'entreprise.

Cette industrie de services-là, il faudrait la développer. Ce n'est peut-être pas à la Générale des Eaux de créer ce marché, mais ce pourrait être un excellent objectif pour le Cigref, plutôt que de se lamenter (ne pas me citer) sur le triste sort des DSI dans la décennie
2000...

Je ne comprends pas très bien ta démonstration. Je ne crois pas que le problème
du CIGREF soit de faire le lit des fournisseurs. C'est aux fournisseurs de faire
une offre achetable par les grandes entreprises. Ce qui m'intéresse, si ce
marché existe, est de pouvoir mettre en concurrence des fournisseurs choisir le
meilleur service et pouvoir ensuite en changer au moindre coût.

Quant au triste sort des DSI, je m'associe aux lamentations dans la mesure
suivante:
- J'ai beaucoup de travail à faire pour apporter à mon entreprise le service
attendu au meilleur coût. J'aimerais bien avoir le soutien de chacun pour être
efficace, et ne pas avoir à passer mon temps à me battre contre ma hiérarchie
pour faire progresser l'entreprise. Pourquoi faut-il autant se battre pour faire
respecter des règles d'architecture, par exemple? Quelle tristesse et quel
gâchis de ressources que les dirigeants soient incapables soit de comprendre,
soit de faire confiance à leurs DSI sur des choix d'architecture fonctionnelle
ou technique! etc.
Quand j'ai quitté le CCF, j'ai dit à mon patron que le CCF m'avait utilisé à
25% de mes capacités. J'aurais pu rester à vivre une retraite dorée, c'est à
dire à faire un pseudo travail , inefficace, très bien payé, consistant à dire
aux dirigeants ce qu'ils veulent entendre. C'est ce que fait mon successeur.
Chacun ses ambitions.
- Je rencontre beaucoup trop de dirigeants qui n'ont aucune méthode pour
analyser leurs composantes stratégiques, qui ne la communiquent pas, qui
prennent des décisions sur des bases absurdes, qui n'appliquent pas le B.A. BA
des techniques de gestion des processus, qui se permettent d'avoir des préjugés
sur leur informatique sans rien y connaître, qui ne prennent même pas la peine
de comprendre leur informatique, etc. etc. Je ne peux pas les admirer; j'en ai
rencontrés de meilleurs. Je préfère vivre avec l'exigence d'avoir un de bons
dirigeants, qui suivent mes conseils, qu'il s'agisse de stratégie, de processus,
ou de systèmes d'information. J'ai déjà eu de bons patrons, j'en ai eu des nuls
(dans mon domaine, s'entend); je découvre mes patrons actuels, l'avenir me dira
ce que je peux en attendre.

AUTRES NOTES
L'allongement des séries favorise la dématérialisation
- elle encourage à pousser la chaine de valeurs vers l'amont. on peut rentabiliser plus de conception et de recherhc
- permet de payer la chaîne de dématérialiation/matérialisation aux deux extrémités du processus

La dématérialisation facilite l'allongement des séries
- la réduction des coûts de copie et de transmission (mais aussi de fabricatio et de stockage) pemt d'allonger les séries dans le temps et l'epsace, coût marginal preque nul
- fcilite la modification des gammes de produtis. Donc une même gamme peut répondre à plus de clients, internatinoalisation/localisation, mais suppose une matière assez ductile (St Thomas), un travail d'abstraction

***
La dématarialisation facilite la digitalisation
- plus facile à reconstruire, pas d'amplification àf aire
- pas de grain de la maitère. le digitaliation d'objets matérielest difficie, coûteuse

La digitalisation facile la dématérialisation
- si digital, "immatériel" par nature, mais il y a des degrés

***
La digitalisation est en fait un point plus avancé de la dématérialisation

La digitalisation facile l'allongement des séries
- ordinateur universel, alors que l'analogique est plus spécialisé (en tous cas dans une configuration matérielle déterminée)
- machine très adaptable par progrmmation
- pas de métériaux spécifiques, pas de stocks
- copie et transfert à très faible taux d'erreur, pas d'usure du moule ou du processeur

L'allongement des séries facilite l digitalisation
- rentabilité A/D D/A aux extrémités (comme dématérialiation).
***
La baisse des prix facilite l'allongemnet des séries
- elle permet de faire baisser les prix, donc comme c'est moins cher, peut être acheté par un plus grand nombre
- on peut être moins sélectif sur les utilisations

L'allongement des séries fait baisser les coûts
- oui tant qu'on ne bute pas sur des ressources rares exploitées à chaque exemplaire (par exemple, cout d'un matériau relativement rare, ou d'un personnel très spévialisé
- les investissements d'industrialisation se rentabilisent plus facilemnet

(voir relation entre prix et coûts, c'est une des clés !)

***
La baisse des prix facilite la digitaliation
- opérations de conversion plus rentables

La digitaliation fait baisser les prix
- qualié de la copie
- universalité de la machine (structures de contrôle pas plus chères que les structures d'opérations). Dans les systèmes classiques tarditionnelles, les structurs de contrôle sont assez coûteuses (précision et technicité élevée), quoique ne consommant pas d'énergie ni de matière en quantité importante
- pas de stocks, pas de logistique (prolongement de dématérialisation)
***
La standardisation facilite l'allongement des séries
- évident, si le standard est bien structuré, bien adapté
- tout le monde prend la même chose
- sécurité par second sourcing
- facilité des assemblages

L'allongement des séries facilite la standardisation
- elle rentabilise le travail de normaliation (abstrait, de type investissment). la mise au standard peut avoir des coûts non négligeables (headers de fichiers, algorithmes compliqués pour coder/décoder, ex. jpeg)
- lié de près à diversification/localisation

Voir granularité

***
La standardisation facilite la baisse des coûts
- y compris dans le circuit de distribution

La baisse des coûts facilite la standarisatino
- pas forcément, parce qu'il faut payer l'investissement
***
La digitaliation facilite la standardisation
- plus facile de normaliser du digital; on est d'emlbée dans un espace fini

La standardisation facilite la digitalisation
- ?
***

La standardisation facilite la dématérialisation
La dématérialiation facilite la standardisatino
- comme digital. on n'a pas à se préoccuper des contingences matérielles
****
Il va y avoir une montée de complexité
- la complexité n'set pas cnère en digital
- il faut tout convertir en AD/DA
- c'est abstrait, difficile à comprendre pour les gens, les machines digitales ne sont pas simples, on a l'impressin qu'il y a tout le temps des alias
- complexité pour variété de produits
- les composants ne sont pas simples (headers, objets avec packaging)
- standardisatino et distance

temporel : allonge beaucoup, réutiliation d'une ligne téléphonique sur 40 ans
l'écart devient tel qu'on perd les basse
dérégulation des télécoms, transports fermés

un cuisinière de ménage : 30 000 fois utilisée avec 3 repas sur 30 ans

effets de la concentration

sur les humains :
- très longues séries, habitudes /habitus
monopole/ Azerty brainshare

le problème ne se poserait pas à ce point si les US jouaietn le jeu. Linux justifié, même les hackers

L'exception culturelle: un cas particulier
chaine de valeurs /// de "valeurs"

SIP, Système d'information personnel
O70_GROU\AGENDA.HTM Agenda
8/2002. Ma posistion, par rapport à mon papier d'origine (à LMI, vers 1997), c'est que je renonce à tout bien aligner dans mon SIP même. J'accepte que déjà pas sa seule énormité (plusieurs CD), sans parler de l'énormité d'Internet, il ne peut plus être tout bien rangé par moi. Donc je l'accepte comme uen garnde masse dont
- une bonne partie restera brute, peu lisible
-une bonne partie restera pratiquemnet inaccessible (fichiers sans pointeurs, images sans explications)
- les points d'entrée de réseau ne donnerotn accès qu'à une partie

De toutes façons, je peux bien consacrer du temps à ranger le tout, mais je continuer à introduire tellement de nouvelles idées et de nouveaux documents que ma capacité de rangement est dépassée.