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Language

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-------------------------------- To be edited

8. Language as creative

A language is not by itself a representation, but a “tool” or “toolbox” to build represenrations (descriptions).

But it has also a creative role: from a particular case, generalize it, then generate variants :
. similar cases with some variation on quantitative termes, for instance
. dissimilar cases by negation.

Bailly-Longo
Serfati
Le Meur

Creation of new languages.

 

Emergence du vocabulaire et de la grammaire. Les signes isolés sont d’un intérêt limité.  Ils se comprennent en partie par leur contexte.  D’où la construction d’ensembles de texte, avec
- des vocabulaires qui correspondent aux entités et à leurs propriétés
- des grammaires qui correspondent aux relations entre entités.  
Chacun pourrait, théoriquement, construire son propre langage. Mais en pratique, le langage se construit essentiellement dans le cadre social, pour des échanges entre entités.
Quelques exceptions ou cas particuliers :
- le chercheur en cours de développement, qui invente les mots (ou leurs acceptions) en même temps qu'il construit ses théories
- les amoureux et leurs "petits-noms".

 

Notes sur le langage (LILH). Autres notes Bouge_Mots Le concept (notes)
Langages fomels Bases Bourbaki

Nota. Les langues sont elles naturelles ou artificielles ? Les deux, et l'on peut avoir des objectifs d'aménagement linguistique.

Epistemologie quantitative . Autres notes

Le contexte

Sans oublier que, en français on manque singulièrement de vocabulaire par rapport à l'anglais (cf taiile asymétrique des dicos).

9. Judgment about languages

Problèmes tres concret : quelle langue apprendre, quelle langue faire apprendre à mesenfants, dans quelle langue écrire. Puis politique linguistique.

Hagege, Bazin, Catach. Le truc sur ambiguité en japonais.

Leech pour la poésie.

George Steiner : Après Babel. Original 1975. Albin Michel 1998.


Un peu comme les idées, mais il y a aussi l'extrémité matérielle du langage, oral ou écrit.
- le côté des idées (voir idée)
- le côté de la matérialisaion : phonèmes, graphèmes.

citations sur les langues :
http://www.evene.fr/citations/theme/langues-etrangeres.php

Je parle>espagnol à Dieu, italien aux femmes, français aux hommes et allemand à mon cheval. (Charles Quint)

Oser juger

Allemand
- Syntaxe difficile
- Prononciation et orthographe difficile
- Trois genres. Pas toujours plus logique que le Français
- Quelques accentuations gênantes à l'écriture
Anglais
- Prononciation correspondant mal à l'écriture
- Syntaxe globalement très facile à la version. Des subtilités difficiles à maîtriser en thème.
- Langue nettement majoritaire dans les milieux des affaires et de la recherche
- Absence d'accents
- Vocabulaire très riche, surtout autour des sensations
Arabe
- Puissants effet religieux du Coran
Catalan
- Langue très locale
Chinois
- Ecriture très difficile du fait des nombreux idéogrammes
Créole
- Expressif mais pauvre
- On récupère du Français toutes les fois que nécessaire
Cunéiforme
- Deux langages
- Ecriture très difficile. Jolie dans son principe.
Egyptien
- Ancien. Hiéroglyphes très difficiles
- Moyen. Cursive
- Moderne : variante de l'arabe
Espagnol
- Syntaxe de base facile pour un Français, surtout à la lecture
- Bonne correspondance
- On parle à Dieu en Espagnol
Esperanto
- Vise à être facile
- Peu parlé
Français
- Grammaire difficile. orthographe pénible , correspondant souvent mal avec l'oral€
- Aberrations dans la numération (quatr-vingt-dix).
Grec
- Ancien. esprit de la syntaxe, assez proche du français, prononciation scolaire très proche du graphisme
- Moderne. Grammaire très dificile. Combinaison tordue du grec classique avec du Turc
Italien. Facile, surtout pour un Français.
Japonais.
- Grammaire relativement facile. Emploi excessif des enclytiques.
- Ecriture calamiteuse
Latin.
- Syntaxe difficile, les cas. Mais liberté d'ordre des mots.
- Grand latin classique (Cicéron)
- Bas latin
- Latin des scolastiques. proche du français
- Les traducions modernes des psaumes sous Pie XII
- Accentuation assez forte
- Evolution de la prononciation scolaire
Mounoukoutouba
- Facile à apprendre pour un français
- Pauvre. Toutes les fois que ne suffit pas, on prend du franças
Portugais
- Un peu comme l'espagnol, facile à lire
- Prononciation difficile
- Variante brésiienne
Russe
- Réputé difficile
- Grande finesse de rendu des temps
Sourds-Muets
- Pas d'écriture, évidemment

Langage
vocabulaire
grammaire/ orthographe. aspect génératif/normatif
"dans le parler considéré des foncdtions distinctives
pré-existe à l'écriture

Il n'essaie pas de faire l'inventaire, d'écrire un catalogue de recettes et formules. En liste quelques uns
Le cubisme est un langage. // Gombrich, Blanc. Mais pas grammaire écrite
Le cubisme est une fausse voie. Ou une voie courte. mais a donné des résultats intéresants

second langage TMA
est-ce qu'une grammaire peut générer du texte plus complexe qu'elle-même ?
propositions indécidables
génétique avec qqch d'autre

une partie d'éches , programme + compilateur , ADN.ARN

factoriser : le langage, la "parole", ce qu'il y avait à dire ./ public key
l'élégance : relation enter la longueur des deux texte : dautant plus élégant que le langage est adapté au problème à traiter, d'où le demi-mot
convention/connaturalité (résonance) , parce que c'était lui, aprce que c'étiat moi

respect de la nature de l'objet de la pensée (mon type sur les actionneurs)
rendement du produit : il faut que la rédaction de l' "intention" soit adaptée au langage : pas de fautes de gramaire, pas d'ambiguités
cas de la partie d'échecs : on pourrait faire encore plus bref, peut-être

à chaque étape de la construction du texte, il y a les affordances. les numéroter et donner le chiffre.
une forme de compression
mais niveaux dans les containtes/affordances : celles de la syntaxe, celles de l'esthéti que, celles de la signification
on pourrait imaginer d'avoir un grand fichier avec toutes les chaînes de mots et les afforcdances derrière
on aurait le texte minimal absolu. (TMA) calclable si les contraines sont formellement définies

il y a bien une amplification, parce que le mot suivant, par définition, est plus long que le nombre de possiblités (log).

Tout se joue dans ce produit : texte = langage + prétxte
pour que beau, il faut
- correspondance entre le langage et le texte
- entre le tete et l'objet que l'émetteur veut atteindre
- enter émetteur et récepteu( convention, connivence, culture commune)

On n'a jamais le TMA, pour plusieurs raisons
- il serait illisible par un humain
- il serait terrivelbnet lourd en mémoire et/ou en temps de talcul

On peut chercher à s'en rapprocher
- par un judicieux compromis entre ressources tehcniques (calcul, mémoire) et ergonomie umaine

ensuite, par rapport à une intention pré-verbale
- choix des synonuymees
- ordre d'exposé de faits indépendants

d'où les canons, standard, norme,
si on y est conforme, rien à dire de plus. sinon il faut décrire en quoi on n'est pas conforem (le clinamen atomique)
il y a une successiond d'étages de "pertes"
- du TMA au mots,
- des mots aux lettres du dico
- puis la typographie

autrement dit, en langue (c. aux échecs)
1. on fait comme si n'importe quel mot pouvait être choisi
2. puis on emploie des lettres , vocabulaire, graphie, pour coder chaque mot (perte facile à calculer) et ici un codage minimal ne serait pas inaccessible. qqch comme Huffman.
3. On code les lettres sur 8 ou 16 bits (unicode)
4. typographie

Si on appliquait qqch comme le TMA, ou très optimisé
quelle serait la strucdture du pré-texte générateur ?
- une série d'entiers plus ou moins longs, a priori sans structure autre que la succession, mais pas pas tout à fait vrai
1. Il y a une sorte de contrainte sur la longueur des entiers (le nombre des choix possibles après une séquence donnée n'est pas constante, ni aléatoire
2. derrière les contraintes de premier niveau (syntaxe) il y a les contrainte sémantiques . il faut que "ça veuille dire quelque chose"
Cela va donc se retvourev implicitiment dans le pré-texte,e t donc on devrait encore pouvoir gagner, ou expliciter
Par exemple, un pain n'est pas de n'importe quelle couleur
Pas fordément "binaire", on peut raisonner en termes de probabilité et coder à l' Huffman (un pain est très probablement blanc ou gris ; très peu probablement bleu)

Quid si je traite (interprète) le pré-texte avec un autre langage (on pourrait essayer avec les compilateurs).
en tous cas, il va y avoir des nombres trop courts et d'autres trop longs (sur le nombre des afforances)

Le texte (ordinaire) est à la fois la grammaire et l'expression du message spécifique
je décompose artificiellement entre grammaaire et un autre texte, qui ressemble à une compression
mais qui pourrait êter considéré comme l'expression de qqch de plus profond

Le TMA est une construction a posteriori. En pratique, à la Deleuze, la création du texte est un processus complexe. je cherche des mots qui correspondent à pas mal de choses à la fois.
on eest dans l'émergence. il n'y a rien avant, ou quelque chose de flou,e tc.

Dans un texte,
en stricte syntaxe, on repart à zéro au début de chaque phrase
le premer mot norameletmn 'nest pas un subsantif

Une piste de réflexion.

- Méditant sur la "théorie spéculative de l'art", en résumé : l'art peut dire des choses qui ne peuvent s'exprimer dans le langage ordinaire
- Lisant la fin du premier tome de Leroi-Gourhan (les symboles du langage), et ses réflexion sur la "linéarisation" propre au langage, avec le cas intermédiaire des idéogrammes (égyptiens, chinois), je me dis que le problème est dans le nombre de dimensions Le langage fonctionne en une seule dimenstion, il est "linéaire" (ce qui permet notamment une relation biunivoque entre l'écrit et l'oral), alors que l'art (typiquement, peinture et sculpture) fonctionnent en deux dimensions, comme notre rétine.

Il est donc normal que l'on puisse envoyer à la rétine des messages (images) qu'on ne sait pas linéariser. Ce n'est pas une question d'art, encore moins de mystique. Simplement de canal de commumnication.

Mais en même temps, cela va contre le réductionnisme (en tous cas ses formes simplistes) : on ne peut pas tout réduire à la linéarité du langage, a fortiori à la linéarité "absolue" du binaire.

Réponse de Troix Carrés
Je crois que ton modele de langage est trop simpliste.
Les linguistes et les ecrivains ont explores des aspects polysemiques du langage qui font passer a de multiples dimensions.
Finalement rene thom serait probablement d accord pour, penser que le langage est une forme multiparametree

A Trois Carrés

Il y a quelque chose de vrai physiquement :
- le texte (oral ou écrit) est plus linéaire que la peinture
- la seule vraie information à une seule dimension est la chaîne de bits (qui par exemple se ballade sur un fil unique (plus la masse) dans une prise USB, en mode "série".

Il y a quelque chose de à peu près vrai neurologiquement :
- l'oreille fonctionne presque en une seule dimension
- la rétine fonctionne fondamentalement en deux dimensions.

Aux deux bouts, il y a les cerveaux de l'émetteur et du récepteur, et eux on ne sait pas trop bien encore comment ils sont structurés.

Language

Tu as en gros ce que tu cherches dans le baromètre Calvet

http://wikilf.culture.fr/barometre2012/

Pour des éléments plus descriptifs voir

http://www.language-database.com/

http://www.unicaen.fr/typo_langues/contenu.php?malang=fr

Ce qui serait intéressant, c’est un document (le mieux serait un site) qui permettrait à chacun (et par généralisation, à toutes personnes ou institution responsables) de définir concrètement leur stratégie linguisique.

J’imaginerais trois bases :

- une base de description des langues, avec des critères comme :
. nombre de personnes qui là parlent (actuellement, dans le futur, voire dans le passé pour les historiens)
. domaines où elle est particulièrement utilisée (l’allemand, en tous cas récemment encore, était important pour les archéologues ; latin, grec ancien, arabe littéraire pour les théologiens)
. difficulté de son apprentissage (à différents niveaux : juste pouvoir demander son chemin dans la rue, jusqu’à écrire de la littérature), estimation du temps nécessaire pour arriver au niveau souhaité
- une base de profils d’utilisateurs individuels et collectifs :
. langue maternelle
. lieu de résidence
. âge, capacité d’apprendre (QI ??)
. niveau de culture, notamment langues déjà parlées et à quel niveau
. orientations professionnelles
. projet de voyages, déplacements, expatriation professionnelle plus ou moins longue
. goûts et envies (mon frère a un ami dont l’objectif est de connaître 100 mots de base dans toutes les langues possibles).

- une base de ressources :
. livres
. écoles et formations (universitaires, en ligne, etc.)
. sites en ligne
. professeurs, correcteurs, traducteurs...

...

Et au milieu, des algorithmes d’appariement et de propositions de stratégies avec dialogue astucieux.