Color
Colorimétry
- Panorama des chartes économiques dans Créanum d'avril-mai 2011.
Color
- Quelques "marchands de couleurs" intéressants à Paris : voir notre Guide touristique.
- Modèles de couleur, correction : [Kemp] aspects théoriques,
[Zelansky] "les théories de la couleur".
- Abondantes informations dans [Brinkmann], [Foley],
[Gonzalez], [Processing], [Photoshop]
- Correction [Rivard] (travail avec Photoshop, par exemple. pas algorithmique)
- Du point de vue des textures, on trouve de longs développements dans [Ebert]
- Outils : [Java][Roxame][Photoshop]
- [Popper1 ] : -
... ce sont certains artistes de l'op art comme Albers et Vasarely qui ont mis le plus fort accent sur la couleur perçue,
tandis que des artistes cinétiques comme Schöffer et Malina ont privilégié la couleur poïétique, celle de la création. Quant à la couleur théorisée, c'est de nouveau aux artiste de l'op-art que revient la palme et encore une fois à Albers et Vasarely, mais aussi à Herbin et à Lohse.
- The colour of time (God is a lobster and orhter forbidden bodies), par Johnh Golding (philsophe) 9 pages dans [Adams]
- Couleur indexée : fait référence à une palette. Voir graphique.
- Associations concernées Afig, Afihm,
ACM Siggraph.
- Normalisation : ICC (International color consortium)
- Dictionnaire des termes de la couleur, par Robert Sève, Michel Indergand et Philippe Lanthony. Avallon. Editions Terra Rossa. 2007
- Guide complet et pratique
de la couleur, par J.P. Couwenbergh. OEM/Eyrolles 2003.
- La couleur pour les sites
web, par M. Holzchlag. Pyramyd 2002.
- Gestion de la couleur.
Calibration et profils ICC pour l'image numérique et la chaîne graphique. par G. Niemetzsky. Eyrolles 2002.
- Couleur-lumière,
couleur-matière, par Patrick Callet.
Diderot Arts et Sciences (épuisé) (travail théorique en profondeur, notamment
sur les matériaux)
- Lumière.couleurs. Dialogues entre art et science. Sous la direction de Jean-Pierre Mohen. Cloitre des Cordeliers 2005.
- Traité des couleurs. par Libero Zuppiroli et
Marie-Noëlle Bussac. Presses polytechniques et
universitaires romandes 2001 (aspects neuro-psychologiques).
- Colouring without seeing: a problem in machine creativity. par Harold Cohen, 1999
- Computer Graphics, Principles and
practice. par James Foley. Addison Wesley,
2d edition1990 (pratique).
- Interaction of color. par Joseph Albers. Edition originale Yale University 1963.
- La couleur dans les activités humaines. par Mauride Deribéré. Dunod 1959. Bien qu'ancien, cet ouvrage est encore recherché en 2011. Déribéré a beaucoup publié. De formation scientifique, ses ouvrages vont au delà et ont un caractère prescriptif dans toutes les applications de la vie courante, en s'appuyant sur les expériences de la vie courante plus que sur des travaux de laboratoire. Sur certains points, il et aujourd'hui contesté (en particulier, le vert dans les bureaux s'est avéré plutôt dépressif, me semble-t-il). Il n'est pas orienté vers les beaux-arts mais nombre de ses prescriptions pourraient être mises à profit par les créateurs numériques, notamment pour les espaces immersifs.
- Art de la couleur.par Johannes Itten. Dessain et Tolra 2004 . Original 1921-1961
- Sur la couleur au cinéma, voir le livre Cinéma total de Barjavel (1944, mais en ligne ).
- Site intéressant Color
system.
Note sur la codification des couleurs. Dans le monde des images digitales, une couleur est un assemblage de trois couleurs de base : traditionnellement, les primaires bleu-jaune-rouge, plus récemment les composantes rétiniennes/électroniques bleu-vert-rouge (que nous appellerons RGB, suivant l’usage anglais) . Au niveau du ressenti, ces trois valeurs se traduisent en trois autres : le ton, la saturation et la luminosité (dite souvent « valeur » ; nous nous y référerons par le sigle anglais HSV hue-saturation-value).
La
représentation la plus courante de la couleur dans les systèmes digitaux est
assez trompeuse, au moins en ce qui concerne la luminosité. Elle se code en
effet la plupart du temps sur huit bits, donc 256 niveaux, qu’il s’agisse d’une
composante RVB ou de la luminosité globale différents. Mais on ne précise pas à
quelle quantité de lumière cela correspond. En pratique, le maximum correspond
à ce que fournit l’écran ou le projecteur, à charge de l’utilisateur (sur un
PC) ou de la régie (projection en salle) de l’ajuster au mieux dans les limites
de son appareil. )
L’arrivée, au début du XXIe de diodes puissantes, assez peu chères pour se
disposer en matrices, permet une variation de luminosité beaucoup plus grande.
Cela pourra pousser les créateurs soit à indiquer les luminosités en valeur
absolue, soit à les coder sur 10 bits au lieu de 8 (et, plus globalement,
de coder la couleur RGB sur 30 bits plutôt que sur 24).
A ces mesures « élémentaires », il faut ajouter des mesures globales de l’environnement, et qui permettent aux acteurs de l’esthétique de s’y développer. Ce sont au moins, pour les êtres humains, des conditions d’éclairement, de température, d’humidité, de composition chimique de l’atmosphère, de pesanteur, etc.
Belle étude à l'intention des photographes sur le site Photo Lovers
Le devenir numérique des couleurs. 2012. Le texte de l'appel Contact : Francine Lévy ; direction@ens-louis-lumiere.fr , 01 48 15 40 11
Couleurs particulières :
- Noir
< Le Noir, couleur dangereuse ou transgressive. Tome 1. Approche civilisationnelle. Tome 2. Approche communicationnelle. Sous la direction d'Eric Agbessi. Editions Le Manuscrit, 2011. Voir en particulier le chapitre L'univers informatique en noir... et blanc. par Nicolas Oliveri et Sébastien Rouquette. Mais il s'agit surtout de la couleur des carters de machine, on est donc très loin de l'art numérique.
- Bleu. voir Yves Klein.